11-Septembre : les écueils à éviter pour le film « A Violation of Trust » de l’association des « Acteurs et Artistes »

Voilà quelques nouvelles du futur film "A violation of Trust" (Abus de confiance) de l’association Actors & Artists for 9/11 Truth, qui doit sortir en septembre prochain pur le 11e anniversaire des événements. Comme nous l’explique le blogueur Craig McKee d’Indymedia US, les écueils et les pièges ne manquent pas dans ce projet, et il reste à espérer que les récentes controverses nées au sein du Mouvement pour la vérité sur le 11/9 ne mettront pas un point d’arrêt à cette idée formidable. Certes les polémiques à n’en plus finir sur ce qui a frappé le Pentagone, ou celles sur le récent retrait du sénateur Mike Gravel de l’initiative référendaire "9-11cc.org" ont porté un coup sérieux au Mouvement et ont réussi à le diviser, mais cela ne cachera jamais la stupéfiante omerta médiatique au sujet du 11/9 et des failles de la thèse officielle, à laquelle ces acteurs courageux se proposent de s’attaquer ouvertement cette année.

 

Les principaux acteurs retenus pour le film "A Violation of Trust"

 


Un long métrage d’Hollywood préfère le drame humain et les preuves “formelles”

Par Craig McKee, pour TruthandShadows, le 21 mars 2012

Traduction Perry pour ReOpenNews

Peut-on faire un film d’Hollywood “enthousiasmant” sur le 11-Septembre ? Doit-on essayer ?

Si le but est d’inciter les gens à remettre en question la version officielle, doit-on mettre l’accent sur le coût humain de ce tragique événement, en essayant de faire un divertissement dramatique qui cartonne au box-office ? Quelles informations doivent être prises en compte et lesquelles doivent être écartées pour ne pas tomber dans la controverse avec le mouvement pour la vérité sur le 11/9 tout en évitant la censure des médias ?

Les réponses n’ont pas dû être simples à trouver pour le scénariste débutant Howard Cohen qui a écrit le script du futur film « A Violation of Trust » [Abus de confiance – NdT](*). L’action se situe le premier jour d’une nouvelle enquête fictive sur les événements du 11 septembre 2001. Selon Cohen, il est nécessaire de toucher le public au niveau émotionnel pour espérer atteindre une audience suffisante, en mesure de remette en cause [la thèse officielle des] événements du 11-Septembre,

« Pourquoi ce film ne serait-il pas enthousiasmant ? » a demandé Cohen lors d’une interview.

Le film est produit sous la bannière d’Actors and Artists for 9/11 Truth [Acteurs et Artistes pour la vérité sur le 11-Septembre - NdT] et pour l’instant les principaux acteurs retenus sont Ed Asner, Woody Harrelson, Martin Sheen, Daniel Sunjata et d’autres acteurs progressistes(**) au plan politique. Cohen est toujours à la recherche de l’essentiel du financement de la production qui selon lui devrait coûter la modeste somme d’un million de dollars. La distribution des rôles ne peut pas être finalisée avant que le tournage ne soit planifié.

Le script a été revu plusieurs fois, avec des pans entiers d’éléments exclus, inclus et exclus à nouveau. Le projet en est actuellement à son troisième directeur, Rafael Monseratte [NdT : producteur du film « Poundcake » (gâteau quatre-quarts)]. L’acteur-metteur en scène français bien connu, Mathieu Kassowitz (Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain, Babylon A.D.) a tiré sa révérence avant Noël. Cohen ne dit pas qui était le directeur initial.

Cohen explique que la désaffection de Kassowitz pourrait avoir résulté d’une dispute entre la direction de la Citizens 9/11 Campaign [Campagne des citoyens pour le 11-Septembre] et le principal représentant de cette organisation, l’ancien sénateur Mike Gravel, à propos d’argent. En septembre dernier, à la suite des auditions de Toronto sur le 11-Septembre, Kassowitz avait annoncé son intention de faire don de 50 000 dollars à cette cause. « Je ne crois pas que la dispute l’ait mis dans un bon état d’esprit » a déclaré Cohen.

La plupart des personnages du film seront des personnes réelles incarnées par des acteurs. Parmi elles se trouvent des personnalités du Mouvement pour la Vérité sur le 11-Septembre, comme David Ray Griffin, Richard Gage, Niels Harrit, et peut-être April Gallop. Cohen indique qu’il voudrait utiliser des citations authentiques de ces personnalités chaque fois que possible.

« A violation of Trust » est basé sur les écrits de Griffin, l’auteur le plus prolifique du Mouvement pour la Vérité sur le 11-Septembre, qui a récemment cofondé le projet « Consensus 9/11 ». Le script a été écrit en participation avec David Ray Griffin et a, certainement, sa bénédiction. Mais de nombreux domaines de recherche sur le 11/9 que Griffin examine dans ses livres ne sont pas du tout abordés par Cohen – et notamment les éléments qui veulent qu’aucun 757 ne se soit jamais écrasé contre le Pentagone le 11-Septembre.

J’ai lu plusieurs versions du script (la dernière en décembre 2011), et certains éléments sur le Pentagone et Shanksville ont été inclus à un moment ou à un autre du film. Mais la plupart de ces informations ont été retirées depuis, au profit d’éléments plus « sûrs », que Cohen considère en tout cas comme moins vulnérables à la critique par des médias dominants hostiles comme Fox News.

« Dans le script, nous essayons d’utiliser des preuves qui ne peuvent pas être remises en question, » dit-il. « Nous ne spéculons pas sur des choses qui ne sont pas basées sur des faits, ou ne sont pas prouvées. »

Cela inclut les éléments avancés par le Citizen Investigation Team [CIT, équipe d'enquête citoyenne] selon lesquels un gros avion de ligne a approché le Pentagone du côté nord de la station d’essence Citgo, mais n’a pas percuté le bâtiment (ce qui implique que les lampadaires renversés ont été mis en scène).

Cohen explique que ces témoignages oculaires ne sont « pas assez concrets. »

C’est vers cette approche prudente et sûre que Griffin a essayé d’emmener le Mouvement depuis plusieurs mois. Il a tenté de contourner l’actuelle controverse sur ce qui a vraiment frappé le Pentagone en se limitant aux points sur lesquels existe un certain consensus. Mais de façon ironique, en essayant d’éviter ce que j’appellerais une controverse artificielle, Griffin en a créé une bien réelle au sein du mouvement, au sujet de l’inclusion ou non de ses propres éléments de preuves réfutant l’impact d’un Boeing 757 contre le Pentagone.

Voila la démarche entreprise par Griffin ces derniers mois en vue d’apaiser tous les gens opposés aux preuves concernant le Pentagone :

  • Son discours aux auditions de Toronto sur le 11-Septembre a abondamment cité ceux qui critiquent la version du CIT, comme David Chandler, Jonathan Cole, et Frank Legge.
  • Dans le dernier livre de Griffin "9/11 Ten Years Later: When State Crimes Against Democracy Succeed" (11/9, dix ans après, quand les Crimes d’État contre la Démocratie réussissent), le chapitre sur le Pentagone présente les arguments pour et contre l’impact d’un avion sur le Pentagone, en citant toujours les trois personnes susnommées et un autre pourfendeur du CIT, Jim Hoffman. Griffin y explique que les éléments contre l’impact d’un Boeing 757 sont bien plus probants. Il a raison, et c’est bien pour cela qu’il ne devrait pas donner autant de crédibilité à ces anti-CIT marginaux.
  • Il est le cofondateur du projet « Consensus 9/11 » (cela remonte en fait à une année), constitué par un comité de membres du Mouvement qui votent oui ou non sur des points contredisant l’histoire officielle du 11-Septembre. Un point obtient le consensus si 85% des membres votent favorablement.
  • Aujourd’hui, Cohen et lui semblent vouloir pousser « A Violation of Trust » dans la même direction du « consensus ».

Le premier point concernant le Pentagone dans la liste des « Points du Consensus » est aussi celui sur lequel mise Cohen. Ce dernier affirme que les preuves selon lesquelles Hani Hanjour n’avait pas les aptitudes nécessaires pour piloter le vol 77 et le précipiter contre le Pentagone le matin du 11-Septembre portent un coup capital à l’histoire officielle. Il dit que c’est là une preuve suffisamment accablante pour ne pas avoir à aborder la question de savoir si quelque chose a réellement percuté le bâtiment.

Mais la « preuve » sur Hanjour est loin de suffire pour affirmer l’existence d’un coup monté au sein de l’Administration US (Inside Job). En fait, elle est même plutôt faible, et en soi, ne prouve absolument rien. La majorité des pourfendeurs du CIT (dont je trouve les motifs suspects) pense que nous devrions complètement laisser tomber le sujet du Pentagone. Je pense, à l’inverse, que cela apporte une des preuves les plus accablantes comme quoi le 11-Septembre fut effectivement un coup monté. Si le Pentagone fut vraiment la scène d’un accident d’avion simulé, qui d’autre que les militaires US aurait pu l’organiser ?

Voilà quelques problèmes que j’ai identifiés dans le script jusqu’à présent.

  • Dès le départ, il y a un problème de terminologie. Le film commence avec une voix off (j’ai souligné les parties en gras) : « Le 11 septembre 2001, les États-Unis ont été attaqués, le bilan se monte à plus de 3000 morts… La Commission sur le 11-Septembre devait présenter le récit le plus complet possible des attentats terroristes, et l’Institut National des Standards et de la Technologie (NIST) devait enquêter sur les raisons de l’effondrement des Tours Jumelles et du Bâtiment 7. »
  • Dans le film, la nouvelle enquête est demandée par la première femme présidente des États-Unis, qui a décidé qu’il y a suffisamment de questions sans réponses pour justifier un réexamen du sujet. (Elle se préoccupe « des enfants »). Le problème, c’est que cela renforce l’idée fausse selon laquelle le commandement politique des États-Unis veut la vérité. C’est complètement à côté de la plaque ; l’élite fera tout ce qui est en son pouvoir pour cacher la vérité sur le 11-Septembre, elle ne permettra certainement pas à un nouveau président de dévoiler toute l’affaire.

Cohen explique que les avant-projets plus récents de son script ont mis l’accent sur le facteur humain (dont les familles de victimes), parce que le metteur en scène et lui pensent qu’une composante émotionnelle est essentielle pour impliquer les spectateurs dans le récit. Cela me préoccupe beaucoup, et me fait penser à deux films de « divertissement » sur le 11/9 qui ont privilégié l’aspect dramatique au détriment des faits : le détestable film d’Oliver Stone « World Trade Center » et le celui complètement fictif intitulé « United 93 ».

La vision affichée dans « A Violation of Trust » et formulée en février par Cohen, fait référence aux objectifs du film qui parlent de « guérison », de «  tourner la page », et le plus incompréhensible de tout, du « pardon ». J’étais horrifié en lisant ceci. J’espère que ce thème n’est pas trop présent dans le film. Ce que nous cherchons, ce n’est pas de tourner la page, c’est un début de vérité.

Voilà quelques points couverts par le script datant de décembre 2011 :

  • Les pompiers mentionnant des explosions, mais forcés de se taire
  • Des poutres d’acier éjectées à grande vitesse du WTC
  • L’acier du WTC emporté rapidement pour être recyclé
  • L’EPA [Agence de protection de l'environnement] qui ment sur la toxicité de l’air à Ground Zero
  • Les bâtiments qui s’effondrent parce que l’acier aurait « ramolli »
  • Le sommet de la tour réduit en poussière à mi-parcours
  • De la thermite retrouvée dans les poussières
  • De la nanothermite trop sophistiquée pour avoir été produite par al-Qaïda
  • Des tours présentant de nombreuses caractéristiques de démolitions contrôlées
  • Le Bâtiment 7 qui est aussi une démolition contrôlée
  • La BBC qui annonce la chute du Bâtiment 7 une 1/2 heure à l’avance
  • Des conflits d’intérêts évidents pour Philip Zelikow [le directeur exécutif de la Commission sur le 11/9]
  • Le Rapport de la commission sur le 11-Septembre écrit à l’avance
  • La torture employée pour arracher des informations aux prétendus membres d’al-Qaïda
  • L’« échec » inexplicable des militaires US à intercepter un seul des 4 avions détournés
  • Aucun code d’urgence composé par les pilotes
  • Le fait que Hani Hanjour n’aurait pas pu piloter ainsi le vol 77 jusqu’au Pentagone
  • L’absence de dégâts sur la pelouse du Pentagone
  • L’absence de preuves confirmant que l’ADN des passagers a bien été prélevé au Pentagone
  • Le NORAD dont la version des événements varie avec le temps
  • Les mensonges sur les allées et venues de Dick Cheney avant les événements du Pentagone (épisode de Norman Mineta)
  • La preuve qu’un avion a été abattu au-dessus de la Pennsylvanie
  • L’absence d’avion et de corps dans le champ près de Shankskville
  • L’absence de traces de carburant d’avion dans ce champ
  • Les preuves selon lesquelles les militaires n’ont pas été tenus à l’écart comme l’a prétendu la FAA
  • Le PNAC [Projet pour un nouveau siècle américain] et le « Nouveau Pearl Harbor »
  • Les néo-conservateurs qui veulent redessiner la carte du Moyen-Orient
  • L’attaque de l’Afghanistan par les États-Unis qui relance le projet de pipeline pétrolier
  • Les médias américains plus enclins à la propagande qu’à la recherche de la vérité
  • La Dissonance cognitive : l’incapacité de chacun à faire face à une remise en question de sa vision du monde

Je continue de croire que l’approche « sûre » – que ce soit dans ce film ou pour l’ensemble du mouvement – ne pourra pas créer la percée que tous les membres du Mouvement s’accordent à trouver indispensable.

Alors oui, les preuves doivent être solides et étayées par la science. Mais nous ne pouvons pas nous permettre de rejeter les meilleures preuves au prétexte qu’un petit groupe a réussi à les étiqueter comme « controversées ». Le Mouvement est certainement noyauté par des personnes qui feront tout leur possible pour marginaliser quelques-unes des preuves les plus solides et les plus suggestives sur le 11-Septembre.

J’espère seulement que ce film ne les aidera pas à faire cela.

Craig McKee

 

Traduction Daniel pour ReOpenNews


 

Notes ReOpenNews :

(*) Le titre original du film était “Confession of a 9/11 Conspirator

(**) Progressisme : Voir en anglais http://en.wikipedia.org/wiki/Progressivism

 


En lien avec cet article :

 


 

 

5 Responses to “11-Septembre : les écueils à éviter pour le film « A Violation of Trust » de l’association des « Acteurs et Artistes »”

  • Stealthy75

    Que D.ieu fasse que ce film ait un impact maximal sur le public!

  • Je suis impatient de voir ce film, même si certains points ne font pas l’unanimité et même si certains aspects semblent trop hollywoodiens. Toutes les approches doivent être tentées et l’on peut être sûr que ce film saura toucher des personnes restées indifférentes jusque-là.

  • Shrykull

    Je suis content de voir que le mouvement est toujours vivace et en lisant l’article j’ai l’impression que niveau «preuves» il y a eu quelque avancées depuis un ou deux ans (pour diverses raisons je suis tout ça d’assez loin aujourd’hui).

    En revanche l’approche émotionnelle du film et l’inexpérience du réalisateur me laissent perplexe. « Faire pleurer dans les chaumières » c’est précisément ce qu’il faut éviter à mon avis. Même si il semble que les documentaires ne suffisent plus à toucher un public suffisamment large… c’est un peu la quadrature du cercle.

    Enfin, il y a quand même quelques points accablants cités dans la liste, donc prions pour que ce projet ait l’effet escompté…

  • IKAR

    Quel dommage que Mathieu ait jeté l’éponge !

  • citron

    Ce projet de film est à mon avis très intéressant et très important, et comme tout sujet capital, il soulève et soulèvera des tonnes de commentaires.

    En effet, comme toute œuvre cinématographique, elle est au confluent d’une multitude d’ambitions et d’intérêts parfois très éloignés les uns des autres, et parfois même en totale opposition.

    C’est valable pour un film d’amour, un western, une histoire d’ados sur un campus… alors forcément, sur le sujet qui nous préoccupe ici, vous imaginez bien à quelles extrémités de tensions diverses ce projet est soumis.

    Il n’en demeure pas moins que nous aurions tord de ne pas en attendre des retombées intéressantes.

    C’est tout simple, et la propagande publicitaire connaît très bien le mécanisme : il suffit de parler d’un produit ou d’un sujet pour créer un intérêt, et par effet boule de neige d’en faire un « buzz »… et ce quel que soit la qualité du produit ou du sujet (Apple est devenu roi en la matière ! Hors sujet, pardon, mais pas pu m’empêcher…).

    C’est comme ça que je m’explique le « désistement » de Mathieu K, qui a, j’en suis persuadé, une bien plus grande intégrité « artistique » (et donc « politique ») que ce que semble vouloir porter ce projet.
    Je crois que j’aurais fait comme lui…

    Mais ça n’est pas pour ce désaccord « de principe » qu’on ne doit pas accorder son attention à « A Violation Of Truth ».

    C’est le premier projet du genre… et gageons qu’il ne sera pas le seul. Je le vois donc comme le pionnier, et j’y vois déjà les défauts qu’on lui reconnaîtra bientôt comme à toute œuvre pionnière, MAIS JE L’ENCOURAGE toutefois.

    Les suivants, je l’espère, seront plus radicaux, et hésiteront peut être moins à être de vrais discours personnels, sans se soucier tant de se voir contredits.
    Car c’est là mon principal reproche dans « A Violation Of truth » : à vouloir ne rien dire qui serait sujet à caution, on fini par faire un film un peu « plat ».

    Encore une fois, c’est la conséquence de devoir être le premier.
    Pour nous qui sommes sur le pont depuis des mois et des années, le film ne nous apprendra probablement rien.
    Pour nombre d’autres, il sera certainement le déclencheur d’une prise de conscience de la mystification 911.

    En attendant le film de Mathieu K. (rien de certain, je me prends ici à rêver), plus puissant, plus mordant, plus accusateur… et du coup plus efficace encore.
    Et avec la part de fiction « assumée » qui fait d’un film une œuvre, et d’une œuvre un porte-drapeau.

    Pour finir sur un sujet connexe à « la frilosité » dont semble atteinte les scénaristes, c’est aussi ce qui semble se dessiner dans l’attitude de Griffin, à lire certains articles dont cette ReNews-ci.
    La remise en cause plus ou moins avouée du travail du CIT étant à mon goût une très mauvaise chose.
    C’est un autre sujet, mais les vidéos du CIT ont été pour moi déclencheur de mon « investissement », et je n’imagine pas, comme on voudrait nous le faire croire, que le CIT ait été un projet pour discréditer le mouvement.
    J’ai la désagréable sensation que Griffin (et Chandler et Cole) ont beaucoup plus d’intérêts dans cette controverse, que n’en ont les gars du CIT.
    voir : http://www.citizeninvestigationteam.com/news/2011_02_03-response-to-chandler-cole.html

    Et j’ai toujours la fâcheuse (l’heureuse ?!) tendance à me méfier des « leaders »… Pas tant de leur personne mais certainement de leur statut et des travers qui en naissent.

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