(màj. 3 juillet 2010) Tom Sullivan, technicien en démolition contrôlée, à propos des 3 tours du WTC: « J’ai su dès que j’ai vu »

L’association « Architects & Engineers for 9/11 Truth » emmenée par l’architecte américain  Richard Gage a rencontré Tom Sulllivan, un technicien expert en démolition contrôlée et ex-employé de Controlled Demolition Inc Selon cet expert, il ne fait aucun doute : ce sont des explosifs qui sont à l’origine de l’effondrement des tours du World Trade Center.  Ce témoignage rejoint et corrobore l’étude scientifique publiée en mars 2009 chez Bentham Open, sous la direction du chimiste maitre de conférence à l’Université de Copenhague Niels Harrit qui concluait à la présence d’explosifs de type nano-thermite dans les décombres du WTC, un matériau ultra sophistiqué d’origine militaire.

Tom Sullivan est proche du dossier des tours du WTC.  En effet, la société Controlled Demolition Inc. dirigée par Mark Loiseaux (*) pour laquelle il a travaillé fut l’une des principales sociétés chargée par l’Autorité portuaire et Silverstein properties, de déblayer le site de Ground Zero. Rappelons que le site fut déblayé sous la haute surveillance du FBI qui en interdit l’accès au public et aux journalistes, ainsi qu’à la commission d’enquête et à la FEMA dont les accès furent restreints. Le NIST n’a eu accès qu’aux dépôts de Fresh Kills et JFK airport. Le déblaiement fut aussi surveillé par la Mairie qui demanda au NYPD d’interdire les photos par respect pour les victimes et par l’armée qui utilisait des GPS spéciaux pour suivre les camions chargés de débris.

A l’heure où les derniers restes des poutres des WTC, après avoir servi à fabriquer la coque de l’USS New-York, s’apprêtent à quitter leur hangar de l’aéroport de JFK pour divers projets de monuments en vue de célébrer les 10 ans des attentats, ceux qui militent pour la mise au jour et l’examen des indices réels des causes réelles de la chute des 3 tours demandent plus que jamais aux medias de se confronter à ce nouveau témoignage accablant et d’appuyer la demande citoyenne mondiale pour une nouvelle enquête.

 

  


 
Des preuves de l’usage d’explosifs sur le site des WTC selon un ancien technicien de
Controlled Demolitions Inc.
 

   

Traduit par Kikujitoh. Publication, liens, chapeau et notes par Cristo,
màj. Seb après enquête auprès de aae911truth.org.
 
Rédaction d’ae911truth.org, le 24 Juin 2010
 
 

Nous avons la chance d’avoir pu discuter avec Tom Sullivan, un technicien chargé de la mise en place des explosifs pour les démolitions contrôlées. Cela nous permet de mieux comprendre la manière dont les démolitions contrôlées sont préparées, comment elles débutent, et quelles ont été les répercussions du 11-Septembre dans l’industrie de la démolition. Sullivan a longtemps travaillé dans l’une des entreprises leaders dans le domaine de la démolition : Controlled Demolition, Inc. (CDI). Sullivan souligne cependant : « En aucun cas je ne me présente comme un porte-parole de CDI, et ce que je vais dire, je le dis d’après ma propre expérience dans le domaine. »

 

Sullivan est allé au lycée avec Doug Loizeau, de la famille Loizeau. Cette famille, en premier le père, Jack, a lancé l’industrie de la démolition contrôlée de manière indépendante ; industrie qui est par la suite devenue une activité très lucrative. Avant de travailler pour CDI, Sullivan était photographe indépendant durant ses premières années passées dans le Maryland. On l’envoyait sur les sites de DC et il y prenait des photographies, c’est ainsi qu’il s’est retrouvé dans l’industrie de la démolition. Un jour, il a voulu faire les deux, à la fois préparer les bâtiments en plaçant des « charges de découpe » sur les points de rupture, et prendre des photographies afin de faire la promotion de leur activité. Il bascula rapidement comme employé à plein temps de CDI – comme AE911Truth l’a vérifié. 

“C’était vraiment intéressant, mais c’était également un travail difficile, de longues heures durant, surtout lorsqu’il faisait froid, » explique Sullivan. Il ajoute que les journées de travail commençaient de bonne heure, vers 6 heures, et qu’ils travaillaient jusqu’au coucher du soleil. Sullivan a travaillé dans la préparation des bâtiments en plaçant des charges de découpe sur les points de rupture, et bien sûr, il les regardait ensuite s’effondrer.

 

 

Sullivan souligne qu’une préparation nécessite plusieurs semaines, afin d’« affaiblir » les bâtiments avant qu’on ne les démolisse. Les bâtiments à structure d’acier ne tombent par sur leur base en chute libre sans un gros travail sur la structure – quelquefois même avant qu’on ne place les charges explosives. Sullivan souligne ce point, « Des incendies ne peuvent pas détruire des bâtiments à structure d’acier de grande hauteur. Point final. »

 

 [NdlR. Journal de Kent Island (lieu de résidence de M. Sullivan), 5 Avril 2000]
L’un des projets les plus importants sur lesquels Sullivan a travaillé
fut la démolition de l’énorme Kingdome, (NdT. à Seattle, état de
Washington) à l’intérieur duquel il a lui-même placé des centaines
de charges explosives sur la structure de béton renforcée.

 

[NdlR. extrait: "CDI a embauché M. Sullivan pour travailler avec l'équipe de démolition
et dans les coulisses afin de montrer ce qu'exige la destruction délibérée et sécurisée d'une
structure aussi grande que le Kingdome. (...) Nous avions besoin de quelqu'un qui puissse
aider l'équipe à charger la structure (avec des explosifs) tout en documentant l'événement.
M. Sullivan assista l'équipe pendant les 2 semaines qui précedèrent l'implosion en aidant
à installer les explosifs dans plus de 6000 trous dans la structure." ]
 

Sullivan explique que travailler pour CDI a été « une expérience véritablement unique. » Il ajoute, « c’était comme une famille – en se référant aux valeurs familiales des Loizeau. » « J’ai appris sur le tas, explique Sullivan, vous n’apprendrez pas ça dans une école, il faut aller sur le terrain et travailler dur. » Sullivan a pris des centaines de photographies, c’est comme cela qu’il a développé sa passion pour la démolition. 

Lorsque nous lui avons demandé ce qui faisait de CDI le leader du marché, il nous répondit que « La famille Loizeau a autant d’expérience dans le domaine car ils ont « inventé » l’art de la démolition contrôlée. Ils ont voyagé à travers le monde, en faisant des démonstrations et en formant des gens à cet art particulier. » 

Malheureusement, les affaires ont moins bien marché après le 11-Septembre. « Les gens étaient effrayés – si de grosses explosions se produisaient, ils pensaient que c’était une attaque terroriste, explique Sullivan avec une note de frustration. » « Tout le monde avait peur, et les affaires ne marchaient plus. » Même Mark Loizeau (Le directeur de CDI) a déclaré que le 11-Septembre avait coulé les affaires. Sullivan a dû quitter CDI. Curieusement, CDI a aidé à nettoyer le site du WTC en vertu d’un contrat avec Tully Construction. Le 22 septembre 2001, CDI a préparé un document « préliminaire » de 25 pages pour le service d’aménagement et de construction de New-York concernant un plan de déblaiement et de recyclage de l’acier

Sullivan a déclaré que dès le premier jour, il avait su que le World Trade Center 7 avait été détruit par une démolition contrôlée classique. Lorsque nous lui avons demandé de nous donner son opinion sur la manière dont le bâtiment avait pu être détruit, il a expliqué que« vu le bâtiment, ça n’a pas dû être un problème, une fois que vous avez accès aux conduits d’ascenseurs… il suffit qu’une équipe d’experts puisse accéder discrètement aux poutres et aux colonnes centrales. Ensuite, il suffit d’avoir les bons explosifs pour faire le boulot. On peut très bien utiliser aussi de la thermite. » 

Brent Blanchard, photographe pour l’entreprise de démolition contrôlée Protec, a déclaré, pour critiquer l’hypothèse d’une DC, que l’on aurait retrouvé un peu partout dans les débris des tas de câbles ainsi que les coffrages des charges de découpe. Nous avons demandé à Sullivan ce qu’il en pensait : 

"Des détonateurs sans fil, commandés à distance, existent depuis des années. Regardez n’importe quel film d’action. Et bien entendu, les militaires possèdent cette technologie. La raison pour laquelle on ne l’utilise pas souvent, c’est que cela revient très cher, mais pour un projet à gros budget, il n’y aurait aucun problème. C’est pareil pour les boîtiers, tout le monde dans le milieu, y compris Blanchard, sait très bien que les coffrages des charges RDX son entièrement détruits lorsque l’explosif détonne, il ne reste rien du tout. Et pour des charges de découpe comme la thermite, c’est la même chose. Des coffrages pour thermite à autocombustion existent depuis 1984."

 

 "Sullivan note que des kilomètres de câble de détonateur
ne sont pas nécessaires avec les systèmes de détonation
modernes sans fils comme celui-ci fabriqué par HiEX,
et qui sont mis à feu à partir d’ordinateurs distants."
 
 
 
Cette charge coupante particulière est conçue pour être utilisée avec
de la thermite. Sullivan observe que son boitier s’autoconsume
-ne laissant derrière lui que du fer fondu sous les débris- 

 

Nous avons demandé à Sullivan s’il fallait placer des explosifs à tous les étages du WTC7 pour détruire le bâtiment.

Il explique que "non, car dans le cas des bâtiments à structure d’acier, ce qui est avant tout nécessaire c’est de placer des charges sur le premier tiers du bâtiment pour le démolir. CDI a démoli le bâtiment CNG à Hartford Conn, c’est ce que nous avons fait, et ça a parfaitement fonctionné." 

Nous lui rappelons que Ron Craig, un expert en explosions d’Hollywood, a affirmé lors d’un débat que l’on a eu avec lui que toutes les vitres des quartiers alentour auraient éclaté si l’on avait eu affaire à une démolition contrôlée. 

Sullivan explique que "par le terme de démolition contrôlée, on entend bel et bien une démolition qui est, justement, contrôlée. C’est-à-dire que l’on dispose les charges avec précision, ça ne consiste pas à simplement faire exploser une bombe. La quantité et le type d’explosifs à disposer constituent un art, et on réussit la plupart du temps à éviter tout dommage collatéral." 

Nous avons ensuite évoqué l’explication de Shyam Sunder, le responsable de l’enquête du NIST (National Institute of Standards and Technology), qui déclarait, lors de la fâcheuse conférence de presse « dévoilant » le Rapport Final du NIST sur l’effondrement du World Trade Center 7", que l’on aurait entendu un énorme "boum" d’une puissante explosion si le bâtiment avait été détruit par une démolition contrôlée. Selon Sullivan, « Lors d’une implosion, il n’y a jamais une seule grosse explosion mais plutôt une vague de petites explosions, un peu comme un groupe de percussion dans un orchestre, au moment où l’on fait exploser chaque étage.” 

Et comme beaucoup de monde, quand Sullivan a vu les tours s’effondrer le 11-Septembre, il a été étonné non seulement par la vitesse des effondrements, mais aussi par leur symétrie et par le fait qu’ils se produisaient de manière soudaine. « J’ai su qu’on avait utilisé des explosifs dès que j’ai vu ça, je n’avais aucun doute là-dessus" déclare-t-il. « La plupart d’entre nous sommes d’accord là-dessus, ce n’est pas un hasard si la première tour s’est tout d’un coup effondrée, et que la deuxième a suivi de la même manière". Ce qui l’a convaincu définitivement, c’est lorsqu’il a vu la tour 7 s’effondrer le même jour, « Je veux dire, un peu de bon sens pardi, c’est une démolition contrôlée.

Ça fait des années que j’assiste à des démolitions contrôlées où les bâtiments tombent de la même façon, il n’y a aucun doute là-dessus. » Sullivan a travaillé dans cette industrie pendant de nombreuses années, c’est une seconde nature chez lui que de reconnaitre ce type de démolition. S’il y a bien quelqu’un qui peut donner son avis, c’est assurément lui. Cependant, nous lui avons quand même pose la question : « Pourrait-il y avoir la moindre chance pour que des incendies de bureau normaux (c’est la cause officielle de l’« effondrement ») puissent être responsables de l’effondrement parfaitement symétrique, régulier, et à la vitesse de la chute libre du bâtiment 7 ? « Aucune chance » a-t-il répondu. Nous voulions simplement nous en assurer. 

Lorsque nous lui avons demandé s’il avait suivi les auditions de la Commission d’enquête ou du NIST, il nous a répondu la même chose, "Je ne tolère pas les gens qui mentent sur ce que je sais pertinemment être vrai. Je me suis dit que c’était n’importe quoi et je n’ai jamais regardé d’autres auditions après la première. Pareil pour le NIST, je n’ai regardé aucune présentation du NIST, car je savais à quoi m’attendre.” Il a cependant lu le rapport final sur le bâtiment 7 et il explique que ça l’a rendu furieux qu’ils puissent convaincre autant de gens par des explications aussi frauduleuses. 

Sullivan est entré en contact avec AE911Truth par l’intermédiaire d’un ami qui lui a envoyé le DVD "9/11 : Blueprint for Truth." Il l’a regardé et a été très heureux de découvrir qu’une association essayait d’informer le public sur ce qu’il essaie d’expliquer depuis ce jour tragique. « AE911Truth est l’association centrale du mouvement pour la vérité sur le 11-Septembre. Il n’y a pas de spéculation, » déclare-t-il. « Blueprint for Truth ne s’appuie que sur les faits et d’importantes informations scientifiques, claires et précises. » Lorsque nous lui avons demandé s’il était d’accord avec les éléments mis en avant par le DVD, Sullivan a répondu par l’affirmative : « Oui, ce sont des preuves extrêmement convaincantes. » 

Finalement, nous lui avons demandé « De combien d’architectes et d’ingénieurs avons-nous besoin pour que les gens sachent qu’il y a un problème ? » D’après lui : « Au fur et à mesure que la liste s’allonge, cela va devenir de plus en plus difficile de nier ce problème, mais il vont continuer à nier quand même. »

 

Notes :  

1) Sullivan est venu de la côte Est pour une courte mais importante présentation les vendredi 7 et samedi 8 mai lors de la présentation de Architects & Engineers for 9/11 Truth et Firefighters for 9/11 Truth. Il s’est joint à Richard Gage, AIA et Erik Lawyer pour une présentation de 10 minutes et a répondu à quelques questions sur les démolitions contrôlées, sur CDI et Loizeau et sur la façon dont les 3 gratte-ciels du WTC ont été démolis. Avant cette présentation, il était déjà apparu avec Gage et Lawyer sur la radio KFPA lors de l’émission « Guns & Butter » en compagnie de Bonnie Faulkner qui avait de nombreuses questions à lui poser. 

2) Les mots « DO NOT COPY » sur les images ont été ajoutés par Tom Sullivan. Ces images ne doivent pas être copiées autrement que dans le cadre de cet article, ou suite à son autorisation. 
 


 
Notes ReOpenNews:
 
  • (*) Mark Loiseaux fut aussi chargé par l’administration américaine et le FBI du déblaiement des restes de l’Alfred P. Murrah building à Oklahoma suite à l’attentat du 19 avril 1995. Là encore, de nombreuses voix d’experts se sont élevées pour contester l’explication officielle qui renvoie à une explosion unique devant l’immeuble fédéral. 
  • 31 Mai 2010 Actu asso ReOpen911 André Rousseau, géophysicien, analyse les signaux sismiques qui révèlent l’utilisation d’explosifs aux WTC le 11/9/2001
  • 22 Février 2010 Washington Times Un scoop explosif, suivi du 1000ème pétitionnaire de aae911truth.org (traduction reopennews)
  • 13 Août 2009 Scoop independent news Qui aurait démoli les tours des WTC? par Kevin Ryan 2/2 (traduction reopennews)
  • 9 Juillet 2009  Unansweredquestions.org Qui aurait démoli les tours des WTC?, par Kevin Ryan 1/2 (traduction reopennews)
  • 8 Mai 2009 salon du livre de Buenos-Aires Déclaration de Kurt Sonnenfeld, photographe officiel de la FEMA sur le site des WTC (traduction ReOpenNews)
  • 21 Août 2008 aae911truth.org réponse au rapport du NIST sur l’effondrement du WTC7 (traduction reopennews)
 Videos ReOpenNews:
  • 2009 Dailymotion Le WTC7 le talon d’achille de la théorie officielle du complot (sous-titrage ReOpen911)
  • 13 Novembre 2008 reOpenNews sur Dailymotion conférence de Richard Gage à Paris (traduction simultanée reopen911)
 Images des WTC:
  • 10 Août 2009 911Blogger.com Kurt Sonnenfeld, photographe de la FEMA, rend publics tous ses clichés (article ReOpenNews en brève) 
 

 

 

14 Responses to “(màj. 3 juillet 2010) Tom Sullivan, technicien en démolition contrôlée, à propos des 3 tours du WTC: « J’ai su dès que j’ai vu »”

  • Alexandre

    Article très intéressant et très complet, merci pour la traduction. Ça fait plaisir de voir à nouveau un vrai spécialiste parler de ce qu’il connaît.

  • En commentaire à une précédente NEWS j’avais demandé quelle était la composition des différents aciers constituant les 3 tours….Peut être celà a t il une importance ???Sûrement que oui………En tout cas merci pour cet article qui va mettre en rage lemonsieurquisaittout : j’ai nommé ……..l’inéffable JQ !

  • Buzz l'éclair

    C’est le genre d’article témoignage qu’il faut faire lire à ses amis et à ses proches ! Tous les Durand, Gattegno, Bonnaud, Val, Gisbert, etc, ne font pas le poids face un mec comme ça.

  • Bien d’accord Alexandre.

    C’est clair et ça répondra une bonne fois pour toutes à certains commentateurs (et auteurs) d’AgoraVox qui, comme mmarvin, prétendent que s’il y avait eu démolition contrôlée, les ouvriers auraient forcément retrouvé des câbles et autres dans les décombres. Ayant répondu à mmarvin il y a quelques temps que les câbles d’une DC étaient tout à fait semblables aux autres et que de toute façon, les ouvriers n’auraient probablement pas été capables de reconnaître une éventuelle spécificité, ledit mmarvin est revenu récemment en décrétant que les câbles de la DC étaient très spéciaux et « impossibles à confondre », argument FAUX (j’ai pris confirmation auprès d’une bonne source) que je soupçonne mmarvin, pourtant auteur AgoraVox donc journaliste citoyen, d’avoir purement et simplement inventé (lien http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/quelques-reponses-a-bastison-net-2-75410#forum2600645 ).

    De plus, l’article confirme une autre piste, celle d’un dispositif sans câbles. Donc, deux possibilités pour placer des charges sans que les ouvriers ne s’en rendent compte… Et non pas zéro comme mmarvin le prétend.

  • Quelle bande d’escrocs !!!

    http://forums.randi.org/showpost.php?p=6027740&postcount=20

    Effectivement j’enrage devant tant de malhonnêté…

    Mais bon, quand on a plus rien à se mettre sous la dent, c’est la seule solution…

  • Spotless Mind

    @moorea34

    ae911truth a affirmé avoir fait tous les contrôles nécessaires sur le CV de Sullivan. L’association américaine prendrait-elle le risque de mentir à ce sujet?
    Pourquoi devrait-on croire l’affirmation de triforcharity dans le forum que tu as cité? Moi-même je peux dire : j’ai téléphoné à CDI, et ils m’ont confirmé que Sullivan posait bien des explosifs pour eux.

  • Buzz lclair

    « Quand on a plus rien à se mettre sous la dent »… on prend 2 phrases d’un forum et on fait passer ça pour un argument solide.

  • sébastien

    Oui, tiens, au fait, quelles preuves avons-nous que Monsieur Quirant est détenteur des diplômes dont il aime à se couvrir?

    Vu la teneur des interventions de cette personne, le doute m’habite soudainement…

  • Blue Rider

    http://www.amazon.com/Demolition-Demolishing-Dismantling-Imploding-Toppling/dp/1579121497

    en tous les cas, contrairement au type du FORUM Randi où moorea34 a trouvé cette remarque sur Sullivan, le bouquin auquel il a collaboré -les photos- existe bel et bien chez l’éditeur mentionné par Sullivan. le type a soi-disant fait une recherche sur internet, mais franchement il est nul. C’est un livre de 2000, la période pendant laquelle Sullivan travaillait chez CDI, et le site de l’éditeur ne le mentionne pas simplement parce qu’il est épuisé!

    http://forums.randi.org/showthread.php?p=6027740#post6027740

    d’autre part, le fil du FORUM en question reconnait à ce Sullivan le fait d’être titulaire d’une carte professionnelle aux dates indiquées en tant que Powder carrier (chargé de la logistique des poudres/explosifs) qui agit sous la supervision du Blaster (chargé de l’explosion), et qui travaille avec le magazine keeper (magasinier)… voir photo de couv de l’article… ce n’est pas a priori un poste élevé certes, et lui donner le titre d’expert est peut-être surfait, mais néammoins ses 10 ans d’expérience chez CDI montrent une vraie reconnaissance de sa société, ne l’oublions pas trés familiale et sans doute paternailste malgré sa grande taille et le succès de son fondateur.

    par ailleurs, sa double casquette de photographe et de technicien, ajoutée à ses 10 années d’expérience, peuvent conduire à penser que son point de vue visuel a pu influer sur les choix techniques opérés par les équipes de pose et de conception des démolitions, parfois suivies par des personnalités. DAns cet ordre d’idées, son expertise fut peut-être plus importante que son titre et sa double casquette. Il dit d’ailleurs simplement au cours de l’interview qu’il est désormais à la retraite… il faudrait peut-être en savoir plus sur sa vie après, et sur les raisons de son départ.

    http://www.youtube.com/watch?v=14-PHDS5h0g&feature=related

    ou

    http://www.youtube.com/watch?v=OcwnJTpholc&feature=related

  • Blue Rider

    j’ajoute que dans les credits photos du livre en question, Sullivan n’apparait pas en raison des droits qui reviennent à CDI (« sauf mentions speciales »)….

    au bout de 10 ans, pour un photographe, ne pas avoir les droits de toutes ses photos par contrat, c’est aussi un sujet de réflexion douloureux, non? Il faudrait lui demander ce qu’il en pense….

  • Spotless Mind

    Un article du Kingdom job du 5 avril 2000 cite Doug Loizeaux (CDI) : « We needed someone who could help the crew load the structure (with explosives) and document the event at the same time. For him (Tom) to have hands on experience and also be able to photograph the event made us believe he was a good choice ».

    http://www.reopen911.info/News/wp-content/uploads/article part 1.jpg
    http://www.reopen911.info/News/wp-content/uploads/article part 2.jpg

    Donc Tom Sullivan avait bien les deux casquettes : technicien et photographe.

    Donc avant de crier à l’imposture, M. Quirant…

  • christo

    Encore un post de Moorea qui illustre une fois de plus ce qu’il est : un propagandiste qui se contrefiche de la Vérité….

  • Blue Rider

    à la lecture de l’article, on comprend que Tom sullivan est free lance, autant pour moi.

    Donc ces 10 années de travail avec CDI ont d’autant plus de valeur que RIEN ne le lie à CDI si ce n’est la confiance mutuelle entre un entrepreneur et un prestataire dans un domaine sensible et largement expérimental, où les secrets-maison nécessitent une confiance absolue.

    concernant les droits de ses photos par contre, l’absence de son nom au crédit de l’ouvrage auquel il a participé en 2000 (voir supra) indique bien qu’il n’a pas les droits sur ces photos, ce qui ne veut pas dire qu’il n’en possède pas d’autres. A creuser, si je puis dire.





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