World Trade Center et nanothermite

Nous vous proposons de regarder l’interview d’un chimiste américain, Mark Basile, qui vient d’analyser en toute indépendance un échantillon de la poussière du World Trade Center (WTC). Ses découvertes corroborent celles du Professeur américain Steven Jones qui y avait trouvé des particules de nanothermite, un matériau hautement énergétique à usage militaire et pyrotechnique. Résultat confirmé par l’étude du chimiste danois Niels Harrit publiée dans la revue scientifique Bentham en avril 2009.

Kevin Ryan, quant à lui, poursuit ses recherches sur la façon dont le WTC a été démoli le 11-Septembre. Tout porte à croire que les avions et les incendies ont juste fait office de diversion, tandis que la nanothermite et vraisemblablement d’autres explosifs étaient mis en oeuvre pour faire "tomber" les tours. C’est ce que K. Ryan tend à démontrer dans l’article suivant paru en 2008.

Steven E. Jones, Niels Harrit, Kevin Ryan, Richard Gage, D. R. Griffin et maintenant Mark Basile : tous s’accordent sur la présence de nanothermite dans la poussière du WTC.

 

 

Nanothermite après ignition

(Les photos de la nanothermite avant, pendant et après ignition, intégrées dans l’article par ReOpen911 , proviennent du site flickr.com)


Avant de lire l’article de Kevin Ryan, voici l’interview de Mark Basile, chimiste et chercheur indépendant sur les événements du 11/9, qui témoigne de sa récente découverte après son analyse de la poussière du WTC.

 


Le chimiste Mark Basile confirme la nanothermite au WTC
envoyé par ReOpen911. – Les derniers tests hi-tech en vidéo.

 


 

Les dix principaux liens entre le NIST et la nanothermite

KEVIN R. RYAN

911review.com, le 2 juillet 2008

Intégration des photos par ReOpenNews


"Concernant les explosifs, est-ce l’acier qui a été testé ou les résidus de thermite ?… Le NIST n’a pas testé les résidus de ces composés dans l’acier." – Le NIST répond aux FAQs, août 2006
 

Le National Institute of Standards and Technology (NIST) a eu beaucoup de difficultés à déterminer une séquence d’événements politiquement correcte à propos de la destruction sans précédent des trois bâtiments du World Trade Center (WTC) le 11-Septembre  (Douglas 2006, Ryan 2006, Gourley 2007). Mais, malgré plusieurs changements de versions, le NIST n’a jamais tenu compte des explosifs ou des matériaux pyrotechniques dans aucune de ses hypothèses.

Cette omission entre en contradiction avec plusieurs autres faits marquants : d’abord, l’exigence de la norme nationale pour les enquêtes sur les incendies (NFPA 921), qui fait appel à des tests liés à la thermite et autres articles pyrotechniques, ensuite la grande expérience chez les enquêteurs du NIST en matière d’explosifs et de thermite.

Un des aspects les plus étranges de l’attitude de diversion du NIST a été son manque total d’intérêt dans ses explications pour les caractéristiques explosives ou pyrotechniques .

Coulée de métal en fusion au WTC le 9/11

En dépit de la preuve substantielle de l’utilisation d’explosifs au WTC (Jones, 2006, Legge et Szamboti 2007), et la vaste expertise en matière d’explosifs des chercheurs du NIST (Ryan 2007), les explosifs n’ont jamais été pris en compte dans l’enquête du NIST sur le WTC. Ce n’est qu’après de nombreuses critiques sur cet état de fait que le NIST a daigné ajouter un avertissement dans son rapport final sur les tours, suggérant qu’ils n’avaient trouvé aucune preuve de la présence d’explosifs.

Les éléments importants prouvant que des explosifs ont été utilisés au WTC comprennent des témoignages (MacQueen 2006), des preuves matérielles écrasantes (Griffin 2005, Hoffman et al 2005, Jones et Legge et al 2008) et le simple bon sens (Legge, 2007). Il y a aussi des preuves essentielles selon lesquelles des matériaux aluminothermiques (thermite) se trouvaient au WTC (Jones 2007). La présence de ces matériaux peut expliquer l’existence d’un incendie intense là où il n’aurait pu se déclarer autrement. De plus, en dépit de l’accord de toutes les parties sur le fait que la quantité de kérosène disponible ne permettait pas aux incendies, où qu’ils soient dans les bâtiments du WTC,  de durer plus de vingt minutes   (NIST 2007), les incendies ont duré beaucoup plus longtemps et ont produit des températures extrêmes (Jones et Farrer et al 2008).

Ces incendies inexplicables rappellent que les bâtiments du WTC ont non seulement été démolis, mais qu’ils l’ont été de façon trompeuse. Autrement dit, les bâtiments ont été effondrés de manière à faire croire que cela était dû à l’impact des avions, et que les incendies en résultant avaient causé leur destruction symétrique sans précédent. Par conséquent, des charges creuses et autres dispositifs typiques d’explosifs ont probablement  été utilisés, mais il y avait plus que cela. Ceux qui ont commis ces crimes avaient besoin de créer des incendies, là où ils n’auraient pu autrement se produire, pour attirer l’attention vers la partie des bâtiments où les avions avaient frappé (ou loin du bâtiment, comme pour le WTC7).

Ceci fut probablement réalisé grâce à l’utilisation de la nanothermite, un matériau énergétique high-tech constitué d’un mélange ultra-fin de poudre d’aluminium (Ultra Fine Grain, ou UFG) et d’oxydes de métal UFG, généralement de l’oxyde de fer, de l’oxyde de molybdène ou de l’oxyde de cuivre, bien que d’autres composants puissent être utilisés (Prakash 2005, Rai 2005). Une solution liquide est ajoutée au mélange de ces réactifs, formant ce qu’on appelle des «sols»; puis on ajoute un agent gélifiant qui capture ces minuscules combinaisons réactives dans le mélange (LLNL 2000). Le "sol-gel" qui en résulte est ensuite séché pour former un matériau poreux réactif qui peut être enflammé de plusieurs façons.

La surface importante des réactifs dans les sols-gels énergétiques permet des taux beaucoup plus élevés de libération d’énergie que ce que l’on peut constater avec des "macro" mélanges de thermite,  ce qui fait de la  nanothermite un "explosif puissant" tout comme un matériau pyrotechnique (Tillotson et al 1999).  La nanothermite sol-gel est généralement appelée Nanocomposite énergétique, Composite Intermoléculaire Métastable  (MICs) ou Superthermite (COEM 2004, Fils et al 2007); la silice est souvent utilisée pour créer le cadre structurel poreux (Clapsaddle et al 2004, Zhao et al 2004). La nanothermite a également été faite  avec du  RDX (et al Pivkina 2004) et des élastomères thermoplastiques (Diaz et al 2003). Mais, il est important de se rappeler que, malgré son nom,  la nanothermite contient beaucoup plus d’énergie que la thermite typique.

Il s’avère que la nanothermite sol-gel explosive a été développée par les scientifiques du gouvernement des États-Unis, au Lawrence Livermore National Laboratories (LLNL) (Tillotson et al 1998, Gash et al 2000, Gash et al 2002). Ces scientifiques du LLNL ont indiqué que :

"Le processus sol-gel se prête très bien à l’enrobage par immersion, l’enduction centrifuge (spin-coating) et les techniques de pulvérisation de revêtement pour couvrir des surfaces. Nous avons utilisé cette propriété pour enrober par immersion différents substrats pour  les revêtements Viton sol-gel Fe, O, / Al. Le revêtement énergétique sèche pour donner un beau film adhérent. Des expériences préliminaires indiquent que les films du matériau hybride s’auto-propagent lorsqu’ils sont enflammés par un stimulus thermique "(Gash et al 2002).

L’étonnante corrélation entre les étages de l’impact et les étages de l’apparente défaillance suggère que de la nanothermite pulvérisée aurait pu avoir été appliquée sur les composants en acier des bâtiments du WTC, sous l’ignifugation (Ryan 2008). Cela aurait pu être fait de telle sorte que très peu de gens aient su ce qui se passait. L’ingénieur-conseil de l’Administration portuaire Buro Happold, qui s’occupait de l’évaluation de la protection ignifuge, a suggéré l’utilisation de "matériaux de substitution" (NIST, 2005). Ces matériaux de remplacement auraient pu recevoir une pulvérisation de nanothermite remplaçant la peinture intumescente ou une couche ignifugée de base comme Interchar (NASA 2006). Il semble tout à fait possible que ce type de substitution ait pu être opéré sans que personne ou presque ne s’en aperçoive.

Quelle que soit la façon dont la thermite a été appliquée dans le WTC, il est étrange que le NIST ait été si hermétique à une telle éventualité. En fait, lors de la lecture des rapports du NIST sur le WTC, et au vu de ses réponses périodiques aux FAQs (Frequently Asked Questions) du public, on pourrait penser que personne dans l’organisme du NIST n’avait jamais entendu parler de nanothermite auparavant. Mais, à la vérité, bon nombre de scientifiques et d’organismes impliqués dans l’enquête sur le WTC du NIST étaient non seulement au courant de l’existence de la nanothermite, mais ils avaient effectivement des liens importants, et dans certains cas des liens d’expertise, précisément avec cette technologie-là.

Voici les dix raisons principales pour lesquelles la nanothermite et les revêtements de nanothermite auraient dû rapidement  venir à l’esprit des enquêteurs du NIST dans le cas du WTC.

1. Le NIST travaillait avec les laboratoires LLNL pour tester et caractériser cette nanothermite sol-gel, dès 1999 au moins (Tillotson et al 1999).

 

 

2. Forman Williams, l’ingénieur en chef du comité consultatif du NIST, expert en génie des plus en vue de Popular Mechanics, est expert en déflagration des matériaux énergétiques et en "ignition des matériaux énergétiques poreux" (Margolis et Williams, 1996, Telengator et al 1998, Margolis et Williams, 1999). La nanothermite est un matériau énergétique poreux. En outre, le partenaire de recherche de Williams, Stephen Margolis, a présenté des conférences ayant pour thème les nano-énergétiques (Gordon, 1999). Certains autres collègues de Williams de l’université de Californie à San Diego, comme David J. Benson, sont également experts en nanothermite (Choi et al 2005, la Jordanie et al 2007).

 3.  La Science Applications International Corporation (SAIC) est l’entrepreneur pour le département de la Défense et de la Sécurité intérieure qui a fourni le plus gros contingent de chercheurs non gouvernementaux à l’enquête du NIST sur le WTC. La SAIC a de nombreux liens avec la nanothermite; elle développe et évalue des propositions de recherche sur la nanothermite pour l’armée et d’autres entrepreneurs militaires, développe et formule directement la nanothermite  (l’Armée de terre 2008, DOD 2007). L’Applied Ordnance Technology, filiale de la SAIC, a fait des recherches sur l’ignition des nanothermites avec des lasers (Howard et al 2005).

Par une étonnante coïncidence, la SAIC est l’entreprise qui a enquêté sur l’attentat du World Trade Center en 1993, se vantant que : "Après l’attentat de 1993 du World Trade Center, nos analyses sur l’explosion ont donné des résultats tangibles permettant d’identifier les responsables (SAIC 2004)." Les coïncidences impliquant cette société ne s’arrêtent pas là : la SAIC avait également été chargée en 1986 d’évaluer les risques d’acte terroriste au WTC (CRHC 2008). La SAIC était également liée à l’amélioration de la sécurité du WTC à la fin des années 1990, à l’administration Rudy Giuliani et aux attaques à l’anthrax après le 11/9,  à travers ses employés Jérôme Hauer et Steven Hatfill.

4. Arden Bement, le métallurgiste et expert des carburants et matériaux qui fut nommé directeur du NIST par le président George W. Bush en octobre 2001, était ancien secrétaire adjoint à la défense, ancien directeur du bureau de la DARPA de la science des matériaux, et ancien dirigeant de TRW.

Bien sûr, le département de la Défense et le DARPA sont tous deux leaders dans la production et l’utilisation de la nanothermite (Amptiac 2002, DOD 2005). L’entrepreneur militaire et aérospatial TRW a longtemps collaboré avec les laboratoires de la NASA dans le développement de matériaux énergétiques qui sont des composants de combustibles avancés, comme le matériau explosif nano-gélifié (NASA, 2001). TRW Aeronautics a également fait des composites ignifuges et des formules élastomères de haute performance et a travaillé avec la NASA pour fabriquer des aérogels énergétiques.

En outre, Bement fut professeur à Purdue et au Massachussetts Institute of Technology (MIT). Purdue poursuit activement un programme sur la nanothermite (Fils 2008). Fait intéressant, à l’Institut de Nanotechnologie Militaire du MIT, on trouve Martin Z. Bazant, le fils du remarquable "déboulonneur du complot"  Zdenek P. Bazant (MIT 2008), qui conduit des recherches sur les flots granulaires et les interactions électrochimiques du silicium. Zdenek P. Bazant s’intéresse aussi aux nanocomposites (Northwestern 2008), et à leurs liens avec la guerre navale (ONR 2008). Le MIT a été représenté lors de conférences sur les nano-énergies dès 1998 (Gordon, 1998)

Bement a également été administrateur de Battelle et de Lord Corporation. Battelle (où l’anthrax  a été fabriqué) est un organisme d’"experts dans les technologies fondamentales des National Laboratories que nous gérons ou cogérons pour l’US-DOE." Battelle annonce sa spécialisation dans les revêtements nanocomposites (Battelle, 2008). La Lord Corporation fabrique aussi des revêtements de haute technologie pour des applications militaires (Lord 2008). En 1999, Lord Corp a travaillé avec l’armée et la NASA sur les "composites polymères de pointe, des métaux novateurs et des matériaux multifonctionnels" (Army, 1999).

5. Hratch Semerjian, directeur de la division chimique du NIST sur une longue période, a été promu directeur par intérim au NIST en novembre 2004, et a repris l’enquête sur le WTC jusqu’à l’achèvement du rapport sur les tours. Semerjian est étroitement lié à l’ancien employé du NIST, Michael Zachariah, peut-être l’expert le plus éminent au monde sur la nanothermite (Zachariah, 2008). En fait, Semerjian et Zachariah ont coécrit dix articles qui mettent l’accent sur les nanoparticules de silice, de céramique et des particules réfractaires. Zachariah fut un acteur majeur de l’"Initiative de recherche de l’université de la défense sur la nanotechnologie" (DURINT), une recherche innovante sur la nanothermite.

 

 6. Le NIST a un long partenariat avec la NASA pour le développement de nouvelles nanothermites et autres matériaux nanotechnologiques. En fait, Michael Zachariah coordonne ce partenariat (CNMM 2008).

 

 

 

  7. En 2003, deux ans avant le rapport du NIST sur le WTC ne soit délivré, l’université du Maryland College Park (UMCP) et le NIST ont signé un protocole d’accord pour l’élaboration de nanotechnologies comme la nanothermite (NIST, 2003). Ensemble, le NIST et l’UMCP ont beaucoup travaillé sur la nanothermite (NM2 2008).

 

 

8. Le NIST a son propre Centre de Nanoscale Science and Technology (CNST 2008). De plus, le Reactive Flows Group du NIST a fait des recherches sur les matériaux nanostructurés et sur les réactions à haute température au milieu des années 90 (NRFG 1996).

 

 

 

9. Richard Gann, qui a effectué la révision finale du rapport du NIST sur le WTC, a dirigé un projet nommé "Next Generation Fire Suppression Technology Program", avant et après le 11/9. Andrzej Miziolek, un autre des plus grands experts au monde sur la nanothermite (Amptiac 2002), est l’auteur de "Defense Applications of Nanomaterials", et a également travaillé sur le projet d’extinction d’incendies de Richard Gann (Gann 2002). Le projet de Gann a été parrainé par le DOD’s Strategic Environnementale Research and Development (SERDP), un organisme qui a parrainé un certain nombre de projets sur la nanothermite de LLNL (Simpson 2002, Gash et al 2003).

 

 10. Dans le cadre du Federal Laboratory Consortium for  Technology Transfert, le NIST est  entré en partenariat avec le Naval Surface Warfare Center à Indian Head (NSWC-IH) sur la  Chemical Science and technology (chimie des sciences et technologie) (FLCTT 2008). NSWC-IH est probablement le plus important centre des Etats-Unis pour la technologie de la nanothermite (NSWC 2008). En 1999, Jan Puszynski, un scientifique travaillant pour le programme DURINT, a aidé NSWC-IH à concevoir une usine-pilote de production d’aluminium en poudre de taille nanométrique. Il a été signalé qu’ « à cette époque, c’était [la] seule source fiable de nanopoudres d’aluminium aux États-Unis » (SDSMT 2001). Toutefois, les entreprises privées comme Argonide et Technanogy étaient également connues pour avoir les mêmes compétences.

Parmi un groupe intéressant d’entrepreneurs qu’avait embauché NSWC-IH en 1999 se trouvaient la SAIC, Applied Ordnance, Battelle, Booz Allen Hamilton, ManTech, Titan, Pacific Scientific Energetic (voir ci-dessous), et R Stresau Laboratories pour des "matériaux de démolition" (NSWC 2000) .

Une coïncidence tragique a vu William Caswell, un employé de NSWC-IH, décéder dans l’avion qui aurait frappé le Pentagone (le Vol 77). Il avait travaillé pendant de nombreuses années sur des projets "profondément obscurs" à NSWC-IH (Leaf 2007).

La présence de Pacific Scientific Energetics (PSE) dans cette liste de sous-traitants du NSWC-IH en 1999 est intéressante car PSE était la société mère de Special Device, Inc (SDI). SDI est spécialisée dans les explosifs pour la Défense, l’Aérospatiale et les applications minières; elle a été acquise en 1998 par John Lehman, le commissaire du 11/9, membre du Projet pour un Nouveau Siècle Américain (PNAC), et ancien ministre de la Marine (SDI 2008). Lehman s’en est défait en 2001.

 

Burningcarsamigos1.jpg Burning cars - Church andDey Street image by DoYouEverWonder
Le 11/9, des voitures s’embrasent, mais pas le papier

 

Cela dit, il convient de rappeler que si la nanothermite a très probablement été utilisée dans la démolition trompeuse des bâtiments du WTC, elle l’a certainement été pour une partie seulement du plan. D’autres explosifs de haute technologie étaient à disposition de ceux qui avaient accès à la  nanothermite à l’époque. Comme SDI, plusieurs autres organisations en lien avec l’armée, l’Aérospatiale et les programmes de renseignement (par exemple, In-Q-Tel, Orbital Science) ont accès à de nombreux types d’explosifs de haute technologie pour sectionner les boulons à haute résistance et produire des événements pyrotechniques (Goldstein 2006). Ces organismes ont aussi des liens avec ceux qui pourraient avoir eu accès aux bâtiments, comme les locataires du WTC Marsh & McLennan et  l’ancien administrateur de la NASA et directeur Securacom, James Abrahamson.

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  Une poutre d’acier recourbée trouvée à Ground Zero

 
Dans tous les cas, il est important pour ceux qui cherchent la vérité sur le 11/9 d’examiner quelles organisations et quelles personnes avaient accès à des technologies utilisées pour réaliser la démolition trompeuse des bâtiments du WTC. Il est également important d’identifier les liens entre ceux qui avaient accès aux technologies, ceux qui avaient accès aux bâtiments, et ceux qui ont produit les rapports officiels manifestement erronés.

Pour cel, il convient de noter que le NIST avait des liens considérables avec la nanothermite, à la fois avant et pendant l’enquête sur le World Trade Center. Il est donc incompréhensible que le NIST n’ait pas pris en compte ces matériaux comme une possible explication des incendies qui ont sévi le 11/9 et longtemps après, à Ground Zero. Ce fait ne serait pas inexplicable, bien sûr, si ceux qui étaient en charge de l’enquête du NIST savaient qu’il ne fallait pas rechercher ou tester la présence de ces matériaux.


Traduction apetimedia pour ReOpenNews

 

WTC1collapsemilitaryphotos28.jpg 28. WTC 1 collapsing picture by DoYouEverWonder
 La tour 1 pulvérisée

 

 

Réferences

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En lien avec l’article

Articles

  • La poussière des ruines du World Trade Center contenait un mélange aluminothermique actif / Auteurs : Niels H. Harrit, Jeffrey Farrer, Steven E. Jones, Kevin R. Ryan, Frank M. Legge, Daniel Farnsworth, Gregg Roberts, James R. Gourley, Bradley R. Larsen / The Open Chemical Physics Journal (Volume 2 ) (ReOpenNews)
  • Niels Harrit : Pourquoi les « chips » rouge/gris ne sont pas des composants de peinture mais bien de la nanothermite / Niels Harrit, mai 2009 paru sur Zelikow.Wordpress (PDF disponible ici) (ReOpenNews)
  • Qui aurait détruit les tours du World Trade Center ? par Kevin R. Ryan, le 13 Août 2009 (Scoop Independent News) (ReOpenNews)
  • Exclusif : une nouvelle vidéo sur le 11-Septembre montre le directeur du FBI s’enquérir d’explosions scondaires au World Trade Center Une vidéo stupéfiante montre des officiels de la ville de New York partir précipitamment après l’effondrement de la tour sud. par Steve Watson, pour PrisonPlanet, le 27 oct. 2010 (ReOPenNews)

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5 Responses to “World Trade Center et nanothermite”

  • roblin

    Problème, qui peut prouver que la poussière analysée vient bien de W3C ?

  • apetimedia

    @ Roblin
    Problème, qui peut prouver que la poussière analysée vient d’ailleurs ?
    La chaine de traçabilité parait conforme.Suivre les news.

  • sentero

    Problème:
    Où sont les centaines et les centaines de poutrelles métalliques coupées par une réaction « thermitique » ???

    A ma connaissance on en a pas trouvé…

  • galactic swan

    on en a pas trouvé ?

    et pourquoi on a déblayé absolument toutes ces poutrelles en fourgant tout le bordel dans des camions suivis par GPS à destination du port direction la chine, et que tout ceci a été détruit avant que des enquêteurs aient pu faire leur boulot ?

  • Seb

    La présence de nanothermite ne peut pas être mis de côté comme un argument parmi d’autres, il s’agit bien là de l’arme du crime.
    1500 ingénieurs qui s’accordent à dire qu’un building ne s’effondrent pas ainsi c’est bien mais ce n’est pas une preuve aussi solide que 5 chimistes indépendants qui répètent 5 expériences indépendantes et qui s’accordent à dire qu’il y a de la nanothermite. Ce n’est pas une enquête qui faut ré-ouvrir, c’est un tribunal.
    Mark Basil, ni Harrit Niels ne travaillent à la Nasa, reproduire l’analyse de la poussière du WTC ne doit pas être si compliquée ? Eux qui travaillent dans le millieu, ils ont bien des collègues / connaissances qualifiés qui pourraient effectués ces tests.

    « Ils sont incompétents et qu’ils nous mentent » : ceci est la thèse des truthers et maintenant des pro-VO

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