Rue89 : 11 Septembre, la CIA savait, mais pourquoi n’a-t-elle rien fait ?

Deux ans après une grossière enquête à charge contre les versions alternatives sur le 11-Septembre 2001, le site Rue89 relate le travail semble-t-il pertinent et approfondi de Fabrizio Calvi. L’auteur, spécialiste en archives américaines, retrace les raisons qui ont pu conduire des services de renseignements comme la CIA à taire les préparatifs des attentats. On retrouvera des informations que nous avons relayées depuis longtemps sur notre site, et notamment dans notre article point-cle " Une « attaque surprise » … pas si surprise que ça.

Le secrétaire allemand à la Défense Andreas Von Bulow, spécialiste des opérations sous-faux drapeaux, et le ministre anglais Michael Meacher, apportaient déjà ces éléments d’information dans notre vidéo "11 Septembre, Attaque ou Aubaine?" (voir  ci-dessous)

Pour autant, Fabrizio Calvi semble principalement défendre la thèse de l’incompétence et de la guerre des services. Restent des questions fondamentales partagées par tous… 


"Le 11 Septembre: Attentat ou Aubaine ?"  par ReOpen911

 



11 Septembre, la CIA savait, mais pourquoi n’a-t-elle rien fait ?

Le titre a été modifié au cours du 29/08/2011 pour :
"Une cachotterie de la CIA a permis le 11 Septembre"
Le 29/08/2011 au soir, seconde mise à jour : 
"Comment l’inconscience de la CIA a permis le 11 Septembre"

par Fabrizio Calvo, sur Rue89, le 28 août 2011

Dans son livre, le journaliste Fabrizio Calvi montre que les attentats auraient pu être évités si le FBI avait été averti. Extraits.

Al-Mihdhar_Al-Hazmi.jpgDix-huit mois avant les attaques du 11 septembre 2001 la CIA suivait deux des futurs pirates de l’air, les Saoudiens Khalid Al-Mihdhar et Nawef Al-Hazmi. Elle savait qu’ils étaient aux États-Unis et a tout fait pour empêcher le FBI de le découvrir.

Dix ans après les attaques, l’ancien responsable de l’antiterrorisme de la Maison Blanche, Richard Clarke, pose une question essentielle :

« Pourquoi la CIA n’a-t-elle pas prévenu le gouvernement américain de la présence sur notre sol de deux agents d’Al-Qaïda réputés dangereux ? C’est un des grands mystères du 11 Septembre. »

De nouveaux éléments recueillis au terme d’une enquête de trois ans permettent cependant d’affirmer que cette surveillance était une opération majeure de la CIA contre Al Qaeda.

Décembre 1999, Yémen : l’ordre de Ben Laden

Tout commence en 1998, avec l’écoute de conversations téléphoniques d’une maison de Sana’a, capitale du Yémen, par les services de renseignements américains. La maison abrite une « centrale de la terreur » d’Al Qaeda, Les djihadistes y prennent des instructions et laissent leurs messages. Ben Laden et ses proches ont appelé ce numéro plus de deux cents fois entre 1996 et 1998.

Fin décembre 1999, les services américains enregistrent un appel en provenance d’Afghanistan. Ben Laden donne l’ordre à « Khalid » et « Nawaf » de se rendre à Kuala Lumpur en Malaisie pour prendre part à une réunion importante.

Une nouvelle enquête sur le 11 septembre

Couverture du livre de Fabrizio Calvi

L’article de Fabrizio Calvi que nous publions est développé dans trois des chapitres du livre de son livre, « 11 Septembre, la contre-enquête », paru aux éditions Fayard.

« Alec Station », l’organisme de la CIA chargé de traquer Ben Laden, identifie Khalid Al-Mihdhar et Nawaf Al-Hazmi. La traque commence.

Le 5 janvier 2000, Khalid Al-Mihdhar est repéré à l’aéroport de Dubaï. Avant même qu’il n’embarque, la photocopie de son passeport est envoyée au siège d’Alec Station.

Le Saoudien possède un visa d’entrée pour les Etats-Unis. La photocopie est communiquée à Marc Rossini et Doug Miller, deux agents de liaison du FBI en poste au sein d’Alec Station. Ils rédigent un rapport à l’attention du Bureau, concernant l’arrivée imminente du terroriste aux Etats-Unis.

Mais le numéro 2 d’Alec Station, Tom Whilshire, leur interdit de l’envoyer leur rapport. Placés sous l’autorité de la CIA, ils sont obligés d’obéir.

Marc Rossini proteste et demande des explications. « Quand nous voudrons informer le FBI, nous le ferons », lui répond une responsable de la CIA.

Janvier 2000, Malaisie : la réunion de Kuala Lumpur

La CIA intervient tout de même. Par manque de temps, elle alerte son homologue, la Special Branch malaise.

Les agents malais suivent le terroriste jusqu’à un luxueux appartement de la banlieue de Kuala Lumpur, propriété d’un riche homme d’affaire proche d’Al Qaeda, où se déroule une réunion présidée par Khalid Sheikh Mohammed, le cerveau des attaques du 11 septembre.

But de la rencontre : finaliser deux attaques, celle contre l’USS Cole au Yémen, et celles du 11 septembre.

Les agents de la Special Branch suivent les deux terroristes et assistent à leur départ pour Bangkok le 8 janvier. Une équipe de la CIA se rend à l’aéroport d’arrivée, où elle perd leur trace.

Au QG d’Alec Station, les agents du FBI ne comprennent toujours pas pourquoi la CIA leur interdit d’informer le Bureau de l’arrivée imminente des deux terroristes aux Etats-Unis. « J’étais très inquiet », dit Marc Rossini :

« Je savais qu’ils allaient arriver et que ça ne serait pas une visite touristique. J’avais compris que leur voyage faisait partie du show à venir. Je me demandais “Que viennent-ils faire ici ? Que veulent-ils ? ” Mais je ne pouvais rien faire. »

L’agent du FBI Doug Miller rédige un nouvel e-mail à l’attention de Tom Wilshire, demandant au numéro 2 d’Alec Station de lui donner par écrit les raisons qui l’ont amené à bloquer le rapport du 5 janvier 2000 destiné à alerter le FBI. Il n’obtient pas de réponse.

Mars 2000, Los Angeles : les deux kamikazes s’installent

Les deux djihadistes arrivent à Los Angeles ce même jour. Ils sont pris en charge par Omar al-Bayoumi, un ancien employé du ministère de la Défense saoudien que l’on dit proche des services secrets saoudiens. Ce dernier leur offre l’hospitalité et les introduit dans la communauté musulmane de San Diego, où il réside.

Là, les deux Saoudiens prennent des cours d’anglais et s’inscrivent pour suivre des cours de pilotage. Ils ne se cachent pas : leur nom figure dans l’annuaire de la ville.

Au début du mois de mars 2000, les analystes d’Alec Station reçoivent un message de la CIA de Bangkok, qui s’est aperçue avec deux mois de retard que Khalid Al-Mihdhar et Nawaf Al-Hazmi sont partis pour Los Angeles.

A compter de ce moment, la CIA sait officiellement que deux djihadistes sont aux Etats-Unis. Pourtant, l’équipe concernée n’avertit toujours pas le FBI. Les agents détachés auprès d’Alec Station n’ont pas accès au message de la CIA de Bangkok, alors qu’ils auraient dû.

Mai 2000, Arabie Saoudite : un visa pour le terroriste

Reproduction de la demande de visa de de Khalid al-Mhidhar
Cliquez ici pour agrandir l’image

A la fin du mois de mai 2000, Khalid al-Mihdhar quitte les Etats-Unis pour se rendre au Yémen et en Afghanistan. Son but : recruter les membres des commandos qui doivent s’emparer des avions. Nawaf Al-Hazmi reste à San Diego où d’autres pirates du 11 Septembre doivent le rejoindre.

Les autres pilotes kamikazes et les hommes de mains arrivent aux Etats-Unis, fin 2000 début 2001. Tous sont munis de visas d’entrée, leurs passeports sont à leur vrai nom. Presque tous suivent des cours d’aviation.

En mai 2001, Khalid Al-Mihdhar retourne en Arabie Saoudite. Il voyage sous son vrai nom et présente son vrai passeport, qui porte un signe distinctif invisible à l’œil nu, réservé aux terroristes dangereux à suivre de près. Les Saoudiens savent qu’il est membre d’Al Qaeda et l’ont dit aux Américains.

Khalid Al-Mihdhar déclare ses papiers volés : le passeport dont il se sert porte des tampons afghans et yéménites récents qui risquent d’attirer l’attention des Américains. Le 1er juin 2001, il obtient un nouveau titre de voyage muni de l’indicateur le désignant comme terroriste.

Pour une raison que l’on ne s’explique pas, il n’a pas de date d’expiration. Personne ne s’aperçoit de l’anomalie, qui rend caduc le document, et surtout pas l’agent consulaire américain, qui lui accorde un visa d’entrée pour les Etats-Unis le 13 juin 2001.

Khalid Al-Mihdhar n’aurait jamais dû avoir de visa américain. Outre le sigle terroriste et l’absence de date d’expiration du passeport, son formulaire de demande de visa est incomplet : il a omis des indications importantes.

Il ment en affirmant n’avoir jamais reçu de visa américain et ne s’être jamais rendu aux Etats-Unis, alors que ce même consulat lui a délivré un visa en décembre 1999. Mais l’agent consulaire chargée du dossier, ne relève aucune irrégularité.

Juillet 2001, Washington : la CIA s’alarme

Le patron de la CIA George Tenet lors de son audition par la commission d'enquête en 2004 (K. Lamarque/Reuters)Pendant ce temps, la CIA tire la sonnette d’alarme et fait savoir partout qu’elle s’attend à une attaque majeure. Le 10 juillet 2001, le directeur de la CIA George Tenet rencontre Condoleezza Rice, conseillère pour la Sécurité nationale du président Bush. Tenet est accompagné du responsable d’Alec Station, qui annonce :

« Il y aura des attaques spectaculaires dans les mois ou dans les semaines à venir. Elles auront lieu simultanément et provoqueront des dégâts massifs. Les attaques viseront les intérêts américains, peut-être même auront-elles lieu aux Etats-Unis… »

Pour résumer, la CIA sait avec certitude dès les mois de juillet 2001 que Khalid Al-Mihdhar et Nawaf Al-Hazmi sont aux Etats-Unis pour participer à une attaque majeure d’Al Qaeda. Mais il lui reste encore bien des choses à découvrir.

Le numéro 2 d’Alec Station, Tom Wilshire, a été détaché auprès du quartier général du FBI pour servir de liaison. Peut-être est-il aussi là pour s’assurer qu’il n’y a pas de fuites concernant les informations sur le sommet de Kuala Lumpur ?

Il est en tout cas obsédé par cette rencontre. A la fin du mois de mai, il a demandé à Margaret Gillespie, une analyste du FBI, de passer en revue ce dossier et de vérifier que rien n’a échappé aux officiers de la CIA.

Margaret Gillespie n’a pas accès à la totalité des informations de la CIA. Tom Wilshire ne lui dit pas qu’au moins deux des participants, Khalid Al-Mihdhar et Nawaf Al-Hazmi, sont aux Etats-Unis. Il ne confère aucun caractère d’urgence à cette recherche.

Août 2001, Washington : le déclic d’une agent du FBI

Le 21 août 2001, à son retour de vacances, Margaret Gillespie tombe enfin sur le rapport d’Alec Station faisant état de l’arrivée des deux djihadistes aux Etats-Unis plus d’un an auparavant. Dans les heures qui suivent, elle apprend deux nouvelles inquiétantes :

  • Nawaf Al-Hazmi est toujours aux Etats-Unis, où il a pris plusieurs fois des vols internes ;
  • Khalid Al-Mihdhar est rentré aux Etats-Unis le 4 juillet 2001, et n’en est pas reparti.

« C’est là que j’ai eu le déclic », dira par la suite l’agent du FBI. Le lendemain, elle fait part de sa découverte à Tom Wilshire. Cette fois, ce dernier ne peut plus bloquer l’information. Le FBI ouvre enfin une enquête. Mais les choses ne se passent pas comme elles le devraient.

L’enquête est classée « routine », c’est-à-dire qu’elle ne comporte aucun caractère d’urgence. Nawaf Al-Hazmi et Khalid Al-Mihdhar sont placés sur les listes des terroristes à interpeller… aux frontières. Mais personne n’alerte les autorités aériennes civiles, les seules à disposer d’une liste de surveillance réservée aux vols internes.

Septembre 2001, New York : l’enquête de la dernière chance

Le 23 août 2001, le FBI de New York est chargé de localiser les deux Saoudiens. Mais l’affaire est confiée à un agent inexpérimenté, à peine sorti de l’école. C’est sa première enquête, il ne connaît rien à Al Qaeda. Il prend connaissance de la demande le 28 août 2001, note qu’elle est classée « routine ». L’agent du FBI commence à travailler sur les deux terroristes le 4 septembre 2001.

Il est la dernière chance d’arrêter les attaques.

L’agent du FBI interroge les banques de données des polices américaines. Il aurait dû y trouver la trace des terroristes, repérés après avoir commis des excès de vitesse. Le dernier signalement en date porte sur une voiture qu’ils ont louée le 28 août 2001. Que l’agent du FBI le voit, et il est en mesure de remonter jusqu’aux deux terroristes et tout s’arrête. Mais il ne le voit pas.

L’agent du FBI ne trouve pas non plus trace de Khalid Al-Mihdhar et Nawaf Al-Hazmi dans les bases de données des cartes bancaires. Or, au début du mois de septembre, les djihadistes ont acheté des billets d’avions sur le vol 77 de l’American Airlines pour la date du 11 septembre 2001.

L’agent du FBI n’a donc pas pu empêcher Khalid Al-Mihdhar, Nawef Al-Hazmi et trois autres djihadistes, d’embarquer à bord du vol AA 77 pour le précipiter contre le Pentagone.

Après l’attentat, les doutes de Richard Clarke

Richard Clarke en 2007 (Aude/Wikimedia Commons/CC)A l’époque, Richard Clarke, coordinateur national pour la Sécurité, supervisait toutes les opérations antiterroristes depuis la Maison Blanche. Il aurait dû être informé de l’arrivée aux Etats-Unis des deux Saoudiens :

« La CIA savait qu’ils étaient aux Etats-Unis et ils ne m’ont pas prévenu. Ils n’ont pas prévenu le FBI. Après le 11 Septembre, quand j’ai appris ça, j’étais indigné, j’étais fou de rage. J’ai essayé de trouver des excuses, je me suis dit qu’ils allaient trouver une excuse. »

Depuis, Richard Clarke a mené sa propre enquête.

« Maintenant, je sais que toutes les personnes responsables du contre-terrorisme de la CIA étaient au courant, à commencer par le directeur.

Cinquante personnes étaient au courant ! Cinquante ! Et ils l’ont su pendant un an. Et pas une seule fois pendant cette année ils ne m’ont averti ou n’ont averti le directeur du FBI. Ces cinquante personnes se sont tues pendant plus d’un an. Ça, c’est un petit peu plus qu’une coïncidence.

Je ne veux pas échafauder de théories conspirationistes. Mais j’aimerais trouver une explication. La Commission d’e,nquête sur le 11 septembre n’en a pas trouvé. Le directeur de la CIA m’appelait régulièrement pour me communiquer des informations banales. La CIA m’abreuvait d’information par écrit et par oral. »

George Tenet a démenti toute dissimulation

Après les attaques du 11 Septembre, Clarke a essayé d’obtenir une réponse du directeur de la CIA, George Tenet. En vain. Il a demandé à Dale Watson qui s’occupait du contre-terrorisme au FBI comment aurait réagi le FBI s’il avait su que deux dangereux terroristes étaient arrivés aux Etats-Unis. Dale Watson lui répondu : « On aurait mis leur photos partout, on les aurait fait circuler sur Internet. »

« Je lui ai alors demandé qu’elle aurait été la possibilité d’arrêter ces deux types », explique Richard Clarke. « Il m’a dit : 100% » Et les attaques du 11 septembre n’auraient jamais eu lieu…

Face aux accusations de Richard Clarke, le directeur de la CIA d’alors George Tenet et ses deux plus proches collaborateurs ont publié le 12 aout 2011 un démenti affirmant que la CIA n’a dissimulé aucune information et rejettent la faute sur des employés subalternes et sur… des agents du FBI.

Le 26 août 2011 on apprenait que la CIA a fait censurer avant publication le livre de révélations à paraître d’un des plus brillant agents du FBI, Ali Soufan qui avait lui aussi tenté en vain d’obtenir des informations sur la réunion de Kuala Lumpur dès janvier 2001

Des hypothèses sur les raisons d’un tel fiasco

Que s’est-il passé ? Pourquoi la CIA a-t-elle tout fait pour empêcher le FBI de découvrir la présence aux États-Unis de Khalid Al-Mihdhar et Nawef Al-Hazmi ?

Tous les protagonistes de l’affaire que j’ai eu l’occasion d’interroger (principalement des agents du FBI) se posent des questions sur le seul grand mystère du 11 Septembre, et hasardent des hypothèses pour expliquer les manœuvres occultes de la CIA en 2001.

  • L’agence aurait-elle essayé de recruter certains des pirates de l’air ou leurs proches ?

    On sait avec certitude que la CIA a tenté des manœuvres d’approche à deux reprises (à Kula Lumpur et à Hambourg) auprès de comparses des djihadistes du 11 septembre.

    On sait que les 19 djihadistes se sentaient surveillés lors de leurs déplacement à l’intérieur des Etats-Unis avant le 11 septembre 2001.

  • Les silences de la CIA sont-ils destinés à protéger une source proche des assaillants ? Aurait-elle été victime d’un agent triple ? Ce ne serait pas la première fois.

    Les réponses à ces questions sont cruciales pour comprendre l’événement le plus considérable de ce début de siècle. La sommes des mystères de Kuala Lumpur ne fait pas une conspiration, mais en refusant de s’expliquer, les dirigeants de la CIA nourrissent les théories les plus folles.

     

Photos et illustrations : photos d’identité de Khalid Al-Mihdhar et de Nawef Al-Hazmi, reproduction du formulaire de demande de visa de Khalid al-Mihdhar, le patron de la CIA George Tenet lors de son audition par la commission d’enquête sur les attentants en 2004 (K. Lamarque/Reuters), Richard Clarke en 2007 (Aude/Wikimedia Commons/CC).

 


En lien avec cet article :

 

 


 

33 Responses to “Rue89 : 11 Septembre, la CIA savait, mais pourquoi n’a-t-elle rien fait ?”

  • Effectivement, quand j’ai alerté ReOpen911 au réveil, mon I-Phone proposait un article Rue89 intitulé « 11 Septembre, la CIA savait, mais pourquoi n’a-t-elle rien fait ? »… Quelques heures plus tard, l’article avait changé de titre pour devenir : « Une cachotterie de la CIA a permis le 11 Septembre ». Je pense que cette modification « dernière minute » en dit vraiment long sur le traitement du sujet. Ce n’est certes pas une surprise mais quand même…
    az

  • Cristof

    Le titre de l’article de rue89 à encore changé

    Comment l’inconscience de la CIA a permis le 11 Septembre

  • Rue89 change encore de titre sur sur article sur le 11 sept 2001. Trois fois en une journée… voilà qui est extrêmement révélateur. Le petit mail envoyé à la rédaction et posté sur les commentaires :

    « 3 titres différents en une journée !! Voilà qui est extrêmement révélateur de votre incompétence, cher Rue89. Je dirais même que depuis le début, sur cette affaire, vous êtes vraiment « à la rue ». Quant à savoir a quel numéro…
    9h00 : « 11 septembre : la CIA savait, mais pourquoi n’a-t-elle rien fait ?
    11h00 : Enquête : une cachotterie de la CIA a permis le 11 Septembre
    21h00 : « Comment l’inconscience de la CIA a permis le 11 Septembre »
    Finalement, vous ne vous rendez même pas compte que les gens qui laissent un message sur un sujet et un titre sont dégoûté de voir que leur post n’a plus de sens après vos modifications qui ne sont même pas lié à du journalisme (modification car info eronné, modification pour précision etc…). »

  • Sébastien

    En ce qui concerne ces nouvelles « révélations », elles sont loin d’être suffisantes pour tout expliquer, mais comme par hasard, elles permettent -encore- d’accréditer la version du complot Islamiste.
    Le récit fourni me paraît très confus et très incomplet. Quid des autres kamikazes? Etaient-ils présents pour faire de la figuration?
    Quant aux sources des attentats, elles sont loin de me convaincre. Les « cerveaux » pensaient réellement avoir les capacités de les réaliser? Tssss…
    Encore des fables.

  • Sébastien

    Dans fables, il y a « fabuleux », comme « Le fabuleux destin de Ben Laden », ou « Les plus fabuleux attentats jamais réalisés ».

  • kidkodak

    ‘L’agence aurait-elle essayé de recruter certains des pirates de l’air ou leurs proches ?’

    Ben non voyons,les vols 11 et 175 ont été remplacés par des avions téléguidés,il n’y a pas eu d’avion dans le Pentagone,une bombe ou un missile peut-être, et le présumé crash du vol 93 a servi à tourner un film lucratif après les évènements.
    Tant qu’aux tours 1,2 et 7 étaient déjà bourrées d’explosifs.

    Encore un article pour détourner l’attention des vraies causes du 11 septembre.

    Lorsque je lis les changements multiples de titres dans la même journée,je ne peux m’empêcher de penser au film WAG THE DOG(Des Hommes d\’Influence) avec Robert DeNiero et Dustin Hoffman .
    Extrait: http://www.youtube.com/watch?v=gNDmDZi05dY

  • Fulcanelli

    Sur cet aspect des événements du 11 septembre 2001 et de leur genèse, on lira l’analyse très poussée de Kevin Fenton, « Disconnecting the Dots: How 9/11 Was Allowed to Happen », publié chez Trine Day (Waltersville, Oregon), en juin 2011.
    On trouvera un compte-rendu de l’ouvrage par Erik Larson à http://www.911reports.wordpress.com.
    Voir également l’article de Kevin Fenton sur son blog à http://911blogger.com/blog/127, « Analysing the CIA Response to Richard Clarke’s Allegations: Who Knew What When? », 12 août 2011.

  • Doctorix

    @kidkodak
    Vous avez raison: la CIA n’a pas cherché à protéger des pilotes d’AlQaida, elle a cherché à protéger les figurants qui devaient être montrés du doigt comme pilotes après coup.
    La difficulté majeure du ciblage des tours est telle qu’aucun de ces abrutis n’auraient pu y parvenir.
    Le téléguidage des avions depuis le sol (un bon pilote bien équipé informatiquement peut piloter ainsi 8 avions simultanément!), et une bonne balise implantée sur les objectifs ont seuls pu permettre cette extraordinaire performance.
    C’est donc évidemment un complot où les militaires sont impliqués jusqu’au cou.
    Pour le pentagone, l’hypothèse missile est la plus probable, au vu de l’improbable manœuvre à 270° alléguée, avec final au ras des pâquerettes, que les pilotes les plus expérimentés estiment impossible, même pour eux. L’absence de photos et de film est pratiquement une preuve qu’il ne s’agissait pas d’un avion, car dans ce cas on se serait empressé de nous les montrer.
    Ce que je trouve extraordinaire, c’est qu’un scénario aussi nul, aussi bâclé, ait pu tromper tant de gens pendant dix ans, et pour quelque temps encore…

  • Damiano

    kidkodak, je crois que c’est à cause de gens comme vous que le Mouvement piétine, et que dans 50 ans vous serez toujours dans la même situation, en train de réciter vos mantras. Vous n’avez aucune preuve de ce que vous avancez et vous ne supportez pas que tout le monde ne partage pas vos vues. Etrange qu’alors qu’on fait ici même la promotion d’un livre complexe comme celui de Peter Dale Scott, on trouve toujours des réflexions simplistes aussi navrantes…

    Vous expliquez comment tous les témoignages au Pentagone qui décrivent un gros avion de ligne ? Et les 3 autres avions, ils sont passés où d’après vous ?

    Une question : Peter Dale Scott ne conteste pas le complot islamiste ? Il montre seulement les liens avec des services de renseignement, dont la CIA ? sans dire clairement que le 11/9 serait un inside job ?

  • joeblow

    La seule chose intéressante dans dans ce ramassis de conneries est de voir à quel point ils (les salauds) rament pour essayer encore de noyer le poisson, et ça, c’est plutôt bon signe.

    La CIA ne voulait juste pas griller leurs boucs émissaires.

    Ce gentil petit mea culpa ne correspond en rien aux faits et témoignages vérifiables.

    Pour ce qui est de rue89, c’était des clowns et ça reste des clowns.

    Et en passant Clarke et Tenet aussi sont des clowns, allez, me dites pas qu’ils n’ont jamais entendu parler de chute libre et qu’ils n’ont pas Youtube à la maison.

  • Jonas061

    Il est regrettable que l’auteur de cet article n’ait pas poussé l’analyse jusqu’à tenter d’expliquer cette double coïncidence par laquelle Marc Rossini et John O’Neil (du FBI) étaient présents à Madrid le jour même où Mohammed Atta quitta la ville, le 9 juillet 2001, et que ces deux agents se rendirent ensuite à Salou (en Catalogne) et séjournèrent à la Casablanca Playa, c’est-à-dire dans la même ville et dans le même hôtel où Mohammed Atta séjourna du 16 au 17 juillet avant de retourner aux Etats-Unis le 19.

    Il est difficile de faire la lumière sur les éventuelles défaillances des agences de renseignement sans prendre en considération des éléments cette nature.

  • nikechx

    « damiano « les témoignages de personnes qui decrivent un gros avion de ligne au pentagone ont fait l objet d une enquête de pilote for truth; et ils ont prouvé que la majorité de ces témoignages parlent d un avion qui venait d une direction oposée à celle de la version officielle et certains ont vu un avion qui s éloignait du pentagone après l explosion ! Donc l argument que des témoins ont vu l avion pour soutenir la vo ne peut plus être utilisé!!!

  • sachash

    Rien de nouveau. Tout cela était déjà mentionné p.52 du « grand bluff ».

    Jurgen Elsässer serait d’avis que ces pirates étaient des agents.
    « La plupart de ces hommes (par exemple, 5 des 7 responsables présumés du 11 septembre) travaillaient ou avaient travaillé pour les services occidentaux: CIA, MI-6 anglais ou BND allemand. »
    Source : http://www.editions-xenia.com/actuel/files/entretien_elsaesser.html

    (Xenia vient d’éditer cet ouvrage issu d’un collectif suisse :
    « 101 bonnes questions sur le 11 septembre »).

    Mais des agents qui seraient dans l’annuaire téléphonique ? Cela fait sourire…
    Il se pourrait plutôt que nos figurants aient été remplacé par des copies bien visibles – Al-Mihdhar ne ce serait intéressé qu’à piloter de gros avions, un peu voyant n’est-ce pas ? – ou des clowns – en t-shirt à fleurs avec attaché case au bord de la piscine – doublés de fêtards redoutables – aux USA, « Atta » fréquentait des lieux de mauvaise vie et une présentatrice de lingerie alors qu’en Allemagne il était timide et sans amoureuse. L’aurait-on dévergondé ?

    Et puis rappelons qu’Al-Mihdhar a été déclaré vivant par la presse arabe. La VO changea donc. Le pilote du vol 77 n’était plus lui mais Hani Hanjour…

    http://books.google.fr/books?id=aIaVSMF23HkC&printsec=frontcover&dq=manipulations+fumeuses&hl=fr&ei=OWlSTtTBHsr2sgbD2vW4DQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ve#v=onepage&q&f=false

    Ce bouquin d’enquêteur archiviste explore bien des pistes. On pourrait le mentionner il me semble à la rubrique livres de Reopen. Il est également disponible sur Amazon.

  • Damiano

    @ nikechx

    Vous dites : « « damiano « les témoignages de personnes qui decrivent un gros avion de ligne au pentagone ont fait l objet d une enquête de pilote for truth; et ils ont prouvé que la majorité de ces témoignages parlent d un avion qui venait d une direction oposée à celle de la version officielle et certains ont vu un avion qui s éloignait du pentagone après l explosion ! Donc l argument que des témoins ont vu l avion pour soutenir la vo ne peut plus être utilisé!!! » »

    Je ne crois pas que l’enquête en question ait interrogé « la majorité » des témoins, mais seulement une dizaine, me semble-t-il. Alors qu’on recense plus de 100 témoins (qui n’ont pas été interrogés).

    L’avion décrit par ces témoins ne venait pas d’une direction « opposée », mais la trajectoire était légèrement différente, la direction, elle, restant à peu près la même.

    Quant aux personnes qui ont vu l’avion voler après l’explosion, il me semble qu’il y en a 1 ou 2.

    Vous admettez donc qu’un gros avion a été aperçu volant à très basse altitude et se dirigeant vers le Pentagone quelques instants avant l’explosion. Mais vous pensez qu’il a rasé le bâtiment et est reparti ? au moment où un missile aurait frappé ? et vous avez une idée de ce qu’était cet avion de ligne rasant le Pentagone au moment du tir de missile ? le vol 77 ? autre chose ? La manœuvre me semble extrêmement dangereuse et peu crédible.

  • joeblow

    @ Damanio,

    -cv du pilote du vol 77 , Charles Burlingame
    -témoinagne du chauffeur de taxi(national security alert)
    -trajectoire du vol(nationale security alert) correspond pas aux lampadaires ni aux dégats dans le pentagone.
    -les réacteurs disparus dans un monde paralèlle.
    -aucune image ainsi que confiscation de celles provenant des autres bâtiments.
    -Hani Hanjour topgun
    -http://www.reopen911.info/News/2011/03/08/la-preuve-irrefutable-que-les-donnees-de-vol-censees-etre-celles-du-vol-aa77-qui-a-percute-le-pentagone-ne-proviennent-pas-dun-boeing-767/

    Franchement Damiano si t’en veux d’autres c’est pas un problème, mais je pense que y a pas photos

  • Épier les moindres faits et gestes des pirates, ça les mènera loin, à Rue89…

  • Damiano

    @ joeblow : c’est toujours le même problème, dès qu’on essaie de débattre, on vous perçoit comme un ennemi… je ne défends pas la VO, j’essaie gentiment de vous montrer vos propres failles, pour vous faire avancer.

    Je suis d’accord sur Hanjour, la trajectoire décrite par ces témoins qui colle mal avec l’arrachage des lampadaires…

    Il n’en reste pas moins que vous ne semblez pas remettre en cause le passage d’un avion de ligne à très basse altitude au-dessus du Pentagone au moment de l’attentat.

    Ça me semble seulement très curieux d’imaginer que l’armée US se serait amusée à faire voler un Boeing au ras du toit du Pentagone au moment où un missile aurait frappé, risquant de détruire l’avion passant à proximité.

    Dans votre scénario, Charles Burlingame serait complice des instigateurs du complot, et aurait ensuite conduit son avion on ne sait où, pour buter les passagers et se faire buter lui-même ?

    Et ça me trouble un peu qu’on n’ait pas plus d’un ou deux témoins qui disent avoir vu un avion (sans trop de précisions dans leur témoignage) juste après l’explosion.

    Plus crédible : que le vol 77 se soit bien crashé dans le Pentagone, éventuellement par téléguidage.

  • neurone

    Si même la presse « mainstream » se met à nous sortir des articles « complotistes » … c’est que la presse et le tour de magie et ses mensonges qui ont duré 10ans peuvent laisser filtrer qq news.

    Bjr à toutes & à tous,

    Effectivement, 10ans après la catastrophe, la presse ne va pas écrire en gros « 11 Sept on vous a menti » !, où « nous nous excusons d’avoir traité de conspirationniste et/autres soucoupistes et cie » : non le système qui n’est contrôlé de nul part et par tout le monde un peu d’auto censure par ci, peur de représailles, par là, ou peur du licenciement, ou plus simplement absence d’info … : le système médiatique fait en grande partie son travail, recopier qq dépêches d’agence là, quand ce n’est pas un article censuré ici, etc. Ce système est aux ordre d’une partie des dépêches gouvernementales, doit rapporter du factuel et non pas l’interroger, et/ou publier qq propos de rédacteurs en chef – lesquels se cotoient dans les dîner du siècle et/ou autre anniversaire de l’un ou l’autre : comme par exemple en 99, avec l’anniversaire de l’autre conseilleur du roy, au « Le grand Véfour”, qui fait du business avec le soutien financier de l’autre madonne …

    10ans après attentats et les avions qui percutent les tours, de facon terrifiante, laissant 3000 victimes au tapis, les médias ne pourraient passer sous silence cet anniversaire, et tout comme qq journalistes un peu plus audacieux ont cherché qq vérités, on peu bien laisser diffuser une ou deux info, lesquelles accréditeront encore l’idée « laisser faire » ou de la « nullité de agences américaines » (au choix), sans jamais expliquer l’arrière scène du théatre : CA C’EST NOTRE JOB ! … de mettre les bouts de puzzle en place, d’assembler factuellement, et si vous ne comprenez pas tant pis ! Ce n’est pas que la presse censure ou complote, mais simplement que la presse comme la pravda ca se lit deux façons : ce qu’il y a décrit et ceux qu’il n’y a pas d’écrit entre les lignes, mais que tout le monde comprend – comme dans une grande dictature, non je déconne !

    Alors, la certitude d’un complot ?! Mais non, mais la certitude que le système ne rompt pas et qu’il fonctionne avec son inertie propre et ses mensonges : l’affaire de l’autre « hot d’or » et ses frasques, montre à quel point le système admet bien le crime, puisqu’il s’agissait bien d’un viol, que tout le monde à compris … on ira même jusqu’à écrire DSK « blanchi », ici – et autres « amis » de se réjouir en choeur, là – etc. !!! C’est comme cela qu’il faut penser « main stream » … même si en votre for intérieur vous penser « foutage de gueule » … car le système profite de l’aveuglement de certain et de l’immense pauvreté de la majorité pour enrichir les uns et appauvrir le plus grand nombre …

    Vous voulez une nouvelle enquête ? c’est légitime… mais le système absorbe crise et guerre, finalement nous sommes tous des collaborateurs du système, parce qu »il le « vaut bien » !

    La vérité vaincra, Neurone …

    Ps : Pour traduire, sur le fond, effectivement la CIA savait, même les médias l’ont dit le lendemain du 11/Sept, la question était qui savait et que savaient-ils ?! Mais Là plus de son plus d’image … c’est la faute à pas de chance si l’information n’a pas pu être diffusée quand elle diffuse dans des avions avec des portables à 2 balles (et que l’on ne nous dise qu’il s’agit d’un complot : vraiment pas de chance que les avions n’ait pas pu décoller, ni que la procédure d’interception rapide fut stoppée qq mois auparavant par Rumsfeld, et quelle coincidence que les attentats se déroulèrent au même môment, sur les mêmes cibles que des exercices d’attentat le jour même – voir l’analyse de Chauprade, en particulier), mais les grands de se monde sont blanchis et peuvent bien se « taper » une ou l’autre guerre au nom des « libertés » !!!

  • parousnik

    L’agence criminelle US savait…! Evidemment puisqu’elle en a organisé une bonne part…..

  • René M

    @Damiano je vous cite
     » j’essaie gentiment de vous montrer vos propres failles, pour vous faire avancer.  »

    Vous allez alors certainement nous montrer l’avion du pentagone… Et vous avez des photos ? Cachotier depuis combien d’années vous avez la solution, puisque vous soulignez n’être pas pas pro-vo
    Chouette je suis impatient, à moins que vos failles à vous, vous empêche d’avancer

    Quand à Rue 89 cet « organe de presse du net  » (mais ce titre est trop généreux de ma part) a changé 3 fois de titre en une journée de la même façon que la commission d’enquête à changé plusieurs fois de version dans ses explications de l’effondrement des tours et autres sujets techniques.

    Si quelqu’un a encore confiance dans la production journalistique de Rue 89 ? Eh bien moi pas !

    Non, il y a trop de chose utiles à lire sur le net dans tout les domaines pour perdre son temps à lire le site qui s’est un jour grillé définitivement en manipulant honteusement un groupe d’élèves d’une école de journalisme pour produire un article nul sur le 11Septembre.

    Rue 89 = mauvaise rue, passer par un autre chemin…..

  • Damiano

    @ René M

    Dommage que vous ne répondiez pas à mes questions. Vous avez la même réaction impulsive que les pro-VO et je le regrette…

    Au cas où, je retente : avez-vous un avis sur l’avion de ligne que tous les témoins ont vu voler à très basse altitude en direction du Pentagone quelques instants avant l’explosion ?

    Quant à Rue89, ce site me dégoûte, alors n’essayez pas de faire croire que je prends sa défense.

    Ne tombez pas dans la logique de Bush : « Soit vous êtes avec nous, soit vous êtes contre nous ! » C’est malheureusement ce que je ressens parfois ici.

  • sachash

    De même, Labévière, dans Vérités et mythologies, croit à l’éternelle guerre des polices, et accrédite un laissez-faire général – syndrome de Pearl Harbor – autour de Ben Laden (absence de troupes au sol autour de Tora Bora malgré les conseils des afghans; attentats de 1993 et 1998 organisés par des petits protégés saoudiens de la CIA via des ONG, poussières « mises sous le tapis » selon un membre du FBI; non arrestation en juillet 2001 lorsque Larry Mitchell rend visite à Ben Laden le 12 juillet 2 jours avant son départ de Dubaï vraisemblablement, selon un responsable de Bahreïn, en vue d’un cessez-le-feu contre un retour en Arabie Séoudite et au moment où jusqu’à fin juillet les américains négociaient encore des contrats gaziés avec les taliban – on peut donc penser par soi-même qu’il s’ensuit nécessairement qu’il leur fallait un Ben Laden libre en Afghanistan pour faire pression sur les taliban afin qu’ils acceptent le tapis d’or du gazoduc au lieu du tapis de bombe sous prétexte de démentellement d’AL Qaïda).

    Sur le 11-septembre, il ne s’étend pas sur les thèses « négationnistes » d’esprits parfois brillants et intégrés socialement – non nommés, juste quelques titres de livres en note d’un autre passage. Alors donc qu’il cite le titre d’Eric Laurent, il considère (p.62) que Ben Laden « revendique expressément » (= nettement) les attentats quand il confie dans la vidéo – que personne n’aurait vue si elle n’avais été trouvée et traduite par les US – avoir prévu la chute du haut des tours…

    S’il mentionne quelque part la stratégie d’un Oded Yinon dans Kivunim et les outrances d’un Murawiecz protégé de Perle contre l’Arabie Séoudite, il ne s’étonne pas de la présence de quelques preuves miraculeuses (passeport sauvé des braises comme Daniel dans la Biblie) ou des traces d’une « connivence israélienne » comme un Israël Shamir.

  • sachash

    Ce bouquin écrit par Mehdi Ba semble vouloir se plonger dans la controverse :
    http://www.jcgawsewitch.com/livre.php?id_livre=247
    (C’est l’éditeur de Boniface).

  • BUTRUILLE

    J’adore les 2 changements de titre de l’article :

    11 Septembre, la CIA savait, mais pourquoi n’a-t-elle rien fait ?

    ==> puis :
    Une cachotterie de la CIA a permis le 11 Septembre

    ==> et enfin :
    Comment l’inconscience de la CIA a permis le 11 Septembre

    Ca doit gratter quelque part ce genre d’infos chez Rue89…

  • joeblow

    @Damiano,
    Perso, je penche pour un fly over, parralèlement un drone assez silencieux avec missile,(pod) façon wtc (ils vont pas inventer des nouveaux trucs pour chaque frappe ). L’avion de ligne fait du bruit et détourne l’attention. Je ne pense pas que ce soit le vol 77 qui fasse le fly over, D’après l’analyse des données radar de la journée, je penche pour une substitution d’avion de ligne, façon opération « Northwood« . (encore une fois rien de nouveau). Le vrai vol 77 d’après les seules sources que j’ai trouvé, était rempli à moins de 50% avec une majorité de militaires, et d’employés de compagnie travaillant avec la défense us, plus facile dans ce cas de créer des pseudos.
    Bref, voilà pourquoi il faut une enquète indépendante.

  • René M

    @Damiano
    J’ai l’impression que c’est votre petite attaque contre kidkodak qui a déclenché la réaction de plusieurs parmi les posteurs
    Je pense que — joeblow — (entre autre ) répond très bien et de f&çon claire et logique a vos questions.

    Qu’y a-t-il de difficile en effet — en l’absence d’épave d’avion de ligne — à tenter d’expliquer par un avion survolant le bâtiment du pentagone (mais pas forcément celui prétendu qui peut être remplacé par un autre maquillé) ceci pour faire diversion (la diversion étant le truc favori des illusionnistes pour détourner l’attention de l’essentiel, technique également utilisée au cinéma, d’où le qualificatif d’hollywoodien parfois utilisé pour cette journée et cela s’applique aussi au WTC empruntant aux effets spéciaux d’une certaine manière n’était-ce l’a) et en synchronisation un missile, voire aussi des charges prédisposées à l’intérieur et déclenchées par télécommande, soit par l’avion de survol soit autrement (multiples possibilités de variantes sur ce schéma de base)

    Dans ce schéma la trajectoire différente de la vo , suite aux témoignages des témoins évoqués dans le débat s’inscrit très bien

    A vrai dire…. je comprends pas très bien, dans ce court échange partant de votre réaction au post de kidkodak, où est véritablement votre problème ?
    Pas pro-vo, mais en recherche en somme peut-être contrairement à vous je trouve que l’on a avancé

  • René M

    dans mon post plus haut ma phrase était incomplète :

    « empruntant aux effets spéciaux d’une certaine manière n’était-ce l’atroce réalité du drame et de ses victimes »

  • Damiano

    @ René M

    Merci de vos précisions, même si elles ne me convainquent pas tellement… Car dans la fameuse enquête dont vous parlez, de mémoire, il y a un seul témoin (peut-être deux) – qu’on entend seulement et qu’on ne voit pas -, qui dit avoir vu un avion voler assez bas après l’explosion. Je suis très étonné qu’on ne trouve pas d’autres témoignages, si le « fly over » est réel.

    Ça me parait, en outre, très risqué pour les comploteurs de faire une telle manœuvre, qui suppose que PERSONNE ne voie arriver le missile. Ça me parait étonnant que personne n’ait été capable de le voir.

    Et comme le survol du Pentagone par l’avion et la frappe du missile seraient quasiment simultanés, il me semble que ça crée un sacré risque pour l’avion, s’il est touché par la « boule de feu » qui suit l’explosion.

    Enfin, pour les lampadaires, je me représente mal comment ils auraient pu être arrachés sans que l’avion n’en soit la cause. Car des voitures passaient sur les routes où les lampadaires sont tombés, non ? S’ils avaient été placés à terre, plusieurs minutes ou heures auparavant, j’imagine que les automobilistes les auraient remarqués.

    Pour ma part, si la VO est fausse dans cette affaire du Pentagone, l’idée d’un vol 77 téléguidé me paraît encore l’hypothèse la plus crédible, même si ça ne rend pas compte de la divergence de trajectoire décrite par certains témoins.

    Enfin, bref, on spécule, et je ne crois pas que c’est sur ce point là que la VO soit la plus aisément attaquable, il y en a d’autres, de mon point de vue, qu’il serait préférable de privilégier en attendant d’avoir des arguments plus « béton » sur ce point.

  • kidkodak

    Je n’ai pas répondu parce que depuis,les recherches avec les architectes et ingénieurs,les pilotes pour la vérité,tous ces témoignages des premiers répondants,l’absence de photos-vidéos des 86 caméras du Pentagone,l’agenda du PNAC appliqué tel que prévu dans des pays sans liens avec le 11 septembre,les mesures intensives pour brimer la liberté des individus tel que prédis dans 1984,bref,parce que nous sommes rendus ailleurs en 2011 dans notre cheminement et les arguments de Damiano me ramènent 7 ans en arrière .Je lui souhaite de continuer à étudier le sujet en profondeur(si il est de bonne foi)et puisses-t’il nous revenir en forme .

  • Damiano

    @ kidkodak

    Vous répondez à côté….

    Je vous parle de points précis, vous me répondez avec des généralités.

    Je ne conteste pas une probable manipulation américaine, donc inutile de me rappeler le PNAC et le reste…

    Je vous dis que ça me paraît aberrant qu’une centaine de personnes voient arriver un gros avion avant que le Pentagone ne soit touché, et qu’on ne trouve qu’un seul témoin (par téléphone) qui prétende l’avoir vu repartir. Un avion de ligne, c’est assez visible, ça ne se cache pas comme ça…

    Je n’ai jusqu’ici entendu aucune réponse sur ce point.

  • Jonas061

    @Damiano

    Le problème est moins de savoir si un avion a survolé le toit du Pentagone que d’identifier sa trajectoire à son approche du bâtiment.

    Plusieurs témoins ont en effet décrit une trajectoire incompatible avec les dégâts matériels observés sur la façade impactée.

    A titre d’exemple, le témoignage de Maria de la Cerda fait état d’une trajectoire qui n’a absolument rien à voir avec la version officielle des évènements.
    http://forum.reopen911.info/t14897-maria-de-la-cerda.html

    Cette employée du cimetière de Arlington a affirmé avoir vu un appareil passée au dessus dudit cimetière où elle se trouvait avant de se diriger directement vers le Pentagone.
    Quoiqu’elle ait été dans l’impossibilité d’assister à l’impact à cause des arbres qui obstruaient sa vue, elle a déclaré que l’altitude de l’appareil lui a donné l’impression (on reste dans l’évasif, je vous l’accorde) que l’avion s’était écrasé au niveau du toit.
    Quoiqu’il en soit, ce témoignage contredit intégralement la version officielle, qui décrit une trajectoire passant au sud de Columbia Pike.

    Maria de la Cerda a t’elle vu le vol AA77?
    Etait-ce un autre aéronef?
    Cet aéronef aurait-il en réalité survolé le Pentagone au moment où le vol 77 s’y écrasait?
    Etait-ce le fameux commuter jet qui aurait été aperçu par plusieurs autres témoins juste avant le crash?
    Maria de la Cerda a t’elle halluciné ou a t’elle été victime d’une illusion d’optique?
    Il est difficile de répondre à toutes ces questions mais le débat reste ouvert…

  • grospanda

    Je pense qu’il est interressant de faire des hypothéses ( pas seulement sur l’attentat du pentagone), mais cela ne doit pas devenir des conclusions, il ne faut pas faire l’erreur de s’enfermer dans des théories spéculatives, c’est justement ce que les pro vo souhaitent pour mieux ridiculisé ceux qui doutent.
    il faut chercher chaque éléments suspects
    Ce qui importe c’est que les pro vo répondent aux questions posées et non qu ils démontrent l’impossiblité des théories divers et variés.

  • kidkodak

    Des avions téléguidées?
    Inside 9/11 – Who controlled the planes?
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=WC9KZ2Yy5g4#!

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