FOCUS MONEY: Qui se cache vraiment derrière le 11-Septembre ? (1/2)

Nos lecteurs connaissent déjà Focus Money, hebdomadaire économique publié à Munich. L’un des rares magazines d’envergure nationale à rompre l’omerta en Europe sur les problèmes que pose la théorie officielle, et sur le "mouvement international pour la vérité sur le 11/9".  En janvier dernier, nous avions interviewé l’un de ses principaux éditorialistes, Oliver Janich, qui venait de publier un article marquant, sur les avancées récentes des principaux chercheurs du mouvement. Il reprenait également les questions d’un haut magistrat allemand de la Cour fédérale, Dieter Deiseroth, qui questionne avec insistance le 11 septembre et donc la légitimité de "l’engagement armé" de l’Allemagne en Afghanistan, comme celui de l’OTAN et des Américains.

Rappelons que l’Allemagne est impliquée dans l’histoire même des attentats. Mohamed Atta aurait préparé ses actes à Hambourg, la ville du Spiegel, hebdomadaire concurrent du groupe munichois Focus, qui reste parfaitement calé sur la théorie officielle malgré sa proximité avec les faits. Rappelons aussi que l’Allemagne a toujours été à la pointe de la contestation de la théorie officielle, menée par l’ancien ministre SPD Andreas Von Bülow dès janvier 2002, et par de nombreux journalistes indépendants.

Contacté à Munich, Oliver Janich nous a autorisés à publier cette traduction collective, et confirme que leur numéro du 8 septembre 2010 fut immédiatement épuisé avant même l’arrivée du numéro suivant, alors que ses collègues accueillaient une fois de plus son article avec des haussements d’épaules. Ce sont donc potentiellement 720 000 lecteurs que Focus Money a sensibilisés cette semaine-là, dans l’indifférence éditoriale des confrères de Janich, illustrant le fossé croissant d’année en année entre les attentes du lectorat et la frilosité des rédactions. D’autant que l’édition en ligne de Focus Money , accorde une place plus grande encore à l’enquête sur le 11-Septembre, et que le nombre de commentaires des lecteurs dépasse à chaque fois tous les records.

A quand en France une recension objective des questions posées par le mouvement et de ses travaux qui demandent à être approfondis par de "vrais" professionnels ? A quand une enquête neutre des journalistes français sur les attentes du mouvement international emmené par des familles de victimes ?  Comme dans tant d’autres affaires non éclaircies (Karachi, Bugaled Breiz, Robert Boulin…) , ce sont les familles de victimes qui sont à la pointe du combat, et cette brillante synthèse d’Oliver Janich n’existe que grâce au combat permanent de ces familles. Messieurs les journalistes, une fois de plus, ne les oubliez pas !  

traduction Juttamedien, Engelhaï, Danube, BlaueReiter

pour la suite de la traduction cliquer ici

 
 
Focus Money N°37/2010 du 8 septembre,
double couverture à volet dépliable sur le 11/9
"11-Septembre : qui se cache vraiment derrière ? "
 et "La vérité sur le 11-Septembre"
 
 

 
 
          
 
Volet déplié : "La vérité sur le 11-Septembre,
33 nouveaux indices sur lesquels vous devriez réfléchir"
page 72 : "L’enchainement des faits"
(article sur 8 pages juste avant le cahier des cotations) 
 

 
 
 Les débats de Focus Money
 
– Politique, économie, management
 
 
11 septembre 2001
 
L’ENCHAINEMENT DES FAITS
 
Qui, ou qu’est-ce qui se cache vraiment derrière les attentats du 11-Septembre ?
Sur internet un « mouvement pour la vérité » s’est mis à rechercher les faits.
 
 
6h30 du matin 
Bush fait son jogging. La défense antiaérienne commence ses exercices militaires avec des [simulations d']avions détournés.
 
8h13
Le vol AA11 ne répond pas et éteint son transpondeur. A partir de cet instant, une chose est claire : il y a détournement.
 
8h43
La défense aérienne du Norad est informée du détournement du deuxième appareil, le vol UA175.
 
8h46
Le vol AA11 percute  la Tour Nord. Les avions de chasse viennent à peine de décoller.
 
9h03
Le vol UA175 percute la Tour Sud. Des millions de personnes suivent l’événement à la télévision.
 
9h06
Bush est informé : il réagit à peine et n’est pas transféré dans un endroit sécurisé.
 
 
Page 72 
 

 
"La défense aérienne réalise des exercices militaires impliquant des avions détournés qui se jettent contre le World Trade Center" 
 
 
 
  "Le Procureur général Ashcroft évite de voyager sur des avions de ligne en raison des alertes terroristes" 
 
  
 "Des troupes britanniques sont transférées à proximité de l’Afghanistan avant les attentats
 
  
Le 11 septembre 2001, à 6 heures du matin, le monde tourne encore rond.  
 
George W. Bush enfile un short, un vieux T-shirt et se glisse dans ses chaussures de sport. A 6h30 dans la demi-obscurité du soleil levant, avec un ami reporter et ses gardes du corps des services secrets il part pour un jogging autour d’un golf des environs. Au même moment, les employés de la défense aérienne du Norad, qui depuis le début de la semaine participent à l’exercice militaire "Northern Vigilant" simulant une attaque terroriste aux USA impliquant des avions commerciaux détournés, reprennent le service. Après sa douche, à 8h00, Bush reçoit selon le "Telegraph" du 16/12/2001 un court briefing dans lequel il est question d’un risque terroriste accru. Ensuite une file de voitures conduit George W. Bush à l’école primaire Emma-Baker de Sarasota, Floride. A 8h13, le Vol 11 refuse une instruction du contrôle aérien et met hors tension le transpondeur qui envoie des signaux au contrôle aérien. Selon l’agence de presse AP du 12 août 2002 le directeur d’astreinte pour la sécurité aérienne Glenn Michael et ses collaborateurs considèrent le cas comme un possible détournement.
 
Malgré cela, selon la version officielle, dans l’heure et demie qui suit jusqu’au crash dans le Pentagone à 9h37, pas un seul des quatre avions détournés n’est intercepté. Selon le "Sunday Telegraph" du 16/09/2001 en l’espace de quelques minutes les forces de défense sont portées à Defcon 3, soit deux niveaux d’alerte en dessous d’une guerre. Cependant, même sans cet état d’alerte, l’interception d’avions  détournés ou qui ne répondent plus,relève de la pure routine avec une centaine de cas par an. Le Calgary Herald écrit le 13 octobre 2001 qu’au cours de l’année 2000, 129 avions ont été interceptés. Le communiqué du 12 août 2002 de l’agence AP cité plus haut rapporte aussi qu’en 2001, avant les attentats, 67 avions avaient été interceptés, tous dans les quelques minutes qui ont suivi la perte de contact. L’absence de manœuvres d’interceptions n’est pas la seule bizarrerie de cette journée. (NdT. souligné en gras par la rédaction) Focus Money dévoile une sélection d’indices, qui selon les rapports de presse contredisent la version officielle.
 
Absence de la défense aérienne.
 
Dès les premières minutes des événements, des contradictions apparaissent. A 8h43 le Norad est informé du détournement du Vol UA175, à 8h46 le Vol AA11 s’écrase dans la Tour Nord du World Trade Center. En quelques minutes les images font le tour du monde. Selon la plupart des médias, George W. Bush n’est pas informé. Lui-même dira pourtant en décembre 2001 lors d’un rassemblement public et devant les caméras : "J’ai vu comment un avion a frappé la première tour. La télévision était manifestement allumée. J’ai moi-même  piloté dans le passé et je me suis dit : quel affreux pilote !" Il est notoire que la limousine présidentielle est équipée de la technologie la plus pointue, mais à cet instant il n’y avait absolument aucune image télévisée du premier crash. Une publication correspondante de la Maison-Blanche a disparu depuis du site Internet, mais la vidéo reste disponible sur YouTube. (Mot clé : "George Bush that’s one terrible pilot").
A 9h03, le Vol UA175 s’écrase contre la Tour Sud. Des millions de personnes voient les images en direct à la télévision au moment où George W. Bush entre dans la classe de l’école primaire. Bush s’assoit et commence à lire une histoire aux enfants. Juste après, un collaborateur se penche vers George W. Bush et lui chuchote à l’oreille qu’un deuxième appareil vient de se jeter contre le World Trade Center…
 
                                                                                                                                                     
"500 sites internet islamiques sont bloqués avant les attentats" 
 
 
"Jeb Bush déclare la situation d’urgence sur la Floride avant les attentats" 
 
"Le 10 septembre, des employés du Pentagone annulent des vols pour le lendemain matin" 

page 73
 

 
 
"Un sauveteur déclare qu’il a été réquisitionné la veille des attentats."
 

 
 
 "Donald Rumsfeld annonce les attaques quelques minutes à l’avance."

 

Photo : Donald Rumsfeld : le 10 septembre le ministre de la Défense fournit des explications à propos de la disparition de 2300 milliards de dollars

(transition page 73) Peu après, un collaborateur se penche vers George W. Bush et lui chuchote à l’oreille qu’un second appareil s’est jeté contre le World Trade Center. Bush ne montre aucune émotion, ni surprise ni peur, ni colère ou même tristesse. Indifférent, il poursuit la lecture du livre pendant dix minutes, avant de féliciter toute la classe.

Outre l’effondrement du World Trade Center 7 (WTC7) qui n’a été touché par aucun avion, l’effondrement symétrique des WTC 1 et 2 à une vitesse  proche de la chute libre, le petit trou suspect au Penta­gone et les pièces manquantes de l’épave du quatrième appareil qui s’est abattu sur Shanksville, cette scène représente la plus grande énigme pour de nombreuses  personnes dans le monde entier. Pourquoi le président ne montre-t-il aucun signe de choc émotionnel ? Comment se fait-il qu’il ne soit pas immédiatement mis à l’abri ?

Le mouvement de quête de la vérité se développe.

Neuf ans après ces événements, le nombre de questions restées sans réponse n’a pas diminué, bien au contraire. De plus en plus de médias établis remettent en question la version officielle. La bibliothécaire (NdT. collaboratrice de David Ray Griffin) Elizabeth Woodworth a analysé 18 rapports de grands médias – y compris l’article du 5 janvier 2010 paru dans le Focus-Money – pour le « Center for Research on Globalization » (Globalresearch.ca), une organisation d’utilité publique.  Bilan : l’attention croissante des médias reflète le professionnalisme grandissant au sein du mouvement de quête de la vérité. Non seulement des architectes et des ingénieurs, mais aussi des professeurs de grandes écoles, des pompiers, des vétérans de guerre, des collaborateurs de services secrets, des pilotes, des dirigeants religieux et politiques se joignent au mouvement. Même le Washington Times a « jeté un article dans la fosse aux lions » le 22 février 2010, dans lequel l’architecte Richard Gage, partant du principe que les destructions par explosif des immeubles du WTC ont été contrôlées, a donné un avis détaillé. Les ci-nommés « truther » (chercheurs de vérité) rapportent davantage d’indices que tous les mass-media réunis, indices selon lesquels tout s’est en réalité passé différemment. Ils assemblent un morceau de puzzle après l’autre, jusqu’à obtenir une image qui diffère considérablement de l’exposé officiel. Devant un tribunal, les preuves médico-légales comptent plus que les indices ou les témoignages. Avec l’aide des disciplines scientifiques, des liens évidents sont décelés. Par exemple, trouver les traces ADN d’un suspect sur le lieu d’un crime a un poids plus important que le fait que le criminel ait été vu par un témoin éventuellement peu fiable. La reconstitution du crime doit être en harmonie avec les lois de la nature, comme pour le calcul de la trajectoire de tir de l’arme du crime.

On a trouvé des traces d’explosifs.

De telles preuves évidentes existent. Plus de 1200 architectes et ingénieurs sous la direction de Richard Gage ont démontré que d’après la loi de Newton, l’effondrement symétrique des trois gratte-ciel  WTC 1, 2 et 7 ne fut possible qu’à condition que les éléments porteurs aient été balayés de manière ciblée et simultanée, comme avec une explosion (voir Focus-Money N°2/2010). Qui plus est, le professeur de physique Steven Jones a retrouvé des traces de nanothermite dans les poussières du World Trade Center.

Une recherche scientifique menée sous la direction du chimiste danois Niels Harrit de l’université de Copenhague, est parvenue à la conclusion qu’il s’agissait là de traces d’explosifs militaires. La recherche  a été publiée le 3 avril 2009 dans le magazine "Open Chemical Physics“ et a été soumise à la procédure scientifique habituelle de "peer review“, c’est-à-dire que les résultats ont été expertisés par des confrères.

 
"Un cousin de Bush annule une réunion au WTC."
 
 
"Le propriétaire du WTC Larry Silverstein ne se trouve pas dans les Tours en raison d’un rendez-vous médical."
 
 
"Des chasseurs-intercepteurs sont transférés à 180 Miles pour des manoeuvres d’essai." 

 

Page 74


 

"Rumsfeld confirme qu’au moins quatre exercices de simulation de guerre ont eu lieu le 11 septembre 2001" 

"Six semaines avant les attentats, Larry Silverstein loue le WTC  qui est truffé  d’amiante ."

(transition page 74) Le Dr. Harrit, qui a écrit sa thèse de chimie nucléaire à l’université Max-Planck de Mülheim dans la Ruhr, explique en détail le procédé de validation par expertise dans le magazine danois "Videnskab“ (en Français : "Sciences"). Selon la bibliothécaire Woodworth, l’étude n’a retenu l’attention d’aucuns mass-media anglais ou américains, mais certains médias européens tels que la chaîne danoise Danish TV2 en ont fait état.
 
En juin 2009 l’institut britannique de nanotechnologie (British Insitute of Nanotechnology ou BIN) a confirmé  les résultats de l’enquête (1) : l’étude, comme le déclare l’institut, "fournit la preuve irréfutable qu’un explosif de haute technologie, appelé nanothermite, a été retrouvé dans la poussière des trois immeubles qui se sont effondrés le 11/09/2001 à New York City. Cet explosif de haute technologie ne peut être fabriqué que dans des laboratoires militaires techniquement sophistiqués.“  Ce fait coupe l’herbe sous le pied de ceux qui critiquent Steven Jones, selon lesquels le professeur de physique aurait risqué sa réputation en fabriquant lui-même les preuves,dans le but de corroborer sa thèse du dynamitage.
 
Chute libre.
 
L’organisation gouvernementale du NIST qui a enquêté sur l’effondrement des trois tours, fournit elle-même une preuve supplémentaire convaincante. L’administration a nié jusqu’en août 2008 le fait que le World Trade Center 7  se soit écroulé à la vitesse de la chute libre. Lors d’un briefing le 28 août 2008, le scientifique du NIST Shyam Sunder a déclaré : "Une chute à la vitesse de la chute libre supposerait qu’un objet n’aurait plus de composants structurels en dessous de lui.“ Au cours de ce même briefing, le professeur de physique David Chandler eut la parole de manière fortuite, et insista sur le fait que les images télévisées montraient nettement une vitesse de chute libre sur environ 2,5 secondes. Cela signifierait que les 82 colonnes d’acier auraient dû céder en même temps. Certainement en raison de cette requête, le NIST avoua subitement dans le rapport final de novembre 2008, qu’environ huit étages de l’immeuble s’étaient bien effondrés à la vitesse de la chute libre durant 2.25 secondes.
 
La mention est perdue au milieu d’un rapport de 730 pages (NIST, NCSTAR 1–9, Vol 2), à la page 607. Le professeur David Ray Griffin écrit à ce sujet de manière ironique: "Le NIST nous dit : ensuite il s’est produit un miracle.“ Ceci va à l’encontre de toutes les lois de la physique, selon Griffin. Les experts d’"Architects and Engineers for 911 truth“ (ae911truth.org), dont le nombre est passé entre-temps à plus de 1200, ont confirmé sa vision des faits, selon laquelle la chute libre constituerait une preuve de dynamitage ciblé. Bien que Griffin soit un scientifique des religions, il devient une icône du mouvement de recherche de la vérité, car il s’occupe inlassablement dans ses livres et articles de réfuter ceux que l’on nomme les « debunkers ». Ces derniers essaient à leur tour de réfuter les arguments des sceptiques, suite à quoi les sceptiques démystifient immédiatement les leurs en retour, telle la course entre le lièvre et le hérisson.
 
Pas de procès.
 
Le problème est le suivant : tant qu’une procédure juridique publique n’a pas été entamée, une preuve ne peut aboutir à une condamnation. Jusqu’à présent le procureur compétent se refuse à entamer une procédure malgré les nombreuses pétitions des habitants et parents des victimes. Parmi ceux qui ont essayé de se joindre à eux, on trouve même Stanley Hilton, un ancien collaborateur du candidat républicain à la présidence Bob Dole. Dans la mesure où le ministère public se refuse à analyser les faits, un groupe constitué de parents des victimes (Family Steering Commit­tee) a posé des questions ciblées aux membres du gouvernement avec la participation des  fameuses Jersey Girls au sujet des informations que le président Bush a données à la commission gouvernementale officielle. Leur résultat ? Accablant : la plupart des questions n’ont  reçu aucune réponse, ou alors insuffisantes. Les détails peuvent être consultés sur la page Web 911independentcom­mission.org, ou visionnés dans le film "9/11 Press for Truth“ disponible gratuitement sur internet [en français, grâce à ReOpen911- NdT]
 
Photo : Effondrement du WTC 7 : tous les signes d’une démolition contrôlée.
 
Tant que les organes officiels se refuseront à répondre à ses questions, le Mouvement pour la vérité [sur le 11/9] recherchera des preuves et des indices supplémentaires dans les articles de la presse grand public. L’arme du crime, la nanothermite, ayant déjà été mise en évidence de façon certaine, il s’agit maintenant de trouver les véritables coupables. Puisqu’il est fortement improbable, d’après Niels Harrit et d’autres experts, qu’Oussama ben Laden soit parvenu à accéder à des explosifs militaires depuis une caverne en Afgha­nistan et (transition page 76) à les installer dans des bâtiments occupés par des administrations gouvernementales[américaines], on peut aisément suggérer de rechercher le cercle des criminels ailleurs. 

"Deux heures avant le premier impact le système d’alarme du WTC 7 a été désactivé en raison de tests."

 

 La BBC et CNN annoncent l’effondrement du WTC 7 avant qu’il ne se produise.

 

page 75 (pour la suite cliquer ici)


Notes de traduction :

(1) Voici la phrase qui figura quelques jours sur le site officiel du British Insitute of Nanotechnology (BIN) à propos de l’étude de Niels Harrit et all parue chez Bentham :

"…provides indisputable evidence that a highly engineered explosive called nanothermite was found in the dust of all three buildings that came down on 9/11 2001 in New York city. This advanced explosive incorporating nanotechnology is only available to sophisticated military labs."

" … apporte la preuve indiscutable qu’un explosif de haute technologie appelé "nanothermite" a été trouvé dans la poussière des trois bâtiments qui se sont effondrés le 11/9 à New York city. Cet explosif avancé qui incorpore de la nanotechnologie n’est disponible que dans des laboratoires militaires sophistiqués."

Depuis le 15 juin 2009, le BIN nous dit désormais qu’il avait publié et commenté cette étude sans pouvoir en vérifier l’authenticité, qu’il n’est en aucun cas affilié aux Editions Bentham, qu’il ne faisait que relayer cette étude sur son site, et qu’en conséquence il a décidé de la retirer de son site.

Ajoutons à cela la réfutation, suivie de la démission de l’experte internationale en nanotechnologies Marie Paule Pileni, responsable du comité d’experts qui précisément pendant deux ans ont suivi les travaux de Niels Harrit et ses confrères, démission justifiée par le fait qu’il s’agit d’un sujet politique et non scientifique (M. Harrit a donné son point de vue au sujet de la démission et des déclarations de Mme Pileni) …

… et vous avez une idée des réactions pour le moins glaciales que cette étude a provoquées, alors qu’elle est le fruit de plusieurs années de recherches, d’approfondissements méthodologiques, et de plusieurs allers et retours entre le comité de lecture et les auteurs. Une fois encore : à vous de juger.

 


En lien avec cet article :

  • 14 février 2010 /  page d’accueil actualité de ReOpen911 / Les médias et le 11-Septembre entre septembre 2009 et février 2010 (lire le chapitre consacré à l’Allemagne, article original pour ReOpen911)
  • 15 janvier 2010 /  Reopennews / entretien avec Oliver Janich, un journaliste qui dérange (article original reopennews)
  • 7 janvier 2010 / Gerhart Wisnevski / Kopp Verlag / La diffamation n’arrêtera pas le travail des journalistes (traduction reopennews)
  • 3 septembre 2009 / Reopennews / Le 11-Septembre en Europe, épisode 1, l’Allemagne (article original reopennews en 2 parties)

 

4 Responses to “FOCUS MONEY: Qui se cache vraiment derrière le 11-Septembre ? (1/2)”

  • Zorg

    « Deux heures avant le premier impact le système d’alarme du WTC 7 a été désactivé en raison de tests. » (NIST)

    Et bé…

    Je l’ignorais celle-là…
    Quelqu’un sait à quelle page du rapport du NIST on peut trouver cette info ?

  • Red Cloud

    Super travail de mise à disposition. Merci pour la traduction!

  • libel48

    Décidément, c’est très malsain pour la carrière de journaliste de se poser honnêtement des questions sur le 11 sept 2001.
    Cet acharnement absolu à occulter toute étude sérieuse et la panique des médias à ce propos suggère pour le moins que les tenants de la V.O. sont de moins en moins sûrs de leur croyance aveugle…auraient-ils des choses à cacher ? :-P

    Poser la question, c’est aussi y répondre.

    Félicitations et merci à tous les membres de ce site salutaire pour le travail accompli, ne baissons jamais les bras.

  • bubul

    Je viens de lire le livre bushland de william reymond et on voit bien comment tout est pourri et manipulé dans ce pays, la campagne de bush n’est que mensonges envers lui même et ses adversaires !

    http://williamreymond.com/dossier_bush

Trackbacks

  •  





*
To prove you're a person (not a spam script), type the security word shown in the picture. Click on the picture to hear an audio file of the word.
Click to hear an audio file of the anti-spam word

``