Traduction intégrale de l’article « peer reviewed » concluant à la présence de nano-thermite dans les poussières du WTC

Parmi les nombreux articles publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture (peer reviewed), dont les résultats sont contradictoires avec la version officielle des attentats du 11-Septembre, figure celui publié en 2009 par 9 chercheurs, dont Niels Harrit, concluant à la présence de nano-thermite dans les poussières du World Trade Center.

L’association ReOpen911 n’ayant pas les compétences pour juger la fiabilité de cette étude, nous avons choisi de la traduire intégralement afin que des scientifiques francophones puissent confirmer ou invalider les résultats obtenus dans le but de faire progresser les connaissances quant à l’effondrement des 3 gratte-ciel du WTC le 11 septembre 2001. Rappelons que pour être considérée comme valide par la communauté scientifique, toute contestation de cet article doit être publiée à son tour, ce qui,  3 ans après, n’a toujours pas été proposé.

 

Photographies au microscope des 4 échantillons utilisés pour l’étude 
 

Découverte de matière thermitique active dans la poussière de la catastrophe du 11/9 du World Trade Center

 

Vous pouvez télécharger ici l’article traduit en Français

 

Auteurs Niels H. Harrit1Jeffrey Farrer2Steven E. Jones3Kevin R. Ryan4, Frank M. Legge5, Daniel Farnsworth2, Gregg Roberts6, James R. Gourley7, Bradley R. Larsen3

 

1 Département de Chimie, Université de Copenhague, Danemark

2 Département de Physiques et d’Astronomie, Brigham Young University, Provo, UT, USA

3 S&J Scientific Co., Provo, UT, USA

4 9/11 Working Group of Bloomington, Bloomington, USA

5 Logical Systems Consulting, Perth, Western Australia

6 Architects & Engineers for 9/11 Truth, Berkeley, USA

7 International Center for 9/11 Studies, Dallas, USA

 

 


The Open Chemical Physics Journal (Volume 2) – Le 31 juillet 2009
 
RÉSUMÉ
 
Nous avons découvert des fragments distincts rouge/gris dans tous les échantillons que nous avons étudiés de la poussière résultant de la destruction du World Trade Center. L’examen de quatre de ces échantillons, ramassés sur des lieux séparés, est rapporté dans le présent document. Ces fragments rouge/gris présentent de grandes similarités dans les quatre échantillons. Un échantillon a été recueilli par un résident de Manhattan environ dix minutes après l’effondrement de la seconde tour du WTC, deux le lendemain, et un quatrième environ une semaine plus tard. Les propriétés de ces fragments ont été analysées par microscopie optique, microscopie électronique à balayage (MEB), spectroscopie de rayons-X par dispersion d’énergie (EDXS), ainsi que par calorimétrie différentielle à balayage (DSC). Le matériau rouge contient des grains d’environ 100 nm composés en grande partie d’oxyde de fer, tandis que l’aluminium est contenu dans de minuscules structures en forme de plaque. La séparation des composants en utilisant la méthyl éthyl cétone a démontré que de l’aluminium élémentaire y est présent. L’oxyde de fer et l’aluminium sont étroitement mélangés dans ce matériau rouge. Une fois enflammés dans un dispositif DSC, les fragments présentent un important dégagement de chaleur, quoique restreint et se manifestant à approximativement 430˚C, bien en deçà de la température d’ignition normale de la thermite conventionnelle. De nombreuses sphères riches en fer sont clairement observées dans le résidu qui suit l’ignition de ces curieux fragments rouge/gris. La partie rouge de ces fragments se révèle être un matériau thermitique hautement énergétique qui n’a pas réagi.
 

EXTRAITS
 
INTRODUCTION
 
La destruction de trois gratte-ciels (WTC 1, 2 et 7) le 11 septembre 2001, a été une immense et tragique catastrophe qui non seulement a affecté des milliers de personnes et de familles directement par la mort ou leurs blessures, mais aussi a fourni le motif pour de nombreux et coûteux changements radicaux dans la politique intérieure et étrangère. Pour ces raisons entre autres, connaître ce qui s’est réellement passé ce jour fatidique est d’une très grande importance.
 
Un grand effort a été fourni par diverses enquêtes parrainées et financées par le gouvernement, qui a conduit, en grande partie, aux rapports publiés par la FEMA et le NIST.
 
D’autres études de la destruction ont été moins fortement médiatisées mais n’en sont pas moins importantes au vu de l’énorme obligation en suspens que nous devons aux victimes de cette tragédie, de faire toute la vérité sur les événements de cette journée. Un certain nombre de ces études se sont efforcées d’attirer l’attention sur les éléments matériels restants, ainsi que sur les photographies et les vidéos disponibles, en tant que sources d’éléments de preuve encore dans les mains du public, relatives au mode de destruction des trois gratte-ciel.
 
CONCLUSIONS
 
Nous avons découvert des éclats rouge/gris caractéristiques en quantité appréciable dans la poussière résultant de la destruction du WTC. Nous avons utilisé plusieurs méthodes dont celles du MEB/EDXS pour déterminer la structure intime et la signature chimique de ces éclats, en particulier de leur composant rouge. Le matériau rouge est le plus intéressant et possède les caractéristiques suivantes :
 
1. Il est composé d’aluminium, de fer, d’oxygène, de silicium et de carbone. De plus faibles quantités d’autres éléments potentiellement réactifs sont parfois présents, tel le potassium, le souffre, le plomb, le baryum et le cuivre.
 
2. Les éléments primaires [Al, Fe, O, Si, C] sont typiquement tous présents dans des particules à une échelle de quelques dizaines à quelques centaines de nanomètres, et un relevé EDXS détaillé montre un mélange intime.
 
3. Suite au traitement au solvant méthyle éthyle cétone, une certaine ségrégation des composants s’est produite. L’aluminium élémentaire est devenu suffisamment concentré pour être clairement identifié dans le matériau pré-ignition.
 
4. L’oxyde de fer apparaît dans des grains à facettes, d’environ 100 nm de travers, tandis que l’aluminium apparaît dans des structures de plaques minces. La petite taille des particules d’oxyde de fer permet au matériau de pouvoir être qualifié de nano-thermite ou super-thermite.
 
5. L’analyse montre que le fer et l’oxygène sont présents dans une proportion cohérente avec le Fe2O3. Sur ce point, le matériau rouge des quatre échantillons de poussière du WTC est semblable. L’oxyde de fer se trouvait dans le matériau pré-ignition alors que le fer élémentaire ne s’y trouvait pas.
 
6. Considérant la présence d’aluminium élémentaire et d’oxyde de fer dans le matériau rouge nous concluons qu’il contient les ingrédients de la thermite.
 
7. Comme l’a mesuré la DSC, le matériau s’enflamme et réagit vigoureusement à une température approximative de 430 °C, avec un pic exotherme plutôt serré, correspondant d’assez près à une observation indépendante d’un échantillon de super-thermite avérée. La faible température d’ignition et la présence de grains d’oxyde de fer de moins de 120 nm montrent que le matériau n’est pas de la thermite conventionnelle (qui s’enflamme à des températures au dessus de 900 °C) mais très vraisemblablement une forme de super-thermite.
 
8. Après avoir enflammé plusieurs éclats rouge/gris dans une DSC à 700 °C nous avons trouvé de nombreux sphéroïdes et sphères riches en fer, témoignant qu’une très haute température de réaction a été atteinte, car le produit riche en fer doit à l’évidence avoir été fondu pour produire ces formes. Dans plusieurs sphères la présence de fer élémentaire a été vérifiée car le contenu en fer excédait celui en oxygène. Nous concluons qu’une réaction d’oxydo-réduction à haute température s’est produite dans ces éclats chauffés, appelée réaction thermitique.
 
9. Les sphéroïdes produits par les tests DSC et par les tests à la flamme ont une signature EDXS (Al, Fe, O, Si, C) qui est appauvrie en carbone et aluminium par rapport au matériau rouge original. Cette signature chimique correspond de manière frappante à la signature des sphéroïdes produits par l’ignition de thermite commerciale et correspond aussi à la signature de beaucoup des microsphères trouvées dans la poussière du WTC.
 
10. Le contenu en carbone du matériau rouge témoigne de la présence d’une substance organique. Cela serait attendu pour des formules de super- thermite de manière à produire à l’allumage des pressions de gaz élevées et les rendre ainsi ex- plosives. La nature du matériau organique dans ces éclats mérite plus ample exploration. Nous notons que c’est vraisemblablement aussi un matériau énergétique, en ce que le dégagement total d’énergie parfois observé dans les tests DSC dépasse l’énergie théorique maximum de la réaction thermitique classique.
 
Sur la base de ces observations nous concluons que la couche rouge dans les éclats rouge/gris que nous avons découverts dans la poussière du WTC est un matériau thermitique actif non réagi, incorporant de la nanotechnologie, et que c’est un matériau hautement énergétique pyrotechnique ou explosif.
 
Traduit de l’anglais par Arnid et Perry
 

Références :


En lien avec cet article :


31 Responses to “Traduction intégrale de l’article « peer reviewed » concluant à la présence de nano-thermite dans les poussières du WTC”

  • H.

    Excellent !

    Parallèlement, je suis plutôt étonné du réveil de France 5. On ne peut qu’applaudir à cette « audace » après 11 ans de non-enquête chez nos « journalistes-maison ». Mieux vaut tard que jamais. En espérant que la longue hibernation des autres  » confrères  » ne dure pas encore quelques siècles sur la question…

    Bientôt la réouverture du dossier via une enquête indépendante?

    Bientôt l’ouverture de l’enquête via un tribunal international suite aux travaux en cours du juge Italien Fernandino Imposimato ?

    Les temps changent, on dirait.

  • Arnaud
  • François

    Juste pour pondérer un peu … cette intervention était très courte, n’a suscité aucune réaction des autres participants … et on s’est empressé de passer au sujet suivant sans aucun commentaire !!!

    Il reste encore pas mal de boulot à faire, le plus facile n’étant certainement pas l’acceptation d’une vérité qui dérange par ceux (dont au moins un était présent sur le plateau de France5 ce jour là) qui ont toujours été des détracteurs inconditionnels de la « théorie conspirationniste » .

  • Phrygane

    D’accord avec François :

    Cela passe très brièvement dans une émission qui n’est pas une émission « scientifique », mais le ton employé est sincère, pas condescendant vis à vis des « révisionnistes ».

    C’est une goutte d’eau dans le grand vase de l’info…mais à force d’accumumuler les gouttes d’eau, celui -ci finira bien par déborder.

  • Bradbury

    Il faudrait déjà que vous vous mettiez d’accord entre vous si oui ou non la « nano-thermite » est un explosif !!!
    Ce n’est pas le cas. C’est un découpeur incendiaire.
    Pas très précis ni assez rapide pour controler une démolition. C’est la raison pour laquelle les experts en démolition n’utilisent pas de thermite ( thermite, pas nano-thermite: celle-ci n’est pas en vente libre …)
    Il faudrait ensuite expliquer comment cette « nano-thermite  » a été appliquée !! Quelle quantité et quand ?
    Et comment elle a été déclenchée ?
    Et pourquoi elle ne s’est pas « activée » lors du crash de l’avion et de la fireball de kero ?
    Naturellement, vous ne répondez jamais à ces questions…
    Evidemment, puisque c’est totalement absurde : il n’y a pas de réponse à des hypothèses absurdes.

    « Parmi les nombreux articles publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture  » commence l’article.
    Ceci est un mensonge éhonté qui passe comme une lettre à la poste : vous n’avez émis aucun article dans des revues scientifiques à comité de lecture.
    ça se saurait…

    Fort heureusement, le « peer-reviewed » pour le truc de Harrit et Jones est mis entre guillemets dans l’entête de l’article.
    Effectivement, les guillemets s’imposent puisqu’il a été « peer-reviewed » à la sauvette, par les copains et que l’ »expérimentation » s’est faite dans des conditions ne respectant aucun protocole.

    Harrit et Jones ont « découvert » de la peinture.
    Comme Millette l’a mis en évidence au début de l’année :
    « therefore the red layer of the red/gray chips is not thermite or nano-thermite ».
    Point barre.

  • Arnaud

    @Bradbury : Voici les articles publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture :
    http://www.911truth.org/article.php?story=20121003042002746

    « Peer reviewed » a été mis entre guillemets car il s’agit du terme anglais, plus court donc plus adapté pour un titre.

    Harrit a expliqué pourquoi, selon lui, ce n’est pas de la peinture.
    Voir les liens en bas de l’article.

    En effet, nous n’avons pas les réponses à toutes les questions. Le fait que 75% des questions de familles de victimes soient restées sans réponse ne semble pourtant pas vous poser le moindre problème..

  • Citroon

    Oulà Bradbury, faut pas vous emballer !

    C’est pas celui qui crie le plus fort (ou qui lance le plus de « ha ha ha » sarcastiques comme on en trouve à foison dans vos messages) qui a forcément (toute sa) raison.

    Comme précisé juste avant par Arnaud, « comité de lecture » se dit « peer review » en anglais… Aucune tentative de manipulation dans l’utilisation de ce terme. À vouloir trouver du mensonge partout, toujours, à n’importe quel pris dans les news de ReOpen, vous en devenez passablement fatigant.

    Pour les questions du déclenchement et/ou de l’absence de déclenchement dû au « fireball de kero » comme vous le dite, c’est vrai, pas d’explication. Est-ce que ça veut dire qu’il n’y en a pas ? Je me garderais bien, à la différence de vous, de crier que ce manque de réponse est la preuve irréfutable que la question est absurde.

    Mais le rapport officiel ne donne pas non plus d’explication vous savez.
    Et si vous pouviez expliquer à tous ce qu’est devenue la structure centrale des 2 tours WTC1 et 2, composée de 47 poteaux métallique dont plus de 1000 architectes et ingénieurs disent qu’il est impossible qu’elle ait été réduite à presque rien, sous un amas d’à peine 20 mètres de haut pour chaque tour, et ce uniquement par effondrement.

    Vous comprenez, Bradbury, on peut bien admettre ne pas connaître le processus de destruction, mais on peut beaucoup plus difficilement admettre qu’un simple écroulement ait produit ces résultats. Et entre 2 incompréhensions, il y a, voyez-vous, une question d’importance relative qui semble vous échapper.

    Et encore une fois, relisez et revoyez les vidéos en ligne sur ce site, où vous pourrez voir et entendre les très nombreux témoignages de pompiers, secouristes, chef des travaux parlant d’une « rivière de lave en fusion » qu’ils ont vu couler sous les décombres jusqu’à plusieurs semaines après les effondrements !

    Par pitié, faites cet effort de « classement » des faits par ordre d’importance croissante, vous devriez y voir plus clair.

  • Roger

    @ Bradbury

    Personne n’a jamais dit que l’ouverture d’une question clé par les truthers impliquait forcément que ceux-ci en aient tous les éléments de réponse…

    C’est un piège bien trop souvent tendu par les journalistes pressés, et bien trop commode pour décaler le débat !

    Depuis quand, lorsqu’un détective sait qu’un meurtre a été commis grâce à une pièce à conviction, il a automatiquement le nom de l’assassin qui lui apparaît comme par enchantement, et tout le planning de sa journée ?

    On sait qu’il y a eu de la nanothermite, un point c’est tout. C’est déjà un scoop mondial !!!… Maintenant on compte sur l’intégrité morale et sens du civisme des truthers pour aller plus loin, car le jeu des actionnaires de la presse traditionnelle empêche tout journaliste d’aborder cette question.

    3 ans de silence assourdissant, sur une question centrale, en plein XXIème siècle ! Une décennie après les mensonges des armes de destruction massives, c’est une honte pour nos démocraties, et la preuve manifeste que nous vivons au sein d’une décadence crasse.

  • kidkodak

    De toute façon qui a dit que seul la nanothermite a été utilisée pour détruire les 3 tours?

    Il y a eu plusieurs témoignages de gigantesques explosions,de petites explosions roulant comme des feux d’artifice, de coulées de métal fondant et quoi d’autre encore dont nous ne connaissons pas encore l’existence.
    Bref un éventail de techniques combinées pour venir à bout de ces mastodontes en si peu de temps.

    L’usage de la nanothermite était avant tout justifié pour gruger jusqu’à la lie les imposantes structures d’acier pour ensuite achever définitivement les bâtiments par une panoplie d’explosifs.Du travail de professionnel.

    Tant qu’aux avions dont je ne suis même pas sur de l’identité,quel beau spectacle de diversion!

    Pendant que tous sont hypnotisés par leur encastrement dans les tours,le reste se fait tout seul,comme un cancer en arrière plan.

    Un bémol cependant: pas sur que leur plan ait bien fonctionné pour la tour 7.
    Probablement qu’elle aurait du tomber avant(en tout cas au moins 20 minutes avant! Hein Jane?) mais bon…jamais 2 sans trois…
    Toute une organisation en tous cas et Michel Chossudovsky pose à Richard Gage la question à savoir combien de personnes ont pu y travailler en toute impunité.

    http://www.youtube.com/watch?v=T7T0ue_m1cU

    Nuremberg 2 approche et il est plus que temps.

  • latakia

    Nanothermite ou pas, la question est en fait secondaire.
    Dans le cafouillage des argumentations contradictoires, j’essaie de m’en tenir au moins contestable. En l’occurrence le rapport du NIST. Or que dit ce rapport dans ces conclusions?

    1° le feu seul n’est pas responsable de l’amorce de l’effondrement

    2°les impacts seuls ne sont pas responsables de l’amorce des effondrements

    3° la combinaison des deux ne peut avoir amorcé les effondrements qu’à supposer que la majorité de la protection ignifuge des colonnes ait été détruite

    4° les essais de destruction de ce type de protection ne sont pas concluants

    5° Le NIST s’avoue incapable de fournir une explication complète à la poursuite de l’effondrement ayant entraîné la destruction intégrale des tours.

    point-barre!

  • Hijack

    Faut pas s’extasier sur ce que vient de dire cette chaîne …même si les traces de nanothermite sont reconnus officiellement … ils diront simplement que c’est de la négligence de leur part … jamais ils ne diront que c’est un inside job !!! …

  • Roger

    @ Latakia

    MERCI de reporter ici, et de façon irréfutable, des arguments officiels qui mettent en porte-à-faux la version officielle elle-même.

    On s’attend à présent à la conclusion inévitable des journalistes, qui ne manqueront pas d’accuser le NIST de ramassis de complotistes révisionnistes…

  • H.

    @ Bradbury

     » Bradbury » dit :  » Harrit et Jones ont « découvert » de la peinture » …

    Vous êtes certain que ce n’était pas des coccinelles ?

    ( …)

    Décidément, vous prenez les scientifiques US pour des pipes !

    Confondre de la nanothermite avec de la peinture, hi, hi, et cette histoire de  » Harrit & Jones  » vous a convaincu  » Brad’  » ?

    Vous êtes si suggestible que ça ? Allons donc !

    Allez soyez sérieux cinq minutes  » Brad’  » ! Comment pouvez-vous croire que des spécialistes de la nanothermite ne fasse pas la différence entre des résidus de peinture et le composant en question ?

    Vous vous complaisez dans les contes pour enfants, décidément !
    Relisez le message de  » Latakia  » et posez-vous de bonnes questions.

  • Doctorix

    Reconnaître qu’il y avait de la nano-thermite, c’est reconnaître que le gouvernement est impliqué, puisque la nano-thermite, au contraire de la thermite, est un composant ultra-sophistiqué à la seule disposition des militaires.
    A quoi sert le reste des discussions, sinon à mettre en avant des Bradbury à la comprenette difficile ou à l’esprit de contradiction exacerbé, ce qui est lui faire beaucoup d’honneur?
    Ah oui, c’était de la peinture…Comme la balle miracle qui a tué Kennedy:
     » une balle l’avait frappé dans le haut du dos et était ressortie par la gorge, Le gouverneur Connally, assis juste devant le président, a également été touché : la balle l’a frappé dans le dos à droite de la clavicule droite, a traversé le poumon et fracturé une côte en ressortant, son poignet droit a été transpercé (le radius fut fracturé) et la balle a terminé sa course en pénétrant superficiellement sa cuisse gauche10. Selon les conclusions officielles de la commission Warren (en 1964) et du House Select Committee on Assassinations (en 1979), la même balle aurait traversé les deux hommes. »

    Pourquoi se compliquer la vie à écrire des scénarii compliqués quand des gogos sont prêts à croire n’importe quoi du moment que la vérité est assénée d’en haut?

  • kidkodak

    Doctorix : »Reconnaître qu’il y avait de la nano-thermite, c’est reconnaître que le gouvernement est impliqué »

    J’écoutais ce matin sur la station WEB 911/FREE FALL l’interview de Pamela Senzee qui à 31 minutes 25 secondes du lien plus bas,disait avoir remis dernièrement au FBI les documents scientifiques montrant que de la nano-thermite était présente partout dans les débris du WTC. Elle était également accompagnée de l’avocat David Meiswinkle.Elle dira dans l’entrevue(en anglais) que le FBI a été courtois et l’a bien reçu.Évidemment on ne peut qu’approuver une telle démarche mais en même temps je trouve çà hallucinant que 11 ans après les évènements,après que toutes ces choses aient été révélées au grand jour depuis des années,qu’une citoyenne ordinaire remette en novembre 2012 ces documents au FBI.La seule raison selon moi doit en être une de nature juridique: si le FBI ignore cette information scientifique déposée en présence d’un avocat,il se rend complice du silence gouvernemental.

    Mais qu’est-que le gouvernement américain a à faire de la vérité?
    C’est le dernier de ses soucis.
    Les États-Unis sont maintenant un État Policier.La force brute et le mensonge sont ses outils de travail quotidien.

    Cette démarche que j’approuve pour la forme,a du provoquer des rires hystériques au sein des membres du FBI une fois que madame Senzee eut quitté.
    Et évidemment cela se rendra sur la filière treize une fois transmis au gouvernement OBAMA-ROMNEY-BUSH,… si jamais ces documents sont transmis.
    Suis-je rendu un peu cynique?
    9/11 Free Fall– The FBI and White House have been informed (Interview with Pamela Senzee, 11/1/12)
    http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=aZvQSheTtX4

  • Sana-Kan

    Réactions à l’article de Harrit et al. :

    D’abord sur les 4 fragments rouge/gris de la figure 2, ceux qui ont été bien analysé en images MEB et en spectres EDS (figures 3 à 11).
    On y voit 3 choses :
    – De fines particules à facettes de teinte claire (donc à élément(s) assez lourd(s) en mode électrons rétrodiffusés), vraisemblablement de l’hématite (oxyde de fer) : minéral qui donne la couleur rouge à la thermite, et colorant rouge courant, pour les peintures notamment.
    – Des plaquettes de teinte moins claire que les particules d’hématite, contenant de l’aluminium, du silicium et de l’oxygène, vraisemblablement de la kaolinite. C’est là que je vais apporter ma modeste contribution au débat puisque je suis géologue, que je travaille régulièrement avec un microscope électronique à balayage, sur les minéraux argileux et notamment la kaolinite. Et je peux vous dire que ces particules, et de par leur forme, et de par leur composition, sont clairement des cristaux de kaolinite.
    – Enfin, ces deux types de particules sont noyées dans une matrice carbonée, de teinte sombre en mode électrons rétrodiffusés, le carbone étant un élément léger.

    Remarque : même si les plaquettes étaient de l’aluminium métal comme dans la thermite, il faudrait que cet aluminium soit en contact direct avec l’oxyde de fer pour qu’il puisse y avoir réaction. En noyant ces deux éléments dans une matrice carbonée il ne risque pas de se passer quoi que ce soit…
    En conclusion, les 4 fragments rouge/gris de la figure 2 ne sont clairement pas de la thermite.

    Mais…
    Ce n’est pas sur ce type de fragment qu’ont été conduites les expériences suivantes (dissolution au méthym-éthyl-cétone et analyse calorimétrique), mais sur un autre fragment à la composition légèrement différente (avec en plus du calcium, du soufre et des traces de zinc et de chrome).
    J’étais surpris de la répartition des élément telle que l’on peut la voir sur la figure 15, où l’on voit très clairement que ce coup-ci l’aluminium n’est pas lié au silicium. Du coup, contrairement aux 4 premiers fragments il ne peut s’agir de kaolinite, peut-être de l’aluminium métal ?
    Je lis sur le site de M Quirant (désolé…), que cette particule pourrait correspondre à la peinture Tnemec des poteaux (avec que les fragments de la figure 2 seraient de la peinture des planchers). On voit qu’effectivement la composition chimique correspond bien. mais plus intéressant, on peut lire que dans cette peinture l’aluminium va se trouver dans le pigment Tnemec sous forme d’aluminate de calcium, le silicium se trouvant sous forme de talc et de silicate de calcium. Donc c’est normal que dans ce fragment l’aluminium et le calcium ne sont pas forcément liés : l’aluminium est lié au calcium. Mais comme dans l’article on n’a pas la carte du calcium…

    Du coup, même après avoir lu l’article dans son ensemble, je reste convaincu qu’il s’agit tout simplement de peinture…

  • kidkodak

    Sana-Kan: … »je reste convaincu qu’il s’agit tout simplement de peinture… »

    Latex ou à l’huile?

  • Sana-Kan

    @ kidkodak

    Peinture acrylique. D’où la pâte sombre qui englobe les cristaux.

  • Phrygane

    Pour une fois d\’accord avec Bradburry :

    çà ne peut pas être de la nanothermite puisque celle-ci :
    « n’est pas en vente libre »….

    Alors que la peinture…

  • kidkodak

    Phrygane: »Pour une fois d’accord avec Bradburry :

    çà ne peut pas être de la nanothermite puisque celle-ci :
    « n’est pas en vente libre »….

    Alors que la peinture… »

    …acrylique par dessus le marcher.

  • Phrygane

    Sana-Kan,

    Vos remarques sont intéressante et paraissent très documentées.
    Vous avez une compétence en la matière que je suis loin d’avoir.

    Pourriez-vous nous donner votre avis sur le passage qui dit :

    . »7.Comme l’a mesuré la DSC, le matériau s’enflamme et réagit vigoureusement à une température approximative de 430 °C, avec un pic exotherme plutôt serré, correspondant d’assez près à une observation indépendante d’un échantillon de super-thermite avérée. La faible température d’ignition et la présence de grains d’oxyde de fer de moins de 120 nm montrent que le matériau n’est pas de la thermite conventionnelle (qui s’enflamme à des températures au dessus de 900 °C) mais très vraisemblablement une forme de super-thermite.

    8. Après avoir enflammé plusieurs éclats rouge/gris dans une DSC à 700 °C nous avons trouvé de nombreux sphéroïdes et sphères riches en fer, témoignant qu’une très haute température de réaction a été atteinte, car le produit riche en fer doit à l’évidence avoir été fondu pour produire ces formes. Dans plusieurs sphères la présence de fer élémentaire a été vérifiée car le contenu en fer excédait celui en oxygène. Nous concluons qu’une réaction d’oxydo-réduction à haute température s’est produite dans ces éclats chauffés, appelée réaction thermitique. »

    La peinture pourrait-elle avoir des réactions similaires ou s’agit-il de mauvaises interprétations de résultats ou d’autres choses encore.

    D’avance merci

  • devillon

    SUPPOSITION : l origine du mélange rouge : il existe une peinture antirouille qui a un composition similaire
    QUESTION : quelle était la protection antirouille de la structure acier (structure principale majoritairement acier)
    RÉFLEXION: de la à extrapoler sur la quantité de peinture utiliser ou stoker i n y a q un pas
    MAIS CELA N ÉCLAIRE TOUJOURS PAS SUR LA NATURE DE L ATTENTAT

  • Sana-Kan

    Phrygane,

    Techniquement, ce que je connais bien et ce qui me parle sont les analyses faites au MEB (images BSE, spectres et cartes EDS). Pour le reste, notamment la DSC, je ne connais pas bien. Mais en lisant l’article, les avis soutenant l’article sur reopen, et les avis infirmant l’article sur le site de Jérôme Quirant, on arrive à se faire un avis ^^

    Avant de répondre à vos questions, dans ce que j’ai raconté précédemment il y a une erreur : pour l’échantillon qui a été traité au MEC et qui semblerait montrer la présence d’aluminium métal, j’ai dit qu’il pourrait s’agir l’aluminate de calcium… Mais en fait non, parce que le spectre EDS montre bien qu’il n’y a pratiquement que de l’aluminium.
    Reste que je n’aime vraiment pas cet échantillon. L’article nous montre d’abord 4 fragments rouge/gris, bien analysés en détail, et ensuite l’article détaille l’analyse d’un fragment après passage au MEC, mais ce fragment est différent des 4 premiers, et n’a donc pas été analysé avant le passage au MEC. L’article dit à propos de cet échantillon : « La présence de ces éléments [supplémentaires] pourrait être attribuée à une contamination de la surface de la couche rouge précédent l’expérimentation ». En gros : on a de belles photos et de belles analyses de 4 fragments, mais on a décidé de faire une analyse après passage au MEC sur un autre fragment tout moisi (contaminé avec plein de saletés).

    Alors, pour répondre à vos questions : sur les sphérules riches en fer après passage dans la DSC (point 8), je ne sais pas. Et je crois me souvenir que c’est le seul détail que Jérôme Quirant trouve étrange ^^
    Pour le point 7 et la vive réaction à 430°C dans la DSC, ceux qui critiquent cet article semble avoir raison sur un point : la DSC aurait dû se faire sous une atmosphère neutre (genre gaz rare), et surtout pas en présence d’air comme cela a été fait. Effectivement, s’il s’agissait de thermite (ou nano-super-thermite), l’aluminium et l’oxyde de fer réagissent entre eux sans nécessiter la présence d’oxygène gazeux, donc une DSC sous atmosphère neutre aurait permi à la réaction de se produire. Alors qu’avec l’oxygène de l’air, le pic d’énergie peut très bien correspondre à la combustion de la matrice carbonée. Donc ce pic de chaleur à 430°C ne démontre absolument rien.

    Voilà, bon week-end à vous !

  • Corto

    concernant FRANCE 5, notez la présence sur le plateau du journaliste Nicolas Poincaré, qui quelques jours plus tôt,avait traité Mathieu Kassovitz de révisionniste, et s’était retrouvé devant les tribunaux. Ici, il ne pipe mot…. comme quoi non seulement la caste des journalistes ment, mais en plus elle est complice de l’omerta.

  • charmord

    Sana-Kan,

    J’ai déjà posé ces questions à J. Quirant, suite à son dossier paru sous casquette de l’AFIS.

    http://forum.reopen911.info/p270507-15-12-2011-13-11-25.html#p270507

    Il n’a pas pipé mot. Sauras-tu lui venir en aide, vu que tu as l’air de maîtriser le sujet.

    Ceci étant, d’après moi, Harrit et al ont déjà répondu à tous les arguments que tu as exposés sur ce fil pour mettre en doute leur découverte. Il faudrait retrouver l’article où ce fut fait.

    Du reste, la seule présence des microsphères de fer après la réaction semble incliner en faveur de sa nature thermitique. On attend les contre-propositions de J. Millette pour en donner une explication mais on note déjà que son travail est un travail de commande de l’un des pires sites de debunkers US et plus fondamentalement, qu’il ne peut être qualifié d’indépendant ayant déjà effectué dès 2002 les analyses de poussières sans rien détailler des chips rouges ni davantage évoquer le sujet, apparemment pas encore très maîtrisé par les scientifiques sceptiques de la version officielle, de la découverte des aluminium et des silicates présents dans les poumons des sauveteurs et ayant généré des maladies graves.

    http://www.foreignpolicyjournal.com/2011/02/04/energetic-materials-as-a-potential-cause-of-the-911-first-responder-illnesses/

  • kidkodak

    Fascinant la tournure que prend le sujet.Je demeure hélas un lecteur passif devant tant de termes scientifiques comme si j’étais invité dans un laboratoire sans avoir accès au microscope électronique.
    Il me semble pourtant que Steven Jones dans 911 Expert Speakout avait dit que cette analyse des particules n’avait jamais été remise en cause par ses pairs dans les revues scientifiques qui les ont publiées,mais je ne me souviens plus desquelles.
    Vivement une intervention scientifique de haut niveau pour trancher ce débat une fois pour toute.

  • Phrygane

    Merci Sana-Kan

    Bref, on se retrouve un peu dans le cas de figure des études concernant les produits OGM :
    une étude « neutre » dont le protocole serait fixé en accord avec tout le monde pourrait peut-être préciser les choses.

    Ce qui me chifonnait un peu, c’était votre conclusion quant à la peinture. Si vraiment on ne peut se prononcer en faveur d’une thèse ou de l’autre, ne vaut-il pas mieux l’exprimer ainsi ?

    Le débat est souvent pollué par nos à-piori, c’est assez inévitable…

  • Ducon

    Cet article aurait du susciter un debat plus large.
    Parmi les nombreux faits que je ne comprends pas,
    je mentionne celui-ci. La poussière des decombres du WTC contient une proportion significative de tres petites
    spheres de fer. En principe ce n est pas compatible avec
    le deuxieme principe de la thermodynamique: accroissement de l entropie…sauf si il y a eu intervention
    de particules energetiques…

  • kidkodak

    Entrevue pénible d’André Rousseau sur l’analyse des ondes lors de l’effondrement des tours du WTC,…en anglais.
    http://www.corbettreport.com/interview-567-andre-rousseau-on-the-seismic-evidence-of-911/

  • kidkodak

    À la période de questions,un intervenant demande à Richard Gage( 4.45) pourquoi,avec autant de certitudes sur la présence de na-no-thermite, AE911Truth ne poursuit pas jusqu’en Cours Suprême s’il le faut,le NIST et tous les acteurs s’y rattachant .
    https://www.youtube.com/watch?v=qBP9mNqdLqM
    Et Richard Gage répondra simplement qu’il n’est pas avocat.(I’m not an attorney)

    Je trouvais la question pertinente parce que jusqu’ici,un simple citoyen (Tony Rooke) qui ne paye pas sa facture de la BBC réussit à gagner des points en contestant habilement en cours les raisons de son non-paiement .
    Je suis convaincu que les 1800 architectes et ingénieurs pourraient faire encore mieux sur leur base de données récoltées.
    Non, à chaque semaine on voit le nombre d’ingénieurs et architectes augmenter sur le site d’AE911Truth,alors moi aussi je m’attendrais au dépôt de leur cause devant les tribunaux si le but ultime est d’exposer la vérité et si ils sont aussi convaincus de leurs preuves.Quitte à lancer une campagne de financement internationale pour rémunérer les avocats qui s’occuperont du dossier.

    Sinon,en 2015 il vont être 4,000, vont vendre d’autres DVD et on va tous s’entre-convaincre qu’on a raison, sans toucher véritablement au pouvoir derrière les rideaux.On pourrait même avoir l’impression d’être contenu dans » l’enclos de la vérité ».

    Ils ont fait un travail remarquable mais maintenant il est temps qu’ils montent d’un cran et déposent leurs preuves en cours de justice .Ils n’ont plus le choix.Obama ne veut par enquêter sur le gouvernement précédent et aujourd’hui les enfants de 12 ans et moins apprendront les attentats du 11 septembre 2001 par les médias officiels et leur cours d’histoire principalement .
    Et les cicatrices inscrites dans le sable du temps auront été balayées à jamais par les vagues.
    Where did our credibility go?
    http://www.youtube.com/watch?v=dCdYxabw7gg

  • kidkodak

    En rapport indirect avec le sujet mais plutôt avec la crédibilité du N.I.S.T.,dans un article du Devoir intitulé Big,Big,Big Brother de Claude Lévesque publié jeudi 3 octobre 2013,on y apprend qu’en 2006,le N.I.S.T. a conçu des systèmes de cryptage à l’intention des entreprises soucieuses de protéger leurs données confidentielles et qu’à leurs insu le NIST avait inséré dans ces logiciels des  »portes de derrière » permettant à la NSA de tout défricher rapidement…
    Évidemment une autre révélation provenant de Snowden.
    Alors si le NIST a menti pour le bâtiment 7,il ne gène pas 5 ans plus tard pour tromper tout ce qui bouge.
    À inclure dans son curriculum vitae en prévision d’une véritable enquête indépendante sur les attentats du 11 septembre 2001 avec des participants externes au gouvernement américain.
    Big,Big,Big Brother
    http://www.ledevoir.com/international/etats-unis/389019/big-big-big-brother

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