Niels Harrit : Pourquoi les particules rouges/grises ne sont pas des composants de peinture mais bien de la nanothermite

Cela fait maintenant plusieurs mois que certains scientifiques désireux de défendre la version officielle sur les attentats du 11/9 remettent en cause les résultats de l’analyse des poussières du WTC décrits dans le fameux article du spécialiste en nanochimie danois, Niels Harrit paru en mai 2009[1]. Ces scientifiques "alignés" nous expliquent que ce n’est pas de la nanothermite qui a été trouvée par Harrit, mais de la simple peinture. Évidemment, la nanothermite étant d’un usage strictement militaire, il ne suffit pas de sous-entendre que les échantillons auraient été truqués par Niels Harrit et ses collègues, car cela n’expliquerait pas comment il se le serait procuré pour le mélanger aux poussières. Il faut donc bien que les défenseurs de la version gouvernementale américaine remettent en cause le coeur de la découverte, à savoir la nature de ces particules (chips, en anglais) rouges et grises. À la suite de ces allégations concernant la possibilité que ce ne soient que des composants de peinture, Niels Harrit a répondu point par point dans cette analyse technique que nous avons traduite pour vous.

 

Le chimiste danois Niels Harrit
 


Pourquoi les particules rouges/grises ne sont pas des composants de peinture

Niels Harrit, mai 2009, paru sur Zelikow.Wordpress (PDF disponible ici)

Certains ont suggéré que les particules rouges/grises découvertes dans les poussières des effondrements du World Trade Center[1] pouvaient provenir de la peinture teintée à la rouille appliquée sur les poutres d’acier des Tours. Cet article compare les compositions élémentaires et la stabilité thermique des deux matériaux et se base d’une part sur la description figurant dans le rapport du le NIST de la peinture protectrice, et d’autre part sur l’observation des particules rouges et grises.

COMPOSITION CHIMIQUE DE LA SOUS-COUCHE DE PEINTURE

La peinture primaire appliquée sur les poutres d’acier du World Trade Center est décrite et caractérisée dans le document NIST NCSTAR 1-3C appendice D[2].

La peinture est rouge-orangé et fut appliquée à l’origine pour protéger l’acier de la corrosion.

Voir des exemples typiques de poutres en Figures 1 et Figure 2

Figure 1. M2-C2M (WTC 1, Col.130, Fl 98) Source NCSTAR 1-3C appendice D[2].


Figure 2. Les colonnes périphériques du WTC. Source : NIST.

La couleur est due aux pigments présents dans la peinture. L’oxyde de fer est rouge, et le chromate de Zinc (“jaune zinc”) est – de fait- jaune citron brillant (Figure 3).


Figure 3. Composition de la peinture primaire. Source NCSTAR 1-3C appendice D[2].

Puisque le support est évidemment un fluide, les valeurs pour les ingrédients qu’il contient doivent se référer à la peinture avant application, et doivent être mesurées en pourcentage du poids.
Bien que la composition du pigment Tenmec soit brevetée, le contenu de ce composant peut être obtenu d’après le Material Safety Data Sheet (page de description du matériau pour la sécurité) , dont les informations les plus pertinentes sont reproduites en Figure 4 :


Figure 4 Extraits du Material Safety Data Sheet du pigment Tneme[3]

Le talc est composé d’hydroxyde et silicate de magnésium Mg3Si4O10(OH)2.
Le contenu des silicates et des aluminates de magnésium n’est pas exact et la contribution relative des aluminates n’est pas précisée. Puisque le pigment Tnemec contribuait à hauteur de 33,7% au poids de la couche de base de peinture humide, le contenu de ces deux ingrédients et du solvant dans la peinture primaire à l’état humide était :
 

Talc Mg3Si4O10(OH)2 :  7 – 10 %
Silicate de Calcium ou aluminates : 2 – 3.3 %
Essences minérales : 7.6 %

Après application, la peinture était chauffée à 120 °C. Au cours de ce procédé, tous les composants volatiles se sont évaporés.

Les diluants (Figure 3) et les essences minérales (du pigment Tnemec) représentent jusqu’à (32.3 + 7.6) 40 %. Si nous soustrayons cela de la composition en pourcentage mentionnée ci-dessus, cela nous donne une estimation de la composition de la peinture une fois séchée (hardened paint).

Autrement dit, en divisant par 0,6 nous obtenons les valeurs suivantes concernant les probables ingrédients de la peinture séchée (en éliminant les éléments de base, le fer, le silicium, le carbone et l’oxygène) :


Table 1. Composants intéressants de la peinture primaire corrigée avec l’évaporation du solvant.

COMPARAISON AVEC LA COMPOSITION DES PARTICULES ROUGES/GRISES

La composition élémentaire des particules rouges/grises a été déterminée au moyen d’une spectroscopie de rayons X à dispersion d’énergie (XEDS – X-ray Energy Dispersive Spectroscopy) en mode SEM [1]. Avant toute mesure, les particules ont été cassés (à l’exception d’une particule dont nous parlons plus bas) de façon à s’assurer d’une surface “fraiche” et non contaminée sur laquelle le SEM XEDS a été appliqué. AUCUN de ces spectres SEM XEDS, correspondant aux quatre échantillons différents, n’a signalé la présence de Zinc, Chrome, Magnesium en quantité (intensité) significative au dessus de la ligne de “bruit”. Voyez dans la colonne de droite en Figure 5 ci-dessous, dont l’échelle a été élargie. De forts signaux de ces trois éléments auraient dû apparaître avec la peinture primaire, d’après la table 1.


Figure 5. SEM XEDS (énergie du rayon 20 keV) spectre de la surface fraiche de la partie rouge d’une particule rouge/grise

En haut: Figure 7 dans l’article Harrit & al.1, montrant les quatre différents échantillons examinés.
En bas: Le même spectre que dans le cadre (a) avec l’intensité (axe vertical) et l’échelle horizontale étendue.
D’infimes signaux de même niveau que le bruit sont observés pour le Soufre, le Calcium, le Chrome et le Strontium.

Pendant l’une des expériences, les particules devaient être plongées dans le Méthyle Éthyl Kétone (MEK) et n’ont pas pu – pour des raisons évidentes – être cassées au préalable. Les résultats de XEDS pour ces particules (Figure 6 ci-dessous) montrent de petites bosses indiquant la présence de Chrome et de Zinc. Elles disparaissent après que les particules ont été plongées dans le solvant organique. Par conséquent, on en déduit qu’elles dérivent de la contamination de surface, qui pourrait très bien être due à la peinture primaire (!)


Figure 6. SEM XEDS (énergie de rayon 20 keV) d’une particule non cassée avant d’être plongée dans le MEK. Le Calcium et le Soufre sont probablement dus à une contamination par des plaques de plâtre (Gypse, sulfate de calcium). Les signaux indiquant du Zinc et du Chrome pourraient résulter d’une contamination de surface due à la peinture primaire.

Aucun magnésium n’a été observé, c’est pourtant un des autres éléments caractéristiques de la peinture primaire (Table 1)
Notons aussi que la seule source possible d’aluminates dans la peinture primaire est la référence relativement vague à des “silicates de calcium ou aluminates” à hauteur de 3,3 – 5 %. Sans vouloir essayer de donner une quelconque estimation quantifiée (qui n’est pas simple avec un XEDS), il reste très difficile d’admettre que ce composant soit à l’origine du signal imposant et clairement visible d’aluminates dans la partie rouge des particules rouges/grises.

STABILITÉ THERMIQUE DE LA PEINTURE PRIMAIRE.

Le NIST s’est intéressé à la réaction thermique de la peinture primaire, puisque l’ examen des poutres en acier récupérées pourrait indiquer les températures qu’elles avaient subies.
Le NIST mena des études de température sur certaines poutres sélectionnées et fit les observations suivantes.[2]
La peinture n’est pas affectée par des températures jusqu’à 250°C (Figure 7a). Au-dessus, la peinture commence à montrer des signes de craquelures (”mud-cracks”) comme le montre la Figure 7b (à gauche). Ce fractionnement est dû aux coefficients d’expansion qui sont différents pour l’acier et pour la peinture. Ca empire à 650°C (Figure 7, à droite), température à partie de laquelle commencent à se former des écailles noires entre la peinture et l’acier (Figure 8). Le NIST a porté les échantillons à 800°C, et à cette température prévalent la formation d’écailles et le détachement de la peinture vis-à-vis de l’acier. Certains pourraient avancer l’hypothèse que la formation d’écailles noires est due à la carbonisation du liant organique.


Figure 7. À gauche : la peinture primaire des  colonnes extérieures du WTC, en dessous de 250°C (tableau a) et au-dessus (tableau b). À droite : exposition de la peinture primaire sur de l’acier, à 650°C pendant 1 h.

Figure 8. Source NCSTAR 1-3C appendice D[2], montrant la formation d’une couche noire sous la  peinture, à partir de 650°C.

Notez que la peinture – étant à la base un matériau céramique – est chimiquement stable à des températures allant jusqu’à 800°C.

COMPARAISON AVEC LA STABILITÉ THERMIQUE DES PARTICULES ROUGES/GRISES

À l’inverse de la peinture primaire, les particules rouges/grises réagissent violemment, s’enflammant aux environs de 430°C. La réaction produit des températures supérieures à 1500°C, puisque des résidus de fer fondu sont clairement visibles dans le microscope optique (Figure 9).


Figure 9. Image prise au microscope optique, d’une particule rouge/gris, après sa réaction dans un DSC[1]

CONCLUSION

Les propriétés de la peinture primaire et celles des particules rouges/grises sont incompatibles.
Les particules rouges/grises ne peuvent pas être la peinture primaire telle que décrite par le NIST.

 

par Niels Harrit, mai 2009


RÉFÉRENCES

  1. Harrit, N.; Farrer, J.; Jones, S. E.; Ryan, K.; Legge, F.; Farnsworth, D.; Roberts, G.; Gourley, J.; Larsen, B. Active Thermitic Material Discovered in Dust From the 9/11 World Trade Center Catastrophe. The Chemical Physics Open Journal 2009, 2, 7-31. [Note du 24 février 2011 : le document a disparu sans explications du site Web Bentham.org. Nous avons sauvegardé le fichier PDF ici]
  2. NIST. NIST NCSTAR 1-3C. 2005. http://wtc.nist.gov/NCSTAR1/PDF/NCSTAR%201-3C%20Appxs.pdf
  3. http://www.tnemec.com/resources/product/msds/m10v.pdf

 
Traduit de l’anglais par GeantVert

 


 
Notes ReOpenNews : Lire aussi sur le même sujet

11 Responses to “Niels Harrit : Pourquoi les particules rouges/grises ne sont pas des composants de peinture mais bien de la nanothermite”

  • niko

    la démolition controlé des tours est indisdutable
    et ce sont des criminels ayant eu accès a des labos de l’armée qui ont fait ça

  • Bonjour,

    Plusieurs remarques… (que j’avais déjà formulées d’ailleurs)

    - La peinture citée n’est pas une peinture qui a été analysée par le Nist mais issue d’une correspondance entre les fournisseurs de peinture et les ingénieurs ayant conçu et réalisé les tours. Cette correspondance date de 1967, au tout début des travaux, probablement encore au niveau des fondations. Cette correspondance avait pour but, je cite « des clarifications », ce qui prouve que la discussion n’était pas close. Cette peinture a-t-elle été utilisée pour les tours ? A l’heure actuelle, on ne peut pas se prononcer puisque le Nist ne l’a pas analysée…
    - Les chips de Jones peuvent-ils être issues de cette peinture ? Apparemment, pas du tout, puisque le Zinc est un des composants principaux mais qu’il n’est retrouvé que sous forme de traces dans les spectres de Harrit et Jones…
    - Question subsidiaire : une seule peinture a-t-elle été utilisées pour les deux tours et sur l’ensemble des éléments sur les 7 ans qu’ont duré les travaux. ?..

    La réponse de Harrit est donc à côté de la plaque.

    Depuis 2006, Jones promet de donner à des labos indépendants (et compétents !!) des exemplaires de ses chips… Les promesses rendent les enfants joyeux ! En attendant, il s’est lancé dans l’explication militaire du tremblement de terre d’Haiti… Ces armes méga-super secrètes mais qu’on ne peut hélas jamais nous montrer (cf. nanothermite) ont vraiment toutes les vertus !! Certains ont tendance à trop regarder James Bond…

    Pour finir, FHC a pu recueillir 4 échantillons provenant de 4 personnes différentes.

    Sa conclusion :
    - soit l’étude est frauduleuse (se sont ses termes)
    - soit des amis de Besancenot lui ont trafiqué ses échantillons…

    Chacun jugera.

    Cdlmt

  • dedieu

    À l’inverse de la peinture primaire, les chips rouges/gris réagissent violemment, s’enflammant aux environs de 430°C. La réaction produit des températures supérieures à 1500°C, puisque des résidus de fer fondu sont clairement visibles dans le microscope optique (Figure 9).

    Ces « chips » ne peuvent donc pas provenir de matériaux de construction.

  • john elton

    @moorea34 : tes arguments à la sauce « besancenot », « james bond », accompagnés d’un sujet qui n’a pas de rapport (Haïti) et d’une absence de sources, me laissent particulièrement perplexe quant à ton honnêteté…

  • EAUX TROUBLES

    extraits d’une interview de Niels harrit :
    http://www.pcfbassin.fr/Fichiers%20PDF/International/Le%20site%20allemand%20gulli%20WTC.pdf

    « gulli.com : La Nano Thermite est à la fois utilisée comme explosif et pour la soudure ?
    Dr Niels Harrit : Non, la soudure est effectuée avec de la thermite conventionnelle. Tout le monde peut en acheter. Ce n’est pas un explosif. Elle produit de la chaleur, du fer fondu. »

    « gulli.com : Pourquoi ont-ils perdu leur emploi ? Etait-ce lié à l’étude sur le 11/9 ? Qui les a virés et pourquoi ?
    Dr Niels Harrit : Ils ont perdu leur emploi car ils sont critiques à l’égard de la théorie officielle du complot. Steven E. Jones a été obligé de prendre une retraite anticipée de l’Université Brigham Young. Kevin Ryan, qui était responsable de la certification de l’acier dans les tours, a été renvoyé des Laboratoires Underwriters. Même quand les choses auront filtré, vous devez accepter que certaines d’entre elles ne vous soient jamais révélées. »

    « gulli.com : Si vous faites une estimation, quelle quantité de Nano thermite y avait-il dans le bas de Manhattan après l’effondrement ? Dr Niels Harrit : Il est très très difficile d’en donner une estimation exacte. Disons 10 tonnes. »

    Un organisme a connaître :

    « L’institut franco-allemand de recherches de Saint-Louis (ISL) est le pionnier de la coopération franco-allemande dans le domaine de l’armement et de la défense. Etablissement de renommée internationale, l’ISL a pour mission d’effectuer des « recherches et des études scientifiques et techniques fondamentales d’armement ». L’ISL est situé dans la region des trois frontières France – Allemagne – Suisse.  »

    http://www.isl.eu/fr/Content/Nanoenergetics.aspx

    D’autres articles sur la « nanothermite » :

    http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=22102096

    http://www.sciencedirect.com/science?_ob=ArticleURL&_udi=B6TXR-4X01PJ9-1&_user=10&_coverDate=02%2F28%2F2010&_rdoc=1&_fmt=high&_orig=search&_sort=d&_docanchor=&view=c&_searchStrId=1220110864&_rerunOrigin=google&_acct=C000050221&_version=1&_urlVersion=0&_userid=10&md5=0ca1e0077bfcf831419b3f34b63122ba

    http://adsabs.harvard.edu/abs/2009SPIE.7314E..19C

    http://www.iop.org/EJ/abstract/0957-4484/19/28/285716

    Autres ressources :

    http://www.pyroalliance.fr/images/techno/CDL_Fr.pdf

    http://www.snpe.fr/fr/activites/index.html

    Applications militaires :

    « Military nanotechnology: high precision explosives through nanoscale structuring »
    http://www.nanowerk.com/spotlight/spotid=5956.php

    http://lelaboratoire.over-blog.com/article-7358605.html

    Pour le débat :

    http://www.bastison.net/RESSOURCES/Que_Nenni.pdf

    http://www.darksideofgravity.com/Collapse_2.pdf

  • Wallace

    @ moorea 34

    « Certains ont tendance à trop regarder James Bond… »

    Un peu comme ceux qui ont publié le célèbre schéma en coupe de la grotte de Tora Bora.

    Goldfinger c’est du pipi de chat à côté ! ;-)

  • @Dedieu,

    Pour les références, vous avez toutes les sources là…
    http://bastison.net/RESSOURCES/Critique_Article_Harrit.pdf
    (pouvoir énergétique des peintures, analyse des spectres, énergie restituée à un substrat lors d’une réaction thermitique, etc…) Et d’autres que je n’ai pas eu le temps de mettre en forme…
    Une étude biblio dont les auteurs se sont crus dispensés manifestement, alors qu’ils ne sont pas spécialistes du domaine… Résultat, un test DSC en air ambiant alors que les échantillons contiennent du carbone… Il faut quand même le faire !!!

    Rappel : sur un DSC le but du jeu est maîtriser totalement la température de réaction (l’appareil est couplé à un sytème de refroidissement si la réaction s’emballe), si la température est montée à 1500°C, cela montre tout simplement que le test n’a pas été maîtrisé.
    Les personnes qui font ce genre de tests provoquent des réactions bien plus énergétiques que de la nanothermite tout en contrôlant parfaitement la température (ce sont de milligrammes qui sont testés) pourquoi pas Harrit et Jones ?

    Harrit n’est pas plus spécialiste des explosifs que n’importe qui sur ce forum.
    Il a travaillé sur la fluorescence X et la chimie de synthèse. C’est tout aussi éloigné de l’étude des explosifs que l’étude de la mécanique aéronautique et le calcul de structures de bâtiment (et on a vu le résultat tout à fait exceptionnel sur les articles de Ross et Szamboti)
    Chose étonnante, dans au moins un de ses articles précédents, il a utilisé la diffraction aux rayons X qui aurait très certainement levé une grosse part du mystère pour ces chips…
    Pourquoi ne l’a-t-il pas fait ? Trop peur des résultats ?? ;-)))

    bref….

    Cdlt

  • EAUX TROUBLES

    extrait du site de Frédéric Henry-Couannier

    http://www.darksideofgravity.com/Collapse_2.pdf

    « Finalement je n’ai pu confirmer une réaction de nanothermite. Les chips de mes échantillons ont soit déjà réagi le 11/9 (d\’autres chercheurs ont trouvé de tels chips dans leurs échantillons) soit mes échantillons de poussière ont été chauffés pour m’empêcher de confirmer COMPLETEMENT la découverte des auteurs de la publication (?!) . »

    et lui qu’en dit-il ?

  • Sébastien

    Harrit est spécialiste en rien alors que Moorea est spécialiste en tout, n’est ce pas!

    A quand un nouveau Prix Nobel?

    Je suppose donc pour départager les deux que Monsieur Moorea ne verra aucune objection à ce que l’on demande l’ouverture d’une enquête libre et impartiale?

    Pour faire taire une bonne fois pour toute ces complotistes et passer enfin à d’autres sujets qui, j’en suis sûr, si si, sont bien plus importants.

    Celui qui refuserai aurait-il des choses à cacher?

  • charmord

    Pour autant que de besoin, les affirmations gratuites et mensonges de Moorea quelques post auparavant sont pulvérisées sur ces pages-ci :

    http://www.darksideofgravity.com/bastison_thermite.html

  • charmord

    Sans compter qu’un article va paraître très prochainement sur ce site qui démontera spécifiquement et méthodiquement la critique articulée par J. Quirant à l’égard de l’article de Haritt.

    Ayant eu le privilège d’en lire la première ébauche, il est absolument implacable et permet de constater à quel point de mépris complet de la science en est arrivée cette personne qui s’est improvisé spécialiste d’une matière dans laquelle il n’en touchait, à ses propres dires, pas une bille, le tout en à peine un petit mois…

    Chapeau bas…

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