11 Septembre : La chute libre du WTC7 est une preuve flagrante

Le 11 septembre 2001, un ensemble d’événements a bouleversé notre capacité à comprendre notre environnement et les lois naturelles qui le régissent. Parmi ces événements, l’effondrement à 17h20 du Bâtiment 7 du World Trade Center (WTC7) alimente un débat aux lourdes conséquences. Les scientifiques de l’Institut national des standards et des technologies (NIST) en charge de l’enquête, ont offert des scénarios évolutifs au cours de leurs recherches, mais leur premier rapport remis en août 2008 n’a pas réussi à satisfaire tout le monde. En effet, un professeur de physique du nom de David Chandler leur a fait remarquer  l’absence d’une donnée fondamentale : 2,5 secondes de chute libre totale. Cela fut corrigé en partie par le NIST dans son rapport final remis en novembre 2008, qui admet désormais 2,25 secondes de chute libre, mais sans donner plus d’explications et sans que cela n’ait d’incidence sur les conclusions initiales. David Chandler nous explique dans cet article pourquoi la chute libre reste un problème à élucider, et quelles conséquences cela a sur l’événement en lui-même, mais également sur les scientifiques qui ont mené cette enquête.

Rappelons que l’association ReOpen911 est partenaire de la campagne d’information Building What? qui se déroule en ce moment aux Etats-Unis et qui réclame une nouvelle enquête précisément à partir de l’effondrement troublant du WTC7. Nous vous invitons dès lors à soutenir cette opération dont l’objectif est maintenant de passer à la vitesse supérieure comme nous l’expliquions dans notre article sur la phase 2 de cette campagne.

 

"Ne tenez pour certain que ce qui est démontré."   Isaac Newton

 


 

Chute libre et Bâtiment 7, le 11 Septembre

 
Par David Chandler sur ae911truth.org
Mercredi 22 décembre 2010, 19h37
 
 
David Chandler a reçu un Bachelor of Science dans un programme hybride de physique et d’ingénierie au Harvey Mudd College, à Claremont CA, et un Master of Science en mathématiques de Cal Poly University, à Pomona CA. Il a enseigné la physique, les mathématiques, et l’astronomie depuis 1972 aux niveaux du collège et du lycée. Il est actif au sein des équipes vidéo et de rédaction des Architectes et Ingénieurs pour la Vérité sur le 11/9. Ses vidéos relatives au 11/9 figurent sur AE911Truth.org et sur YouTube.com/user/ae911truth. Son propre site web dédié au 11/9 est 911SpeakOut.org.
 

 

Traduction Buzz l’éclair pour ReOpenNews

 
Galilée fut le premier à décrire le fait extraordinaire que, en dehors de la résistance de l’air, tous les objets tombaient au même « taux ». Si vous n’en avez pas fait l’expérience directe, essayez de lâcher une grosse pierre et un caillou côte à côte. Le taux auquel nous nous référons n’est pas une « vitesse », car la vitesse d’un objet qui tombe change constamment. Le taux dont nous parlons est en fait le « taux d’augmentation de la vitesse », à quelle rapidité la vitesse se développe, ce qu’on appelle accélération. L’accélération atteinte par tout corps en chute, en dehors de la résistance de l’air, est appelée « accélération de la pesanteur ».
 
La pesanteur produit pour les objets en chute libre une augmentation de leur vitesse d’environ 9,8 m/s par seconde. (L’unité inconfortable de mètre par seconde par seconde est communément abrégée en m/s2). Lorsqu’un objet est lâché, la vitesse est initialement de zéro, mais commence immédiatement à accélérer. Après 1 seconde, sa vitesse sera de 9,8 m/s. Après 2 secondes, sa vitesse sera de 19,6 m/s, etc. 9,8 m/s2 est une approximation. « L’accélération de la pesanteur » varie légèrement en réalité d’un endroit à l’autre. A New York, elle est de 9.802 m/s2.
 
 
Isaac Newton a montré que l’accélération d’un objet était régie par sa masse et la force résultante agissant sur lui. (Si plusieurs forces agissent à la fois, elles sont combinées pour donner une « force résultante »). Si l’accélération descendante d’un objet en chute est égale à l’accélération de la pesanteur, alors la force résultante est la seule force gravitationnelle; toutes les autres forces doivent totaliser zéro. 
 
Que se passe-t-il si un objet chute à travers d’autres objets, les brisant sur son passage ? La troisième loi de Newton dit que lorsque des objets interagissent, ils exercent des forces égales et opposées les uns sur les autres. Par conséquent, lorsqu’un objet chute, s’il exerce sur son passage une quelconque force sur des objets, ces objets devront le repousser, ralentissant la chute. Si un objet est observé en chute libre, nous pouvons conclure que rien sur son passage n’exerce de force pour le ralentir, et selon la troisième loi de Newton, l’objet en chute ne peut également pousser sur rien d’autre.

Quand la partie supérieure d’un bâtiment s’effondre, on peut s’attendre à ce que la partie en chute s’écrase sur la partie inférieure et exerce sur elle une grande force, comme si on lâchait une enclume sur votre orteil. Une démolition contrôlée caractéristique exploite ce fait : la force d’écrasement de la partie en chute d’un bâtiment contribue à la démolition, et réduit la quantité d’explosifs nécessaire. Toutefois, étonnement, ce n’est pas ce qui est arrivé quand le Bâtiment 7 « s’effondra » le 11/9.

 
Nous savons que la partie en chute du Bâtiment 7 n’a pas écrasé la partie inférieure du bâtiment parce que la partie supérieure du Bâtiment 7 est tombée en chute libre. Il n’est pas juste tombé à quelque chose approchant de la chute libre. Il est tombé pendant environ 2,5 secondes à un taux d’accélération qui était indiscernable de la chute libre. Si la partie en chute du bâtiment avait écrasé la partie inférieure, la partie inférieure aurait réagi avec une force égale et opposée. Mais cela aurait ralenti la chute. Dès lors que la chute n’a pas été du tout ralenti, nous pouvons en conclure que la force d’interaction était de zéro… dans les deux directions.
 
Comment est-ce possible ?
 
Il y eut des explosions dans le Bâtiment 7, entendues par de nombreux témoins au cours de la journée. Une telle explosion a été enregistrée dans un clip vidéo, disponible sur YouTube (cherchez sur YouTube à « Explosions on 911 »), où plusieurs pompiers sont rassemblés autour d’un téléphone public pour appeler chez eux et assurer à leurs familles qu’ils vont bien. Soudain ils sont surpris par une très bruyante et indubitable explosion. C’est une des explosions du Bâtiment 7 survenues bien avant qu’il ne tombe.
 
Peu de temps avant l’effondrement ultime du bâtiment, le toit-terrasse à l’est [penthouse, Ndt] et la colonne en dessous de lui s’affaissent. Le NIST (l’agence du gouvernement désignée pour enquêter sur les effondrements du bâtiment) attribue l’effondrement du toit-terrasse est, à la défaillance d’une seule colonne, dans un scénario complexe impliquant l’expansion thermique de poutres supportant cette colonne. Mais il est plus probable qu’au moins deux et possiblement trois colonnes de soutien furent « soustraites » simultanément. Trois colonnes soutenaient le toit-terrasse est. Un de nos collègues allemands a indiqué des signes que le toit-terrasse était tombé à travers l’intérieur du bâtiment à une vitesse proche de la chute libre, attestés par une onde de réflexions dans les fenêtres alors qu’il tombait. Pourtant, l’extérieur du bâtiment conserva son intégrité. 
 
Le NIST déclare que l’effondrement de leur colonne essentielle entraîna un effondrement progressif de l’intérieur complet du bâtiment, laissant seulement une coquille vide. L’effondrement du bâtiment, vu dans de nombreuses vidéos, est décrit par le NIST comme l’effondrement de la « façade », la coquille vide. Ils n’ont cependant pas de preuve de scénario, et un grand nombre d’éléments contredit cela. Après l’effondrement du toit-terrasse est, il n’y a pas de déformation visible des murs et seulement quelques fenêtres sont cassées à cet instant. Si la défaillance des colonnes intérieures s’était propagée tout au long de l’intérieur du bâtiment, comme affirmé par le NIST, cela se serait surement propagé au plus près des murs extérieurs et les aurait déformés ou fait s’effondrer. (Un important froissement des murs extérieurs, au passage, est exactement ce qui est montré dans les animations produites par les simulations informatiques des effondrements du NIST). Mais les vidéos réelles du bâtiment montrent que l’extérieur est resté rigide pendant cette première phase. Au début de l’effondrement, vous pourrez voir dans les vidéos que le bâtiment se relâche soudainement, comme une personne mourante rendant l’âme. L’avachissement de la structure en chute libre souligne par contraste la rigidité antérieure.
 
De plus, il y a d’énormes flux de poussière pyroclastiques, ressemblant à une éruption volcanique, qui se sont déversés dans les rues à la suite de l’effondrement final du bâtiment. Si ce que nous avons vu n’était que l’effondrement de la façade, pourquoi le flux pyroclastique ne s’est-il pas déclenché plus tôt, au moment où le NIST affirme que s’est produit l’effondrement de la partie intérieure bien plus volumineuse ? Et pourquoi le toit-terrasse ouest reste sur pied avec la partie visible extérieure du bâtiment ? Sa structure porteuse a clairement résisté jusqu’à la toute fin et a été « soustraite » d’un coup avec le reste de support du bâtiment. Le NIST s’embrouille pour trouver un scénario plausible qui lui permettrait d’échapper aux conséquences de ce qui est clairement visible. (Si vous n’avez pas vu l’effondrement du Bâtiment 7, trouvez-le sur YouTube et regardez par vous-même. Pour la plupart des gens, il suffit simplement de le regarder s’effondrer. La plupart des gens ne sont pas stupides. La plupart des gens peut faire la différence entre une démolition et un effondrement naturel de bâtiment sans avoir rien d’autre à ajouter. Si vous n’avez jamais vu l’effondrement du Bâtiment 7, vous devriez également vous arrêter un instant et vous demander pourquoi les médias traditionnels ne vous ont pas montré de manière répétée cet événement plus que bizarre comme ils l’ont fait pour les Tours Jumelles).
 
Après que le toit-terrasse est se soit effondré, plusieurs secondes se sont écoulées, puis le toit-terrasse ouest a commencé à s’effondrer en même temps qu’un défaut se formait près de son centre; ensuite c’est l’ensemble du support sur toute la largeur du bâtiment qui a été subitement retiré, une rangée verticale de fenêtres sous le toit-terrasse ouest a été soufflée d’un coup, et le bâtiment est subitement devenu souple, passant (en une fraction de seconde) d’un plein appui à la chute libre.
 
Je n’utilise pas le terme « chute libre » ici vaguement. J’ai utilisé un instrument d’analyse vidéo pour mesurer soigneusement le profil de vitesse du bâtiment en chute, utilisant un enregistrement vidéo de [la chaîne télévisée] CBS venant d’une caméra fixe presque carrément pointée sur le mur nord. Une vidéo détaillant ce mesurage est disponible sur YouTube/user/ae911truth. J’ai calibré mes mesures avec les hauteurs de deux points du bâtiment fournies dans le rapport du NIST sur le Bâtiment 7 délivré en août 2008, donc je sais que l’échelle de l’image est bonne. Mes mesures indiquent que le bâtiment a subi avec un départ soudain une chute libre littérale d’approximativement 2,5 secondes. C’est l’équivalent d’une chute d’environ 8 étages pendant laquelle la partie en chute du bâtiment rencontra zéro résistance. Il rencontra une résistance minime pendant 8 étages supplémentaires, au cours desquels il continua d’accélérer, mais à un taux inférieur à celui de la chute libre. Le bâtiment n’a interagi de façon significative avec la partie sous-jacente et décéléré qu’au-delà de la chute de ces 16 étages.
 
 
La chute libre est embarrassante pour l’histoire officielle, car elle est impossible dans le cas d’un bâtiment s’écroulant naturellement. Dans un effondrement naturel, il y a interaction entre les parties tombantes du bâtiment et  celles stationnaires. Cette interaction cause l’écrasement des deux sections et le ralentissement de la partie tombante. J’ai fait des mesures sur plusieurs démolitions connues, utilisant les mêmes outils logiciels, et j’ai trouvé que les bâtiments tombaient généralement avec des accélérations considérablement moindres que celle de la chute libre. Le Bâtiment 7 ne fut pas seulement démoli, il le fut  avec une précision prodigieuse.
 
La chute libre était si embarrassante pour [les scientifiques] du NIST qu’en août 2008, pendant le communiqué de la version préliminaire de leur rapport final ouverte au public, la présence de la chute libre fut niée et grossièrement dissimulée derrière  l’affirmation selon laquelle l’effondrement avait été plus long de 40% par rapport au « temps de chute libre ». Ils ont affirmé que l’effondrement réel, jusqu’au niveau du 29ème étage, avait pris 5,4 secondes alors que la chute libre aurait dû prendre seulement 3,9 secondes. Ils sont arrivés à ces résultats avec seulement deux points de données : le moment où la bordure du toit atteint le niveau du 29ème étage et un départ artificiellement en avance de plusieurs secondes avant le commencement du départ manifeste et soudain de la chute libre. Ils ont démarré leur chronomètre entre les effondrements des toits-terrasses est et ouest quand le bâtiment n’était pas en mouvement. Ils ont déclaré avoir vu un changement sur un « unique pixel » déclenchant ce qu’ils ont affirmé être le début de l’effondrement, mais quiconque a travaillé sur les mêmes vidéos reconnaîtra que les anomalies du rebord dans l’image du bâtiment en font un critère irréaliste. En outre, même s’il y avait un infime mouvement du bâtiment à ce moment, il continua de rester debout, essentiellement statique pendant plusieurs secondes avant le départ saisissant de l’effondrement en chute libre. L’existence  d’une dissimulation dans les mesures [des experts] du NIST est souligné dans le fait que la formule qu’ils pointent comme à la base de leur calcul pour le « temps de chute libre » est valide uniquement sous des conditions d’accélération constante. Ils ont appliqué cette équation à une situation qui était loin d’être une accélération uniforme. Au lieu de ça, le bâtiment est resté essentiellement au repos pendant plusieurs secondes, puis a plongé en chute libre, puis a ralenti à une accélération moindre. Leur analyse démontre soit une flagrante incompétence, soit une grossière tentative de dissimulation. Les scientifiques du NIST ne sont évidemment pas incompétents, donc la seule conclusion raisonnable est d’interpréter ceci comme faisant partie d’une dissimulation. (Il est important de prendre du recul à l’occasion, et de reconnaître le contexte de ces événements. Ce ne fut pas simplement la dissimulation d’un fait embarrassant. Ce fut une dissimulation de faits concernant le meurtre de près de 3.000 personnes et la justification partielle d’une guerre dans laquelle plus d’un million de personnes ont été tuées).
 
J’ai eu l’opportunité [voir extrait Vidéo ci-dessous - Ndlr] de confronter le NIST au fait aisément démontrable de la chute libre, lors de la séance d’information technique le 26 août 2008. Moi et plusieurs autres scientifiques et ingénieurs ont également rempli une « demande de correction » officielle dans les jours qui ont suivi. Quand ils ont publié leur rapport final en novembre 2008, à la grande surprise de la communauté de la Vérité sur le 11/9, ils avaient révisé leurs mesures de l’effondrement du bâtiment, incluant une admission de 2,25 secondes de chute libre totale. Cependant, ils ont formulé la période de chute libre dans un système de supposée « séquence en trois phases d’effondrement » qui occupe toujours exactement 5,4 secondes.
 
 
La récurrence des 5,4 secondes, même dans une analyse complètement revue, est vraiment déroutante si l’on fait abstraction du contexte. Le directeur de l’étude du NIST Shyam Sunder déclara à l’auditoire, lors de la séance d’information technique du 26 août 2008, que leur modèle informatique de l’effondrement avait prédit que l’effondrement jusqu’au niveau du 29ème étage prendrait 5,4 secondes, bien au-delà des 3,9 secondes requises pour la chute libre. A partir des événements de la séance d’information technique, il apparait que l’équipe dirigée par l’ingénieur en structure John Gross fabriqua consciencieusement une observation de 5,4 secondes pour correspondre exactement à la prédiction. Toute personne avec de l’expérience en mesure de laboratoire se serait attendue à un certain degré d’incertitude entre la prédiction et les mesures. Parvenir à un modèle informatique prédisant un temps d’effondrement avec une marge de 10% [d'erreur] aurait déjà été un excellent travail. Mais non… leur mesurage correspond exactement à la prédiction au dixième de seconde près. Gardez bien à l’esprit que leur modèle informatique a été bâti en l’absence de l’acier réel, lequel avait été transporté au loin et détruit depuis longtemps. Selon les documents du NIST, rien ne reste de l’acier du Bâtiment 7. (Faites une pause et réfléchissez à ce fait un instant. Quiconque a déjà regardé Les Experts [CSI, Ndt] connaît l’importance de la préservation des éléments matériels sur la scène d’un crime. Détruire la scène d’un crime est un crime en lui-même, pourtant c’est exactement ce qui s’est produit au lendemain du 11/9, et cela s’est produit malgré les vives protestations de pompiers et d’autres personnes réellement intéressées par la vérité [sur ces événements]). Revenons à nos moutons. Le modèle informatique du NIST prédisait 5,4 secondes pour que le bâtiment chute jusqu’au niveau du 29ème étage. John Gross et son équipe trouvèrent l’instant où la bordure du toit avait atteint le 29ème étage, puis ont choisi un temps de départ 5,4 secondes plus tôt pour donner une mesure qui corresponde au modèle au dixième de seconde près. Ils ont pris leur temps de départ plusieurs secondes avant le départ réel de la chute libre lorsque rien ne se passait. Le bâtiment était juste posé là, avec le temps qui tournait, pendant plusieurs secondes. Puis il chuta, avec une amorce soudaine, et continua pendant une chute libre totale de 2,5 secondes.
 
Donc, le NIST reconnaît maintenant que la chute libre s’est produite. Comment expliquent-ils cela ? Ils ne le font pas. Ils citent simplement, sans plus d’explications, que leur analyse d’effondrement en trois phases est compatible avec leur hypothèse d’effondrement provoqué par le feu. La seule chose à propos de leur analyse en trois phases qui est compatible avec leur hypothèse d’effondrement, est la durée totale de 5,4 secondes, mesurée à partir de leur choix factice de temps de départ. En d’autres mots, ils ne font aucune tentative pour expliquer la période de chute libre de 2,25 secondes. Ils s’en débarrassent sans plus de commentaire.
 
Le fait demeure que la chute libre n’est conciliable avec aucun scénario naturel impliquant l’affaiblissement, le flambage, ou l’écrasement, car il y aurait dans un tel scénario de grandes forces d’interaction avec la structure sous-jacente qui aurait ralenti la chute. Etant donné que même des démolitions contrôlées connues ne retirent pas suffisamment de structure pour permettre une vraie chute libre, comment un processus naturel causé par le feu pourrait-il être plus destructeur ? Ajoutez à ça la synchronisation du retrait du support sur toute la largeur du bâtiment, attesté par l’aplomb du rebord du toit pendant qu’il tombe, et la soudaineté du départ de la chute, et la transition immédiate du support total à la chute libre totale. Un effondrement naturel ayant pour conséquence la chute libre n’est tout simplement pas plausible. Ça ne s’est pas produit. Ça ne pouvait pas se produire. Pourtant, la chute libre s’est effectivement produite. Cela signifie que ce n’était pas un effondrement naturel. D’autres forces que celle de la partie supérieure du bâtiment en chute ont brusquement détruit et retiré les colonnes de soutien sur au moins huit étages à travers toute la longueur et la largeur du bâtiment.
 
La chute libre du Bâtiment 7 est l’un des plus évidents parmi de nombreux « indices flagrants » qui prouve que des explosifs ont été installés dans les bâtiments du World Trade Center avant le 11 septembre 2001.
 
David Chandler
ae911truth.org, le 22 décembre 2010
 
 

 


 

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8 Responses to “11 Septembre : La chute libre du WTC7 est une preuve flagrante”

  • luisa

    « La chute libre du WTC7 est une preuve flagrante » mais bien sûr tout comme le fait d’avoir immédiatement ramassé les débris est une autre preuve flagrante qu’on a cherché à éliminer les « pièces à conviction » avant même qu’il y ait eu enquête. C’est du jamais vu.

    Comme le NIST peut-il déclarer avoir fait enquête alors que la et les scènes du crimes ont complètement été nettoyées de tout indice? De la foutaise comme toujours et pourtant….. les Américains se refusent toujours de croire à un complot.

  • Quidam

    Qui n’a pas vu depuis 30 à la TV les images spectaculaires des démolitions de barres de batiments, dont un certain nombre de loupés où la chute se fait de travers. Faire effondrer un batiment sur lui même est un travail méticuleux, précis, qui demande d’importants calculs et une grande coordination.

    Le 11 septembre, une démolition « accidentelle » a vu, non pas 1 ni 2 mais 3 batiments s’effondrer droit sur eux-même, mieux que ne l’auraient fait des démolisseurs chevronnés. Croire au Père Noel est plus facile que de croire à cela.

  • f6

    La chute libre du Bâtiment 7 est l’un des plus évidents parmi de nombreux « indices flagrants » qui prouve que des explosifs ont été installés dans les bâtiments du World Trade Center avant le 11 septembre 2001.

    Si nous voulons OBTENIR une nouvelle enquête ce discours affirmatif est indispensable, il doit se renforcer encore et se substituer aux questions sans réponses !

    Les INDICES FLAGRANTS et les PREUVES de la démolition organisée, sont aujourd’hui établis, ils légitiment naturellement la revendication d’une nouvelle enquête.
    Aucun scientifique, ingénieur, architecte, technicien honnête et intègre, ne peuvent contredire ces arguments.

    La science est le fondement des décisions politiques dans une société qui se prétend rationaliste.
    Les arguments de Chandler, sont des preuves, qui doivent servir de socle àux actions pour le dixième anniversaire, si le truth movement veut gagner son combat.
    Le récent retournement des journalistes de fox news nous démontre que cette voie est la bonne.

    Le NIST a fraudé, ce fait est aujourd’hui établi.
    Le refus (illégal) de publier les données du modèle numérique en affirmant que cela porterait atteinte à la sécurité public en est une démonstration de plus …
    Si ce modèle était honnête, qu’auraient ils à craindre pour la sécurité public ? Sa publication mettrait un terme à la controverse. Tant qu’ils ne le font pas, la démonstration de fraude n’en est que plus flagrante.

    Si une improbable décision de justice, les contraignaient à publier les données du modèle, ils seraient certainement pris en flagrant délit de fraude.
    La posture du NIST est intenable, sauf à égarer ou faire disparaitre ces données.

  • neurone

    ../…Résumons !

    Nous avons des bâtiments qui s’effondrent en 3 phases : dont la principale est un phase de chute « indiscernable de la chute libre » !!!

    Nous avons des débris qui sont rapidement nettoyés et non pas conservés dans le cadre d’une enquête du plus grand crime de l’histoire !

    … et nous avons des témoignages nombreux d’explosions enregistrés sur des vidéos et dans des reportages journalistiques avec des études de docteurs en chimie témoignant de trace d’explosifs militaires – nano-thermites

    Et quelle est la conclusion, en particulier dans le cas d’espèce du WTC/7 : une « attaque terroriste » ! … ayant entrainé un incendie ayant fait s’effondrer un immeuble de plusieurs centaine de mètres de haut … pendant ce temps on enseigne les lois de la physique de Newton à des gamins de 16 ans au lycée, on parle de liberté d’information et du droit a chacun à la connaissance, mais on lit toujours les même « ragots » dans les journaux et de la part de certains troll toujours de mauvaise foi !

    La liberté est d’avoir le droit au réexamen des preuves et faits liés à cette journée ! Et non les théories ad-dominem de toute la fiante des jx main-stream !

    ABe – Neurone

  • Red Cloud

    Rappelons au passage un argument central de Moorea / Quirant: la vitesse d’effondrement du WTC7 est trop rapide pour résulter d’une démolition contrôlée!

    Moi, en 2011, j’attends donc (notamment!) que Quirant montre pourquoi le troisième principe de Newton (réaction de même force) a été violé!

    Merci pour la traduction, Buzz!

  • Merci beaucoup à Sébastien pour cette traduction. L’article est particulièrement didactique.

    Rappelons que dans l’hypothèse d’une démolition contrôlée, l’effondrement de la partie est du toit-terrasse peut correspondre à la MISE EN TRACTION de la structure, opération effectuée quelques instants avant la séquence principale et consistant à descendre légèrement les colonnes centrales (celles qui partiront les premières), afin de « tirer » sur la structure et que celle-ci parte dans le bon sens (vers l’intérieur).

    Par ailleurs, il est commun dans les démolitions contrôlées que les premières secondes de la chute soient accélérées, par exemple en évidant 2 étages de façon à ce qu’ils offrent le moins de résistance possible, l’énergie cinétique accumulée pendant ce début de chute permettant d’initier le mouvement. On a donc une accélération initiale puis un léger ralentissement, comme la tour 7. Regarder par exemple la démolition de la cité Balzac à Vitry-sur-Seine : http://www.dailymotion.com/video/x18hgg_cite-balzac-demolition-tour-abc_webcam et http://www.youtube.com/watch?v=syzKBBB_THE

    Les ressemblances entre démolition contrôlée et tour 7 sont si nombreuses et si précises que l’enquête à sens unique du NIST est absolument inexcusable et inexplicable, en-dehors de pressions politiques et d’auto-censures.

  • Mémorix

    1 an…

    Ca fait 1 an que cet article est paru, PROUVANT que la VO est fausse.
    Un an de SILENCE ASSOURDISSANT des médias, lesquels préfèrent parler de négationnisme, ou autres billevesées.

    Pendant le temps que ces dénonciations et calomnies injurieuses s’expriment contre les truthers, la Vérité attend…

    « La vérité, quelque pénible qu’elle soit, est préférable à l’incertitude. »
    Oscar Wilde

  • phil

    La tour ne tombe PAS en chute libre.En effet,les débris de la tour tombe PLUS VITE que la tour.
    https://www.youtube.com/watch?v=aN3mseKtWRg&lc=z23zsxnwxlj2tnlfpacdp430dgnhmqx53d3shwpdikdw03c010c.1541025574390172
    11:30

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