Lars Schall interroge Paul Schreyer : « Au Coeur des Ténèbres du 11/9 » (1/2)

Joseph Conrad, le grand romancier anglais d’origine ukrainienne, ne pensait pas que son livre "In the Heart of Darkness" (Au Coeur des Ténèbres) deviendrait "Apocalypse Now" … et encore moins que son titre s’appliquerait si bien au plus grand attentat terroriste de tous les temps. Après les révélations de plus en plus approfondies de Peter Dale Scott, le journaliste allemand Lars Schall, pourtant chahuté par ses commanditaires depuis qu’il a écrit sur les probables délits d’initiés liés au 11/9, revient sur les exercices militaires et les failles du commandement du Pentagone et du DoD le jour des événements du 11-Septembre. Pour cela, il s’adresse à un autre journaliste d’investigation allemand : Paul Schreyer. Ce qui au passage confirme le rôle important de l’Allemagne dans les recherches en Europe sur les événements du 11/9.

En France, nous attendons que des journalistes courageux continuent le travail commencé par Eric Laurent, Aymeric Chauprade, Fabrizio Calvi, Eric Raynaud, Mehdi Ba, Guillaume De RouvilleThierry Meyssan, Hicham HamzaLalo Vespera, qui ont apporté leur pierre à la construction d’une enquête libre et indépendante basée sur le faits. Messieurs les journalistes, ce n’est pas suffisant. Continuons de creuser comme ces 2 journalistes courageux !

 

Ground Zero, 6 octobre 2001, photo inédite publiée le 11 septembre 2012, source : The rude pundit

 


Au cœur des ténèbres du 11-Septembre (1/2)

Par Lars Schall sur Foreign Policy Journal, le 31 août 2012

 

Traduction François D., édition Corto

Officiellement, la défense aérienne des Etats Unis a complètement échoué le 11-Septembre, non pas une fois, ni même deux fois, mais quatre fois d’affilée, alors que de nombreux exercices militaires se déroulaient simultanément au moment des attaques terroristes. En outre, le Plan de Continuité du Gouvernement (COG) fut activé ce jour là après deux décennies de préparation. Beaucoup de questions fondamentales relatives au "récit historique mythique" (Zbigniew Brzeziński) n’ont toujours pas été examinées. Une interview exclusive avec le chercheur allemand Paul Schreyer.

Paul Schreyer est né en 1977 à Ahrenshoop, en Allemagne. C’est un journaliste indépendant qui travaille pour les magazines allemands "Telepolis", "Hintergrund" et "Ossietzky". Il est également l’auteur du livre en langue allemande "Inside 9/11" (ndt : Au cœur du 11 septembre). En lien avec les attentats terroristes du 11 septembre 2001, il a également créé le site internet http://www.911-facts.info/, en anglais et en allemand, et publié les vidéos suivantes : "Inside 9/11 – Who controlled the planes?" (ndt : Au cœur du 11 septembre : Qui contrôlait les avions?), "Inside 9/11 – Hijacking the air defense" (ndt : Au cœur du 11 septembre : Le détournement de la défense aérienne), et "Inside 9/11 – Obstructing the investigation" (ndt : Au coeur du 11 septembre : Les obstructions à l’enquête).

Photo : (ajout de la rédaction), 7 juillet 2011, Berlin, conférence de Paul Schreyer à gauche en compagnie de Jürgend Elsässer au centre et Bommi Baumann à droite, à l’occasion du lancement du numéro d’été de la revue Compact Magazin avec pour thème principal "Le terrorisme mis en scène".

Lars Schall : Mr Schreyer, seriez-vous d’accord avec moi pour dire que les exercices militaires et l’échec de la défense aérienne le matin du 11 septembre 2001 sont les deux aspects les plus importants des attaques terroristes survenues ce jour là ?

Paul Schreyer : C’est exact. Ce que nous appelons le 11-Septembre, c’est essentiellement 4 avions détournés et détruits en deux heures de temps. En conséquence, l’échec total de la défense aérienne pendant ces deux heures devrait être examiné bien plus en détail que ne l’a fait la Commission d’Enquête. Et pour ce qui concerne les exercices militaires, il est pour le moins étrange que ce jour là, précisément, un exercice incluant un détournement virtuel ait été en cours. A vrai dire, c’est un peu plus que simplement étrange si on considère que la deuxième grande attaque terroriste survenue dans l’hémisphère ouest ces dix dernières années, l’attentat à la bombe dans le métro de Londres en 2005, s’est également produite alors qu’un exercice sur un attentat à la bombe dans le métro était en cours. (1) Je dirais que si on veut appeler cela une coïncidence, alors il convient de changer le sens de ce mot.

L.S. : Pourquoi vous êtes-vous intéressé aux événements du 11-Septembre et particulièrement aux points que l’on vient d’évoquer ?

P.S. : Parce que le 11-Septembre reste l’événement le plus important de notre époque. Il a initié ou accéléré des changements politiques majeurs dans de nombreux pays et on est d’ailleurs toujours sous l’influence de ces changements politiques. C’est pourquoi vous ne pouvez pas avoir un comportement responsable aujourd’hui tant que vous ne savez pas ce qui s’est réellement passé le 11-Septembre. Il faut absolument faire la lumière sur cette histoire, c’est une simple question d’honnêteté. Et le point relatif à la défense aérienne ce matin là est apparemment la clé de tout. Cela devrait être évident pour tout le monde. Le Pentagone a été frappé environ 90 minutes après le premier détournement. Et l’armée la plus puissante du monde n’aurait pas été capable de protéger son propre quartier général ? Ceci doit être expliqué.

L.S. : Le matin du 11-Septembre, il y avait tout un tas d’exercices militaires en cours. Pouvez-vous nous en dire plus sur l’un d’entre eux en particulier : "Vigilant Guardian" ?

P.S. : "Vigilant Guardian" était un exercice à l’échelon national également appelé "Transition vers la guerre" qui s’est déroulé entre le 20 août et le 13 septembre 2001. Du 10 au 13 septembre, il était prévu que cet exercice soit opérationnel 24 heures sur 24. En outre, le matin du 11-Septembre, le scénario comprenait un détournement. C’est la raison pour laquelle le premier appel concernant un détournement réel a surpris les officiers du quartier général de la défense aérienne. L’un d’eux a même dit : "Quelqu’un a démarré l’exercice très tôt aujourd’hui. Le détournement ne doit avoir lieu que dans une heure…" Il apparaît que, d’une certaine manière, l’exercice s’est fondu dans la réalité.

L.S. : Est-ce que ces exercices ont gêné la réaction aux attaques terroristes ?

P.S. : Le rapport de la Commission d’Enquête, qui ne mentionne cet exercice que dans une note de bas de page, dit que non. Et effectivement, il est vrai que le lancement d’un avion de chasse n’aurait pas du être gêné par cet exercice. Tout simplement parce qu’il ne faut que quelques secondes pour déterminer s’il s’agit d’un événement réel ou d’un exercice. Mais le rôle de "Vigilant Guardian" pourrait être bien plus important car il donnait accès aux données radar reçues par la Défense aérienne. Par exemple, dans le cadre de l’exercice, des signaux radar virtuels étaient affichés sur les écrans des opérateurs au quartier général de la défense aérienne. Ces signaux ne correspondaient à aucun avion réel mais étaient simplement des informations "insérées" sur l’écran pour rendre l’exercice plus réaliste. Pour être clair, les données radar étaient manipulées intentionnellement. Par conséquent, si on retient l’hypothèse que le 11-Septembre aurait pu être une coup monté, cet exercice aurait été une bonne couverture pour brouiller les informations radar et affaiblir efficacement la défense aérienne.

L.S. : Quand ces exercices ont-ils été arrêtés ?

P.S. : On ne sait pas exactement. L’armée dit qu’ils ont été stoppés juste après la première alerte à 8h38. Mais si on se réfère aux enregistrements audio de la défense aérienne, des "inserts" virtuels sont apparus sur les écrans jusqu’à 9h30, soit presque une heure après le premier appel aux militaires. (2) En fait, on a l’impression que personne n’a vraiment interrompu l’exercice pendant toute la durée des détournements.

L.S. : Les avions détournés ont suivi des trajectoires étranges. Pourquoi ce point est-il significatif ?

P.S. : Il suffit de vous mettre à la place des soi-disant pirates. Pour eux, la chose la plus intelligente à faire était d’agir aussi vite que possible. Pour minimiser les risques, ils devaient prendre le contrôle des avions juste après le décollage et les diriger droit sur leurs cibles de telle façon que les avions de chasse n’aient pas le temps de les intercepter. Mais ça ne s’est pas du tout passé comme ça. Prenez le premier avion, le vol 11. Les soi-disant pirates en ont pris le contrôle à 8h14 mais n’ont pas pris la direction du sud, vers New York. Au contraire, ils ont volé dans la direction opposée, vers le nord ouest, pendant environ 13 minutes. Ce détour n’a aucun sens, en tout cas si vous collez à la version officielle des événements. Et on a le même type de trajectoire avec les 3 autres vols. Le vol 175, détourné à environ 8h45, a fait lui aussi un énorme détour avant de retourner directement vers New York. Encore plus étrange, le vol 77, le troisième avion, a décollé de Washington avec pour cible le Pentagone qui se trouve à quelques kilomètres de l’aéroport. Alors pourquoi a-t-il fait un détour de près de 800 km, soit plus d’une heure de vol ? C’est complètement dingue et irrationnel. Et, à ce jour, on n’a toujours pas d’explications.

L.S. : Concernant le vol 77, il y a quelque chose de très bizarre concernant une "zone blanche" radar, exact ?

P.S. : Effectivement. Le Washington Post a rapporté que le vol 77 avait fait demi-tour dans une toute petite zone où la couverture radar est très faible. (3) Selon le rapport officiel, l’avion a été totalement invisible pendant environ 9 minutes, juste au moment où il tournait. Et pendant cette période, les contrôleurs aériens auraient perdu sa trace. Ce qui laisse penser que cette "zone blanche" aurait pu être la destination de ce détour inexpliqué. Et dans ce cas, cela soulève d’autres questions. Comment les supposés pirates pouvaient-ils avoir connaissance de cette zone blanche, comment pouvaient-ils savoir où elle se situait et comment ont-ils fait pour l’atteindre ? Encore une fois, nous n’avons aucune explication à ce sujet. L’ensemble du vol 77 ressemble à un miracle, au moins tant que vous essayez d’accepter la version officielle.

L.S. : Certains pensent que les avions détournés ont en fait été "détournés à distance". Que savez-vous à ce sujet ?

P.S. : Pour ce qui concerne les avions de ligne, la notion de "contrôle à distance" relève encore de la science-fiction. Mais, tout d’abord, n’oublions pas que cela a été la réaction instinctive de beaucoup de gens après le second impact sur le World Trade Center. Même le reporter de CNN qui couvrait l’événement ce matin là a envisagé cette possibilité après le second impact lorsqu’il a avancé l’idée que, je cite "peut-être qu’un système de navigation ou un dispositif électronique" avait conduit les deux avions droit dans les tours. (4) Parce que c’est exactement l’impression que ça donnait. Entre-temps, des chercheurs indépendants comme Aidan Monaghan ou Kevin Ryan ont évoqué dans leurs études la possibilité d’un contrôle à distance. (5) En fait, il semble que ce soit la version la plus probable de ce qui s’est produit. Au moins, cela peut expliquer beaucoup de faits et d’anomalies que la version officielle considère comme des coïncidences ou de la chance, comme l’approche extrêmement précise de l’avion qui a percuté le Pentagone. Rappelez-vous qu’il a frappé le bâtiment à pleine vitesse et à seulement quelques pieds au dessus de la pelouse. Et qu’il a frappé la seule face du bâtiment qui avait été rénovée avec de l’acier, des murs renforcés en Kevlar et des fenêtres anti-explosions dans le but de résister à une attaque terroriste. Cela a effectivement limité les dégâts et c’est aussi la raison pour laquelle il n’y a pas eu tous ces morts auxquels on peut s’attendre lorsqu’un avion s’écrase sur un si gros bâtiment. Indépendamment de ces considérations, il y a l’aspect technique. Il semble bien, en effet, que la technologie permettant le contrôle à distance d’un Boeing était disponible en 2001. Et là encore, je me réfère aux études détaillées de Aidan Monaghan et Kevin Ryan sur ce sujet.

L.S. : En juin 2001, il y a eu une importante modification dans la structure de commandement mise en place pour intercepter les avions qui dévient de leur route (voir le mémo du Comité des Chefs d’État major interarmées : "Piraterie aérienne et destruction des objets volants hors de contrôle"). Qui était aux commandes depuis ces changements et, par conséquent, le 11-Septembre ?

P.S. : Compte-tenu de ces changements, intervenus quelques mois avant le 11-Septembre, Rumsfeld aurait du personnellement donner son approbation avant qu’un chasseur ne puisse intercepter un avion détourné. Mais, on ne sait pas trop pourquoi, Rumsfeld a disparu de la chaîne de commandement aux moments les plus critiques. Ce qui fait que de nombreuses personnes qui ont enquêté sur le 11-Septembre pensent que c’est une des raisons de l’échec de la défense aérienne – et une preuve tangible pointant le rôle du Secrétaire à la Défense. Mais ce qui est intéressant, c’est que le premier avion de chasse qui a décollé le matin de l’attaque n’a pas eu besoin de l’approbation de Rumsfeld pour prendre l’air. L’officier supérieur qui a donné cette autorisation était le Général de Division Larry Arnold, commandant de la zone Continentale du NORAD (Ndt : La zone opérationnelle du NORAD est divisée en trois régions : L’Alaskan Norad Region, le Canadian Norad et le Continental U.S Norad), qui se situait deux niveaux en dessous de Rumsfeld dans la chaîne de commandement. Ce qui me fait douter de la portée réelle de ces changements. Mais néanmoins, si on considère que le 11-Septembre était un coup monté, ces changements dans la chaîne de commandement auraient pu constituer un niveau de sécurité supplémentaire pour les conspirateurs.

L.S. : Même s’il y avait une série d’exercices militaires en cours, impliquant principalement l’armée de l’air, pensez-vous néanmoins qu’il y avait suffisamment d’avions de chasse disponibles pour intercepter les avions détournés ? Et si oui, pourquoi n’ont-ils pas décollé ?

P.S. : C’est la véritable question. Si vous examinez ce point en détail, vous constaterez qu’en vérité, il y avait suffisamment d’avions de chasse disponibles. Ils avaient des avions disponibles pour protéger la capitale sur la base d’Andrews, à environ 15 km de Washington. Mais Andrews n’a pas bougé. Le premier avion armé n’aurait décollé qu’à 10h38, soit une heure après le crash sur le Pentagone. Ils avaient également deux avions sur la base d’Otis, mis en alerte à 8h38, 25 minutes avant que la deuxième tour ne soit frappée. Enfin, ils avaient deux autres avions disponibles à Langley, mis en alerte à 9h09, 28 minutes avant que le Pentagone ne soit frappé. Dans les deux cas, le temps total – décollage et vol – pour atteindre leur cible aurait été d’environ 20 minutes. Ce qui fait que, techniquement, ils auraient pu intercepter les deux avions. Mais, bizarrement, dans les deux cas, les avions ont fait des boucles et des détours inexpliqués qui ont fortement retardé leur arrivée. En effet, les avions en provenance d’Otis et de Langley n’ont pas mis 20 minutes pour atteindre leurs cibles respectives mais 50 minutes, ce qui est proprement incroyable. Alors qui était responsable de ces boucles et détours ? Qui a donné ces ordres aux pilotes ? La question est toujours ouverte. Tout ce qu’on sait, c’est que, pour une raison inconnue, les enregistrements des conversations avec les pilotes ont été perdus.

L.S. : Deux hommes, dont c’était le premier jour de travail le 11-Septembre, présentent un intérêt particulier dans le cadre de notre entretien. Qui sont ces hommes et quel intérêt présentent ils ?

P.S. : Tout d’abord, il y avait Ben Sliney, responsable national des opérations pour le contrôle du trafic aérien civil. Pour lui, le 11-Septembre était son tout premier jour dans cette fonction. Ensuite, il y avait le Capitaine de vaisseau Charles Leidig, Directeur adjoint du Centre de Commandement Militaire National (NMCC) du Pentagone. Le NMCC est le centre nerveux du Pentagone en cas de crise majeure. La veille du 11-Septembre, le patron du NMCC par intérim, le Général Winfield Montague, avait demandé à son adjoint, le Capitaine Leidig, d’assurer la direction du NMCC le matin suivant à partir de 8h30, à l’heure exacte où l’attaque allait commencer. Une soi-disant coïncidence de plus. Parce que le Capitaine Leidig n’avait aucune expérience dans cette fonction. Il avait été qualifié pour assurer les fonctions complexes de gestion du NMCC seulement un mois avant. Pour des raisons inconnues, il ne parvint pas à établir une conférence téléphonique avec le contrôle aérien civil, alors que le général Winfield, qui aurait du se trouver aux commandes, avait tout simplement disparu. Ce n’est qu’après 10h00, alors que toutes les attaques étaient terminées et que le dernier avion s’était écrasé au sol, que Winfield retourna à son bureau au NMCC. Cette absence "opportune" reste inexpliquée à ce jour.

L.S. : Qu’est-il arrivé au général Winfield après le 11-Septembre ?

P.S. : En fait il a été promu peu de temps après. Et à l’heure où je vous parle, il est même devenu l’assistant adjoint du Secrétaire à la Défense. Le Capitaine Leidig a également été promu après le 11-Septembre.

 

- suite et fin de l’interview -

 

Notes de l’auteur :

(1) ITV News, 07.07.2005 (anglais), Interview de ITV avec Peter Power, Directeur général de la société de gestion de crise Visor Consultants.

BBC Radio 5 Live, 07.07.2005 (anglais), Interview de la BBC avec Peter Power, qui a "effectivement conduit un exercice (…) basé sur plusieurs attentats à la bombe simultanés précisément dans les stations de métro où ils se sont réellement produits".

(2) Matthew Everett, "Débarrassons nous de cette fichue simulation : Comment les écrans radar du NORAD ont affiché des informations erronées tout au long des attaques du 11-Septembre", 12.08.2010

(3) Washington Post (anglais), "Le crash du Pentagone révèle une zone blanche radar", 03.11.2001, Don Phillips

 


Note sur l’auteur :

Lars Schall est né le 31 Août 1974 à Herdecque en Westphalie. Il est diplômé en sciences humaines des Universités de Dortmund, capitale de la Westphalie au Nord de la Ruhr, et de Knoxville, Tennessee. Il est journaliste indépendant spécialisé dans la finance, les opérations boursières, l’énergie, les métaux précieux, les systèmes monétaires et la géopolitique. Il écrit pour plusieurs quotidiens et magazines spécialisés avec une tribune permanente sur Asia Times online. Il est également traducteur spécialisé pour la finance et le commerce international depuis la région de Dortmund où il réside. 

 

 

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6 Responses to “Lars Schall interroge Paul Schreyer : « Au Coeur des Ténèbres du 11/9 » (1/2)”

  • kidkodak

    Je lui aurait posé cette question: est-ce que l’armée aurait pu multiplier les transpondeurs avec le même code identifiant les avions 11-175-77 et 93?

    On sent ici Paul Schreyer très prudent dans ses déclarations:

     »Ce que nous appelons le 11-Septembre, c’est essentiellement 4 avions détournés et détruits en deux heures de temps. »

     »Le Pentagone a été frappé environ 90 minutes après le premier détournement. »

     »L’ensemble du vol 77 ressemble à un miracle, au moins tant que vous essayez d’accepter la version officielle. »

     »Au moins, cela peut expliquer beaucoup de faits et d’anomalies que la version officielle considère comme des coïncidences ou de la chance, comme l’approche extrêmement précise de l’avion qui a percuté le Pentagone. Rappelez-vous qu’il a frappé le bâtiment à pleine vitesse et à seulement quelques pieds au dessus de la pelouse. »

    Et les 3 tours préparées pour exploser il n’en parle pas?Ce n’est pas essentiel?
    Et le témoignage d’April Galop au Pentagone il en fait quoi?

  • René M

    «  » Qui a donné ces ordres aux pilotes ? La question est toujours ouverte. »"
    «  » Tout ce qu’on sait, c’est que, pour une raison inconnue, les enregistrements des conversations avec les pilotes ont été perdus. » ! !
    Raison inconnue ! Quelle distraitquand même ce ‘Bob Inadvertance ‘, remarquez que son collègue ‘William Padechance’ les aurait surement perdu aussi si on lui avait confié ces enregistrements
    Bizarre…. vous avez dit Bizarre ?

    «  » En fait il a été promu (Le général Winfield) peu de temps après. Et à l’heure où je vous parle, il est même devenu l’assistant adjoint du Secrétaire à la Défense. Le Capitaine Leidig a également été promu après le 11-Septembre. »"
    Comme quoi , il y en a qui ont de la chance dans leur carrière, et d’abord pour se trouver au bon endroit juste le bon jour….
    — Officiers en mal de promotion, savez donc ce qu’il vous reste à faire !

    Et notre ami Bradbury que l’on remarque parfois dans les commentaires sur ce site — a sûrement une explication à ,nous fournir pour nous éclairer sur ces ‘étranges bizarreries’ ! ?
    Oui je sais c’est un pléonasme là…. mais le niveau de coïncidences de ces faits mérite bien quand même l’usage volontaire d’un pléonasme à seule fin d’accentuer son caractère

    Et puis après tout, il vaut mieux rire que pleurer de toutes ces grotesqueries accumulées par les explications gouvernementales U.S
    L’humour étant une arme qui ne tue pas (sauf bien sûr à mourir de rire)

  • H.

    « Quelqu’un a démarré l’exercice très tôt aujourd’hui. Le détournement ne doit avoir lieu que dans une heure… »

    Ce serait à pleurer de rire si ce n’était si sinistre… qu’en disent nos journalistes dits  » professionnels  » ?

    Cette information n’aiguise t-elle pas leur curiosité ? Ont -ils tous peur de perdre leur standing de vie à reprendre l’enquête ou savent -ils qu’au fond toute cette histoire n’est qu’un secret de polichinelle et qu’ils en sont les premiers complices ?

  • citron

    Ça fait quand-même plaisir de voir que des journalistes continuent à se battre.

    Dommage que nos p’tits Français (mise à part la liste citée en intro, que nous devons remercier et encourager sans cesse) soit effectivement si peu curieux… pour des journalistes, ça fait quand même un sacré handicap, le manque de curiosité, non ?

    Enfin, quand on sait comment est (dé)formée cette élite de la nation, en fait, on comprend assez bien que le salut ne viendra pas d’eux.
    Même parmi les très nombreux qui savent pertinemment que toute cette histoire est un mythe, extrêmement difficile d’en trouver 10 qui auraient la bizarre idée de concrétiser leur rêve de gamin « d’éclairer le monde »…
    Parce qu’en fait, ce rêve, ça n’a jamais été le leur.
    Leur rêve à eux, c’est de voir leur nom en bas d’un article.
    Leur rêve c’est d’écrire ! N’importe quoi mais écrire… Parce que leur rêve à eux c’était de pas devenir prof comme papa, mais un truc pas très éloigné, plein de culture générale, de grandes zidées, de connaissance des rouages du monde…
    Leur rêve à ces journalistes, c’est un rêve de carrière, un rêve petit-bougeois, un rêve égoïste…
    Leur rêve de journalistes est un rêve anti-journalistique.

    Conclusion : continuons, ici sur reOpen911 et partout ailleurs, à exposer nos arguments… d’une telle évidence qu’il suffit de les dire pour qu’ils soient compris (à par, effectivement par des Bradbury inconsistants).

    Et tant pis si je vois déjà ces mêmes journaleux écrire haut et fort, très bientôt, qu’ils savaient et qu’ils ont été les premiers à manifester leur soupçons… C’est le jeu ! Nous serons là pour leur rappeler leurs mensonges et leur ignominie diffamatoire (n’est-ce pas Monsieur Val ?).

  • Excellente synthèse.

    Noter que si les exercices incluaient la mise en oeuvre de la technologie du télépilotage, cela représentait une bonne raison pour ne pas faire décoller la chasse. « Pas de panique, nous allons prendre le contrôle de l’avion depuis le sol… »

  • kidkodak

    Yhe Corbett Report 24-10-2012

    Interview 550 – Paul Schreyer on the 9/11 Air Defense

    http://www.corbettreport.com/?powerpress_pinw=6000-podcast

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