(Partie IV) Question de David Ray Griffin aux principaux détracteurs de la Gauche américaine qui critiquent le Mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre : Croyez-vous vraiment aux miracles ?
Suite de l’analyse par le professeur David Ray Griffin des invraisemblances de la version officielle sur les effondrements des trois Tours du WTC le 11 septembre 2001. Dans cette 4e partie, il est plus particulièrement question des étranges caractéristiques des incendies qui sont, officiellement, venus à bout de la résistance de la structure en acier des Tours.
* * * P A R T I E I V * * *
(retrouvez la 1ère partie, la 2ème partie et la 3ème partie ici)
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Aux principaux détracteurs appartenant à la Gauche américaine qui critiquent le Mouvement pour la vérité sur le 11/9 : Croyez-vous vraiment aux miracles ?
Lettre ouverte à Terry Allen, Noam Chomsky, Alexander Cockburn, David Corn, Chris Hayes, George Monbiot, Matthew Rothshild, et Matt Taibbi.1
David Ray Griffin2, GlobalResearch.ca, 6 juillet 2010
Sommaire (en bleu les parties présentes dans cette page)
IntroductionI – L’accusation selon laquelle les théories du Mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre reposent sur des croyances en des faits non scientifiques, voire magiques.II – Les miracles contenus dans les explications du NIST sur la destruction du World Trade Center1. L’effondrement par le feu du Bâtiment 7 du WTC : Un apparent miracle
2. Effondrement du WTC7 : l’imitation parfaite d’une implosion
3. L’effondremenent du WTC7 en chute libre absolue
4. Les Tours Jumelles : effondrement quasiment à la vitesse de la chute libre
5. Les miracles à mi-hauteur de la tour sud
6. Éjections horizontales dans les Tours Jumelles
7. Des incendies qui font fondre le métal
8. Des feux impossibles à éteindre
9. Du soufre surnaturelIII Laquelle des théories du complot est véritablement un discrédit et une diversion ?1. La peur du discrédit
2. La peur de la diversionConclusion
Traduction GV pour ReOpenNews
II.7. Des incendies qui font fondre le métal
Au vu des effets sans précédent étudiés plus haut, produits (selon la version officielle) par les incendies dans les tours du WTC, il semble bien que ces feux aient eu des pouvoirs miraculeux. Cette déduction se trouve renforcée par l’examen d’autres effets, encore plus extraordinaires.
De l’acier-gruyère. Dans les mois qui ont suivi le 11/9, trois professeurs de l’Institut polytechnique de Worcester (WPI, au Massachusetts) ont publié un bref rapport sur une pièce métallique récupérée parmi les débris du WTC7, et ont expliqué qu’elle avait subi des "altérations microstructurelles", incluant une "fusion intergranulaire."87 Une version plus complète de ce rapport, qui contenait la description d’une pièce d’acier portant les mêmes traces d’érosion, mais provenant d’une des deux Tours Jumelles, figure en annexe du premier rapport officiel sur la destruction des Tours Jumelles rédigé par la FEMA en 2002.88
Un article du New York Times, faisant remarquer que certaines de ces pièces d’acier avaient "littéralement fondu", même si "aucun incendie dans aucun des bâtiments n’avait vraisemblablement atteint des températures suffisantes pour faire fondre l’acier", affirmait que ces découvertes constituaient "peut-être le plus grand mystère non élucidé par l’enquête."89 Dans un article décrivant de façon plus détaillée ces mystérieux morceaux d’acier, et intitulé "Le grand mystère de l’acier fondu", le magazine du WPI expliquait :
"L’acier – dont le point de fusion est de 2 800°F (1 538°C) – peut s’affaiblir et se tordre, mais ne peut pas fondre lors d’un incendie de bureau. Et pourtant… une colonne [d’acier] épaisse de 3,5 cm a vu son épaisseur réduite de moitié. Ses angles – froissés comme du vieux parchemin – ont été rendus presque aussi tranchants qu’un rasoir. Des trous béants, certains larges comme une pièce de monnaie (silver dollar) – laissent passer la lumière à travers ce qui était auparavant l’aile d’une poutre. Cet aspect de "gruyère" a choqué tous les professeurs spécialistes du feu qui s’attendaient à trouver des déformations et des effets de cintrage, mais certainement pas des trous."90
Les propos d’un des trois professeurs du WPI, Jonathan Barnett, furent cités par le Times, lorsqu’il écrivait que l’acier "semblait s’être en partie évaporé à des températures extraordinairement élevées."91
Le fait que l’acier se soit effectivement évaporé – et n’ait pas simplement "fondu"- fut aussi rapporté dans un autre article du New York Times. Le professeur Abolhassan Astaneh-Asl de l’université de Californie à Berkeley, en évoquant l’une des poutres horizontales en forme de I du WTC7, aurait expliqué qu’ "une partie de la portion plate supérieure du I, qui était auparavant d’1,5 cm d’épaisseur, s’était vaporisée."92
Pourquoi ces phénomènes tiennent-ils du miracle ? Parce que des incendies, même dans des conditions idéales (lesquelles n’étaient pas présentes), ne peuvent pas dépasser les 1 800°F (température maximale possible pour des feux de bureau à base d’hydrocarbures – c’est comme cela que l’on nous a décrit ces feux), alors que le point de fusion et le point d’ébullition de l’acier se situent légèrement plus bas que ceux du fer qui sont respectivement de 2 800°F et 5 182°F (2 861°C).93 Donc si l’on accepte la version officielle selon laquelle la chaleur provenait exclusivement des feux du bureau, il faut bien accepter le fait que ces feux possédaient des pouvoirs extraordinaires.
Le National Institute of Standards and Technology (NIST), qui prit le relais de la FEMA pour la rédaction des rapports officiels sur le WTC, a évité de traiter ce problème en omettant tout simplement de parler de ces pièces d’acier, bien que deux d’entre elles aient été mentionnées en annexe du rapport de la FEMA. Le NIST a même affirmé qu’aucun acier récupéré au WTC7 n’avait pu être identifié du fait que, contrairement à celui utilisé dans les Tours Jumelles, "il ne contenait aucune caractéristique particulière [permettant de] l’identifier."94
Toutefois, par cette affirmation, il est clair que le NIST ne dit pas la vérité. Et pour une raison simple ; le NIST a publié un document dans lequel il fait référence à de l’acier récupéré au WTC7 – y compris la pièce dont parlent les professeurs du WPI.95 De plus, l’affirmation du NIST selon laquelle aucun acier du WTC7 n’a pu être identifié a été faite en août 2008, peu après la diffusion en juillet 2008 de l’émission de la BBC sur le WTC7, dans laquelle un de ces professeurs du WPI, Jonathan Barnett, avait parlé d’un morceau d’acier "érodé et déformé" provenant du WTC7, que lui et ses collègues avaient examiné en 2001. Ces professeurs connaissaient sa provenance, a expliqué Barnett, car ce type bien particulier d’acier avait été utilisé dans le WTC7 et pas dans les Tours Jumelles.96
Donc, bien que le NIST parle de la chute du WTC7 comme de "la première occurrence d’un effondrement total d’un gratte-ciel à cause d’incendies"97, il est prouvé qu’il avait connaissance d’une pièce d’acier récupérée [dans les débris] de ce bâtiment que seul un incendie [aux pouvoirs] miraculeux pouvait générer. De même, il est certain que le NIST avait connaissance de la pièce présentant les mêmes traces d’érosion et provenant d’une des Tours Jumelles, qui avait également été mentionnée par les professeurs du WPI dans leur article figurant en annexe du rapport de la FEMA de 2002.
Si les incendies dans le WTC7 et les Tours Jumelles avaient des pouvoirs miraculeux, on pouvait s’attendre à ce que d’autres effets extraordinaires soient découverts, et ce fut effectivement le cas.
Du métal fondu. Le groupe RJ Lee, une organisation de recherche scientifique, fut mandaté par la Deutsche Bank, qui possédait un bâtiment tout près du World Trade Center, pour prouver que la poussière qui avait contaminé ce bâtiment après le 11/9 n’était pas de la poussière ordinaire, comme l’affirmait sa compagnie d’assurance, mais provenait de la destruction du World Trade Center. Le rapport du groupe RJ Lee montra que la poussière [retrouvée] dans le bâtiment de la banque possédait la même signature chimique – unique – que celle provenant des Tours Jumelles, caractérisée entre autres par des "particules sphériques de fer"98. Et l’on trouvait une quantité énorme de ces particules : alors que les particules de fer constituent habituellement environ 0,04% de la poussière d’un bâtiment, elles représentaient 5,87% de celle du WTC.99 La présence de ces sphères, expliquait le groupe RJ Lee, prouve que du fer a été "fondu pendant les événements du WTC."100 Les scientifiques de l’Environmental Protection Authority (EPA) qui ont mené l’étude sur les poussières du WTC, avaient à un moment donné envisagé de mentionner les "particules de fer" parmi les composants ; il serait intéressant de savoir pourquoi cette idée a été abandonnée.101
En tout cas, la détection de particules de fer à la fois par l’Environmental Protection Authority et par le groupe RJ Lee constitue encore un nouveau miracle, pour la raison donnée plus haut : le point de fusion du fer est de 2 800°F mais les feux du WTC n’ont pas pu dépasser les 1 800°F.102
Du molybdène fondu. Les scientifiques de l’US Geological Survey (USGS), lors d’une étude destinée à aider à "l’identification des éléments contenus dans la poussière du WTC", ont mis à jour un effet de ces feux encore plus miraculeux. Outre la découverte de particules sphériques riches en fer, ces scientifiques ont découvert que du molybdène, dont le point de fusion est de 4 753°F (2 623°C) avait lui aussi fondu. Et malgré le fait que ces scientifiques du USGS ont omis de le mentionner lors de la publication de leur rapport,103 une autre équipe de scientifiques qui a obtenu les résultats du groupe de l’USGS via une requête FOIA (Freedom of Information Act), a apporté des preuves selon lesquelles les scientifiques de l’USGS avaient effectué une étude détaillée d’une "particule sphérique riche en molybdène."
II.8. Des feux impossibles à éteindre
S’ajoutant à la faculté de produire les effets miraculeux décrits plus haut, les incendies du WTC avaient aussi celle d’être impossible à éteindre. Le fait que les incendies aient continué de brûler dans les ruines de Ground Zero pendant plusieurs mois, malgré toutes les tentatives faites pour les éteindre, a été largement rapporté [par les médias]. Le titre d’un article du New York Times de la mi-novembre, deux mois après les attentats, parlait des "feux les plus tenaces". Un autre article du New Scientist paru en décembre s’intitulait "Les feux de Ground Zero brûlent encore."104 Ces articles indiquaient que des incendies extrêmement chauds ont continué de brûler sous la pile de débris de Ground Zero malgré les grosses averses, les millions de litres d’eau déversés sur le tas de débris, et les inhibiteurs chimiques qui y ont été injectés.105
D’après Greg Fuchek, vice-président d’une société fournissant des équipements informatiques capables d’identifier des restes humains sur le site, les conditions de travail à Ground Zero restèrent "infernales" pendant six mois, car la température du sol atteignait entre 600 et 1 500°F (soit 315 et 815°C).106
Ces feux inextinguibles restaient un mystère. En admettant que la version officielle sur la destruction du World Trade Center soit vraie, il ne se trouvait rien d’autre dans cette pile de débris que du matériel de construction [et de bureau] ordinaire, qui ne peut brûler qu’en présence d’oxygène. Mais il aurait dû y avoir très peu d’oxygène disponible dans cette montagne de débris compact, et aux endroits où il y en avait, les feux auraient dû être facilement éteints par les énormes quantités d’eau et d’inhibiteurs chimiques déversés sur la pile de débris. L’extraordinaire capacité de ces feux à continuer de brûler ne peut pas s’expliquer par la présence du carburant des avions (auquel certains semblent accorder des pouvoirs miraculeux alors que ce n’était que du kérosène), puisque celui-ci s’est entièrement consumé en quelques minutes, comme expliqué plus haut.
Une explication qui ne fait pas appel à des miracles en série nous est suggérée par la découverte d’une grande quantité de résidus de nanothermite dans les poussières du WTC, découverte qui fit l’objet d’une publication dans un journal scientifique à comité de lecture en 2009.107 Étant [un produit] à la fois incendiaire et explosif, la nanothermite est un de ces nombreux types de "nanocomposite énergétique" – décrit par un article de l’Environmentalist comme des "matériaux chimiques énergétiques, qui fournissent leur propre combustible et oxydant et ne sont pas affectés par l’eau, la poussière ou les inhibiteurs chimiques."108 La découverte de résidus de nanothermite dans la poussière fournit par conséquent une base empirique à une explication non miraculeuse de ces feux de longue durée à Ground Zero.
Selon la version officielle pourtant, les bâtiments se sont effondrés sans l’aide d’aucun produit incendiaire ou explosif. D’après le NIST, et comme nous l’avons vu plus haut, le WTC7 s’est effondré à cause de l’incendie, et cet incendie, ajoute le NIST, était "un feu de bureau ordinaire."109 Concernant les Tours Jumelles, elles ont été détruites par un effet combiné de l’impact des avions et des feux qui s’en sont suivis : le NIST a explicitement rejeté "les hypothèses alternatives suggérant que les tours du WTC s’étaient effondrées suite à une démolition contrôlée à l’explosif." 110
Par conséquent, pour tous ceux qui acceptent la version officielle, les feux impossibles à éteindre de Ground Zero fournissent une nouvelle démonstration des pouvoirs miraculeux que possédaient les incendies du World Trade Center.
II.9. Du soufre surnaturel
Dans la section 7 plus haut, j’ai parlé de ces deux pièces d’acier-gruyère qui ont été récupérées dans les décombres du World Trade Center – l’une provenant du WTC7 et l’autre des Tours Jumelles. Mais je n’ai pas encore parlé d’une caractéristique fondamentale de ces morceaux d’acier, qui est la raison principale pour laquelle le New York Times a dit d’elles que c’était la "chose la plus mystérieuse."
Il s’agit du fait que la réduction de l’épaisseur de cet acier était le résultat, selon le rapport des trois professeurs du WPI, d’une "sulfuration", bien qu’il n’y ait pas d’explication sur la provenance du soufre ou sur le mécanisme par lequel il s’est introduit dans l’acier. D’après les analyses préliminaires rapportées par les professeurs, peut-on lire dans un article du New York Times, "le soufre libéré pendant les incendies – personne ne sait d’où il vient – a pu se combiner avec les atomes d’acier pour former des composants qui ont fondu à des températures plus basses."111
Ce phénomène a été débattu de façon plus exhaustive dans l’article "Le grand mystère de l’acier fondu" (“The ‘Deep Mystery’ of Melted Steel”) paru dans le magazine du WPI, et qui attribuait les trous et la réduction de l’épaisseur [de l’acier] à une "réaction eutectique*" survenue à la surface et ayant causé une fusion intergranulaire capable de transformer une solide poutre d’acier en un véritable gruyère."112
Pour résumer leurs découvertes mentionnées dans l’annexe du rapport de la FEMA, les trois professeurs ont écrit :
- "La réduction de l’épaisseur de l’acier s’est produite sous l’effet d’un corrosion à haute température due à une combinaison d’oxydation et de sulfuration."
- "L’échauffement de l’acier dans un environnement hautement corrosif approchant les 1 000°C (1 832°F) a eu pour effet la formation d’une mixture eutectique de fer, d’oxygène et de soufre qui a fait fondre l’acier."
- "L’action de sulfuration des joints [constitués de grains] d’acier a accéléré l’érosion et la corrosion de l’acier."113
Puis, après avoir parlé de la sulfuration dans chacun des trois points ci-dessus, les professeurs ont ajouté : "L’importante corrosion et l’érosion qui s’en est suivie sur les échantillons 1 et 2 constituent un événement tout à fait inhabituel. Aucune explication claire sur l’origine du soufre n’a été trouvée. (…) Une étude détaillée des mécanismes ayant engendré ce phénomène est nécessaire."114
Pourtant, bien qu’Arden Bement, le directeur du NIST au moment où celui-ci a pris le relais de la FEMA sur le projet WTC, ait déclaré que le rapport du NIST répondrait "à toutes les recommandations importantes contenues dans le rapport [de la FEMA],"115 le NIST a [royalement] ignoré cette recommandation. De fait, comme nous l’avons vu plus haut, il n’a même pas parlé de ces pièces d’acier trouées comme du gruyère.
Aussi, lorsque plus tard on a questionné le NIST à propos de la sulfuration, l’institut a tenté de maintenir la position selon laquelle l’origine du soufre n’était absolument pas un mystère, expliquant que "le soufre est présent dans le gypse des plaques de plâtre qui se trouvaient souvent à l’intérieur des cloisons".116
Mais il y a trois problèmes avec cette explication. Premièrement, le gypse est du sulfate de calcium, et donc si tout le soufre découvert provenait du gypse des plaques de plâtre, il aurait dû y avoir une proportion équivalente de calcium. Pourtant, ce ne fut pas le cas.117
Deuxièmement, les professeurs du WPI n’ont pas seulement écrit qu’il y avait du soufre dans les débris, mais que l’acier avait été "sulfuré". Cela signifie que le soufre a pénétré dans la structure intergranulaire de l’acier (ce que l’article du New York Times a indiqué en écrivant que le soufre "s’était combiné avec les atomes de l’acier"). Comme l’explique le chimiste Kevin Ryan, la question à laquelle le NIST devrait répondre est la suivante : "Comment les sulfates provenant des plaques de plâtre ont-elles fait pour pénétrer dans la microstructure intergranulaire de l’acier et y former ainsi des sulfures ?"118 Le professeur Steven Jones a ajouté :
"Si le NIST affirme que le soufre présent dans l’acier provient du gypse, il pourrait effectuer un test simple en chauffant de l’acier à environ 1 000°C en présence de gypse et vérifier si le soufre pénètre dans l’acier…Il découvrira que dans de telles circonstances, le soufre n’entre pas dans l’acier."119
Le professeur de chimie Niels Harrit a expliqué pourquoi il n’y pénètrerait pas : bien que le gypse contienne en effet du soufre, ce n’est pas du soufre "élémentaire", celui qui pourrait réagir avec l’acier, mais du soufre sous forme de sulfate de calcium, qui lui ne peut pas.120
La version officielle de la destruction des tours du World Trade Center, implique par conséquent que l’acier sulfuré a été produit au moyen d’un double miracle : en plus du fait que les incendies, comme nous l’avons vu plus haut, n’auraient pu faire fondre l’acier que s’ils avaient possédé des pouvoirs miraculeux, le soufre de ces plaques de plâtre n’aurait pu pénétrer dans l’acier fondu que grâce à des pouvoirs surnaturels.
Encore une fois, une explication, rationnelle celle-ci, existe : il suffit de supposer que de la thermate, un incendiaire bien connu, a été utilisé. Comme l’écrit Steven Jones :
"La réaction de la thermate est très rapide, et est même généralement plus rapide que la thermite de base pour couper l’acier, à cause de la présence du soufre. (L’élément Soufre forme avec le fer une [réaction] eutectique permettant une température de fonte plus basse.)"121
Non seulement la thermate fournit une explication à la réaction eutectique, mais elle peut aussi, comme l’indique le professeur Jones, expliquer à la fois la fusion, l’oxydation et la sulfuration de l’acier : "Quand vous mettez du soufre dans la thermite, cela permet de faire fondre l’acier à une température plus basse, et au lieu de fondre à environ 1 538°C (2 800°F), il fond autour de 988°C (1 820°F), et vous obtenez les effets de sulfuration et d’oxydation sur l’acier attaqué."122
Malgré tout cela, le NIST persiste à dire qu’aucun produit incendiaire n’a été utilisé : le WTC7 a été détruit uniquement par le feu ; les Tours Jumelles par les incendies combinés aux dommages causés par l’impact des avions. Ceux qui acceptent cette version officielle sont donc bien obligés d’admettre encore l’existence d’un autre miracle.
** FIN DE LA PARTIE IV ***
Lisez la 5ème et dernière partie ici
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Notes de l’auteur (en FR) :
- Comme le savent ceux qui connaissent l’histoire de la théologie moderne, l’un de ses écrits de référence furent les discours de Friedrich Schleiemacher’s sur la "Religion et des détracteurs cultivés" (1799). Ces "détracteurs cultivés" de la religion étaient des personnes que Schleiermacher admirait et avec lesquelles il était en accord sur bien des points. Il pensait cependant qu’ils se fourvoyaient à propos de la religion, principalement du fait qu’ils n’en saisissaient ni sa vraie nature, ni l’expérience sur laquelle elle se fonde. Je m’adresse à ceux que j’appelle "les détracteurs de gauche du Mouvement pour la vérité sur le 11/9" dans le même état d’esprit.
- David Ray Griffin est l’auteur d’une trentaine d’ouvrages abordant différents sujets : la philosophie, la théologie, la philosophie des religions, la philosophie de la Science, ainsi que le 11-Septembre et l’Impérialisme US. En septembre 2009, la revue The New Statesman l’a placé en 41e position parmi les "50 personnalités qui comptent aujourd’hui". Son plus récent livre s’intitule "The Mysterious Collapse of World Trade Center 7: Why the Final Official Report about 9/11 is Unscientific and False" (2009) [en français : Le mystérieux effondrement du WTC7 : pourquoi le rapport officiel sur le 11-Septembre est non scientifique et faux]. Son prochain livre portera le titre "Cognitive Infiltration: An Obama Appointee’s Plan to Undermine the 9/11 Conspiracy Theory" (September 2010) [en français : L'infiltration cognifive : Un responsable nommé par Obama prévoit de saper les théorie du compot sur le 11/9]. Il remercie quatre scientifiques : Jim Hoffman, Frank Legge, Kevin Ryan, et John Wyndham – et trois autres formidables critiques – Matthew Everett, Tod Fletcher, etElizabeth Woodworth – pour leur aide à l’écriture de cet ouvrage.
[...]
- Jonathan Barnett, Ronald R. Biederman, et Richard D. Sisson, Jr., “An Initial Microstructural Analysis of A36 Steel from WTC Building 7,” JOM 53/12 (2001), 18 (http://www.tms.org/pubs/journals/JOM/0112/Biederman/Biederman-0112.html).
- Jonathan Barnett, Ronald R. Biederman, and R. D. Sisson, Jr., “Limited Metallurgical Examination,” Appendice C de la World Trade Center Building Performance Study, FEMA, 2002 (http://www.fema.gov/pdf/library/fema403_apc.pdf).
- James Glanz et Eric Lipton, “A Search for Clues in Towers’ Collapse,” New York Times, 2 février 2002 (http://query.nytimes.com/gst/fullpage.html?res=9C04E0DE153DF931A35751C0A9649C8B63).
- Joan Killough-Miller, “The ‘Deep Mystery’ of Melted Steel,” WPI Transformations, printemps 2002 (http://www.wpi.edu/News/Transformations/2002Spring/steel.html).
- James Glanz, “Engineers Suspect Diesel Fuel in Collapse of 7 World Trade Center,” New York Times, 29 novembre 2001 (http://www.nytimes.com/2001/11/29/nyregion/29TOWE.html). J’ai cité la phrase que Glantz a reprise de la déclaration de Barnett.
- Voir Kenneth Change, “Scarred Steel Holds Clues, And Remedies,” New York Times, 2 octobre 2001 (http://query.nytimes.com/gst/fullpage.html?res=9B05E6DC123DF931A35753C1A9679C8B63).
- WebElements: The Periodic Table on the Web: Iron (http://www.webelements.com/iron/physics.html).
- “Questions and Answers about the NIST WTC 7 Investigation,” 21 août 2008 (http://911research.wtc7.net/mirrors/nist/wtc_qa_082108.html). Cette phrase a été reprise dans la version de ce document mis à jour le 21 avril 2009 (http://911research.wtc7.net/mirrors/nist/wtc_qa_042109.html). Merci à Jim Hoffman pour avoir pris soin de conserver ces documents sur son site Internet après que le NIST les eut retirés du sien.
- Voir NIST NCSTAR 1-3C, "Damage and Failure Modes of Structural Steel Components", septembre (http://wtc.nist.gov/NCSTAR1/PDF/NCSTAR%201-3C%20Damage%20and%20Failure%20Modes.pdf), dans lequel les auteurs, Stephen W. Banovic et Timothy Foecke, se réfèrent à “the analysis of the steel from WTC 7 (Echantillon "Sample" #1 dans l’appendice C, BPAT/FEMA study) où les phases de corrosion et les analyses morpholpgiques ont permis de déterminser une fourchette de températures ayant pu être atteintes” (233).
- "The Conspiracy Files: 9/11 – The Third Tower," BBC, 6 juillet 2008 (disponible à http://video.google.com/videoplay?docid=9072062020229593250# et http://www.911blogger.com/node/16541); la phrase de Barnett se situe à 48:00. Je suis reconnaissant à Chris Sarns pour cette découverte, ainsi que celle mentionnée dans la note précédente. A un moment donné pensant cette interview, Barnett lance l’hypothèse que l’acier a "cuit" dans l’incendie sévissant en sous-sol. Cette explication fut cependant décevante à souhait, et ce, pour trois raisons : D’abord les effets évoqués par Barnett ne pouvaient avoir été causés que par quelque chose produisant des températures bien supérieures que celles atteintes dans un feu normal d’hydrocarbures – comme des incendies de fuel -, quelque chose comme de la nanothermite par exemple, ou d’autres nanocomposites énergétiques, comme je l’explique dans le paragraphe II.8. La deuxième et la troisième raison relèvent aussi des faits évoqués dans ce même paragraphe : des feux normaux d’hydrocarbures n’auraient pas pu brûler pendant tout ce temps sans oxygène; et ils auraient été éteints par toute l’eau et les produits chimiques déversés sur le tas de débris.
- “NIST WTC 7 Investigation Finds Building Fires Caused Collapse.”
- RJ Lee Group, “WTC Dust Signature,” Expert Report, mai 2004 (http://www.nyenvirolaw.org/WTC/130%20Liberty%20Street/Mike%20Davis%20LMDC%20130%20Liberty%20Documents/Signature%20of%20WTC%20dust/WTCDustSignature_ExpertReport.051304.1646.mp.pdf) : 11.
- RJ Lee Group, “WTC Dust Signature Study: Composition and Morphology,” décembre 2003 (http://www.nyenvirolaw.org/WTC/130%20Liberty%20Street/Mike%20Davis%20LMDC%20130%20Liberty%20Documents/Signature%20of%20WTC%20dust/WTC%20Dust%20Signature.Composition%20and%20Morphology.Final.pdf): 24.
- Ibid., 17.
- Voir “Comments on WTC Signature Study and Peer Review from Greg Meeker, Paul Lioy and Mort Lippmann, November 3, 2005” (http://www.epa.gov/wtc/panel/pdfs/SubGroupComments_110305.pdf). Je remercie Kevin Ryan pour cette information.
- WebElements: The Periodic Table on the Web: Iron (http://www.webelements.com/iron/physics.html).
- Heather A. Lowers et Gregory P. Meeker, U.S. Geological Survey, U.S. Department of the Interior, “Particle Atlas of World Trade Center Dust,” 2005 (http://pubs.usgs.gov/of/2005/1165/508OF05-1165.html).
- Steven E. Jones et al., "Extremely High Temperatures during the World Trade Center Destruction," Journal of 9/11 Studies, janvier 2008 (http://journalof911studies.com/articles/WTCHighTemp2.pdf): 4.
- Eric Lipton et Andrew C. Revkin, “The Firefighters: With Water and Sweat, Fighting the Most Stubborn Fire,” New York Times, 19 novembre 2001 (http://www.nytimes.com/2001/11/19/nyregion/19FIRE.html); Jonathan Beard, “Ground Zero’s Fires Still Burning,” New Scientist, 3 décembre 2001 (http://www.newscientist.com/article.ns?id=dn1634).
- Trudy Walsh, “Handheld APP Eased Recovery Tasks,” Government Computer News, 21/27a: 11 septembre 2002 (http://911research.wtc7.net/cache/wtc/evidence/gcn_handheldapp.html).
- Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, et al., “Active Thermitic Material Observed in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe,” The Open Chemical Physics Journal, 2009, 2: 7-31 (http://www.bentham.org/open/tocpj/openaccess2.htm). [Note du 24 février 2011 : le document a disparu sans explications du site Web Bentham.org. Nous avons sauvegardé le fichier PDF ici]
- Kevin R. Ryan, James R. Gourley, and Steven E. Jones, “Environmental Anomalies at the World Trade Center: Evidence for Energetic Materials,” The Environmentalist, 29 (2009): 56-63, à 58, 56.
- NCSTAR 1-9, Vol. 1: 330.
- NIST, “Answers to Frequently Asked Questions,” Question 2.
- Glanz and Lipton, “A Search for Clues in Towers’ Collapse.”
- Killough-Miller, “The ‘Deep Mystery’ of Melted Steel.”
- Barnett, Biederman, and Sisson, “Limited Metallurgical Examination.”
- Ibid., C-13.
- Dr. Arden L. Bement, Jr., témoignage devant le House Science Committee Hearing sur “The Investigation of the World Trade Center Collapse,” 1er mai 2002 (http://911research.wtc7.net/cache/wtc/official/nist/bement.htm). Dans la phrase citée, le nom "FEMA” remplace “BPAT,” qui est une abréviation de “Building Performance Assessment Team,”le nom de l’équipe de l’ASCE qui a préparé le rapport pour la FEMA.
- “Answers to Frequently Asked Questions,” NIST, Question 12.
- Jones et al., "Extremely High Temperatures during the World Trade Center Destruction,” 3.
- Email de Kevin Ryan, 16 octobre 2008.
- Email de Steven Jones, 17 octobre 2008.
- Communication personnelle avec Niels Harrit, entre le 8 mai 2009 et le 25 juin 2010.
- Steven E. Jones, “Revisiting 9/11/2001: Applying the Scientific Method,” Journal of 9/11 Studies, Vol. 11: mai 2007 (http://www.journalof911studies.com/volume/200704/JonesWTC911SciMethod.pdf), 81.
- Ibid., 75.
Traduction GV pour ReOpenNews
(*) : Eutectique : Terme de métallurgie (adjectif et substantif masculin). Dont la température de changement d’état, fusion ou solidification, constante, est plus basse que celle de tout autre mélange des mêmes corps en d’autres proportions. (Source : http://www.cnrtl.fr/definition/eutectique)
En lien avec cet article :
- Visitez le site du Collectif Scientifique Francophone pour la vérité sur le 11-Septembre (csf911.org)
- Les Points essentiels du 11-Septembre sur notre site Web
Ainsi que nos articles en ReOpenNews :
- La réponse des médias à l’influence grandissante du Mouvement pour la vérité sur le 11/9 | Elizabeth Woodworth, sur GlobalResearch.ca, 15 février 2010
- Noam Chomsky : Aucune preuve qu’al-Qaïda a perpétré les attentats du 11-Septembre | Interview de la TV iranienne PressTV le 3 novembre 2010
- World Trade Center et nanothermite | Interview du chimiste Mark Basile + article de Kevin Ryna paru dans 911review.com, le 2 juillet 2008
- Les appels téléphoniques dans les avions revus et corrigés par D. R. Ray Griffin (1/2) et (2/2) | Réponse du Professeur David Ray Griffin à l’interview de My Fith Estate, Global Research, le 12 janvier 2010
Livres :
Le Nouveau Pearl Harbor | Omissions & manipulations de la Commission d’enquête | 11-Septembre, la faillite des médias |
Voir aussi :
La conférence de David ray Griffin : "11/9 : Le mythe et la réalité"
11/9, Le Mythe et la Réalité (11 septembre 2001)
envoyé par ReOpen911. – Regardez les dernières vidéos d’actu.
Pour être invité à la télévision francaise, un scientifique
dispose en gros de deux methodes:
1) Faire une decouverte scientiifique majeure
2) La methode Jerome Quirant: dire que ces feux
n’ont pas pu être éteints pendant 3 mois par ce que les pompiers
deversaient de l’eau froide sur Ground Zero.
En ce qui me concerne, j’essaie peniblement 1) depuis 20 ans.
Mais j’avoue que 2): il fallait y penser ! Chapeau Mr Quirant !
Il est intéressant de noter ici que deux études indépendantes de celles de Steve Jones ont rapportées elles aussi avoir trouvées des sphères de fer dans la poussière du WTC. le groupe de scientifiques RJ Lee et l’Environmental Protection Authority (EPA).
les faits sont tétus ! Voir les temoignages des pompiers, des sauveteurs, de ceux qui étaient dans les tours . Les photos de ces pilers centraux coupés en biseaux comme du beurre avec des larmes de fusion , les explosions enregistrées en sous sol AVANT l’impact des avions , les 86 cameras du PENTAGONE dont les films ont été immédiatement confisqués , le comportement lethargique de la NORAD ….
La liste des incohérences et des mensonges sont infinies…Mais tout ce cirque funeste s’incrit dans le Project for the New American Century .L’Amerique est prete à tout pour s’emparer des reserves du petrole mondial
…Il lui fallait pretexter un ennemi « terroriste » invisible ad vitam eternam pour justifier son va t’en guerre , instaurer des lois liberticides , modifier la constitution ( Possé Comitatus )pour entrer dans un système faciste liberal .
http://fr.wikipedia.org/wiki/Project_for_the_New_American_Century
http://fr.wikipedia.org/wiki/Posse_Comitatus_Act
certes les faits sont suffisants pour une nouvelle enquête, si ce n’est les « Les photos de ces pilers centraux coupés en biseaux comme du beurre avec des larmes de fusion » Catherine. Ceux-ci peuvent très bien avoir été coupés lors du nettoyage du site comme le prouvent d’autres photos montrant ces ouvriers aux travail.
c’est vrai que c’est possible, Arnid.
Mais dans ce cas, pourquoi les couper en biseau, et doubler le travail?
Je suppose que quand on coupe un fer en H vertical, on ne le fait pas glisser, au risque qu’il vous écrase, ni basculer comme un arbre. Mais on le soutient par une grue, et dans ce cas la coupe perpendiculaire est la plus simple et la plus rapide.
Certains fers sont coupés perpendiculairement et d’autres en biseau. Les premiers peuvent correspondre à un travail de récupération, mais les derniers sont très suspects.
Arnid, observez les morceaux tombés à coté de ces coupes que Catherine mentionne il est visible qu’ils sont tels qu’ils sont tombés et l’un même à droite de la photo (je l’ai cette photo sous les yeux collée sur mon mur depuis 3ans ) est enfoncé dans les gravats, lesquels fument encore, et vraiment le capharnaüm, ce fouillis de câbles également demi enfoui dans les gravats alentour, n’est pas celui d\’un chantier de découpe, qui demande un minimum de dégagement pour travailler dans une relative sécurité. Donc les autres photos sont ultérieures et n’apportent rien au débat
Et si des contradicteurs vous opposent ce genre d\’arguments faites leur observer ce que je viens d’expliquer qui est bien visible.
De toutes façons il y en a toujours qui le nez sur des documents très clairs chercherons à se raccrocher à des choses qui les rassurent comme cet appel a des découpes ultérieures, Ils préfèrent croire au miracles en somme
Et comme dirait Galilée » Et pourtant elles sont tombées » et 3 le même jour en plus, pour faire bonne mesure !
Je ne sais pas. Cette histoire de coupe en biseau ne me convainc pas, ce n’est pas sur ces photos que j’avancerais la thèse d’une démolition contrôlée. Je serais plus prudent. Après tout qui connait la manière dont ces ouvriers travaillent ? Ont-ils témoignés avoir trouvés ces poutres d’aciers pré-coupées ? Eux seuls peuvent faire le point sur ces questions quand à nous, nous ne pouvons que spéculer ce qui est très frustrant.
En résumé je ne me prononce pas sur ces photos et ne pense pas forcément que ces photos constituent un bon argument puisque les coupes de nettoyage ainsi que les coupes criminelles devaient être présents sur ground zero. Ce mélange d’éléments résulte en une confusion qui peut être facilement balayée par les debunkers. Enfin cette video prouve que les ouvriers procédaient bien en coupe de biseau ! (coupez la musique)
http://www.youtube.com/watch?v=ySHgiUxnLC0&feature=player_embedded
Le paradoxe est que je crois bien en une démolition contrôlée mais je ne m’appuierais pas ces éléments pour l’étayer.
Il est tres probable que
les explosifs (nanothermite ou autre)
ont ete declenches a distance par radio telecommande
et pilotés par ordinateur.
La question est de savoir ou se trouvaient ce centre de telecommande
et l’ordinateur???
Je crois que le Bunker de Giuliani a ete evacue juste
apres que le deuxieme avion ait percute la tour.
Quelqu’un a t il une idee?
Après que l’évacuation du wtc7 2 officiers (pompiers je crois) sont montés dans les bureaux de Giuliani et n’y ont trouvés personne jusqu’au moment où un homme a ouvert une porte à côté et leur a dit d’évacuer à leur tour. Ce qu’ils ont fait juste avant que Barry Jenning arrive.
Si le wtc7 était un des bâtiments à détruire, je ne pense pas qu’ils aient déclenchés la destruction des tours 1 et 2 depuis le wtc7. Car alors d’où ont-ils déclenchés la destruction du wtc7 ?
Peut-être de l’avionblanc qui tournait autour du world trade center. Cet avion a été vu au dessus du pentagone et de la maison blanche également.
Arnid Bon , admettons pour la rhétorique que certaines coupes aient été faites après démolitions lors du déblaiement ce qui peut d’ailleurs se concevoir puisque il est compréhensible que à la fin d’une démolition contrôlée par explosifs et charges de coupe des dispositifs de mise à feu tout à la base des immeubles endommagés par la chute ses éléments et gravats du haut ne se déclenchent pas.
Ainsi il faudrait finir le travail lors du déblaiement.
Et le fait que sur un tel site existent des coupes post-événement n’empêche pas que les coupes de la démolition volontaire soient là aussi.
La similarité des coupes que souligne les debunkers ne prouve rien non plus puisque : à la vue rien ne ressemble plus à des gouttes de fer fondu que d’autre gouttes de fer fondu. (à l’analyse chimique par contre cela peut être différent si c’est au chalumeau ou avec de la thermite )
De plus ces vidéos de debunkers comme les autre que l’on peut voir sur le lien en question sont coutumières et même emblématique de ce genre de procédé qui consiste à mettre une alouette de vrai pour un demi cheval de contre vérités scientifiques et un autre demi cheval de titres en gros caractères laissés de plus longtemps possible à l’image pour un effet « enfoncez vous bien cela dans la tête ».
Un indice seul ne peut évidemment suffire à former son opinion mais la conjonction de tout les autres forme un faisceau .
« Et pourtant elles sont tombées » ces tours, en poussières de béton et en tronçons de poutres déjà coupées (et projetés parfois très loin,malgré leur poids ) et cette chute s’est produite dans un temps incompatible avec les lois de la cinétique dans un schéma gravitationnel, modèle adopté par les pro-théorie officielle.
Cela ne s’était jamais produit de cette façon, ni, avant ni depuis, et de plus sur 3 bâtiments le même jour.
Ces partisans de la « conspiracy theory officielle » sont finalement comme les pontifes de l’église romaine qui au moment des débats de la Renaissance voulait continuer de faire « croire » que le soleil tournait autour de la terre.
Or on sait qui à la fin a gagné !
Merci Arnid,
effectivement l’hypothese que
la mise a feu des explosifs ait ete declenchee par un
avion (ou meme helicoptere) situe a proximite immediate
des tours est la plus plausible. Sinon, il y aurait trop de risques
de rates.