Les explications officielles de la chute des Tours Jumelles : fiction ou réalité ?
Posté par Christo le 17/03/2011
Plus d'une centaine de témoignages  d'explosions, des effondrements à une vitesse   proche de la chute  libre, des feux inextinguibles dans les décombres,  la  présence d'acier  fondu, etc. ... Autant de phénomènes que la théorie officielle des  effondrements  (par  incendies) ne parvient pas à expliquer et qui donnent lieu à de vives controverses scientifiques.
| .png) | 
| New York Times, 25 décembre 2001 | 
| .png) | 
| New York Times, 11 septembre 2002 | 
.png) Tout comme la FEMA, le NIST conclut    que les dégâts structurels occasionnés par les impacts d’avion n’ont pas    joué un rôle déterminant dans l’effondrement des Tours. Selon les    estimations du NIST, seules 41 (Tour Nord) à 43 (Tour Sud) colonnes de    soutien sur un total de 287 colonnes auraient été détruites par les    impacts d’avion [10]. Des dégâts minimes qui ne menaçaient pas l'intégrité des Tours,    lesquelles avaient été conçues pour soutenir cinq fois leur charge (Nova, mai 2002, p.6) [11]. La structure des Tours « est comparable à [une] moustiquaire, et l’avion est juste un crayon perforant la moustiquaire » nous explique le directeur des travaux du WTC Franck de Martini. « Il ne lui fait absolument rien » ajoute-t-il (« 9/11 Mysteries », min 07:14 ; J. Dwyer et K. Flynn, 2005, p.149).
Tout comme la FEMA, le NIST conclut    que les dégâts structurels occasionnés par les impacts d’avion n’ont pas    joué un rôle déterminant dans l’effondrement des Tours. Selon les    estimations du NIST, seules 41 (Tour Nord) à 43 (Tour Sud) colonnes de    soutien sur un total de 287 colonnes auraient été détruites par les    impacts d’avion [10]. Des dégâts minimes qui ne menaçaient pas l'intégrité des Tours,    lesquelles avaient été conçues pour soutenir cinq fois leur charge (Nova, mai 2002, p.6) [11]. La structure des Tours « est comparable à [une] moustiquaire, et l’avion est juste un crayon perforant la moustiquaire » nous explique le directeur des travaux du WTC Franck de Martini. « Il ne lui fait absolument rien » ajoute-t-il (« 9/11 Mysteries », min 07:14 ; J. Dwyer et K. Flynn, 2005, p.149).
| Etude de cas : l’ascenseur monte-charge de la Tour Nord Selon les explications    du NIST, l’une des explosions survenues dans les sous-sols de la Tour    Nord serait le résultat de la chute de l’ascenseur monte-charge – un    ascenseur appelé « 50 Car » desservant tous les étages, du sixième    sous-sol au 108ème étage. Il se serait écrasé au sol (soit    au 6ème sous-sol) au terme d’une chute d’une quinzaine d’étages,    blessant et tuant un nombre indéterminé de personnes aux sous-sols. Le    NIST s’appuie sur le témoignage anonyme d’un employé qui se trouvait  au  7ème  étage et qui prétend avoir entendu l'ascenseur « 50   Car » chuter et  « s’écraser en bas de la cage ». Ce témoin auditif   aurait également  entendu les gens qui se trouvaient dans l’ascenseur au   moment ou  celui-ci est passé à son niveau (NIST NCSTAR 1-8, oct. 2005, pp.79-80). Or, les deux occupants    de l’ascenseur « 50 Car » -- Arthuro Griffith et Marlene Cruz – ont    donné une toute autre version des faits, et ceci bien avant la    publication du rapport du NIST. Avant même de revenir sur leur récit,    précisons que le seul fait qu’ils aient survécu à cet événement invalide les explications du NIST,    tant il est évident qu’ils n’auraient jamais survécu à l’écrasement  au   sol de leur ascenseur au terme d’une chute libre de « quinze ou  seize   étages » (USA Today, 10/09/02). 
 Tout d’abord, Arthuro    Griffith et Marlene Cruz rapportent qu’une explosion a précédé la  chute   de l’ascenseur. Interviewée par ABC le 12 septembre 2001, M.  Cruz   affirme : « Je suis montée dans l’ascenseur monte-charge, et j’ai  entendu   une première explosion. Les portes ont été soufflées et  [l’ascenseur]   est tombé » (ABC, 12/09/01, min 0:45). Dans l’émission « Larry King Live » sur CNN, A. Griffith précise : « j’étais en train de me rendre du 2ème sous-sol au 49ème    étage. Et quelques secondes après que l’ascenseur ait démarré – 5, 6    ou 7 secondes après – il y a eu une forte explosion et l’ascenseur a    chuté » (CNN, 6/10/01). Ensuite, contrairement à ce que prétend le NIST, l’ascenseur s’arrêta    avant qu’il ne s'écrase au sol grâce au système d’arrêt d’urgence. « Par chance, l’ascenseur s’est arrêté entre deux étages » explique M.    Cruz (ABC, 12/09/01, min 0:55). « L’ascenseur s’est finalement arrêté » se réjouit A. Griffith (CNN, 6/10/01). Enfin, après que l’ascenseur se soit arrêté, les deux rescapés ont de    nouveau été témoins d’explosions. Arthuro Griffith explique : «  Lorsque l’ascenseur s’est finalement arrêté, il y a eu une explosion qui    a enfoncé les portes à l’intérieur de l’ascenseur, et je suis sûr que    c’est ce qui m’a cassé la jambe. Et ensuite il y a eu une autre    explosion » (CNN, 6/10/01). Au final, ces deux    témoins décrivent trois explosions distinctes, la première ayant    provoqué la chute de l’ascenseur, les deux autres s’étant produites    alors que l’ascenseur s’était immobilisé, sans leur être fatale. Et ce    n’est certainement pas l’hypothèse de la boule de feu proposée par le    NIST qui permet d’expliquer le fait que les portes de l’ascenseur ont    été soufflées vers l’intérieur lors de la deuxième explosion, phénomène qui indique que l'explosion provenait de l’extérieur de la cage. | 
 Ce que le NIST n’a pas su faire, Zdenek Bazant    – professeur de génie civil de l'Université Northwestern – a tenté de    le faire dans une étude théorique : la partie supérieure de chacune  des   deux Tours, au dessus de la zone d’impact, serait tombée tel un  bloc   solide écrasant jusqu’au sol la partie inférieure (phase dite de    « Crush-down »), puis, une fois la partie inférieure totalement    détruite, le bloc supérieur se serait désagrégé sur lui-même (phase dite    de « Crush-up ») (Z. Bazant et Y. Zhou, 13/09/01, révisé jan. 2002). Il convient de souligner que la théorie de M. Bazant, dite « théorie du marteau-pilon », est soutenue par le NIST [21] et qu’elle s’est imposée comme la théorie de référence pour les tenants de la version officielle.
Ce que le NIST n’a pas su faire, Zdenek Bazant    – professeur de génie civil de l'Université Northwestern – a tenté de    le faire dans une étude théorique : la partie supérieure de chacune  des   deux Tours, au dessus de la zone d’impact, serait tombée tel un  bloc   solide écrasant jusqu’au sol la partie inférieure (phase dite de    « Crush-down »), puis, une fois la partie inférieure totalement    détruite, le bloc supérieur se serait désagrégé sur lui-même (phase dite    de « Crush-up ») (Z. Bazant et Y. Zhou, 13/09/01, révisé jan. 2002). Il convient de souligner que la théorie de M. Bazant, dite « théorie du marteau-pilon », est soutenue par le NIST [21] et qu’elle s’est imposée comme la théorie de référence pour les tenants de la version officielle..jpg)
Pourrait-il s'agir non pas de la    désintégration de la partie supérieure de la Tour mais de l'affaissement    des seuls étages affaiblis par les incendies dans la zone d'impact ? Un examen des photos et des vidéos de la Tour Nord à mi-distance de  sa   chute permet d'exclure une telle hypothèse. Jugez par vous-même en    images : 
|  | 
 | 
|  | ||||
| Basculement de la partie supérieure de la Tour Sud | 
 Les    nuages de poussière masquant la fin de la chute des Tours ne   permettent  pas de déterminer avec précision les temps de chute des   effondrements. Toutefois, les différentes estimations – comprises   entre 10 secondes  et 13 secondes [24]    – s’accordent sur le fait que les Tours Jumelles se sont effondrées à    une vitesse proche de la chute libre (chute libre = 9,22 secondes). Le   NIST lui-même ne fait aucun mystère de cette réalité : chaque Tour  est  « tombée en quasi-chute libre, comme le montrent les vidéos » (NIST, rapport final, oct. 2005, p.146). Dit autrement, une balle lâchée dans le vide du haut des Tours aurait mis à peine moins de temps à toucher le sol.
Les    nuages de poussière masquant la fin de la chute des Tours ne   permettent  pas de déterminer avec précision les temps de chute des   effondrements. Toutefois, les différentes estimations – comprises   entre 10 secondes  et 13 secondes [24]    – s’accordent sur le fait que les Tours Jumelles se sont effondrées à    une vitesse proche de la chute libre (chute libre = 9,22 secondes). Le   NIST lui-même ne fait aucun mystère de cette réalité : chaque Tour  est  « tombée en quasi-chute libre, comme le montrent les vidéos » (NIST, rapport final, oct. 2005, p.146). Dit autrement, une balle lâchée dans le vide du haut des Tours aurait mis à peine moins de temps à toucher le sol. |  |  | ||
| Effondrement de la Tour Nord : sa masse est projetée | Poutre encastrée dans une tour | 
|  | ||||
| Projections horizontales de bouffées de poussière | 
|  |  |  | |
|  |  |  | |
| Jusqu’à 20cm d’épaisseur de poussière dans les rues du | Les décombres ne font que 12 mètres de hauten surface de Ground Zero. | 
|  | 
| New York Times, 19 novembre 2001 | 
|  |  |  | 
|  | ||
|  Epaisse   fumée s’échappant des décombres jusqu’en décembre 2001 (notez les lances   d'incendie en action sur l'image de droite) | ||
-     Malgré les restrictions d’accès à la scène du crime, l’ASCE put disposer de deux échantillons de vestiges métalliques, l’un provenant des Tours Jumelles et l’autre du WTC7, le troisième gratte-ciel à s’être effondré sur lui-même le 11 septembre 2001 (voir point-clé n°6). Les analyses effectuées révèlent que ces aciers avaient subi « une corrosion et une érosion sévères » (comprenant une sulfuration), phénomènes jamais constatés jusqu'alors dans les incendies d'immeubles à structure métallique et dénotant la soumission à des températures inhabituellement élevées (FEMA, mai 2002, annexe C). L’un des experts de l’ASCE, le Dr Barnett – professeur d’ingénierie en sécurité-incendie à l'Institut Polytechnique de Worcester – fut cité par le New York Times qui rapporte ses propos : « Des poutres d’acier […] semblent s’être en partie évaporées à des températures extrêmement élevées » (New York Times, 29/11/01). Dans un second article, le quotidien américain qualifiait l’apparente fusion de l’acier comme étant le « plus grand mystère non résolu de l’enquête » (New York Times, 2/02/02).  
   (Image de droite : zoom montrant l’épaisseur de la poutre réduite de moitié)Echantillon n°1 (WTC7) : état de "corrosion avancée" et "fusion intergranulaire""corrosion avancée"Echantillon n°2 (WTC) : (Image de droite : zoom montrant l’épaisseur de la poutre réduite de moitié)Echantillon n°1 (WTC7) : état de "corrosion avancée" et "fusion intergranulaire""corrosion avancée"Echantillon n°2 (WTC) :
-     De même, les photographies de ces étranges blocs de matériaux ayant fusionné sous l’effet de la chaleur montrent que ceux-ci sont recouverts de rouille, ce qui indique « l’abondance de fer [ou d’acier] » (S. Jones, sept. 2006). Aucun autre matériau ne rouille en s’oxydant.
|  | 
| Eléments d'acier et de béton ayant fusionnés | 
- Des photos satellite prises par la NASA le 16 septembre 2001, soit 5 jours après les attentats, révèlent que les températures à la surface de Ground Zero s’élevaient à près de 750°C (USGS, 27/11/01), et qu’elles étaient donc probablement « bien plus élevées » en profondeur, comme l’explique un article du magazine scientifique Chemical Engineering News (Chemical & Engineering News, 20/10/03).
| .png) | 
| Image satellite du 16 sep. 01 | 
- Des photographies montrent des morceaux de métal incandescents dont la couleur (allant du saumon au jaune vif) indique des températures approximatives de 845°C à 1080°C [32]. Le physicien Steven Jones explique que ces températures sont « bien supérieures aux températures de fusion du plomb [327°c] et de l'aluminium [660°c], et ces métaux peuvent évidemment être exclus puisqu'ils seraient liquides à des températures bien plus basses ». Il pourrait uniquement s’agir « d’acier de construction [du WTC] ou de fer (d'une réaction de thermite [33]) ou d’une combinaison des deux » ajoute-t-il (S. Jones, sept. 2006).
| .png) | |
| Morceaux de métal incandescents extraits des ruines de la Tour Nord le 27 septembre 2001 | |
- Etc. (liste non-exhaustive).
semble pouvoir expliquer
| .png) |  |  |  | .png) |  |  | 
|  |  |  | |
| Démolition du grand magasin Hudson (28   étages. Hauteur: 134m), Détroit, Michigan -- 24   oct.1998 [vidéo] | |||
|  | 
| Microphotographies de minuscules particules rouges-grises retrouvées dans chaque échantillon : | 
|  |  |  |  |  |  |  | 
|  |  |  | Peinture anti-corrosion appliquée sur les éléments structurels | |||
|  Nanothermite : Une découverte « explosive » au retentissement médiatique modéré Quelques exemples de retombées 
 | 
 Elles    partent du haut alors que les démolitions contrôlées partent    habituellement du bas. Toutefois, comme l’écrit le physicien Steven    Jones, une démolition contrôlée « de haut en bas » est « inhabituelle […] mais tout à fait possible. Cela dépend de l’ordre de mise de feu des explosifs » (S. Jones, sept. 2006). Les experts sont même capables de faire tomber un immeuble comme bon leur semble. « En    commandant de façon différentielle la vitesse de rupture des    différentes parties de la structure, on peut la faire marcher, la faire    tourner, la faire danser » nous explique Mark Loizeaux, directeur associé de Controlled Demolition Inc, l’une des entreprises leaders dans l’industrie de la démolition [40] (New Scientist, 24/07/04). Elles    partent du haut alors que les démolitions contrôlées partent    habituellement du bas. Toutefois, comme l’écrit le physicien Steven    Jones, une démolition contrôlée « de haut en bas » est « inhabituelle […] mais tout à fait possible. Cela dépend de l’ordre de mise de feu des explosifs » (S. Jones, sept. 2006). Les experts sont même capables de faire tomber un immeuble comme bon leur semble. « En    commandant de façon différentielle la vitesse de rupture des    différentes parties de la structure, on peut la faire marcher, la faire    tourner, la faire danser » nous explique Mark Loizeaux, directeur associé de Controlled Demolition Inc, l’une des entreprises leaders dans l’industrie de la démolition [40] (New Scientist, 24/07/04).
 Elles sont explosives (projections horizontales de débris) alors que les démolitions se font généralement par implosion. Or, comme l'explique David Ray Griffin, « des explosifs à haute énergie, comme le RDX ou la nanothermite pourraient expliquer ces éjections horizontales » que la seule énergie gravitationnelle ne parvient pas à expliquer (D.R Griffin, 6/07/10, p.17). Selon Dwain Deets, ancien directeur de recherche au département d’ingénierie du centre de recherche Dryden Flight de la NASA, ces « énormes parties de la structure qui ont été éjectées horizontalement » sont l’un des éléments qui selon lui « ne laissent aucun doute » sur le fait que « des explosifs ont été utilisés ». Elles sont explosives (projections horizontales de débris) alors que les démolitions se font généralement par implosion. Or, comme l'explique David Ray Griffin, « des explosifs à haute énergie, comme le RDX ou la nanothermite pourraient expliquer ces éjections horizontales » que la seule énergie gravitationnelle ne parvient pas à expliquer (D.R Griffin, 6/07/10, p.17). Selon Dwain Deets, ancien directeur de recherche au département d’ingénierie du centre de recherche Dryden Flight de la NASA, ces « énormes parties de la structure qui ont été éjectées horizontalement » sont l’un des éléments qui selon lui « ne laissent aucun doute » sur le fait que « des explosifs ont été utilisés ».
| Annexe Les incendies ont-ils affaibli les colonnes   d’acier ? Les explications du NIST    sont les suivantes :   affaiblies par les incendies qui auraient  atteint des   températures extrêmes, les   colonnes d’acier « nues »  auraient fini par   perdre leur capacité de   résistance, conduisant à  l’effondrement   complet de chaque bâtiment. Le   NIST précise que « lorsque  l’acier   nu atteint des températures   de 1000°C, il se ramollit et sa   résistance  tombe à environ 10% de son niveau   à température  ambiante » (NIST FAQs, Q°2, 30/08/06).  Or, l’affirmation selon laquelle l’acier aurait atteint   des températures extrêmes s’avère purement spéculative. En effet, les analyses   métallographiques menées par le NIST n’ont apporté « aucune   preuve qu’un quelconque échantillon [d’acier] ait atteint des températures   excédant 600°C » (NIST, rapport final, oct. 2005, p.90). En   ce qui concerne l’acier des colonnes centrales en particulier,  le   NIST a   déclaré n’avoir trouvé aucun indice pouvant laisser penser   que  la température   de 250°C ait pu être atteinte (NIST, rapport final, oct. 2005, p.90). Or,   comme le fait remarquer Thomas Eager, professeur en ingénierie des matériaux   au MIT, l’acier « commence à se ramollir vers 425°C » seulement   (Th.   Eager, déc. 2001). Autrement dit, le NIST n’a recueilli aucune preuve   qu’une seule des    colonnes centrales ait pu atteindre un niveau de température   à    laquelle elle aurait commencé à s’affaiblir. Et comme les Tours avaient été conçues pour soutenir   cinq fois leur charge (Nova, mai 2002, p.6),    ce sont   des températures, non pas de 425°C, mais d'au moins 800°C   que  les colonnes   auraient dû atteindre pour que la perte de   résistance  (80%) compense le   surdimensionnement des Tours (x5) et que   la rupture  des colonnes s’en   suive. À 650°C, l’acier ne perd que   50% de sa  résistance, ce qui   est « insuffisant pour expliquer l’effondrement du WTC »,   note le professeur Thomas Eager (Th.   Eager, déc. 2001). Bien entendu, le fait que    le NIST n’ait obtenu aucune   preuve indiquant que l’acier ait atteint    des températures supérieures à 800°C   n’autorise pas à conclure    qu’aucune colonne n’a atteint de telles   températures. Comme le    souligne le rapport du NIST, « les   colonnes examinées ne    représentaient que 3% des colonnes périphériques et 1%   des colonnes    centrales au niveau des étages où les incendies ont sévi » (NIST,   rapport final, oct. 2005, p.90). Mais l’absence de preuves ne devrait pas non   plus autoriser le NIST  à   présenter comme un fait scientifique l’hypothèse   selon laquelle    l’acier aurait atteint des températures extrêmes, ceci   d’autant plus    que la quasi-parfaite symétrie de l'effondrement de la Tour Nord    suppose, nous   l’avons vu, que la quasi-totalité des 240 et quelques    colonnes non-endommagées aient été considérablement   ramollies au point    de céder quasi-simultanément. Quel est le degré de    vraisemblance de cette hypothèse   sur laquelle, faut-il le rappeler,    reposent les explications du NIST sur   l’effondrement des Tours ?  Pour que des colonnes   aient atteint des températures   supérieures à  800°C, cela suppose que   les incendies aient eux-mêmes dépassé un tel  niveau de température. Or, nous l'avons vu, pour que le pic de température dépasse les 800°C, il faut que l'alimentation en combustible et en oxygène soit durablement abondante et qu'elle se fasse dans des proportions exceptionnelles, conditions qui sont  rarement réunies dans des incendies conventionnels (de bureaux ou de  logements). « C’est pourquoi les   incendies de logements atteignent en général une température entre 500°C et   650°C », précise Thomas Eager (Th.   Eager, déc. 2001).  
 Et quand bien même les incendies auraient atteint des      températures extrêmes, il aurait fallu qu’ils aient une ampleur et une    durée   suffisantes pour compenser l’excellente conductivité thermique    de l’acier, et   permettre ainsi à l’acier d’atteindre à son tour une    telle température. Comme nous l’explique David Ray Griffin, « Si    on chauffe un   tronçon de poutre d’acier, il n’atteint pas  rapidement   la température de la   flamme parce que la chaleur se  diffuse   immédiatement dans toute la   poutre. De la même façon, si  cette poutre   est reliée à une autre, la   chaleur se répand dans la  suivante. Et  si  ces poutres font partie d’un   réseau de centaines  d’autres, la  chaleur  s’y disperse entièrement » (D.R.   Griffin, sept. 2007, p.206). Or, la structure des Tours était constituée de   300.000 tonnes de    colonnes et de poutres d’acier interconnectées, rendant peu   probable    l’idée que d’hypothétiques feux extrêmes aient pu porter à plus de    800°C une grande partie des colonnes de soutien sur la zone de      l’incendie. En définitive, les    explications du NIST sur les   effondrements des Tours reposent sur une    succession de spéculations plus ou   moins hasardeuses qui laissent    perplexes. | 
Pour approfondir la thématique "Tours Jumelles du WTC", nous vous recommandons :
- L'excellent film-documentaire 911 Mysteries - Demolitions, 2006, documentaire de 90 min. Le film de référence sur les aspects techniques et scientifiques de l'effondrement des Tours du WTC.
- La vidéo « Analyse de l'Effondrement du WTC » (durée de la vidéo : 5 minutes). Dans cette vidéo, le professeur de Physique David Chandler analyse les images de l’effondrement de la Tour Nord, en s’intéressant tout particulièrement aux projections horizontales de matériaux et de bouffées de poussière ("squibs" en anglais).
- Le témoignage filmé de Scott Forbes, employé au WTC (Tour Sud), au sujet de cette opération de maintenance inhabituelle qui fut menée le week-end précédent les attentats : de nombreux ouvriers avaient occupé l’immeuble, l’électricité fut coupée, et les systèmes de sécurité et de surveillance par caméra mis hors tension pendant une trentaine d'heures.
- Discours filmé d’Eric Lawyer, pompier et fondateur de l’association des Pompiers pour la Vérité sur le 11/9 qui compte plus de 100 "soldats du feu" américains dans ses rangs. Eric Lawyer y dénonce le non respect des procédures judiciaires sur les lieux du crime au WTC, dont la destruction des preuves, et appelle à une nouvelle enquête sur le 11-Septembre.
-     L'interview du professeur Niels Harrit (l'auteur principal de l'étude concluant à la présence de nanothermite dans les poussières du WTC) par la chaîne danoise TV2 le 6 avril 2009 ; et le reportage de la principale chaîne de télé norvégienne NRK1 sur les découvertes de Niels Harrit (diffusé en prime-time le 10 septembre 2009).
-     La faillite des médias, par David Ray Griffin, Editions Demi Lune, 2007 (pp. 155 à 181 et pp. 195 à 256).
[1] La    Tour Nord (WTC1) fut frappée à 8h46 heure locale entre les étages 93   et  99. La Tour Sud (WTC2) fut percutée à 09h03 entre les étages 77 et   85. 
[2] La Tour Sud s’effondra au bout de 56 minutes, la Tour Nord au bout de 102 minutes. 
[3] Ces    effondrements ont également suscité l’étonnement des pompiers qui    opéraient au WTC le 11 septembre 2001. La Commission d’enquête rapporta    qu’« aucun des chefs de pompiers présents sur place ne pensait   qu’il  était possible qu’une des Tours ne puissent s’effondrer   totalement » (Commission sur le 11/9, rapport officiel, juil. 2004, p.302).
[4] En    1964, lorsque les Tours étaient en phase de conception, John Skilling    et Leslie Robertson – les ingénieurs en structure responsables de la    conception du WTC – confièrent l’analyse structurelle du WTC au  cabinet Worthington, Skilling, Helle & Jackson. Cette analyse – « la plus complète et détaillée jamais réalisée en matière de structure de bâtiments » – est arrivée à la conclusion que l’impact d’un Boeing 707 lancé à 965km/h « n’entraînerait que des dégâts localisés qui ne pourraient pas conduire à l’effondrement » (GJ. Glanz et E. Lipton, 2004, pp. 131-132). John Skilling et Leslie Robertson avaient eux-mêmes affirmé à   plusieurs  reprises avoir conçu les Tours Jumelles pour qu’elles   résistent à une  telle collision (Seattle Times, 27/02/93 ; Chicago Tribune, 12/09/01 ; Knight Ridder, 12/09/01).
[5] Le    Boeing 707 était certes un peu plus léger que les Boeing 767 ayant    frappé les Tours, mais il était également plus rapide : les 767 sont    supposés avoir percuté les Tours Nord et Sud à 708 km/h et 869 km/h    respectivement (NIST, rapport final, oct. 2005, pp.20 et 38)    contre les 965 km/h du 707. Or, l’énergie cinétique (ou force    destructive) d’un avion est fonction de sa masse et de sa vitesse, et d’après une analyse, « la plus grande vitesse [du 707] ferait plus que compenser [son] poids légèrement inférieur » en    termes de dégâts à l’impact. Ainsi, si les Tours Jumelles ont été    conçues pour résister à l’impact d’un Boeing 707, elles auraient dû    également résister à celui d’un 767. 
[6] En effet, le rapport stipule : « les    analyses préliminaires des structures endommagées […] indiquent que   […]  les immeubles seraient restés debout dans leur état endommagé, sauf    contraintes additionnelles importantes. Mais les structures furent    soumises à une deuxième contrainte considérable : les incendies » (FEMA, mai 2002, chap.2, pp.36-37). 
[7] Les    incendies causés par les impacts d’avion auraient affaibli les  solives   des planchers situés au-dessus du point d’impact. Les  planchers en   question se seraient détachés des colonnes porteuses,  entraînant   l’effondrement progressif des étages les uns sur les  autres, en « piles   d’assiettes » (FEMA, mai 2002, chap.2, pp.24-26). Cette théorie se heurte à de nombreux problèmes dont l’un est qu’elle    n’explique pas l’effondrement total. Comme l’explique David Ray Griffin, professeur émérite de philosophie et de théologie, « si    les étages s’étaient détachés des colonnes verticales, celles-ci    seraient restées debout. Les colonnes de 110 étages des Tours Jumelles    ne se seraient pas effondrées en un tas de débris » (D.R. Griffin, sept. 2007, p.156). La Commission d’enquête sur le 11-Septembre a repris à son compte   cette  théorie de la « pile d’assiettes » en ignorant cette   contradiction (Commission sur le 11/9, rapport officiel, juil. 2004, p.308). 
[8] Le    directeur du NIST fut nommé par George W. Bush lui-même. Cet   organisme  n’est donc pas plus indépendant que ne l’était la Commission   d’enquête  sur le 11-Septembre (voir point-clé n°1). La nomination du directeur du NIST par le président des Etats-Unis est à mettre en parallèle avec une déclaration signée par plus de 15000 scientifiques, dont 52 lauréats de prix Nobel et 63 titulaires de la médaille nationale de la science, accusant l’administration Bush d’être coupable de« manipulation de connaissances scientifiques à des fins politiques partisanes ». 
[9] Ce    rapport est constitué d’un rapport général et de 42 rapports d’études    intitulés « rapports NIST NCSTAR », le tout faisant pas moins de 10  000   pages. 
[11] Les colonnes perdues à l’impact ayant été peu importantes, « les charges ont été transférées sur les colonnes restantes de cette structure hautement redondante » affirme le Dr. Thomas Eager, professeur en ingénierie des matériaux au MIT (Th. Eager, déc. 2001). 
[12] Le rapport précise que les incendies, certes provoqués par les feux de kérosène, ont été « alimentés pour l’essentiel par les fournitures de bureau » (NIST, rapport final, oct. 2005, p.179), la combustion du kérosène n’ayant duré que « quelques minutes » (NIST, rapport final, oct. 2005, pp.183-184). 
[13] Selon    les estimations du NIST, ce sont précisément 43 des 47 colonnes    centrales de la tour nord et 39 parmi celles de la tour sud qui ont vu    leur isolation thermique arrachée par les projections de débris    (réacteurs, etc.) sur la zone d’impact (NIST, rapport final, oct. 2005, pp.23 et 41). 
[14] Il    convient de préciser que le NIST rejette la théorie de l’effondrement    en « piles d’assiettes » avancée par la FEMA et reprise à son compte   par  la Commission d’Enquête sur le 11/9. L'organisme le dit  clairement  : « Les découvertes du NIST ne corroborent pas la théorie de l’effondrement en “piles d’assiettes” ». Le NIST soutient que les effondrements ne sont pas dus à une    désolidarisation des planchers d’avec les colonnes mais au fait qu’ils « sont restés reliés aux colonnes et les ont tirées vers l’intérieur [des bâtiments] » sous l’effet des fortes chaleurs dégagées par les incendies (NIST FAQs, Q°2, 30/08/06).
[16] L’art    de la démolition contrôlée consiste à annihiler la structure portante    d’un immeuble à l’aide de charges explosives pour qu’il s’effondre  sur   lui-même, librement (à une vitesse proche de celle de la chute  libre),   symétriquement et totalement.
[17] À    la lueur de ces témoignages d’explosions dans les sous-sols, il est    intéressant de relever le commentaire de Mark Loizeaux, directeur    associé de Controlled Demolition Inc, l’une des entreprises leaders dans l’industrie de la démolition : « Si    je devais faire tomber les Tours [Jumelles], je disposerais des    explosifs dans les sous-sols pour que le poids du bâtiment aide à faire    céder la structure ». 
[18] Une    autre explication un temps avancée pour expliquer ces multiples    explosions fut celle de fuites de gaz. Or le WTC n’était pas alimenté    en gaz.
[19] Les standards américains pour les investigations d'incendie et d'explosion sont fixés par le code NFPA 921 édité par l'organisation américaine National Fire Protection Association (l’Association nationale de protection contre les incendies). 
[20] De    la même façon, le rapport de la Commission d’enquête s’arrête dans  ses   explications au moment où les bâtiments commencent à s’effondrer. 
[21] En effet, le NIST se repose sur la théorie de M. Bazant lorsqu'il affirme sans l’expliquer que « l’énorme partie supérieure de chaque bâtiment » est tombée sur la partie inférieure qui « ne pouvait pas résister à la gigantesque énergie produite par le mouvement vertical [de la partie supérieure] » (NIST FAQs, Q°2, 30/08/06). 
[22] Pour    rappel, selon les estimations du NIST, seules 41 colonnes de la Tour    Nord ont été détruites par les impacts d’avion. Si l’on ajoute les    colonnes endommagées, cela nous donne un total de 46 colonnes détruites    ou endommagées sur 287 (voir note n°10 pour plus de détails). 
[23] M. Bazant prétend expliquer pourquoi le bloc supérieur n'a pas basculé complètement. Son raisonnement peut se résumer ainsi : pour qu'il y ait basculement, il faut une charnière autour de laquelle la rotation puisse s'effectuer, or celle-ci ne peut résister aux forces horizontales qui s'appliquent sur elle (Z. Bazant et Y. Zhou, 13/09/01, révisé jan. 2002, p.5). Reprenant les explications de M. Bazant, l’expert en génie civil J. Quirant précise : « Les liaisons [de la charnière] se sont rompues bien avant que le centre de gravité du bloc supérieur […] sorte de la base de la tour. […] Le basculement total n'a pu se produire et la descente du bloc s'est alors poursuivie verticalement » (J. Quirant, FAQ, « Le basculement de la Tour Sud »). Or selon le physicien F. Henry-Couannier, le bloc supérieur n'a nul besoin de cette charnière pour poursuivre sa rotation autour de son centre de gravité, en même temps que la descente verticale se poursuit : « la rotation aurait dû au moins se poursuivre à vitesse angulaire constante. Le fait que la rotation ralentisse signifie que d'autres forces se sont exercées » (F. Henry-Couannier, 28/01/11, p.47).
[24] Le rapport de la Commission sur le 11-Septembre a estimé le temps d'effondrement de la Tour Sud à 10 secondes (NIST, rapport final, oct. 2005, p.322). Les estimations du Dr. Frank Greening semblent plus réalistes : les    temps de chute seraient de 11,5 et 12,6 secondes respectivement pour  les   Tours Sud et Nord (F.R. Greening, fév. 2006). Quant au NIST, il n'a pas estimé les temps de chute des Tours mais il  a   évalué les temps de chute des tous premiers pans de colonnes    périphériques qui ont été éjectés : environ 9 secondes pour la Tour Sud    et 11 secondes pour la Tour Nord (NIST FAQs, Q°6, 30/08/06). 
[25] À l'automne 2006, Steven Jones fut relevé de ses fonctions d'enseignement au sein de l’Université Brigham Young à cause de ses travaux de recherche controversés sur l’effondrement des Tours du WTC. Il prit sa retraite le 20 octobre 2006 avec à la clé le statut de professeur émérite.
[26] G. MacQueen et T. Szamboti ont examiné la chute du toit de la partie supérieure de la Tour Nord à partir de cette vidéo-ci afin de vérifier si une décélération à l’impact pouvait être observée (G. MacQueen et T. Szamboti, jan. 2009). Leur conclusion est la suivante : « Nous avons découvert que [le toit] n’a subi ni impact sévère et soudain, ni décélération marquée. Il n’y a pas eu de choc » (G. MacQueen et T. Szamboti, jan. 2009, p.13). Cette découverte ébranle considérablement la théorie du « marteau-pilon » selon laquelle la chute de la partie supérieure aurait produit un « choc très puissant » sur la structure inférieure pour la faire s’effondrer. En effet, conformément à la loi de conservation de l’impulsion, il ne peut y avoir choc sans décélération. G. MacQueen et T. Szamboti en concluent donc qu’ « il n’y a pas pu y avoir de charge additionnelle [sur la partie inférieure] » dont la chute demeure inexpliquée. Les auteurs poursuivent : « L’hypothèse d’effondrement de Bazant et des auteurs du NIST ne résiste pas à l’examen » (G. MacQueen et T. Szamboti, jan. 2010, p.13).
[28] Il convient de noter que ces éjections font maintenant partie du récit officiel. Dans son rapport final sur le WTC7 publié en août 2008, le NIST les a mentionnées pour expliquer comment les feux ont démarré dans cet immeuble : « Les incendies dans le WTC7 furent déclenchés à la suite de l’impact de débris provenant de l’effondrement du WTC1 » écrit-il (NIST, rapport final WTC7, août 2008, p. xxxvi). Plus loin, il précise que ces débris furent « éjectés avec force et parcoururent des distances jusqu’à plusieurs centaines de mètres » (NIST, rapport final WTC7, août 2008, p.16). Néanmoins, le NIST n’explique pas comment de grandes sections d’acier ont pu être éjectées si loin.
[29] L’une de ces pétarades en cascade est particulièrement visible le long de l'angle sud-ouest de la Tour Nord [analyse vidéo de ces pétarades en cascade par D. Chandler – à partir de 0:40]. Une étude cinématique de Frédéric Henry-Couannier (F. Henry-Couannier, 28/01/11, pp.27-42) montre que leur vitesse de déplacement vers le bas dépasse celle attendue dans le modèle d'un effondrement progressif gravitationnel sans résistances et sort significativement des prédictions de M. Bazant (F. Henry-Couannier, 1/01/10), ce qui signifie que la force de gravité à elle seule est incapable d'en rendre compte. Jérôme Quirant a suggéré que l'inclinaison de l’antenne de la Tour Nord pourrait être responsable de ces vagues de destruction explosives en façade (J. Quirant, 23/11/09), mais sans en préciser les mécanismes. Sa proposition non étayée fut contestée à plusieurs reprises (MC, déc. 2009) et mise en défaut par F. Henry-Couannier (F. Henry-Couannier, 28/01/11, pp.38-39).
[30] L’acier n’est pas un matériau combustible dans des feux ordinaires (de bureaux ou d’hydrocarbures).
[31] Ce qui, nous l‘avons vu, n’était pas le cas dans les gravats pauvres en oxygène et en matériaux combustibles de Ground Zero.
[32] La    température approximative d’un métal est indiquée par sa couleur,  tout  à  fait indépendamment de la composition du métal en question. 
[33] La thermite est un matériau incendiaire composé d'oxyde de fer et de poudre d'aluminium. Lorsqu’elle est enflammée, « la réaction produit directement du fer fondu [vidéo], qui est assez chaud pour fondre et même évaporer l'acier [vidéo] qui entre en contact pendant la réaction » (S. Jones, sept. 2006). Nous y reviendrons dans la partie II de l’article.
[34] Les    projections horizontales de bouffées de poussière (« squibs » en    anglais) que le NIST attribue à la compression de l’air provoquée par    les effondrements sont également une caractéristique   commune aux  démolitions contrôlées. 
[35] Cet échantillon provient de M. Frank Delessio. D’après son témoignage filmé [vidéo, min. 34:54 à 37:42],    M. Delessio se trouvait dans Manhattan à proximité de pont de  Brooklyn   lorsque la seconde Tour (Tour Nord) s’effondra. Il fut alors   enveloppé  de poussières du WTC dont il prit une poignée dans une main   avant  d’aller rendre visite à son ami Tom Breidenbach. Les deux amis    décidèrent ensemble de conserver la poussière dans un sac plastique. Tom Breidenbach, dont le témoignage filmé est également disponible [vidéo, min. 37:45 à 39:00],    décida en 2007 d’envoyer une partie de cette poussière à l’un des    chercheurs ayant participé à l’étude, le professeur Steven Jones. 
[36] Dr    Niels Harrit enseigne la chimie organique, la photochimie et la    photophysique aux étudiants en nanosciences et en chimie à l’Université    de Copenhague. Il a publié près de 60 articles dans les meilleures    revues à comité de lecture.
[37] En effet, le centre des matériaux énergétiques du Laboratoire national de Lawrence Livermore, un centre de recherche dépendant du Département de l'Énergie des Etats-Unis, a dévoilé en avril 2000 une nouvelle technologie pour « fabriquer des matériaux énergétiques nanostructurés » (A.E. Gash, R.L. Simpson et al., 10/04/00) dont les caractéristiques correspondent à celles des particules rouges-grises (N. Harrit et al., avr. 2009, p.26). Quelques mois plus tard, dans un article intitulé « La chimie à l’échelle nanométrique produit de meilleurs explosifs », Randy Simspon – directeur du Centre des Matériaux Energétiques du Laboratoire national de Lawrence Livermore – explique que ce nouveau procédé « peut nous offrir le meilleur de ce qui se fait au monde à la fois en terme de densité énergétique et de puissance » (LLNL, oct. 2000).
[38] L'analyse    révèle une absence de zinc dans les particules rouges-grises mais une    présence élevée en zinc dans la peinture protectrice. L’article de    Niels Harrit se base d’une part sur la description chimique de la    peinture protectrice figurant dans le rapport du NIST, et d’autre part    sur l’observation des particules rouges-grises. 
[39] M.    Basile a obtenu deux échantillons de poussière directement auprès de    leurs propriétaires : l’un provient d’une résidente new-yorkaise (Mme    Janette McKinlay) et l’autre provient d’un musée de New York.
[40] Il convient de noter que la société Controlled Demolition Inc. est l’une des sociétés qui furent chargées de déblayer le site de Ground Zero.
[41] Une théorie valide est une théorie qui a résisté jusqu’à date à toutes les tentatives de réfutation. La théorie selon laquelle tous les corps célestes tournent autour de la Terre était valide jusqu'à ce qu'elle soit réfutée par les découvertes de Galilée. De même, la théorie de la démolition contrôlée est valide car elle n'a pas été réfutée (elle n’a pas été démentie par les faits). Mais cela ne prouve pas rigoureusement qu'elle soit vraie. Dans les sciences expérimentales, il n'y a de certitude que négative : on peut savoir hors de tout doute si une théorie est fausse (quand elle est réfutée expérimentalement) mais pas si elle est vraie.
Publié dans Divers
 
 











.jpg)


 
 

 
 



