Poussières du WTC : ces étranges études officielles qui oublient de parler des sphères métalliques

Comment juger un travail scientifique quand on ne possède pas le niveau d’expertise requis ? Si l’esprit critique peut permettre de cerner la plausibilité d’une thèse au premier abord, il en va autrement quand il s’agit d’évaluer les choses en détail et de juger un travail scientifique approfondi. Bien que l’honnêteté d’un scientifique ne garantisse pas la confiance en la qualité de son travail, la malhonnêteté avérée d’un autre peut néanmoins renseigner sur sa volonté d’usurper celle-ci. Cela nous amène à Jérôme Quirant qui publie ce 6 mars 2012 un nouvel article à charge sur Agoravox.

 *** PUBLIÉ ÉGALEMENT SUR AGORAVOX ***

Jérôme Quirant (alias Moorea) n’est pas plus chimiste que la plupart d’entre nous. Il s’évertue pourtant depuis des années à insulter et à accuser d’autres scientifiques qui ont réalisé une étude sur les poussières du World Trade Center publiée dans un magazine scientifique à comité de lecture, et ce, à grand renfort de smileys et de railleries infantiles, ce qui laisse perplexe sur sa capacité d’argumentation. Mais son arrogance ne peut servir pour autant à invalider son analyse personnelle, bien qu’il n’ait aucune qualification dans ce domaine et bien que ses erreurs sur le sujet aient été clairement démontrées sur notre site. Le problème est ailleurs.

D’emblée, il est assez étonnant que M. Quirant (ci-contre) publie un article qui selon lui scelle « sans équivoque » la question de l’analyse des poussières du WTC alors que le rapport intermédiaire qu’il brandit n’a été publié que depuis cinq jours, dans un domaine qui n’est pas le sien, et n’a pu logiquement faire l’objet d’aucun commentaire pour le moment. Mais alors sur quoi M. Quirant se base t-il pour lancer avec force conviction une telle affirmation, si ce n’est sur sa propre croyance personnelle et rien d’autre ? Est-ce une attitude raisonnable et scientifique ? Ce qui est plus intéressant et bien plus révélateur encore, c’est d’apprendre ce que M. Quirant ne dit pas dans son article et qui nous éclaire un peu plus sur son honnêteté, et donc sur la valeur que l’on peut accorder aux analyses qu’il prodigue sous son auréole d’expert. Nous avons d’ailleurs récemment publié un article à ce sujet.

L’article ci-dessous, rédigé le 17 février dernier par le spécialiste en chimie Kevin Ryan, annonçait à l’avance ce à quoi nous pouvions nous attendre de l’étude du chimiste américain Jim Millette qui vient d’être rendue publique. Cela n’a pas empêché M. Quirant de lui prêter une foi sans faille et de la présenter comme parole d’évangile. Cela ne prouve évidemment pas que l’étude de Millette n’est pas valable et nous ne pouvons d’ailleurs que nous réjouir quand d’autres scientifiques prennent enfin part au débat contradictoire sur cette question. Pour ce qui est des admirateurs de Jérôme Quirant, ils feraient bien de s’interroger « non seulement sur le niveau scientifique de leurs ‘experts’ autoproclamés, bien sûr, mais aussi sur l’honnêteté intellectuelle de ces arlequins dont ils reprennent sans aucun esprit critique les assertions » pour reprendre la formule exacte… de Jérôme Quirant.

 

Sphère microscopique riche en fer retrouvée dans les poussières du WTC

 

 


 

Quand Mohr signifie “moins” (*): la non-réponse officielle aux découvertes de matériaux énergétiques retrouvés au WTC

par Kevin Ryan, sur DigWithin, le 17 février 2012

Kevin Ryan est spécialiste en chimie et fut directeur de laboratoire chez Underwriters Laboratories (UL), la société qui avait certifié l’acier du WTC avant sa construction. C’est à UL que le National Institute for Standards & Technology (NIST) avait fait appel pour effectuer des simulations d’incendies sur des poutres similaires à celles du WTC afin de valider leur étude sur ces effondrements. Lorsqu’il avait dénoncé les manipulations et les inexactitudes des résultats de ces tests, Kevin Ryan avait été licencié par Underwriters Laboratories. Il n’a de cesse depuis de dénoncer ces manipulations, pour que justice soit rendue aux victimes de ces attentats et des guerres illégales qui s’en sont suivies. Il a d’ailleurs co-signé l’analyse scientifique du chercheur danois Niels Harrit & al sur la découverte de nanothermite dans les poussières du World Trade Center.

Traduction et mise en page GV pour ReopenNews

Il y a trois ans de cela, une équipe internationale de scientifiques publiait un article scientifique établissant la présence de résidus thermitiques dans la poussière résultant de la catastrophe au Word Trade Center (WTC).[1]

Bien que cet article soit le dernier maillon d’une chaine constituée de plusieurs autres papiers appuyant ces découvertes, il apportait plus d’éléments sur les matériaux énergétiques qui ont été utilisés pour abattre les bâtiments du WTC. Ces conclusions confirmaient celles des autres articles scientifiques publiés auparavant, et s’accordaient également avec les témoignages visuels et les preuves photographiques.

L’article avait été relu par un Comité de lecture (Peer reviewed) avant d’être accepté pour publication en février 2009. Depuis cette date, il a été envoyé personnellement à de nombreux membres du Congrès US, et à des scientifiques dans les universités du monde entier. La réponse fut un silence assourdissant. Le simple fait que des scientifiques de profession puissent publier de telles preuves, et que pendant 3 ans ils n’obtiennent aucun retour de la part des responsables gouvernementaux ou universitaires est révélateur de la bêtise généralisée de la société d’aujourd’hui.

Cependant, les quelques réponses non officielles qui ont été données ne manquent pas d’intérêt.

Environ un an après la publication, l’un des principaux auteurs de la très changeante, mais toujours aussi fausse explication officielle sur le WTC a lancé quelques tentatives fallacieuses pour manipuler les auteurs du papier.[2] Il s’agissait de Gene Corley, qui a apparemment abandonné après plusieurs tentatives infructueuses de se procurer des échantillons vierges de toute expérimentation.

On peut facilement imaginer pourquoi Corley, qui était l’un des premiers responsables de l’enquête sur le WTC et a eu un accès bien plus libre aux poussières du WTC, bien plus vite que n’importe quel autre chercheur indépendant, a cru bon de devoir faire ces tentatives trompeuses. Mais des démarches similaires ont été entreprises récemment par Chris Mohr (ci-contre), un fervent supporter de la théorie officielle de la conspiration. Mohr a tenté de se procurer des échantillons, qu’il a affirmé avoir obtenu de moi, personnellement, et ce faisant, s’est lui aussi engagé sur la voie de la supercherie en faisant état de fausses déclarations de notre part.

M. Mohr se qualifie lui-même de théoricien de l’ « effondrement naturel du WTC » et il a fait la promotion d’explications assez vagues lors de débats contre ceux remettant en cause le récit officiel. Le jour du 10e anniversaire du 11/9, Mohr a rejoint les rangs de la douteuse Skeptic Society, dont le leader et moi avions débattu en 2007.[3] L’article de Mohr paru dans l’édition de septembre de « Skeptic magazine » montre bien jusqu’où les gens sont capables d’aller pour éviter les problèmes posés par la version officielle du 11/9.[4] Tout en proposant des réponses vagues, totalement improbables, voire stupides à une douzaine de questions spécieuses, l’article de Mohr évitait soigneusement toutes les preuves mises en avant pendant ces 10 années par les vrais sceptiques du 11/9.

Ayant échoué à faire de nouveaux adeptes du mythe de la « Guerre au terrorisme », Mohr a essayé de réfuter l’aspect scientifique de l’article de 2009 « Active Thermitic Materials ». Le problème, c’est que bien qu’il [se présente] comme le nouveau porte-parole de la Skeptic Society, Mohr n’a aucune formation scientifique et s’emmêle les pinceaux sur les concepts de base contenus dans l’article. C’est pour cela qu’il a recours à un expert « indépendant » pour soutenir sa cause.

Mohr a déclaré dans un de ses nombreux emails non sollicités : « Ça m’a pris des mois, et j’ai contacté plus de deux douzaines de laboratoires, avant de trouver Millette et son lab, qui ont tous les deux à la fois les moyens et l’ouverture d’esprit pour conduire cela à bien. »[5] Ce message fait référence à Jim Millette (ci-contre),  un scientifique du gouvernement qui travaille depuis longtemps pour l’agence de protection de l’environnement (EPA, pour Environmental Protection Agency), et qui possède maintenant sa propre société, MVA Scientific Consultants. Malheureusement, bien que Mohr ait mis « des mois » à trouver son « champion », cela ne lui a pris que quelques secondes pour décider qu’il ne dirait rien à propos du fait que c’est Millette qui avait mené les études gouvernementales sur les poussières du World Trade Center (WTC). En effet, lorsque Mohr m’a contacté au cours d’un envoi massif de messages (mass-mailing) concernant les échantillons vierges à utiliser dans son projet, il n’a rien dit du précédent travail de Millette sur ces poussières du WTC.

Millette et ses collègues ont publié plusieurs rapports financés par le gouvernement à propos des poussières du WTC, qui constituent les analyses « officielles ». Pour une raison inconnue, ces rapports ne mentionnent pas les traces évidentes de métal fondu qui y ont été relevées par le USGS, la société RJ Lee Corporation, et l’équipe de chercheurs internationaux qui a publié l’article en 2009. Il semble que Millette & Co ont bien trouvé ces éléments, sous la forme de sphères de fer présentes en abondance dans les poussières du WTC, mais la décision a été prise de tempérer l’importance de ces éléments.[6] Bien sûr, Mohr ne dit pas cela aux gens. Il sait bien que Millette et ses collègues n’ont pas mentionné la présence des sphères de fer dans l’étude officielle des poussières du WTC, bien que ces sphères constituent un composant important et inhabituel de ces poussières.

Ce fait est frappant en lui-même, mais il y a eu également des accusations de fraude contre Millette et ses collègues. Le lanceur d’alertes au sein du projet EPA, le Dr. Cate Jenkins, a parlé de « déformations délibérées » en rapport avec leurs études au cours desquelles les échantillons furent manipulés et pré-conditionnés afin d’en abaisser le niveau de pH avant les tests. Le nom de Millette apparait quatre fois dans le rapport de Jenkins, car il a participé à de nombreuses études financées par l’EPA que Jenkins a qualifiées de frauduleuses. Millette a effectué un travail considérable d’analyse sur les poussières du WTC pour le compte d’équipes gouvernementales, et il dirigeait les études financées par le gouvernement dans ce laboratoire.[7]

Bien sûr, Mohr ne vous parlera pas non plus de ces accusations de fraude.

Dans tous les cas, il est très intéressant de voir qu’il a fallu plusieurs mois à Mohr pour contacter des dizaines de labs et trouver enfin la personne qui avait fait tout le travail d’analyse en laboratoire des poussières pour le compte du gouvernement. On peut se poser des questions sur les dizaines d’autres laboratoires. Ne voulaient-ils pas de l’argent de Mohr ? Finalement, pourquoi Mohr a-t-il insisté pour utiliser son propre laboratoire qui avait [pourtant] fait l’objet d’accusations de fraudes relatives à l’analyse des poussières du WTC ? En quoi les dizaines d’autres laboratoires étaient-ils moins adaptés ou moins « ouverts d’esprit » que le gars qui avait déjà par le passé négligé les preuves [de la présence de ces sphères] ?

On ne le saura peut-être jamais. Mais il apparait que Millette va publier son rapport sur ses nouvelles découvertes pour les « Skeptic » la semaine prochaine lors d’une conférence à Atlanta. Il sera intéressant de voir si Millette va y mentionner la présence en abondance de ces sphères de fer, que tous les autres scientifiques ont trouvé dans pratiquement tous les échantillons. Le fait qu’il ait travaillé pendant des années sur des contrats fédéraux du NIST et du département de la Justice de Bush depuis le 11/9, laisse penser qu’il ne le fera pas. Quant à la possibilité que Millette confirme la présence de matériaux thermitiques dans les poussières du WTC, ce qui au passage contredirait ses précédents travaux, il est certainement inutile de retenir notre souffle.

Pendant ce temps-là, nous pouvons être sûrs que ni le gouvernement US, ni les universités qu’il finance, ne répondront à la découverte de matériaux énergétiques aux WTC, ni à aucune publication scientifique à comité de lecture traitant du sujet. Trois ans sans réponse, c’est une réponse en soi.

Kevin Ryan

 

Traduction et mise en page GV pour ReopenNews

 


Notes de l’auteur :

  1. Niels H. Harrit, et al, Active Thermitic Material Discovered in Dust from the 9/11 World Trade Center Catastrophe, The Open Chemical Physics Journal, Vol 2, 2009, 
  2. Kevin R. Ryan, Dusting-off Corley: Is this the official response to the discovery of energetic materials in the WTC dust?, (Est-ce cela la réponse officielle à la découverte de matériau énergétique dans les poussières du WTC ?), 911Blogger.com, 31 mai 2010
  3. Kevin R. Ryan, Skepticism and “the believing brain”, DigWIthin.net, 25 septembre 2011
  4. Chris Mohr, 9/11 and the Science of Controlled Demolitions, Skeptic Magazine, septembre 2011,
  5. Email de Chris Mohr
  6. Paul J. Lioy, Dust: the inside story of its role in the September 11th aftermath, (Les poussières : l’histoire secrète de leur rôle dans les retombées du 11-Septembre), Rowman & Littlefield, 2010, p 223
  7. Cate Jenkins, Complaint and Additional Evidence of pH Fraud by: USGS, OSHA, ATSDR, NYC, EPA, and EPA-funded scientists (Plainte et autre preuves de la fraude sur le pH par : USGS, OSHA, ATSDR, NYC, EPA, et des scientitiques financés par l’EPA), 6 mai 2007, publié dans le Journal of 9/11 Studies

Notes de traduction :

(*) : Le titre anglais de cet article comporte un jeu de mot intraduisible : ‘When Mohr is Less…", qui pourrait se traduire par "Quand plus signifie moins…" puisque le nom de l’auteur "Mohr" est proche du mot anglais "more" qui signifie "plus".

 


Note de la rédaction :

Outre les nombreuses sorties de route de Jérôme Quirant dans son langage habituel pour insulter ceux à qui il s’oppose, il faut relever quelques manipulations :

- M. Quirant nous dit que Jim Millette « a souhaité procéder à des examens plus poussés. ».

C’est FAUX : il a répondu à un travail de commande de Chris Mohr, un fervent partisan de la version officielle qui proposait 1000$ en prime.

- M. Quirant nous dit que les leaders du mouvement sont des « profiteurs sans scrupule » car « la publication de Jones et Harrit est disponible gratuitement auprès de l’éditeur de la revue » alors qu’elle « est toujours à la vente à ce jour sous forme papier sur le site de Richard Gage. »

C’est FAUX : et il suffit de suivre le lien donné par M. Quirant lui-même pour s’apercevoir de la manipulation. En effet, l’étude de Harrit et al est proposée gratuitement sur le site ae911truth.org de Richard Gage et l’option facultative d’acheter une version papier est présentée comme telle :

Vous pouvez télécharger cet article gratuitement à partir du site internet de Bentham Open à http://www.bentham-open.org/pages/content.php?TOCPJ/2009/00000002/00000001/7TOCPJ.SGM. Néanmoins, votre achat aide le travail pour la vérité sur le 11/9 et vous fournit une version papier à partager avec d’autres.

Comment M. Quirant a-t-il pu passer à côté de ce passage si ce n’est que de manière volontaire afin de pouvoir accuser ses contradicteurs de « profiteurs sans scrupule » ? M. Quirant a-t-il pour sa part des scrupules à manipuler la réalité de la sorte ?

En ce qui concerne l’honnêteté intellectuelle de Jérôme Quirant, nous vous proposons également de lire la Réponse de ReOpen911 au débunking de M. Quirant sur le documentaire "Jeudi Investigation : un Jeudi Noir de l’Information".

Mais également ce commentaire brillant et vif d’un scientifique anonyme adressé à M. Quirant sur Agoravox en septembre 2011 :

Par Peuimportequi : J’ai remarqué l’emergence des interventions de M. Quirant dans les polémiques autour du 09/11. Je suis consterné par la mauvaise foi, la malhonnêté intellectuelle, et surtout l’arrogance et suffisance dont ce M. fait preuve dans ses "démonstrations". Sans doute que le statut d’"agrégé" n’y soit pas étranger, mais passons.

Je suis également un scientifique, chercheur dans un institut de recherche public français, et comme M. Quirant j’ai l’habitude de produire et évaluer de la littérature scientifique. Je sais comment ce petit monde fonctionne et j’en connais aussi bien les mérites que les travers et les biais (et oui, la malhonnêté intellectuelle y existe comme ailleurs).

Je vais ici adresser un certain nombre points évoqués par M. Quirant, qui, contrairement à ce qu’il peut prétendre, ne représente en rien l’avis consensuel de la "communauté scientifique".[…]

Lire la suite ici.

 


En lien avec cet article :

 


 

 

 

13 Responses to “Poussières du WTC : ces étranges études officielles qui oublient de parler des sphères métalliques”

  • Grégory

    l’article est accablant effectivement. Bravo à Kevin Ryan pour la rapidité de la réponse et à ReOpen911 pour celle de la traduction. En creux, le fait de confier justement à ce monsieur l’unique effort de réponse scientifique des debunkers montrent qu’ils n’ont vraiment que ça sous la main.

  • Red Cloud

    Merci pour la traduction!
    Il est important de voir cet article publie, de facon a ce que Harrit et al. puissent prendre connaissance de tous les aspects de l’etude.
    Quant a Quirant, il n’est pas un specialiste de ce domaine, ce qui ne l’empeche pas de s’exprimer.
    Cela dit, il devrait ecrire en anglais pour participer de facon constructive a ce debat avec les acteurs concernes, plutot que de deverser son mepris sur les personnes qui cherchent a juste titre a faire la lumiere sur le 11-Septembre.

  • IKAR

    L’arrogance et l’agressivité de Jérome Quirant sont à elles seules des arguments prouvant sa mauvaise foi. Lorsque qu’on est certain de la validité d’une démonstration, on n’éprouve pas le besoin d’utiliser de tels procédés.

  • Ryan ne répond pas sur le fond puisqu’il a publié cette attaque ad hominem avant même (!!!) la publication du rapport de Millette…. ça en dit long sur le personnage.

    Le rapport préliminaire est là : http://911myths.com/9119ProgressReport022912_rev1_030112web.pdf
    Il a été présenté lors du plus gros congrès de forensic science au monde. Personne n’a rien trouvé à redire à ses conclusions lors de ce congrès réunissant les meilleurs scientifiques du domaine. Où étaient Jones et Harrit ?
    L’article viendra par la suite, patience. D’ici là, Millette aura été informé concernant la peinture Laclede, puisque, apparemment, il ne la connaissait pas. Je m’y engage.

    Quant à Reopen, le fait que Jones et Harrit aient menti de façon éhontée et grotesque sur la composition des peintures ne vous gêne pas plus que ça… Troublant….
    D’ailleurs ces mêmes auteurs avaient affirmé avoir effectué un test FTIR (le même que Millette) permettant de lever toute ambiguïté… qu’ils n’ont jamais publié !! Pourquoi ?
    :-)

    Pour ce qui est des sphérules d’acier, puisqu’une vidéo vaut mieux qu’un avis scientifique de personnes spécialistes du domaine (et pas d’autre chose) http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1698, voici : http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=Lnupq1QD7_Y

    Bien à vous,

    JQ

  • GeantVert

    @Moorea/Jérome Quirant,

    Nous vous permettons de poster vos commentaires et vos liens ici par déontologie puisque nous ne censurons pas les commentaires tant que cela permet d’alimenter le débat et qu’ils restent centrés sur le propos.
    En revanche, nous notons que vous n’avez toujours pas ouvert votre propre site Web aux commentaires. Si cela devait perdurer, nous nous verrions obligés de vous refuser l’accès à cette zone de commentaires, car les remarques et les critiques sur votre travail devraient avoir droit de cité là où il est publié.
    A bon entendeur…
    –GV

  • Corto

    il a raison GV.

    de plus, Ryan ne se cache pas du tout de publier avant publication. en quoi serait-ce un signe de quoi que ce soit ? IL PREVIENT que le résultat sera conditionné par la biographie entâchée d’irrégularités de ce monsieur porté au pinacle par VOUS,

    alors glosez, mais les recherches en face continuent, et OUI des membres de reopen911 aimeraient avoir accès à VOTRE SITE, comme nous vous donnons accès au nôtre. D’ailleurs, le géopoliticien – sociologue – intellectuel belge Jean Bricmont a reconnu ce fait aux alternativistes, chez qui il est mieux reçu que par des gens comme vous….

    à bon entendeur bis

  • Franc

    @ Corto

    Jean Bricmont n’est ni géopoliticien ou sociologue mais professeur de physique théorique à l’université catholique de Louvain, dans l’unité de physique théorique et de physique mathématique (département de physique).

    Il est aussi l’auteur de cet aricle dans un numéro spécial d’une revue scientifique sur le 11 septembre : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1687

    Numéro ou là deux sociologues intervenaient : Gérald Bronner et Valéry Rasplus.

    http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1626

    Bien à vous

    Franc

  • Corto

    @franc

    oui merci. Reste que Bricmont intervient largement et souvent en dehors de son domaine scientifique, non? et avec une pertinence acerbe dans bien des cas. ses analyses rejoignent celles développées ici. Interroger le 11-Septembre, dans son cas, ne serait normalement qu’une formalité, mais il en reste au « ce n’est pas ou n’est plus important », et au si peu scientifique « je ne crois pas que…. », ou encore « les éléments que j’ai parcouru ne permettent pas de conclure quoi que ce soit « … formes soft de négationnisme médiatique ou de politique de l’autruche, que je prendrai avec magnanimité pour de la prudence car par ailleurs la remise en cause de la VO s’intégre parfaitement à ses analyses géopolitiques….

  • Bravo pour cette réactivité après l’article de Jérôme Quirant.

    Ces sphères d’acier sont particulièrement importantes puisqu’elles se trouvent dans la poussière émise pendant l’effondrement. On ne peut donc pas nous opposer l’argument de la « mixture » se trouvant sous les décombres (opposé quand on parle des multiples témoignages de lacs d’acier fondu sous les décombres), ni celui de l’aluminium (opposé quand on parle des fontaines de métal fondu observées au coin de l’une des tours, au moment où elle va s’effondrer).

    Jérôme Quirant, votre vidéo m’a beaucoup fait rire : ainsi, la structure du WTC n’était pas en acier mais en laine d’acier ! On comprend mieux maintenant pourquoi c’est tombé si facilement…

  • luc

    Jérome Quirant en bon petit agent propagandiste de l tente de faire perdre du temps et sa marche pendant que vous débattez avec lui vous n’avancez pas

    on sait que les tours ont implosé ont va pas y passé 50 ans
    maintenant trouvé les coupables et affichez leur visages

    que la résistance contunu !!!

  • paul vetran

    Quelle est l’origine de ces sphères microscopiques riche en « fer »?
    Si de la thermite ou nano-thermite avait été utilisée pour le « dynamitage » des tours du WTC, n’aurait on pas plutôt trouvé quantité de résidus d’aluminium à la place?

  • Cristof

    Merci Mr Quirant, votre vidéo avec la paille de fer est vraiment trop ridicule et m’a bien fait rire. C’est presque aussi bien que Groland.con !

    Pourriez-vous nous indiquer d’autres liens aussi délirant svp, merci.

  • Shemesh

    @PaulVetran.
    le principe de la nanothermite est de faire réagir
    au microscopique de l’oxyde de fer avec de l’aluminium,
    ceci donne, avec dégagement important de chaleur
    du fer fondu et de l’oxyde d’aluminium qui est blanc.
    Ceci est compatible avec
    les mares d acier fondues vues par les pompiers
    les petites spheres de fer
    La poussiere blanche lors de l’effondrement des tours.

    Ce que dit Quirant n’est pas crédible. Les poutres d’acier
    du WTC ne sont pas de la laine de fer…en plus les incendies
    n’etaient pas tres etendus..

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