Poussières du World Trade Center : le test du solvant exclut l’hypothèse de la peinture et confirme celle de la thermite

Dans la bataille technique que se livrent certains scientifiques sur la nature des paillettes rouges/grises retrouvées dans les poussières du World Trade Center, voici un article qui pourrait clarifier les idées même pour les profanes que nous sommes. En effet nous avons d’un côté des scientifiques comme Niels Harrit, Steven Jones et sept autres, qui ont publié un article en mai 2009 dans une revue à comité de lecture expliquant pourquoi ils pensaient que ces particules étaient de nature thermitique (un matériau incendiaire, ou explosif), et de l’autre des "experts" et des "debunkers" qui contestent ces analyses et ne voient dans ces particules rouges/grises que de la banale peinture. Comment se faire une opinion ? Chacun des camps illustre sa thèse à grand renfort de schémas, de photos et de longs textes explicatifs. Eh bien, cet article apporte des éléments de réponse simples et clairs.

Notons au passage, que cette discussion par articles interposés ne doit pas faire illusion ; aucun débat scientifique n’a réellement eu lieu sur ce thème de la nanothermite retrouvée à Ground Zero et la communauté internationale de chercheurs, chimistes, spécialistes en matériaux, à quelques notoires exceptions près, s’est toujours bien gardée de prendre position d’un côté ou de l’autre. À notre grand regret, c‘est plutôt le silence qui règne parmi les scientifiques du monde entier.

Notons aussi que les arguments de composition chimique, de spectres aux rayons-X, par leur froideur technique, ne doivent pas cacher les effroyables implications que cette découverte d’explosifs hypersophistiqués – si elle est vérifée – nous apprend sur la nature des effondrements des trois tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.

 EGALEMENT SUR AGORAVOX

Un des "chips" rouges/gris retrouvés dans les poussières du Word Trade Center.

 


Débat technique entre le Dr. Millette et l’équipe de Niels Harrit : le test du solvant Methyl Ethyl Ketone (MEK)

par ScootleRoyale, sur Debunking The Debunkers, le 6 mars 2012

Traduction GV pour ReOpenNews

Depuis que l’article sur le matériau thermitique actif… a été publié, les « debunkers » ont affirmé que les paillettes rouges/grises ne sont rien d’autre qu’une forme de peinture. Pour soutenir leur thèse, ils font remarquer que les plaquettes présentes dans la couche rouge ressemblent beaucoup à du kaolin – un aluminosilicate issu de l’argile naturelle fréquemment utilisé dans les peintures. Steven Jones a répondu à cette théorie en avril 2009 :

Dans le kaolin et les autres substances qui contiennent de l’aluminium (Al) et du silicate (Si), les deux éléments Al et Si sont chimiquement liés – c’est-à-dire qu’il ne peuvent pas être séparés par l’action d’un solvant tel que le MEK. C’est pour cela que le test du MEK est si significatif ! Nous avions évidemment envisagé l’hypothèse d’un aluminosilicate au début, mais ensuite nous avons effectué des tests au MEK et nous avons pu observer la séparation entre l’aluminium et les autres éléments opérée par ce solvant – et ce test EXCLUT totalement l’hypothèse que l’aluminium ainsi séparé provienne d’un aluminosilicate.

Que dit ici le Pr. Steven Jones ?

 

La photo en haut à gauche est une image BSE d’une section de la couche rouge (figure 10a dans cet article). Celles en haut à droite et en bas à gauche correspondent à la même image, mais avec respectivement les cartographies XEDS superposées de l’aluminium (Fig. 10c) et du silicate (Fig 10e). L’image en bas à droite est toujours la même, mais avec les DEUX cartographies superposées, l’aluminium et le silicate.

Comme vous pouvez le voir, les cartographies de l’aluminium et du silicone sont très semblables – ce qui signifie que partout où l’on trouve de l’aluminium, on trouve aussi du silicate. Les régions riches en aluminium et en silicate sont très corrélées avec l’emplacement des plaquettes.

Citation de l’article :

Les résultats indiquent que les petites particules caractérisées par une forte intensité au BSE sont associées aux régions riches en fer (Fe) et en oxygène (O). Les plaquettes avec une intensité moyenne semblent être associées aux régions riches en Al et en Si.

Un spectre au XEDS (figure 11a dans cet article) d’un amas de plaquettes confirme qu’elles sont riches à la fois en aluminium et en silicate.

Citation de l’article :

En pointant le faisceau vers un amas de plaquettes, cela donne le spectre en Figure 11a. Celui en Figure 11b a été généré à partir d’un amas de grains plus petits et à facettes. Encore une fois, nous avons pu observer que les plaquettes sont riches en Al et en Si, tandis que les grains brillants à facettes sont riches en Fe.

Maintenant, si nous voyons des plaquettes riches à la fois en aluminium et en silicate (et aussi en oxygène), cela nous amène naturellement à l’hypothèse que ces plaquettes sont une forme d’aluminosilicate comme le kaolin. Steven Jones a d’ailleurs expliqué que c’était leur hypothèse initiale.

Et donc, ce que lui et ses collègues ont fait, fut de tester pour voir si ces éléments pouvaient être séparés. Pour ce faire, ils ont trempé un « chip » dans un solvant, le méthyléthylcétone (methyl ethyl ketone, ou MEK) [NdT - aussi appelé Butanone en français]

Les quatre images ci-dessus sont du même format que les quatre précédentes, mais avec un « chip » trempé dans du solvant MEK (Figure 15 dans l’article). Comme on peut le voir, les cartographies de l’aluminium et du silicate sont maintenant très différentes.

Citation de l’article :

En employant certains moyens pour séparer les différents composants du matériau, nous avons pu déterminer plus finement la composition chimique des différentes particules dans la couche rouge. L’objectif initial était de comparer le comportement de la couche rouge avec celle de la peinture, lorsque les deux sont plongées dans un puissant solvant organique connu pour ramollir et diluer les peintures. Les « chips » rouges/gris ont été trempées dans du méthyléthylcétone (MEK) pendant 55 heures avec des agitations fréquentes avant d’être séchées dans de l’air sec pendant plusieurs jours. Les « chips » ont montré un gonflement significatif de la couche rouge, mais sans dissolution apparente. A l’inverse, les particules de peinture se ramollissent et se dissolvent partiellement lorsqu’elles subissent un tel bain dans du MEK. Nous avons déterminé lors de ce procédé qu’une séparation et une migration significative de l’aluminium avaient eu lieu dans le matériau rouge/gris. Cela permet de conclure qu’une partie de l’aluminium se trouvait présent dans sa forme élémentaire.

 

Les spectres XEDS (Figures 16 et 17 dans cet article) confirment que l’aluminium a bien été séparé, pas seulement du silicate, mais aussi de l’oxygène. Les auteurs en concluent que la majeure partie de l’aluminium dans la couche rouge est présent dans sa forme élémentaire et non dans celles d’oxyde ou d’aluminosilicate, ce qui écarte la possibilité que ces plaquettes puissent être du kaolin, et qui confirme l’hypothèse de la thermite.

Citation de l’article :

En braquant le faisceau sur une région riche en silicate, visible en figure 15e, on trouve du silicate et de l’oxygène, mais très peu d’autres éléments (Fig 16). Il est évident que le solvant a dissous la matrice accueillant les différents composants, et a permis un transfert et une séparation des composants. C’est un résultat significatif, car il signifie que l’aluminium et le silicate ne sont pas liés chimiquement.

Le spectre XEDS suivant (Fig. 17) correspond à celui d’une région montrant une forte concentration en aluminium. Une méthode traditionnelle de comptage permet de montrer que l’aluminium est significativement plus présent (un rapport d’environ 3 pour 1) que l’oxygène. Par conséquent, même si une partie de l’aluminium peut être oxydé, il n’y a pas assez d’oxygène présent pour tout l’aluminium ; et donc, une partie de cet aluminium doit nécessairement exister sous sa forme élémentaire dans la couche rouge. C’est un résultat qui a son importance.

[…]

La présence d’aluminium élémentaire et d’oxyde de fer amène naturellement à l’hypothèse d’un matériau contenant de la thermite.

Et les tests d’ignition qu’ils ont effectués ensuite confirment cette hypothèse.

Pourtant, dans son rapport rendu public récemment, le Dr. James Millette indique avoir reproduit le test du MEK (Appendice G) mais explique que l’aluminium et le fer ne se sont pas séparés. Il a donc été incapable de confirmer la présence d’aluminium élémentaire, et en a conclu que les plaquettes étaient probablement du kaolin, et que les chips rouges/gris n’étaient pas de nature thermitique :

L’un des chips rouges/gris a été immergé pendant 55 heures dans du MEK, puis séché et enduit d’une fiche couche d’or pour la conductivité. La couche rouge a été soumise à une analyse au SEM-EDS à l’aide d’une technique avancée de cartographie aux rayons X.

[…]

La phase de cartographie SEM-EDS … de la couche rouge après exposition au MEK pendant 55 heures n’indique aucune présence de particules d’aluminium [élémentaire] (Appendice G).

[…]

Il n’y a pas de preuves de la présence de particules d’aluminium élémentaire détecté par PLM, SEM-EDS ou TEM-SAED-EDS, durant l’analyse des couches rouges dans leur forme originale ou après préparation de l’échantillon par broyage, découpe en lamelles, ou après un traitement au MEK.

[…]

Il n’y a pas de preuve de la présence de particules élémentaires d’aluminium d’une quelconque taille dans les chips rouges/gris, et donc la couche rouge du chip rouge/gris n’est pas de la thermite ni de la nanothermite.

C’est, à ce jour, le principal point de désaccord entre les deux rapports en termes de données. Le Dr. Millette n’a pas encore conduit de tests d’ignition, car il dit que cela ne vaut pas la peine. D’après les résultats de ses tests au MEK, il n’y a pas de raisons de penser que ces chips soient de nature thermitique. Si dans ses chips, l’aluminium et le silicate sont liés chimiquement, nous ne devons pas nous attendre à ce qu’ils réagissent. Et donc, le test DSC ne permettrait pas de réfuter (debunker, en franglais) son rapport.

Concernant les échantillons du Dr. Millette, il n’existe pas de chaine de traçabilité (chain of custody). Cela veut dire que les différences de résultats pourraient être dus au fait que les chips qu’il a utilisés ont été désactivés d’une manière ou d’une autre. Et bien sûr, il reste aussi la possibilité que le Dr. Millette triche. Kevin Ryan a [d’ailleurs] fait remarquer que le Dr. Millette était d’un des chercheurs de Rutgers qui avait été accusé par un « lanceur d’alertes » (whistleblower) travaillant pour l’Agence pour la protection de l’environnement (Environmental Protection Agency, ou EPA), Cate Jenkins, d’avoir frauduleusement sous-estimé la corrosivité des poussières du World Trade Center. Je n’irai pas jusqu’à l’accuser de telles choses, mais j’ai toujours eu des doutes à son sujet.

Chris Mohr est comme le Brian Deer du site 9/11 research. Ce journaliste arrive de nulle part, sans aucun bagage scientifique, mais la Skeptic Society semble penser qu’il fait autorité en matière scientifique. Il affirme ne pas être un debunker, mais ses vidéos reproduisent exactement les mêmes vieux clichés utilisés par les debunkers, dont la plupart ont été depuis longtemps réfutés par des expériences – par exemple, l’idée que le métal s’écoulant de l’angle de la Tour sud était de l’aluminium, ou que l’acier eutectique du Bâtiment 7 du World Trade Center était dû au gypse, pour ne citer que quelques exemples. Et son article dans le magazine « Skeptic » à propos des arguments sur la démolition contrôlée prend la forme du « Et que faites-vous de ça…. Et de ça… ? » et fait vraiment figure d’épouvantail.

Comme l’écrit Kevin Ryan :

Je ne vous attaque pas, Chris. Je dis simplement que vous continuez de tromper votre monde ("to be deceptive"). C’est un fait. Mais vous devez être quelqu’un de très important. Le NIST a trainé pendant des années avant de communiquer ouvertement avec des chercheurs indépendants sur ce sujet, alors que vous, la première fois que vous les appelez, ils se mettent à votre service. Maintenant, l’analyste en chef du laboratoire qui a mené les analyses gouvernementales sur les poussières va reproduire plusieurs mois de travaux scientifiques pour seulement 1000 dollars.

Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi chanceux, en tout cas pas depuis le 11-Septembre, lorsque les supposés pirates de l’air hyper chanceux ont systématiquement gagné dans leur match contre le gouvernement US.

Et puis, il y a aussi le fait que lorsqu’il a annoncé son étude, un certain nombre de fidèles du James Randi Educational Foundation (on les appelle les JREFers) se sont montrés très motivés par ce projet et ont aidé à le financer, alors qu’historiquement, ils se sont toujours opposés à toute expérimentation scientifique et à tout soutien d’études indépendantes – préférant généralement en rester aux débats stériles sur Internet (Trolls) – et qu’ils ont d’emblée rejeté les expériences de Mark Basile au cours desquelles il avait reproduit les résultats de Niels Harrit et de son équipe. Tout cela soulève tout de même quelques doutes.

La chronologie est elle aussi assez étrange. En effet, tout cela survient alors que l’association des Architectes & Ingénieurs pour la vérité sur le 11/9 est en train de finaliser son DVD « Experts Speak Out », qui pourrait bien être l’un des films les plus sérieux et les plus importants sur le 11/9. Comme s’ils voulaient le discréditer dès sa sortie.

Le rapport du Dr. Millette confirme [cependant] la présence de nanoparticules sphériques d’oxyde de fer, d’environ 100 à 200 nm de diamètre. Ce qui est particulièrement intéressant à propos de ce résultat est l’homogénéité de ces particules en termes de taille et de forme. Ce n’est pas comme si elles variaient sensiblement entre disons 50 nm et quelques micromètres. Non, toutes mesurent invariablement entre 100 et 200 nm, et elles ont toutes plus ou moins la même forme. Il est assez improbable qu’une homogénéité et une cristallisation aussi remarquable soient l’objet d’une réaction aléatoire, et que cela se produise dans un pigment pour peinture. Et donc, ce fait pourrait suggérer à lui seul que nous avons affaire à un matériau « fabriqué ».

 

 

Et évidemment, nous savons qu’il se passe quelque chose quand les chips sont chauffés. Nous avons des vidéos. Peut-être que le Dr. Millette pourrait reproduire les expériences de Mark Basile, les filmer et faire un test DSC. Si les résultats du test DSC sont différents de ceux d’Harrit et son équipe, et qu’aucun fer fondu n’est produit, mais que visuellement le comportement du chip chauffé jusqu’au point d’ignition est le même que sur la vidéo de Basile, cela pourrait signifier que ce que nous voyons dans la vidéo de Basile n’est pas nécessairement une réaction thermitique. D’un autre côté, si lorsqu’il est chauffé, son chip ne fait rien de comparable à ce que l’on voit dans la vidéo de Basile, cela pourrait confirmer que ses chips sont défectueux pour une raison ou pour une autre.

Cela fait maintenant trois [longues] années que les « debunkers » soutiennent que les plaquettes sont du kaolin, même si les données réfutent clairement cette hypothèse. Quelle chance pour eux de pouvoir disposer aujourd’hui de résultats qui contredisent les troublantes informations publiées par Harrit, et qui appuient opportunément les assertions qu’ils avancent sans preuve depuis trois ans.

 

Traduction GV pour ReOpenNews

(NdT : Vu la nature technique de cet article, certains termes traduits peuvent ne pas être exacts, nous nous en excusons par avance, n’hésitez pas à nous en faire part)


En lien avec cet article :

 


 

Le chimiste américain Marc Basile confirme les résultats de Niels Harrit et son équipe
et appelle d’autres chercheurs à faire leur propre étude des échantillons

Le chimiste M.Basile confirme:Explosifs au WTC… par ReOpen911

 


 

15 Responses to “Poussières du World Trade Center : le test du solvant exclut l’hypothèse de la peinture et confirme celle de la thermite”

  • citron

    Pas beaucoup de commentaire sur cette news…

    probablement parce que nous ne sommes pas des scientifiques, ou dans cette éventualité, nous n’avons pas les moyens/outils pour mener nos propres expériences.

    C’est bien pourquoi nous sommes toujours là à réclamer UNE VRAIE ENQUÊTE sur tout ça.

    Les tenants de la VO ont beau jeu de ne pas répondre à notre demande somme toute très légitime…

    On fait des tests, des expériences, de contre-expertises, et on regarde où ça nous mène.
    C’est simple et honnête non ?

    Nous sommes prêts Messieurs, on ne peut plus prêts !

    La partie est gagnée d’avance, sauf si vous nous la refusée, cette partie !!

    Ah, c’est moins facile que de faire sauter 3 tours, hein ?!

  • GeantVert

    … en effet, pas beaucoup de commentaires sur cette R-News, comme sur toutes celles appelant au débat ouvert sur ces aspects techniques mais qui restent compréhensibles pour tout un chacun.

    N’y a-t-il aucun chimiste, aucun spécialiste en structure des matériaux en France qui pourrait nous donner son avis ?

    N’ayez pas peur de vous exprimer, nous sommes tout ouïes.

    –GV

  • jean

    si je confirme que des explosifs on bien été utilisé pour faire tombé les 3 tours je le savait depuis le jour même

  • GeantVert

    certes, certes, et par rapport à disons un argumentaire lié au texte présent plus haut dans la page ? Vous auriez quelques détails à nous proposer sur les raisons de vos certitudes ?
    Merci
    –GV

  • jean

    Le problème avec ce 9/11 c’est que vous perdez trop de temps a essayé de débattre du pourquoi les tours sont tombé

    oui c’est une démolition contrôlé sa tombe droit il reste plus rien c’est du travail de pro ont est tous d’accord la dessus

    les coupables vous les avez vous les conaissaez

    le financier du pentagone patron de spc membre du PNAC celu du NRO qui menait les exercices ect…..
    l’implication de société israeliennes est aussi le point le plus important mais la peur d’être accusé dez méchant antisémite est trop présente donc reopen911 ne pourra jamais comprendre la finalité de cette affaire

    faites du concret maintenant allez voir ces types et faites leur craché le morceau sinon dans 10 ans vous y serez encore

  • Grégory

    Ce qu’il y a c’est que Reopen est bêtement attachée à des concepts fumeux commet état de droit, justice équitable, présomption d’innocence, etc.Ca signifie que c’est un tribunal qui détermine qui est coupable, sur la base de preuve, etc. Précisément tout ce qu’Oussama Ben Laden n’aura jamais eu. On peut vouloir combattre le feu avec le feu, mais la logique ici est plutôt de le combattre avec de l’eau. Justice n’est jamais faite si ce n’est… par la Justice elle même, à mon avis.

  • GeantVert

    @Gregory
    merci pour le « bêtement ».
    Mais vous, vous faites quoi pour faire avancer les choses ?
    –GV

  • GeantVert

    @Jean,

    Vous proposez de demander un rendez-vous à Cheney, Rumsfeld et Bush ? Avec un bazoka ou sans ?

    On n’est pas dans Rambo.

    Et contrairement à ce que vous dites, nous n’avons pas de certitudes sur l’implication d’un service secret ou d’Etat particulier. La chose est plus complexe que ça, et en tout cas bien plus que cette version officielle simpliste et incohérente.
    Aussi, nous savons que le fait d’accuser frontalement telle ou telle autorité est parfaitement contre-productif. La remise en cause du 11/9 est indépendante de toute démarche politique ou idéologique, c’est simplement un questionnement de bon sens, pour ceux qui ont le courage, et la disponibilité d’esprit de s’y pencher.
    Pour nous, il est plus important de souligner les mensonges, les incohérences, les éléments à charge, et d’aider à diffuser tout cette information sur la riche actualité du 11/9, et plutôt que de vous en prendre à nous, cherchez donc à propager ces infos dans votre environnement.

    Merci

    –GV

  • Grégory

    Pour lever tout malentendu : le « bêtement » était ironique. Je pensais que tout le monde avait compris – mais je précise aussi, dans le doute, que l’état de droit ou la présomption d’innocence, ne sont pas, non plus, des « concepts fumeux ». En conséquence, je pense qu’il est plus important de donner un procès à chaque membre d’Al Qaeda qu’à faire une vendetta personnelle sur qui on pense être le coupable réel du 11 septembre.

  • GeantVert

    @Gregory,
    ah, sorry, l’ironie m’avait échappé… :-/
    –GV

  • citron

    Ouf ! oui, parfois l’ironie joue des tours…

    Mais rassuré de voir que Gregory est bien dans l’esprit de ReOpen : « Juste et déterminé ! » (et vice versa)

  • paul vetran

    Pour me faire l’avocat du diable, se pourrait il que ces traces d’aluminium proviennent des avions?

    Par ailleurs, si la présence d’éléments « thermitiques » se confirme, il serait donc pertinent d’identifier « qui » était en mesure de « fabriquer » de la nanothermie ou ses composants, en 2001. J’imagine que cela nécessite compétence, moyens techniques et financiers conséquents qui sont à la portée d’un nombre limité.
    Si quelqu’un à des infos…; pour que je puisse comparer avec mes recherches.

  • Vous vous souvenez que malgré des tonnes d’eau déversées sur le site des tours, ça a continué à brûler pendant près de trois mois.
    C’est le propre de la thermite de pouvoir brûler sous l’eau, car le comburant oxygène est interne à la préparation (oxyde de fer).
    Alors que l’incendie normal n’aurait pu dépasser 800°C, les poutres ont fondu, et pour cela il fallait au moins 1500°C.

    Grenade Thermite
    La Grenade Thermite est un type de munition incendiaire explosif utilisé par le CSNU.(Commandement Spatial des Nations Unies)
    Les flammes de la grenade thermite peuvent continuer à brûler sous l’eau.
    Les Grenades Thermite s’appuyent sur un processus chimique entre des poudres métalliques et des oxydes afin de créer des températures élevées, sans explosion.
    Communément, l’aluminium et l’oxyde de fer sont utilisés dans la réaction. La thermite peut atteindre des températures de 2500 ° Celsius (ou 4500 ° Fahrenheit), et est souvent utilisé pour faire fondre un large éventail de choses très rapidement. Toutefois, la thermite est rarement utilisée pour un rôle d’anti-infanterie, et il est plus pratique à utiliser dans des rôles anti-matériel en raison de dégrader rapidement les composants avec peu de moyens d’interférer avec la réaction.
    Les charges creuses de Thermite sont également utilisés pour obtenir rapidement l’accès à des zones verrouillées.
    Là, on parle de grenades, mais on peut utiliser ce matériau autrement, en entourant des poutres à leur base par exemple.
    L’armée s’en sert pour inactiver un tank, par exemple, qu’elle doit laisser à l’ennemi: une grenade dans le canon et ça fond sans explosion (ce qui rappelle l’invention du professeur Champignac, dans Spirou: le métamol!!!
    source: http://wiki.halo.fr/index.php/Grenade_Thermite

  • belfouf

    la Thermite je veux bien mais il manquera toujours de l’information.

    Comment inserer des charges dans une structure alors que des milliers de personnes y travaillent quotidiennement ?

    la réponse guiderait peut etre la methode choisie

  • yo-truth

    @ belfouf

    La réponse à votre question dans cet article certainement :
    http://www.reopen911.info/News/2011/04/14/usa-importantes-failles-de-securite-dans-des-batiments-federaux/

Trackbacks

  •  





*
To prove you're a person (not a spam script), type the security word shown in the picture. Click on the picture to hear an audio file of the word.
Click to hear an audio file of the anti-spam word

``