Norman Mineta et l’attentat du Pentagone: nouvelles révélations ?

Un document de travail récemment rendu public conforte l’hypothèse selon laquelle le vice-président Dick Cheney était informé en permanence de l’approche du vol 77 d’American Airlines qui devait percuter le Pentagone à 9 h 43 ce matin du 11 septembre 2001. Le ministre des Transports US, Norman Mineta qui se trouvait dans le President’s Emergency Operations Center (PEOC), le poste de commandement situé sous la Maison Blanche à Washington, avait fait part lors de sa déposition devant la Commission (voir vidéo) de la conversation dont il avait été témoin pendant ces minutes fatidiques, entre Dick Cheney et un aide de camp qui entrait régulièrement pour glisser au vice-président des informations sur la distance à laquelle se trouvait l’avion à l’approche. Cette note confirmerait également l’horaire d’arrivée du vice-président Cheney au poste de commandement, lequel horaire fait toujours polémique 10 ans après, et à propos duquel l’ancien diplomate et auteur canadien Peter Dale Scott propose un scénario aussi intéressant qu’effrayant dans son récent livre "La Route vers le Nouveau Désordre Mondial". (voir Notes en fin d’article)

Nous avions déjà évoqué l’existence de cette note de travail obtenue au travers de la loi sur la liberté d’information US (FOIA), mais voici un article plus fourni paru dans le magazine Nexus, qui revient sur les implications de cette note manuscrite.

 

L’ex-ministre des Transports sous l’administration Bush en 2001

 


Norman Mineta et l’attentat du Pentagone: nouvelles révélations ?

par Alexis Kropotkine, paru dans le magazine Nexus, mai 2011

Une note de travail de la Commission d’enquête sur les attentats du 11/09/2001, récemment déclassifiée, fait depuis la mi-mars l’objet de discussions animées dans le landerneau des chercheurs sur le 11/09 et ramène au centre des débats les témoignages successifs de l’ancien ministre des Transports de l’administration Bush, Norman Mineta.

 

Rendue publique suite à une requête F.O.I.A. (1) de John Farmer, cette note recopiée d’après les carnets du Secret Service par Miles Kara, un enquêteur du groupe de travail sur l’attentat du Pentagone, semble confirmer la déposition de Norman Mineta qui, auditionné le 23 mai 2003 par la Commission d’enquête, avait perpétré cette déclaration: "Pendant que l’avion s’approchait du Pentagone, un jeune homme est entré et a dit au vice-président "L’avion est à 80 kilomètres". "L’avion est à 50 kilomètres". Lorsqu’il a dit "l’avion est à 15 kilomètres", le jeune homme a aussi demandé au vice-président : "les ordres tiennent-ils toujours ?’" Le vice-président s’est retourné, a eu un mouvement sec de la tête et a répondu: "Bien sûr qu’ils tiennent toujours ! Avez-vous entendu le contraire ?"

Présentée par les sceptiques comme "le témoignage oculaire d’un ordre de non intervention" (2), attaquée par les partisans de la version officielle estimant que l’ancien ministre devait confondre en 2003 le vol 77 et le vol 93, crashé en Pennsylvanie à 10H06, la déposition de Mineta est en contradiction non seulement avec le fil chronologique retenu par la Commission Kean-Hamilton, au terme duquel le vice-président ne serait arrivé au PEOC (3) qu’aux environs de 10H00, soit une dizaine de minutes après le crash du vol 77 sur le Pentagone, mais également avec le coeur de la thèse officielle, censé expliquer l’incapacité des militaires à intercepter et abattre les appareils détournés.

Selon la Commission, le vol AA77 fut repéré par la tour de contrôle de Dulles Airport à 9H32, 5 minutes avant l’impact contre la façade ouest du Pentagone. Ce repérage tardif expliquant pourquoi l’appareil ne fut ni intercepté ni abattu par l’US Air Force et justifiant incidemment que le Pentagone n’ait pas été évacué, la Commission avait d’excellentes raisons d’écarter tout fait ou témoignage contradictoire, fut-il celui du ministre en charge des transports aériens ce 11/09. Aucune trace de la déposition du 23 mai 2003 ne subsiste dans le rapport final publié en novembre 2004.

Les chercheurs pensaient enfin tenir, avec la note déclassifiée du Secret Service, la première corroboration documentaire de l’audition du 23 mai, tant les distances et les horaires consignés dans le document lui apparaissent conformes. Toutefois son auteur conteste l’interprétation du courant sceptique sur la base d’une série d’arguments essentiellement fondés sur des entrées ignorées ou mal interprétées dans les premières analyses publiées sur l’internet. Pour Miles Kara (4), loin de confirmer le témoignage de Mineta, la note appuierait l’heure officielle d’arrivée de Cheney au PEOC (5), les autres entrées étant inexploitables faute de précisions sur les appareils concernés par les annotations du Secret Service.

A défaut d’éléments définitifs permettant de trancher la question, nous pouvons constater qu’entre 2002 et 2003 les déclarations de Mineta étaient confortées par plusieurs sources gouvernementales crédibles parmi lesquelles Richard Clarke, Condoleezza Rice et Dick Cheney lui-même, qui affirmera à deux reprises, le 16 septembre 2001 (6) puis en 2002, avoir rejoint le PEOC avant le crash du vol 77 contre le Pentagone.

Quoi qu’il en soit de ces problèmes chronologiques débattus par les experts, la polémique renaissante sur Mineta illustre l’importance de ce témoin pour la compréhension des événements du 11/09 en général, et de l’attentat du Pentagone en particulier.

A l’occasion du 1er anniversaire des attentats, l’ancien ministre des Transports avait livré à la chaîne NBC ses souvenirs sur la trajectoire d’approche du vol 77.

Selon Mineta, l’administrateur adjoint de la FAA Monte Belger qui le tenait informé minute par minute de la situation des appareils détournés, l’aurait averti que le vol 77 « revenait vers le Pentagone en empruntant la ligne de vol communément appelée D.R.A.» (7). Cette description soutient de manière inattendue les travaux du chercheur et documentariste Craig Ranke dont les conclusions iconoclastes ont radicalement remis en cause les premières thèses alternatives sur l’attentat d’Arlington. D’apès Ranke, l’avion unanimement décrit par les témoins oculaires et présenté par la version officielle comme étant le vol American Airlines 77 n’aurait pas frappé mais survolé le Pentagone (8), un scénario basé sur les témoignages de policiers, d’employés du cimetière National d’Arlington et du contrôleur aérien de l’héliport, tous situés à quelques mètres de la façade du batiment.

 

 

Comme le montre la carte ci-dessus, la thèse officielle (en rouge) exige que le vol 77 ait survolé le flan sud de la station-service CITGO après une boucle à l’ouest du fleuve. Les témoins oculaires interrogés par Craig Ranke décrivent une trajectoire par l’est, conforme aux souvenirs de Mineta sur la Down River Approach, croisant le Potomac et Washington avant un passage au nord de la station-service.

 

"National Security Alert, The Pentagon Attack", Citizen Investigation Team, juin 2009.
Le film peut être visionné gratuitement sur le site citizeninvestigationteam.com

 

Cette trajectographie, strictement incompatible avec le tracé des dégâts matériels et les données déclassifiées ces 5 dernières années, constitue un pan testimonial de la critique du récit officiel des attentats aujourd’hui solidement documentée, en outre corroborée par l’analyse scientifique des boites noires du vol 77 conduite par Pilots for 911 Truth. En conclusion d’un article du 3 mars 2011 (9) synthétisant 4 années de recherche Rob Balsamo, le fondateur de l’association, rappelle que pas une seule des données sur l’attentat du Pentagone en provenance du NTSB (10) ou du gouvernement fédéral ne soutient les affirmations de la commission d’enquête, qu’il s’agisse des trajectoires, des vitesses encaissées par le vol 77 ou du format des données brutes du F.D.R. (11) qui ne serait pas celui de la compagnie American Airlines.

Alexis Kropotkine

Cet article a été publié en mai 2011 dans le magazine , Nexus disponible en kiosque jusqu’au 1 juillet.

 

Notes de l’auteur :

  1. FOIA est l’abréviation commune pour Freedom Of Information Act, une loi obligeant les administrations américaines à mettre à la disposition du public leurs archives.
  2. PEOC: Presidential Emergency Operations Center: centre opérationnel d’urgence situé sous la Maison blanche, également appelé "le bunker".
  3. David Ray Griffin, La faillite des médias, Éditions Demi-Lune pages 52 à 55.
  4. Miles Kara, "911 Secret Service Timelines; in perspective a most chaotic time", 15 mars 2011 http://www.oredigger61.org/?p=3785
  5. Selon Miles Kara, l’entrée de 9 h 37 «VP» se rapporterait aux mouvements du Vice-Président.
  6. Meet the Press, NBC 16 septembre 2001.
  7. DRA: Down River Approach, ligne de vol habituelle empruntée le long du fleuve Potomac par les appareils à destination ou en partance du Reagan National Airport, à 2 miles du Pentagone.
  8. "National Security Alert, The Pentagon Attack", Citizen Investigation Team, juin 2009. Le film peut être visionné gratuitement sur le site citizeninvestigationteam.com
  9. Overwhelming Evidence Pentagon Aircraft Data Is Not From An American Airlines 757", traduit en français par ReOpenNews : "Pilotes pour la Vérité sur le 11/9 : La preuve irréfutable que les données de vol censées être celles du vol AA77 qui a percuté le Pentagone ne proviennent pas d’un Boeing 757"
  10. NTSB, National Transportation Safety Board, équivalent américain du «Bureau Enquête Accident».
  11. F.D.R. abréviation de Flight Data Recorder: enregistreur des données de vol, communément appelé «boites noires».

 


Pour rappel, voici le témoignage de Norman Mineta
devant la Commission d’enquête sur le 11-Septembre.

 


11 sep. 2001: témoignage saisissant du Secrét… par ReOpen911

 


En lien avec cet article :

 


A lire aussi : 

Peter Dale SCOTT, La Route vers le nouveau désordre mondial (50 ans d’ambitions secrètes des États-Unis), paru aux Éditions Demi Lune, collection Résistances, 2010 ; 509 pages. Dans la dernière partie de l’ouvrage, Peter Dale Scott se penche notamment sur les incohérences dans l’emploi du temps de Dick Cheney le matin du 11-Septembre et nous dresse un scénario plausible de mise en oeuvre de la "Continuity of Governement" ou COG par Cheney et Rumsfeld. Lire aussi la recension de ce livre par le Général Bernard Norlain.


 


 

13 Responses to “Norman Mineta et l’attentat du Pentagone: nouvelles révélations ?”

  • sam2000

    Depuis que cette épisode « Minetta-Cheney-Aide de camp » est évoquée par 911truthmuvement, Il est EXTRAORDINAIRE de constater
    que personne n’a songé a donner l’identité de la personne ayant le rôle de l’aide de camp ainsi que d’éssayer de l’interviewer.

  • Doctorix

    Si on pratiquait pendant 15 minutes sur Dick Cheney (ou Rumsfeld, ou Bush ou quelqu’autre de ces traîtres) les méthodes pratiquées à Guantanamo, il nous parlerait pendant 24 heures sans boire un verre d’eau…
    Ce serait bien plus intéressant que d’entendre Ben Laden, qui, après tout, n’était au courant de rien.
    C’est juste une suggestion…
    Finalement, nous savons tous ici ce qui s’est passé, comment ça s’est passé, et pourquoi ça s’est passé.
    Il ne nous manque pas grand chose pour fêter joyeusement ce dixième anniversaire.

  • Candide

    Citation : PAS UNE SEULE des données sur l’attentat du Pentagone [...] ne soutient les affirmations de la commission d’enquête.

    Prévision : PAS UN SEUL des pseudos journalistes d’investigation n’est intéressé par l’accumulation irréfutable et grandissante des preuves contre la V.O.

    Conclusion : Mesdames et Messieurs de la presse « Mainstream », bienvenue dans la prochaine crise, qui ne sera plus seulement économique mais aussi de confiance (et qui plus est, créée par vous-même…)

  • koko75

    Et donc ca veut bien dire qu’un avion a percuté le pentagone? Or d’apres ce que j’avais compris, il est impossible que un avion a pu percuter le pentagone et que la these d’un missile etait privilegié.
    ma question est simple : un avion a t’il percuté le pentagone?

    merci

  • pein

    il y a un truc qui serait très simple pr balayer tout conspirationnisme, ça serait de nous montrer une video du crash au pentagone!
    donnez nous les preuves que c’est un avion, et on fermera nos gueules!

  • Smartsmur

    Mais qu’attendent les journalistes pour trouver cet aide de camps et l’interviewer ? Qu’attendent-ils aussi pour interviewer Mineta ?
    J’ai vraiment du mal à comprendre…. ils vont attendre qu’il décèdent pour les faire parler ?

  • Il est vrai que Craig Ranke ne bénéficie peut-être pas de la reconnaissance qu’il mérite au sein du mouvement.

    L’association ANETA reprend, cependant, la thèse de la trajectoire nord : http://aneta.org/theories/Pentagon/_abstract.htm

    Mais comme les dégâts à l’intérieur du bâtiment ne correspondent alors plus à la trajectoire, ANETA imagine que des explosifs ont été placés à l’intérieur pour faire croire à une trajectoire différente (un peu tiré par les cheveux, mais bon…).

  • Sébastien

    L’explication textuelle de ce genre de données est très difficile à décrypter et imaginer.
    Serait-il possible de faire un tableau simple, avec deux colonnes? Dans celle de gauche, les données de la commission d’enquête, de l’autre les informations contradictoires des témoins et études réalisées mais non prises en compte par le commission d’enquête.
    Trajectoire 1 > trajectoire 2
    Heure d’arrivée de Cheney1 > heure d’arrivée de Cheney 2
    etc..

  • Candide

    Pour les journalistes d’investigation, je rappelle une partie de la théorie officielle :
    1 – Les ailes de l’avion se sont repliées, sous l’effet du choc.
    2 – Tout l’avion est passé par le petit trou
    3 – La simulation 3D expliquant le pourquoi de la chute de toit montre un avion traversant le bâtiment ailes déployées
    4 – Qu’ensuite, ce qui est resté de l’avion s’est re-rassemblé, pour perforer DE BIAIS 3 épais murs d’enceinte en béton, le tout avec une trajectoire rectiligne
    5 – Que ce qui a perforé les trois murs s’est « volatilisé »
    6 – Que le titane des réacteurs s’est « sublimé, c’est à dire directement de l’état solide à l’état gazeux
    7 – Aucun passager, aucune valise, aucun siège, aucun débris humain visible, aucun vêtement, aucun moteur
    7 – Mais que l’on a trouvé des traces d’ADN des pirates de l’air, ainsi que leurs passeports

    A vos plumes, messieurs. Recopiez !

  • kidkodak

    @Smartsmur … »Mais qu’attendent les journalistes pour trouver cet aide de camps et l’interviewer ? »….

    Cet aide de camp serait un certain Douglas F. Cochrane que Jeff Hill a réussit à rejoindre mais sans résultats tangibles car Cochrane se cachait derrière les mots, et pire,le lien de l’interview téléphonique n’est plus accessible sur Youtube…

    Ils en parlent ici mais c’est vers la fin qu’on parle de Douglas F. Cochrane :
    http://hw.libsyn.com/p/1/a/2/1a27b0bd1782fb0d/Do_the_Orders_Still_Stand.mp3?sid=e4d829fd8a5599945a6388195b4f7815&l_sid=18742&l_eid=&l_mid=2268900
    Mais même là cela semble incertain car ce que Mineta appelle  »un jeune homme »serait en réalité un homme d’une cinquantaine d’année et plus si on se fit à la photo placé par Jonas061 sur ce lien de Reopen
    http://forum.reopen911.info/t4242-le-temoignage-de-mineta-confirme.html
    vers la fin de la première page.
    Douglas F. Cochrane serait dans la cinquantaine avancée.Donc il pourrait y avoir une autre personne correspondant à un jeune homme mais inconnue cette fois-ci.
    Nous ne sommes donc pas plus avancés.

  • René M

    @ koko75
    Non rien d’incompatible avec une explication « sans avion frappant » le pentagone.

    Il y aurait donc approche (trajectoire alors selon l’enquête et les témoignages récoltés par Graig Rank), puis survol à très très basse altitude du pentagone.

    Simultanément ,voire déclenchées/télécommandées par l’appareil survolant le bâtiment des bombes ou explosifs placées auparavant créant les dégâts pour simuler un crash lequel sera sans débris d’avion, à l’étonnement même des tenants de la VO qui tenteront d’expliquer sans pouvoir apporter de photos nous clouant le bec, et pour cause !.

    Mais sans pouvoir exclure cette explication par des explosifs placés avant durant les travaux de cette aile du bâtiment en réfection par exemple je préfère cependant l’explication du missile toujours bien sûr avec le survol en rase motte pour donner le change par un avion de ligne ou maquillé en avion de ligne
    Le missile peut alors, soit avoir été largué juste un peu avant par l’avion en question, soit arriver par ailleurs et en synchronisation.
    Car quand même les quelques images des cameras de surveillance de la station d’essence que nous ont livré à contre cœur et contraintes les « autorités » nous montrent (en arrêt sur image) un semblant de nez d’engin, compatible selon moi avec celui d’un missile mais pas avec celui d »un Boeing, + une trainée de gaz semblable aussi a celles des missiles. De plus le trou dans la dernière des parois d’un diamètre correspondant bien à celui que ferait une tête à charge creuse perforante en fin de course. Sans oublier la couleur de l’explosion sur la façade, très blanche en partie, et brillante, puis rouge orangée donc due à un explosif et très différente de la couleur de combustion du kérosène (à comparer avec la couleur des boules de feu dans les Tours.wTc )
    Explique aussi l’absence de vraies pièces d’avion qu’on voit dans les crash habituels (en tout cas les crash qui n’ont rien à nous cacher ! ). Enfin les quelques débris de faible dimension éparpillés sur la pelouse et qui remarquons le au passage, se trouvent là, au lieu de s’être engouffrés dans le bâtiment et vaporisés comme dans la thèse de « l’avion magique qui fond » officiel, sont en revanche compatibles avec les pièces de la partie propulsive rejetée à l’extérieur d’un missile frappant sa cible, la partie perforante continuant sa course en perforant et détruisant. Une équipe de cravatés en chemise (célèbres photos) sortis de leur bureau en vitesse se précipitant pour ramasser ces débris vraiment par trop « irrespectueux » des explications officielles qui allaient suivre.

    Et bien que ce que je décris ci dessus me suffise pour me faire mon opinion je ne me roulerais pas par terre pour contester si on me prouvait que trois choses auraient pu être réunies : Avion en rase- motte, explosifs pré-placés, et missile anti bunker en façade pénétrant à l’intérieur.

    Car en effet pourquoi se gêner et se priver quand on a « infiniment plus de moyen » pour organiser les choses qu’une bande de 19 types travaillant avec des cutters et des livres de catéchismes enfin l’équivalent de catéchisme dans la religion qui leur est attribuée.

    Finalement, nous savons tous ici ce qui s’est passé, comment ça s’est passé, et pourquoi ça s’est passé dit Doctorix. Il ne nous manque <>. Mais là vous voulez que je vous dise : si c’est pas encore fait — « c’est vraiment pas de notre faute ! !  »

    La Mère des crises, à venir, finira bientôt, mais trop tard, le travail que nous avons commencé.

  • René M

    Dans mon message principal après  » Il ne nous manque » un mini bug avait effacé la phrase : — que de convaincre les foules — voulais-je dire

  • @ Candide
    Tes deux interventions sur la posture fantomatique des journalistes concernant le 11-Septembre sont TRÈS pertinentes.
    Je souhaite te faire parvenir un MP, mais ton pseudo n’apparait pas dans la liste des membres de ReOpen911.

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