11-Septembre : « Le prochain, ce sera l’Ange »

La scène de George W. Bush en train d’assister le matin du 11-Septembre à la lecture de "la petite biquette" dans la classe d’école de Floride au moment où il apprend la nouvelle de l’attentat contre les Tours Jumelles est restée célèbre, et est connue de tous depuis que Michael Moore l’a mise dans son film "Fahrenheit 9/11". Mais ce qui l’est beaucoup moins, c’est ce qui s’est produit après cette scène. L’historien américain Webster Tarpley revient sur l’étrange emploi du temps de l’ex-président américain lors de sa fuite de Floride, un périple de plusieurs heures dans un avion "Air Force One" sans escorte, et recevant des messages téléphoniques inquiétants selon lesquels il serait la prochaine cible. Pire, ces messages contenaient le code secret utilisé par le Secret service pour désigner l’avion, "Angel", l’ange.

L’avion était-il réellement menacé, ce qui expliquerait qu’il ne soit pas rentré immédiatement à Washington, mais se soit rendu à la base militaire d’Offut dans le Nebraska ? Et si c’est le cas, qui exactement était derrière ces menaces ? Comment les terroristes islamistes auraient-ils pu obtenir ces codes ultra-secrets sans infiltrer le gouvernement américain et/ou les services secrets US à un niveau de classification suffisant pour atteindre la sécurité même du président ? Ces événements dont ont été témoins les journalistes à bord de l’avion du président le 11 septembre 2001, ont par la suite été minimisés ou niés par les autorités US et par le rapport final de la Commission d’enquête. Avons-nous assisté, comme le dit Peter Dale Scott, à un coup d’État par un "gouvernement de l’ombre" ? Toujours est-il que les faits sont là, et Webster Tarpley nous les rappelle minute par minute dans son livre très complet "La Terreur Fabriquée – Made in USA".

 

L’appareil Air Force One du président Bush

 


Ici le gouvernement occulte : « Le prochain, ce sera l’Ange »

Extraits du livre de Webster Tarpley, "La Terreur Fabriquée – Made in USA" aux Éditions Demi-Lune

Webster Tarpley : Historien spécialisé dans le terrorisme après la seconde guerre mondiale, journaliste, Webster G. TARPLEY, s’est fait connaître en 1978 par son enquête sur l’assassinat d’Aldo Moro, à la demande de parlementaires italiens. Sa biographie de George W. Bush père et ses essais sur les dérives fascistes du gouvernement américain en font un opposant farouche du gouvernement actuel des États-Unis.

 

[...] Selon toute probabilité, l’actuel occupant de la Maison Blanche [il s’agit de George W. Bush, le livre datant de 2006 – NdT] n’était pas au courant des détails du complot du 11-Septembre. Son ignorance et son inaction ont été favorisées par sa faiblesse cognitive, son mépris pour les informations spécifiques et précises et son habituelle léthargie mentale. A-t-il subodoré quelque chose ? Connaissait-il tel ou tel détail ? Tout cela reste à déterminer à l’aide des archives disponibles et d’un examen contradictoire du sujet. Nous supposons ici que Bush en savait bien moins que ses plus ardents détracteurs ne peuvent le conjecturer. Le crime de Bush n’est pas d’avoir tout su à l’avance, mais de ne pas avoir su ce qu’il aurait dû savoir et d’avoir aggravé les choses en capitulant et en imprimant au gouvernement des États-Unis et à sa politique la direction revendiquée par les conspirateurs de la terreur. Plutôt que « Bush savait », il faut dire, comme nous le verrons, « Bush a capitulé », « Bush savait » fait un bon slogan politique, mais qui ne saurait aider à comprendre la véritable portée de ce qui s’est réellement passé. Ceux qui étudient le 11-Septembre en prenant pour hypothèse que « Bush savait » avancent sur un terrain miné.

[…] Le matin du 11-Septembre, Bush se leva à 6 heures et fit son jogging habituel. Mais dans la nuit du 10 au 11 septembre, le service de sécurité de Bush avait été alerté d’une menace imminente. L’antenne d’ABC de Sarasota publia le 11/9 : « Une alerte de danger imminent a été transmise au milieu de la nuit aux agents du Service secret de la garde présidentielle », déclara la journaliste Monica Yadov, « exactement 4 heures et 38 minutes avant que Mohammed Atta ne jette un avion contre le WTC. »

[…] « L’apparition de Bush à l’école élémentaire Emma E. Booker de Sarasota (Floride) le 11 septembre 2001, prévue depuis le mois d’août, ne fut annoncée que le matin du 7 septembre (Maison Blanche, 7 septembre 2001). Un peu plus tard, ce même jour, les [prétendus] pirates de l’air Atta et Marwan al-Shehhi se rendirent à Sarasota pour prendre un verre et dîner au Holiday Inn, à seulement 3,5 km de la plage, de l’endroit où Bush était censé séjourner au cours de sa visite à Sarasota » (Longboat Observer, 21 novembre 2001; Washington Post, 27 janvier 2002, Wood et Thompson, 2003). Était-ce une coïncidence ou bien cela avait-il un rapport avec un éventuel attentat contre Bush ?

À première vue, les dispositions de sécurité prises à Colony semblaient sérieuses. « Des missiles sol/air avaient été disposés sur le toit du bâtiment (Sarasota Herald-Tribune, 10 septembre 2002 ) et un avion AWACS (système de surveillance aéroporté) patrouillait en cercle à grande altitude » (Sammon, p. 25 ; Wood et Thompson, 2003). « Vers 8 h 50 (lors des premières retransmissions du crash du WTC), alors qu’il se tenait au bord de la baie de Sarasota en attendant de voir passer le cortège présidentiel, un [passant] vit deux Moyen-Orientaux dans une camionnette délabrée “ qui criaient par les fenêtres ‘À bas Bush’ en levant le poing. ” Le FBI a sans doute questionné ce témoin, mais on ignore s’il s’agissait de la camionnette qui s’était arrêtée aux portes de Colony » (Longboat Observer, 26 septembre 2001 ; Wood et Thompson, 2003).

Quand Bush a-t-il appris que le vol AA11 avait frappé la tour nord ? Plusieurs témoins affirment qu’il a été mis au courant du premier crash avant son arrivée à l’école Booker. Les premiers flashs d’information relatifs au crash du vol AA11 ont été diffusés vers 8 h 48, deux minutes après l’événement (New York Times, 15 septembre 2001). Néanmoins, à 9 h 03, alors qu’il était évident depuis 15 minutes que l’on était en situation d’urgence, Bush s’assit avec des élèves de cours préparatoire pour se soumettre à une séance photo de 20 minutes.

[…] Bush quitta l’école pour l’aéroport de Sarasota, tout proche. Mais avant son départ, le Service secret reçut un avertissement relatif à une autre menace pesant sur Bush. Comme le journal local le publia quelques jours plus tard : « Sarasota a évité de justesse sa propre catastrophe. Il paraît que des terroristes visaient le Président et Air Force One mardi, peut-être même pendant qu’ils étaient à terre à Sarasota, et en tout cas pas longtemps après. Le Service secret a appris cette menace quelques minutes après le départ de Bush de l’école élémentaire Booker. » (Sarasota Herald-Tribune, 16 septembre 2001).

Un autre récit confirme que le Service secret avait appris une nouvelle menace sur Bush et sur Air Force One « quelques minutes à peine après que Bush eut quitté l’école élémentaire Booker. » Karl Rove, qui voyageait avec le Président, déclara : « Ils nous ont fait clairement comprendre qu’ils voulaient que nous montions très vite, car ils voulaient nous faire atteindre rapidement une haute altitude à cause d’une menace précise concernant Air Force One… Il avait été annoncé qu’Air Force One était pris pour cible, et que la manière dont cela avait été annoncé rendait cette menace crédible » (New Yorker, 1er octobre 2001).

Air Force One décolla de Sarasota entre 9 h 55 et 9 h 57 comme le confirment bon nombre de flashs d’information. Son décollage précipité fut suivi d’une ascension très rapide vers une haute altitude. Le directeur de la communication, Dan Bartlett, se souvint : « On aurait dit une fusée. Pendant dix bonnes minutes, l’avion est resté presque vertical » (CBS, 11 septembre 2002). Air Force One commença à rouler sur la piste en Floride au moment où le WTC2 s’effondrait. « En s’asseyant dans son fauteuil, le Président fit un geste vers le fauteuil en face de lui pour que j’y prenne place » se souvint Karl Rove. « Avant que nous ayons pu, l’un et l’autre, nous asseoir et boucler nos ceintures, l’avion roulait déjà. Et le pilote a quasiment dressé le 747 sur sa queue pour nous monter à 45 000 pieds avant que nous ayons eu le temps de faire ouf » (Bamford 2004, p. 63).

Toutefois, malgré les graves menaces récurrentes, Air Force One décolla sans aucune escorte militaire. Une heure environ s’était écoulée depuis l’impact sur la tour sud. Il ne manquait pas de bases aériennes qui auraient dû être en alerte continue : Homestead Air Station était à moins de 300 kilomètres de Sarasota et Tyndall Air Station à 380 kilomètres. Il aurait été possible d’improviser une petite escorte de chasseurs pendant ce laps de temps. Cela pose la question : le réseau putschiste refusait-il à Bush la protection des chasseurs dans le cadre du dégraissage de mesures de sécurité ? Cette question devient encore plus brûlante si l’on sait que, selon la plupart des témoignages, Air Force One ne reçut l’escorte de chasseurs que plus d’une heure après son décollage précipité.

« AIR FORCE ONE SERA LE SUIVANT »

Une fois dans l’avion, Bush resta en contact permanent avec Cheney et les autres. À ce stade, les fonctionnaires craignaient que 11 avions n’aient été piratés (CBS, 11 septembre 2001). Certains récits mettent Bush hors du coup à cause des difficultés de communication, mais « hors du coup » avait été la ligne de défense retenue par son père pour se sortir de l’affaire Iran-Contra. Peu après le décollage, Cheney aurait informé Bush d’une « menace crédible » dirigée contre Air Force One (AP, 13 septembre 2001). Le député Adam Putnam déclara qu’il « s’était à peine installé dans son siège sur Air Force One… quand il apprit que les terroristes visaient apparemment l’avion » (Orlando Sentinel, 14 septembre 2001). Le Service secret avait reçu un message anonyme qui disait : « Air Force One sera le suivant. »

L’appelant avait cité les codes de procédure d’Air Force One. Le pilote d’Air Force One, le colonel Mark Tillman, était informé de la menace et un garde armé était posté devant la porte du cockpit. Associated Press (AP) signala que la menace avait été proférée « moins d’une heure » après le crash du Pentagone : vers 10 heures, environ au moment où l’avion avait décollé (AP, 13 septembre 2001 ; Wood et Thompson, 2003). La menace contenue dans le message « Air Force One sera le suivant » était apparemment différente de l’avertissement antérieur arrivé au moment du départ de l’école Booker, mais il est impossible de l’établir avec une certitude absolue.

Bush voulait aller à Washington, mais en fut dissuadé par la garde du palais de la Maison Blanche. Card dit à Bush : « Il faut laisser les choses se tasser avant d’y retourner » (St. Petersburg Times, 8 septembre 2002). L’avion serait resté au-dessus de Sarasota jusqu’à ce qu’on décide du lieu où emmener Bush. Les avis divergeaient, mais jusque vers 10 h 35 (Washington Post, 27 janvier 2002), Air Force One « semblait n’aller nulle part. Les journalistes à bord – à qui il avait été interdit de communiquer avec leurs bureaux – sentaient que l’avion décrivait lentement de grands cercles » (London Daily Telegraph, 16 décembre 2001). De quoi parlait-on pendant ce temps sur la ligne sécurisée ? Cheney communiquait-il à Bush les revendications de la faction traîtresse ? Cheney se contentait-il de transmettre ces revendications ou se joignit-il aux autres pour persuader Bush de les accepter ? À divers moments du récit, Cheney donne l’impression de ne pas seulement agir en intermédiaire, mais en porte-parole du réseau secret à l’oeuvre le 11-Septembre. C’est donc Cheney, plutôt que Bush, qui doit être considéré comme le suspect n° 1 de toute enquête sérieuse sur le 11-Septembre.

[…]

« LE PROCHAIN, CE SERA L’ANGE »

D’après le récit de Bob Woodward qui s’inscrit dans l’orthodoxie générale : « Vers 10 h 30, Cheney appela de nouveau Bush sur Air Force One qui était encore en route pour Washington. La Maison Blanche avait reçu une menace disant : "Le prochain, ce sera l’Ange". Comme "l’Ange" est le nom de code de Air Force One, cela pouvait signifier que les terroristes disposaient d’informations d’initiés. » C’est prétendument à cause de cette information que Cheney plaida contre le retour de Bush à Washington. « Il y a encore une menace » dit Cheney (Woodward, p. 18). Quelques minutes plus tard, l’avion changea de cap et se dirigea vers la Louisiane (Washington Post, 27 janvier 2002). Était-ce là une troisième menace après celle qui avait suivi l’épisode Booker et « Air Force One sera le suivant » ? Les manipulateurs des terroristes avaient-ils maintenant ajouté le mot de code « l’Ange » pour prouver qu’ils étaient bien « de l’intérieur » et indiquer ainsi qu’ils pouvaient éventuellement avoir accès aux codes nucléaires ? Ou bien s’agit-il de deux versions différentes de la même menace ?

Nous reviendrons à « le prochain, ce sera l’Ange. » C’est l’indice le plus important capable de révéler les responsables du 11/9, car c’est là que les manipulateurs ont montré le bout de leur nez. Ils ne se trouvaient pas dans une grotte en Afghanistan ; c’était un réseau bien installé dans les hautes sphères du gouvernement et de l’armée. Ce fut un moment d’une importance capitale, le fil sur lequel il faut tirer à bon escient pour détricoter entièrement le tissu de mensonges du 11-Septembre.

Vers 10 h 55 survint une autre menace sur Air Force One. Le pilote, le colonel Mark Tillman, affirme avoir été mis en garde contre l’approche d’un avion suspect venant en sens inverse. « Sarasota émit un appel disant qu’il y avait un avion juste devant notre nez et qu’ils n’avaient pas de contact avec lui », raconte Tillman. Il fit une manoeuvre d’évitement en prenant encore de l’altitude et en montant encore plus haut que l’altitude habituelle du trafic aérien normal (CBS, 11 septembre 2002). Les journalistes à bord remarquèrent ce changement d’altitude (Dallas Morning News, 28 août 2002 ; Salon, 12 septembre 2001 ; Wood et Thompson, 2003). Il n’a pas été possible de déterminer sur quoi reposait l’annonce de cette menace. Le réseau putschiste faisait-il du chantage à Bush ? Cet avion suspect était-il un avion militaire profitant de sa participation aux exercices Vigilant Guardian / Vigilant Warrior pour camoufler son implication dans le complot ?

Air Force One possédait une certaine protection contre les missiles à tête chercheuse sous la forme d’un brouilleur d’ondes d’infrarouges au nom de code « Have Charcoal ». Il disposait aussi d’autres mesures défensives électroniques antimissiles. L’avion était protégé par un bouclier contre l’effet de pulsion électromagnétique (EMP) susceptible d’être généré par une explosion nucléaire et de faire des dégâts même à très grandes distances. (Bamford 2004, p. 84).

De toute évidence, au moment de cet incident, Air Force One n’avait toujours pas d’escorte. Pourquoi les chasseurs étaient-ils retenus ? Et par qui ? Plus tard, on a indiqué qu’au cours de la conversation téléphonique de 10 h 32 avec Cheney, ce dernier aurait dit à Bush qu’il faudrait encore entre 40 et 90 minutes pour que les chasseurs aient le temps d’arriver (Washington Post, 27 janvier 2002). Cela aurait laissé Bush sans protection jusqu’à midi. Sur quel ton cette phrase de Cheney avait-elle été prononcée? Était-ce une menace ? Était-ce du chantage ? La seule certitude, c’est qu’au moment de la fuite en altitude à 10 h 55, il n’y avait toujours pas d’escorte. Vers 11 h 30, on a dit que six chasseurs se trouvaient aux côtés d’Air Force One (Sarasota Magazine, 19 septembre 2001). Selon une autre version, quand l’armée envoya un avion à radar de dépistage AWACS plus deux F-16 pour escorter Air Force One, l’entourage du Président les traita comme quantité négligeable. « On ne nous a pas dit où se rendait Air Force One. On nous a juste dit de suivre le Président » affirma le général de division Larry Arnold, du NORAD (Bamford 2004, p. 87). L’entourage de Bush se méfiait-il de certains éléments de l’armée ?

[...]

Webster tarpley

 


VIDEO : Le président Bush donnera cette étrange version, quelques mois plus tard


Enorme mensonge de George Bush par Btoux_1979

 


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14 Responses to “11-Septembre : « Le prochain, ce sera l’Ange »”

  • Phrygane

    On aurait donc forcé la main au Président des Etats-Unis, au besoin en le menaçant de mort, pour qu’il entre dans un « jeu » auquel, peut-être il rechignait à participer dans un premier temps.

    C’est très subjectif, mais l’impression que donne l’expression de son visage, à l’école, lorsqu’on lui apprend le crash du premier avion est une sorte d’hébétude teintée d’angoisse. Comme s’il se disait quelque chose comme : » c’est pas vrai, il l’on vraiment fait… ».

    Cela ouvre des visions vertigineuses quand à la réalité de la « démocratie » que l’on nous vante, quelques-uns avec cynisme et perfidie (ceux qui savent et contrôlent l’envers du décor) et l’immense majorité avec une candeur infinie.

  • Ce crétin a toutes les clés en main.
    Dommage qu’on ne puisse pas le secouer un tout petit peu.

  • Ce serait donc un coup d’Etat militaire qui n’aurait qu’à moitié réussi?
    Que se serait-il passé si son avion avait été battu?
    Sûrement qu’une junte militaire aurait pris le pouvoir.
    Il a du y avoir des défections dans une partie de l’armée restée fidèle.
    Le schéma se complique…
    On voit que les maîtres du monde sont véritablement diaboliques. Je crois que je préfère encore les Chinois, bien moins hypocrites…Vivement la chute du dollar et la fin de ce pays de merde.

  • kidkodak

    doctorix »Ce serait donc un coup d’Etat militaire qui n’aurait qu’à moitié réussi?Que se serait-il passé si son avion avait été abattu? »

    Pas de problème.Les grandes chaines médiatiques qui nous ont menti depuis le début auraient entonné en choeur un nouveau mensonge genre des problèmes techniques ont causé l’écrasement d’Air Force One et une journée de deuil national aurait été déclaré.George W Bush serait devenu un héros et quelques jours après, les  »preuves » des problèmes techniques de l’avion auraient été déposées de façon irréfutables.
    Nous avons maintenant de l’expérience dans le domaine à défaut d’avoir le pouvoir de la vérité.
    NB: il n’y a plus moyen d’écrire sur les sujets précédents,le  »Anti-spam word » n’apparait plus ce qui empêche d’envoyer des messages.Seul celui-ci est inscrit.

  • Jonas061

    Le message « Angel is next » faisait peser quel genre de menace sur Air Force One?
    Un avion militaire l’aurait-il abattu?
    Aurait-il fait l’objet d’une prise de contrôle à distance pour qu’il se crashe?

    Chacune de ces hypothèses, si elles s’étaient réalisées, auraient été difficilement imputables à Al Qaïda, étant donné le niveau de planification requis pour qu’une organisation terroriste puisse réussir un tel coup.
    Personne n’y aurait cru, sauf à démontrer pour les putschistes l’implication directe d’un Etat comme l’Irak ou encore l’Iran (mais là, bon courage pour apporter des preuves solides).

  • charmord
  • kidkodak

    Jonas061 »Chacune de ces hypothèses, si elles s’étaient réalisées, auraient été difficilement imputables à Al Qaïda, étant donné le niveau de planification requis pour qu’une organisation terroriste puisse réussir un tel coup. »

    Aucune difficulté si tu as le contrôle des médias,les services secrets et l’armée.La preuve faire croire au monde entier que le vol77 a frappé le Pentagone,contrôlé par Alquaida et ses pirates à l’exacto, sans image des 80 caméras disponibles,et tout le monde a gobé çà avant d’aller travaillé le lendemain.
    C’en est même épeurant pour l’avenir de l’humanité.

  • Phrygane

    Jonas061,

    Vous posez effectivement une bonne question : un attentat contre Air Force One aurait effectivement pu difficilement être imputé à des fanatiques religieux contrôlant le comlot depuis des grottes afghanes…

    « Angel is next », soit à un autre sens que celui attribué, soit est un bluff (nous sommes au pays du poker) pour impressionner le chef de gouvernement.

    Et dans le contexte : un avion dans chaque tour, trois mille morts (même si le bilan exact n’est pas connnu à ce moment là), la menace est crédible., car ceux là qui menacent n’hésitent pas à tuer.

    D’autant plus que pour y échapper, il « suffit » d’entrer dans le jeu, et, peut-être de partager les bénéfices escomptés.

  • Phrygane

    Charmord,

    Merci pour ces rappels très intéressants, que je n’avais pas lu.

  • citron

    Ché pas, mais moi si j’avais monté le coup, j’aurais probablement pas mis l’abruti de service (présidentiel) dans le coup.

    Je pense qu’il a menti à plusieurs reprises, mais que ça lui a été « imposé » (je veux dire « par les faits », pour couvrir ses « amis » a posteriori, comme l’a fait Obama après lui).

    On l’avait probablement averti que quelque chose de terrible allait se passer ce jour-là, et qu’il aurait un rôle important à jouer… mais c’est bien tout.
    Les menace sur l’ »Ange » Air Force One n’étaient que du flan pour maintenir le doute sur toute cette histoire, pendant et surtout après coup, où nombre de personnes sont persuadées que tout est véridique, puisqu’ils l’ont vraiment « entendu » en direct (je parle des personnes au plus près de bush à ce moment… quoique probablement certaines étaient en service commandé).

    C’est comme dire (on m’a dit ça sur sur une autre ReNews) que Barbara Olson a vraiment passé ses coups de fil à son mari depuis le vol 77, puisque sa secrétaire (à Ted) en a témoigné !!!
    Bien sûr quelle a probablement téléphoné, mais sûrement pas de l’avion… Mais mettre des témoins « de bonne foi » dans le coup, y’a rien de plus simple et de plus efficace.

    Bref, il est clair pour moi que pour monter cette affaire, il fallait laisser Bush hors du coup, mais lui attribuer son rôle… Et faire ainsi pour que toute sa suite plonge dans le mythe sans se poser de question.

    Les USA ne sont plus dirigés par un Président, quel qu’il soit, depuis des lustres.

  • Jonas061 : l’important était que Bush et les autres marionnettes aient suffisamment peur pour obéir et ce fut le cas, puisque jusqu’au soir, devant l’habileté des pirates à déjouer tous les dispositifs de sécurité, la Maison Blanche (à l’exception, bien sûr, des éventuels comploteurs) furent persuadés que la menace venait d’une faction extrémiste de l’armée. Ce n’est qu’en fin de journée que la propagande anti-islamiste s’imposa, soulageant les responsables puisque leur évitant d’avoir à faire le ménage dans leurs rangs…

  • charmord

    @Phrygane,

    Une version un peu plus complète de ma contribution sur ce sujet figure sur le forum de ce site à cette adresse : http://forum.reopen911.info/p221663-04-03-2010-15-35-51.html#p221663

    J’ y reprends une quatrième hypothèse dans la grille de lecture des événements, négligée dans les écrits que tu as lus.

    Bat,

  • Jonas061

    Phrygane et Yves Ducourneau: Effectivement, votre théorie est séduisante sur le papier et a notamment l’avantage d’expliquer la déclaration par laquelle Georges Bush avait affirmé que ceux qui avaient fait le coup allaient « regretter de l’avoir comme président. »
    Cependant, je ne peux m’empêcher de demeurer sceptique quant à la faculté pour une simple faction extrémiste de l’armée, aussi déterminée soit-elle, de neutraliser ainsi le bon fonctionnement du dispositif de défense d’un pays comme les Etats-Unis et d’imposer ses volontés à un gouvernement sous peine de mettre à exécution un projet dont on sait qu’il serait impossible à justifier auprès de l’opinion publique américaine et internationale.
    Il faudrait être incroyablement organisé et complètement fou pour être capable de mener un tel projet sans qu’il y ait d’accros et pour croire une seule seconde à sa réussite.
    Par ailleurs, si la piste du complot fomenté par une faction de l’armée US avait bénéficié d’une quelconque crédibilité aux yeux du président et de son entourage, comment expliquer qu’Air Force One ait été aussi longtemps maintenu en altitude, sachant qu’une telle mesure de sécurité était nécessairement insuffisante s’il s’agissait de protéger le président contre d’éventuels putschistes dotés d’une technologie leur ayant permis jusque là d’envoyer 3 avions au tapis ?

  • On peut penser qu’il ne s’agissait pas de le descendre, mais de le forcer à adhérer.
    Je suis convaincu que la menace est une arme imparable; et qu’Obama, avec une épouse et deux petites filles, est particulièrement vulnérable: peut-être alors est-il moins salaud qu’il ne parait…
    Parfois, les menaces ne suffisent pas: Kennedy pourrait en être un exemple. Mais aussi Saddam, Khadafi, et bon nombre d’élus d’Amérique du Sud. D’ailleurs Chavez et Castro on tété ciblés de nombreuses fois: c’est miracle qu’ils soient encore en vie.
    Bien sûr, c’est pure spéculation; mais que feriez-vous d’autre si vous tiriez les ficelles, sans aucun obstacle moral?

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