Blog de l'association ReOpen911

80 000 new-yorkais demandent une nouvelle enquête.

Posté par AtMOH le 21/11/2009

 

Le point de bascule – déclaration de la NYC CAN le 16 Octobre 2009-

NYC Coalition for Accountability Now

À l’automne 2008, les membres de l’Initiative new-yorkaise pour un référendum sur le 11 septembre se rendirent compte que leur stratégie et leur discours ne les conduisaient pas à élargir leurs soutiens. Face à un public méfiant et apathique au moment de ses propres atermoiements, sa direction fut changée, ses stratégies redéfinies, et sa mission re-labellisée.

Lancée début 2009 sous le nom de NYC CAN, la nouvelle structure se lança dans un appel à un véritable engagement des électeurs pour un dialogue rationnel concernant les questions sans réponses autour du 11 Septembre, et les intérêts bien compris de notre pays. Notre moyen de nous engager était un référendum public en faveur de la création d’une véritable enquête, indépendante, motivée par la recherche de la vérité sur ces questions qui, 8 ans plus tard, demeurent sans réponses.

La nouvelle stratégie, déterminée et méthodique, exempte de nuances rhétoriques, de polémiques mal influencées, ou de jugements politiques partiaux, parvint à obtenir le soutien de  80 000 électeurs new-yorkais, de plus d’une centaine de familles de victimes, de douzaines de secouristes et de survivants, et de figures majeures du mouvement des « familles militantes pour le 11/9 », parmi lesquelles les « Jersey Girls » Lorie Van Auken, Mindy Kleinberg et Patty Casazza, mais aussi Bill Doyle, Monica Gabrielle et d’autres.

Le NYC CAN reçut également le soutien des leaders les plus respectés du mouvement pour la vérité sur le 11/9 parmi lesquels David Ray Griffin, Richard Gage, Kevin Ryan, Steven Jones et Niels Harrit ; ainsi que l’aval de « donneurs d’alerte » célèbres comme le Lieutenant-Colonel Anthony Shaffer et l’agent spécial du FBI Coleen Rowley, élue femme de l’année par le TIMES en 2002.

Une couverture médiatique partout favorable parmi une sélection de supports médias comme le Baltimore Chronicle, le Newark Star-Ledger, le Villager, et même le New York Post; des organes de diffusion en ligne comme the Examiner et Raw Story; et des interviews en direct sur France 24 (1), Russia Today, Talk Radio Europe, NPR et Air America, ont permis la diffusion de notre projet directement auprès de tous les citoyens électeurs.

Et pour la première fois dans son histoire, la communauté qui se concentre sur la recherche de réponses démontra son implication dans une action qui fonctionne en la finançant. Ses financements ne vinrent pas d’une poignée de généreux donateurs, mais sous la forme de milliers de dons plus modestes et plus abordables en provenance de tout le pays et du monde entier. Cet afflux de générosité a tracé le chemin qui nous amène là où nous en sommes aujourd’hui, et nous vous en remercions tous.

La campagne de NYC CAN fut menée avec soin dans le but de recueillir le soutien d’électeurs en leur présentant des divergences incontestables afin de combattre leur scepticisme et installer un doute raisonnable. Nous avons contré les objections par des faits à la place de théories, permettant au raisonnement déductif individuel de mener ses propres investigations dans le récit [officiel] de la Commission du 11/9. En agissant ainsi, nous avons persuadé 80 000 électeurs new-yorkais de nous écouter, de réfléchir, et d’agir.

Cette méthode est à la base du succès du but universel que nous devons atteindre.

 

Les leçons apprises

Ce succès ne se manifestera pas cependant, sous la forme du référendum que nous envisagions lors des élections du 3 novembre à NYC. Au cours de la procédure de pilotage de la pétition et des épreuves du barreau, nous avons appris de dure façon que les référendums publics ne sont pas le bon moyen pour surmonter les règles byzantines en vigueur au sein du paysage politique corrompu de la ville de New York.

À mi-chemin des signatures de la pétition, nos compagnons new-yorkais, qui votèrent deux fois [NDT en exploitant la même procédure citoyenne] pour limiter à deux le nombre de mandats municipaux, et nous-mêmes, sommes restés incrédules lorsque nos propres représentants élus, ceux-là mêmes auxquels ces limitations de mandat allaient s’appliquer, renversèrent la volonté du peuple dans une prise de pouvoir à visage découvert.

Encouragées par ce camouflet infligé à la démocratie, la ville de New York et la Cour Suprême des Etats-Unis refusèrent, contre la volonté de 80 000 électeurs, d’organiser le référendum de la NYC CAN lors des élections de Novembre. En agissant de la sorte, le Conseil de la ville de New York -alors même qu’il fut forcé de reconnaitre lors d’une audience publique qu’aucune enquête de quelque sorte que ce soit, criminelle ou autre, n’avait jamais été menée au sujet du 11 Septembre par la Ville de New York - qualifia la volonté du peuple de  « hors de propos ».

C’est une Cour Suprême de Justice isolée, alors qu’elle ne montrait aucun intérêt ni aucune compréhension pour les aspects fondamentaux des événements du 11 Septembre ou pour les bases de notre cas – pour ne pas mentionner la justice ou la vérité — qui se rallia à la volonté de la Ville contre celle du peuple dont elle est censée protéger les intérêts par serment.

Même si la pétition avait ses défauts, elle était suffisamment sérieuse pour être recevable si la Municipalité et la Cour Suprême en avaient décidé ainsi. Il fallut la pétition et la procédure légale pour réaliser que l’administration actuelle de la Ville ne reculerait devant rien pour garder le 11 Septembre dans le rétroviseur. Nos meilleurs conseillers juridiques actuels nous signifient qu’aucune pétition de ce type, quelle que soit sa présentation, ne pourra jamais être assurée de réussir à New York. C’est pourquoi nous ne dépenserons plus de temps, d’énergie, ou d’argent dans cette procédure judiciaire ou dans des efforts pour une nouvelle pétition.

Ceux qui exercent le pouvoir politique ne seront [jamais] mobilisés par un dialogue rationnel ou les intérêts bien compris de ceux qu’ils sont censés servir, car leur motivation est basée sur ce qui a toujours été : la propagation en toute impunité des intérêts personnels. Ce n’est qu’en gagnant les cœurs et les esprits du peuple que notre voix sera entendue dans les allées du pouvoir qui gouverne notre pays. Ce n’est que lorsque cette voix fera écho à notre message qu’il se réverbérera dans ses couloirs, trop fort pour être ignoré. Ce n’est que lorsque le peuple menacera de son vote ceux qui sont au pouvoir qu’ils seront forcés d’agir.

C’est auprès du peuple que nous devons lancer notre appel.

Qu’avons-nous appris ?

Avec l’expérience acquise en allant convaincre 80 000 électeurs new-yorkais, la stratégie qui sera payante est devenue encore plus évidente : une campagne nationale de relations publiques pour persuader le public américain de reconsidérer l’attirail qu’on leur a vendu et qu’ils acceptent maintenant comme une vérité biblique. Les relations publiques font partie d’une stratégie déjà testée qui a été approuvée par l’ensemble du comité et qui vaut de tout temps ; cette méthode éprouvée a été utilisée au profit des éléments les plus progressistes de la société et intégrée au cœur de la stratégie de toute entreprise américaine. Pourquoi ?

Parce que ça marche.

Il y a une question que nous devons nous poser à ce moment charnière d’un mouvement indiscutablement marginalisé et discrédité, bien sûr par des forces extérieures opposées à toute nouvelle enquête, mais aussi par ses propres hésitations à s’occuper honnêtement de ce qui ne fonctionne pas ou de ce qui empêche sa mise en œuvre. Cette problématique, comme les questions pour lesquelles nous tous cherchons des réponses, reste non débattue, mais ne peut plus rester ignorée.

 

Qu’est-ce qui empêche notre mouvement de se rallier à ce qui marche ?

C’est sûr, ceux qui donnent de leur temps, de leur talent, et de leur énergie pour continuer à chercher des réponses le font avec les meilleures intentions. [Mais] les meilleures intentions, à la lumière des progrès que nous n’avons clairement pas obtenus, ne sont plus suffisantes. Les contraintes de chacun, des stratégies erratiques, une action mal cadrée, et un excès d’informations, tout cela fait le jeu des détracteurs et contribue au manque de direction qui laisse notre mouvement marginalisé, nos voix muselées, et nos buts non atteints.

Nos cœurs sont bien ancrés ; lorsque notre message et nos productions le seront, nous captiverons les cœurs et les esprits de l’Amérique. Nous ne réduirons jamais au silence ceux qui veulent nous réduire au silence ; cependant, nous pouvons les noyer dans un tollé général si nous exigeons de nous-mêmes de parler d’une voix que l’Amérique non seulement entendra, mais aussi écoutera.

 

Une stratégie à plusieurs niveaux

Le secret du succès des activistes bénévoles et sociaux repose dans l’utilisation d’outils marketing qui ont fait leurs preuves pour promouvoir des projets sociaux et persuader le grand public, sans le soutien duquel de tels efforts sont souvent vains.

Il est peut-être temps d’identifier (et abandonner) les méthodes qui confinent notre mouvement dans la marginalité –une rhétorique radicale, des accusations au vitriol, et des conjectures sauvages emballées dans de l’autosatisfaction bruyante — pour adopter une stratégie qui ne modifie pas ce que nous disons, mais comment nous le disons, afin d’être écoutés.

La science des relations publiques – l’art subtil de la persuasion — est une discipline que notre mouvement doit adopter. Ceux qui effectivement utilisent les relations publiques à leur profit comprennent qu’un coup sur la tête n’est pas le moyen le plus constructif pour atteindre les résultats désirés.

Comme dans tout effort commercial ou marketing, ou dans tout mouvement social qui réussit, chacun doit d’abord susciter la confiance avant de conclure la vente. Le problème inhérent à notre mouvement est qu’il veut conclure la vente avant d’avoir négocié. Nous devons refaire un pas en arrière, recalibrer, redéfinir, et rééduquer. Nous devons user de persuasion, et non faire pression, avec la bonne stratégie et sur le bon ton.

Et qui décide de quelle voix il s’agit ?

À la raison de décider. Le test réactif est simple. En qui les électeurs américains ont-ils confiance ? Leurs élus ? Non. Plus depuis le Watergate. Les célébrités ? Les célébrités sont importantes car elles attirent l’attention vers une cause et vers ses porte-paroles autorisés, mais elles sont rarement considérées ou respectées par le grand public.

Alors, qui engendre à la fois le respect et la confiance nécessaires pour réveiller un public américain apathique ? Curieusement, cette voix vient de l’intérieur même du gouvernement, considéré par certains comme le principal barrage routier nous empêchant d’atteindre nos buts, ou pire, comme l’auteur même des attentats. Une telle théorie détruit toute idée de faire pression pour la vérité, et ne devrait pas trouver sa place ici. Les faits comptent. Les images comptent. Pas les théories.

Ce mouvement n’a pas besoin de stratégie pour gagner votre soutien ; vous n’avez pas besoin d’être convaincu [par quiconque]. Nous avons besoin d’une voix qui convainque de nous soutenir ceux sans qui nous ne pouvons gagner.

 

Tout est une question de perception.

 
Des hommes et femmes d’une intégrité inattaquable – des commandants de l’armée, des agents de la CIA, du FBI, des services de renseignement, des experts en aéronautique et des hauts fonctionnaires- se sont déjà prononcés, mettant leur nom et leur réputation en jeu. Des hommes et femmes avec une profonde connaissance des mécanismes de fonctionnement du gouvernement des États unis, et dont les états de service pour notre patrie les placent au dessus de tous reproches. Des hommes et femmes qui sont capables de faire naitre un doute raisonnable dans l’esprit du public américain, et d’attirer l’attention vers les voix autorisées qui sauront cimenter ce doute.

Ces hommes et femmes, considérés par le public américain comme de vrais héros américains, offrent la promesse de revitaliser notre mouvement et de mobiliser  le grand public à un niveau aujourd’hui hors de notre portée.  Notre mouvement peut très bien ne pas percevoir des généraux et la CIA comme un choix évident, mais il doit comprendre que nous ne pourrions rêver mieux comme porte-paroles efficaces pour mobiliser le public américain.

À nouveau, nous ne parlons pas ici des généraux qui mènent en ce moment la guerre en Irak et en Afghanistan. Nous parlons de ceux qui se sont déjà prononcés et qui ont mis en jeu leur nom et leur réputation étoilée pour cette cause.

En dépit de la présence de voix aussi crédibles, le mouvement a été incapable de créer une base à partir de laquelle lancer une campagne stratégique nationale qui puisse tirer parti de la force des prises de main de ceux-là mêmes qui cherchent à enterrer la vérité, pour la mettre dans les mains de ceux qui la révéleraient en pleine lumière.

Jusqu’à ce jour.

 

Relations publiques

Il y a 2 options à disposition pour impliquer le grand public : la publicité et les relations publiques. L’achat d’espace dans les médias de masse est extrêmement coûteux, et souvent considéré avec méfiance par le public, comme une tentative de manipulation. Au contraire, les relations publiques ne supportent aucun coût de diffusion et leurs efforts pour humaniser une thématique et créer de l’empathie pour obtenir le soutien du public sont en général considérés comme pondérés et crédibles. Dans un monde parfaitement financé, on utiliserait les 2 méthodes. Mais comme les associations caritatives et les activistes sociaux profitent rarement d’une telle situation, ce sont des réalités comptables qui dictent la viabilité de l’action : une campagne de relations publiques.

Tandis que les relations publiques en bonne et due forme peuvent s’avérer coûteuses, le bénéfice net gagné à façonner son image, à promouvoir la cause de quelqu’un, et à rassembler les soutiens nécessaires en fait un investissement rentable. La bonne agence de RP non seulement participe à l’élaboration de la stratégie et du message pour véhiculer l’image désirée, mais aussi entretient les contacts avec les médias pour diffuser ce message directement au public.

L’enjeu le plus impressionnant auquel ont à faire face les agences de RP qui diffusent efficacement une image à laquelle s’identifie le public repose sur le repérage de porte-parole crédibles qui seront capables de développer un message dans un style qui entrainera leur soutien. Ces personnalités ont déjà été identifiées. Tout ce qui reste à faire est de concevoir le message et le moyen de le diffuser pour que les bons porte-paroles le mènent à bon port.

Le « message par le massage » est d’une importance capitale lorsque la  problématique polarise ;  ce que vous dites, et la manière dont vous le dites prennent autant d’importance. Alors qu’il y a ceux qui sont capables de suivre la piste des preuves existantes « jusqu’au terrier », notre population ciblée – un public américain préoccupé — en est incapable. Notre message doit être recalibré pour recommencer depuis le début avec les contradictions et omissions les plus flagrantes dans le rapport de la commission du 11 Septembre [NDT Une approche bien comprise de JM Bigard], afin de commencer à grignoter des positions.

La capacité d’attention du grand public est limitée, et son aptitude à s’emparer de ces questions au mieux ténue. Notre message doit arrimer et répéter les concepts-clés incontestables par les sceptiques les plus endurcis, et ce message doit être répété encore et encore avant d’être en mesure de peler l’oignon.

Nous devons aussi garder à l’esprit que, tandis que le 11/9 a transformé notre monde du jour au lendemain, il nous faudra beaucoup plus de temps pour modifier la perception et la compréhension des questions soulevées. Une intervention bien placée dans le New York Times ou le Chicago Tribune, ou une interview avec Katie Couric ou Anderson Cooper, ou toute intervention dans un média quelconque ne nous permettra pas d’atteindre notre but. Notre objectif est à présent de saturer les médias. Un flot conséquent d’histoires au travers d’un éventail de moyens de diffusion d’information tels que médias papier, régionaux, réseaux TV et câblés, et leurs contreparties sur le net.

 

L’engagement politique à des fins stratégiques

 L’initiative de la NYC CAN fut le premier pas du mouvement dans l’arène de la politique électorale. Le referendum pour le 11/9 a procuré à NYC CAN une plateforme pour convier des centaines de milliers de votants, dans un dialogue orchestré avec prudence, à reconsidérer l’attitude du public envers les actions de son gouvernement en relation avec le 11/9. La question du référendum mise à part, la campagne fut un succès. Elle a élevé la conscience du public de la nécessité d’exiger des réponses aux questions que notre gouvernement continue d’ignorer. Tandis que cette prise de conscience se développe, se développe aussi le péril qui guette les représentants élus qui refusent d’agir.

 

Et là  nous sommes au cœur du sujet

La ville de NYC n’est qu’une des innombrables opportunités d’ « éplucher le dossier ». Il y a des avocats de la cause du 11/9 partout dans le pays, dont un grand nombre sont engagés dans des actions civiques. Tandis que nous encourageons tous les groupes constitués à continuer ou initier des actions, nous aimons à espérer que tous comprendrons la puissance et l’importance de ces actions lorsqu’elles sont entreprises sous la bannière d’une stratégie commune, qui renforce la pouvoir d’un message unitaire conçu professionnellement.

Les initiatives référendaires, qu’elles soient destinées à faire voter une loi, ou à exprimer la volonté du peuple au travers d’une résolution non contraignante, font pression à la fois en tant qu’actions de citoyens votants vis-à-vis d’eux-mêmes, et en tant que plateformes pour un engagement civique intégré à une campagne globale. Leur issue finale peut s’avérer de moindre importance que le mouvement même qu’elles déclenchent.

Nous devons aussi nous engager dans des efforts pour obtenir des résolutions sur le plan local, qui appellent à une nouvelle enquête sur le 11/9, car de tels efforts crédibilisent aussi le côté public de notre mission. Nous devons utiliser cette stratégie pour continuer de faire pression sur les hauts fonctionnaires et les juges de district. Dans les États et les villes où les consultations par vote ne sont pas acceptées, tout autant que dans ceux et celles où elles le sont, notre stratégie peut établir les fondements qui permettront d’ouvrir la porte à des candidats qui se présentent et nous soutiennent sur la question de la responsabilité du 11/9.

Gardez à l’esprit ce qui a besoin d’être répété ; les résultats de ces efforts peuvent s’avérer moins importants que l’engagement civique généré par ces campagnes. Tout comme en matière de relations publiques, le nom de ce jeu est : la saturation. Sans supports tangibles qui rendent effectif notre engagement civique, nos efforts pour recomposer la perception du public ne serviront à rien.

 

Un web inextricable

Le concept et l’exécution de notre stratégie se présentent à la fois comme un challenge et une opportunité pour le mouvement. Comme au travers d’un prisme déformant où le mal devient bien, et ce qui est en haut passe pour ce qui est en bas, être bien trop au faîte des complexités du 11/9 peut devenir un handicap une fois que nous avons reconnu que notre population cible ne l’est pas.

La perception générale que l’Américain moyen a du 11/9 peut se résumer en 5 mots brefs : deux avions et deux tours. À nous de recomposer cette perception en utilisant les faits à charge d’une manière qui conduira au doute raisonnable requis  au sujet de l’histoire que le public a été conduit à accepter.

Les recherches documentaires crédibles, qui couvrent une myriade de sujets relatifs au 11/9, ne manquent certes pas, éparpillées sur internet en un nombre infini de sites.

Et c’est bien là que se situe le problème.

Trop d’information, trop de détails, et trop de récits d’histoires embourbent les eaux de ceux trop troublés pour pouvoir digérer cette surabondance d’information. De plus, une rhétorique et des conjectures sous-jacentes (pour lesquelles ce n’est pas l’endroit) laissent notre population ciblée inquiète et dubitative, ce qui rend beaucoup plus facile pour nos détracteurs de continuer à marginaliser notre mouvement.

 

Tout est dans la manière de mordre à l’hameçon

Une dissémination brouillonne de tout et rien sous le soleil du 11/9, depuis des sources crédibles jusqu’à des analyses amateurs, et depuis des théories bâclées jusqu’à la vérité nue, ce n’est pas la bonne façon de convertir le scepticisme envahissant auquel nous faisons face aujourd’hui.  Lorsque nous aurons appris à contrôler le contenu, le débit, et la présentation de l’information d’une façon plus simple et directe, nous en contrôlerons les effets.

Ce qui manque est une présence sur le web qui soit minutieusement approuvée, dont le contenu soit contrôlé  – une sorte de « Commission Citoyenne » virtuelle qui contienne un catalogue interactif conçu professionnellement pour les preuves audio à valeur judiciaire les plus solides, et un portail vidéo pour les témoignages d’experts qui serait utilisé lors d’une éventuelle enquête ou d’une action en justice. Organisée en chapitres et paragraphes où il est facile de naviguer, toute visite occasionnelle pourra facilement évoluer du noyau de l’affaire vers sa périphérie. S’il est réalisé correctement, la visite occasionnelle fera son effet, vers une action civique responsable. Mais nous devons commencer par les bases. Tout vendeur qui a du succès comprend la valeur d’un matériel de vente bien conçu. Il n’y a pas de limite à ce que peut devenir une page d’accueil sur le 11/9, une approche primaire disciplinée du 11/9, et pas de limite à sa valeur pour atteindre notre but.

Nous devons commencer par le début, en gardant toujours à l’esprit que pour conclure la vente, nous devons la négocier.

 

Notre appel au réveil du 11/9

Nous sommes en guerre contre un gouvernement qui a utilisé les événements du 11/9 pour détourner un pays de son peuple, et placer les intérêts des riches et des puissants au dessus de la justice et de la vérité. Les guerres ne peuvent être gagnées qu’au travers de la stratégie, de l’implication, et de la discipline.

La stratégie actuelle ne nous a pas amenés plus près de notre but ; en fait, certaines actions que le mouvement a soutenues nous ont empêchés de prendre un véritable élan, en travaillant au profit de ceux-là mêmes qui s’opposent à la vérité. Nos détracteurs adorent leurs porteurs d’eau, ceux qui consciemment ou non compromettent réellement toute chance de succès.

Nous savons que beaucoup d’entre vous, comme nous, considèrent l’élan actuellement figé de notre mouvement marginalisé comme un appel à une action efficace – un appel pour porter le combat à nos détracteurs en utilisant les moyens mêmes qu’ils emploient pour promouvoir leur propre calendrier. Nous devons utiliser les mêmes outils éprouvés au fil du temps pour élever notre propre recherche de réponses avec une campagne dirigée vers les cœurs et les esprits du peuple américain :

  • Une inauguration professionnelle d’une campagne de relations publiques et de porte-paroles crédibles et fiables en vue de recomposer [notre] image et reprendre de l’élan pour élargir la portée [de notre message].
  • Une méthode uniforme et coordonnée pour des actions régionales en dehors ou incluses dans la campagne nationale
  • Une présence disciplinée sur internet tant dans le contenu que dans le ton, pour recomposer la perception du public et créer ce doute raisonnable.

Albert Einstein définissait la folie comme la répétition incessante de la même action, et l’espoir d’en obtenir des résultats différents. Alors que nous nous voyons nous-mêmes dans une position où nous sommes incapables d’argumenter, nous demandons instamment à ceux qui partagent notre but très simple –des réponses fiables à des questions raisonnables- d’abandonner toutes ces méthodes qui se sont avérées sans lendemain, et de se rassembler autour de ces stratégies éprouvées qui elles ont un avenir.

Rapprochons-nous de nos buts en reconnaissant que la seule voie efficace vers le succès passe par une série d’actions qui entrainera le soutien du peuple américain. Nous ne faisons confiance qu’aux stratégies qui ont fait leurs preuves au cours du temps. Nous demandons instamment aux dirigeants d’organisations convergentes de s’unir dans un appel commun pour obtenir des réponses, qui sera entendu de façon certaine si nous élevons nos voix en une seule.

Les penseurs pensent, les bavards bavardent, et les patriotes agissent [NDT Jeu de mots : patriots « act »]

www.NYCCAN.org

traduction Bluerider,

  1. Cette interview sur FRANCE24 n’est plus disponible sur le compte DAILYMOTION qui regroupe toutes les vidéos de ReOpen911 sous-titrées et finalisées par notre équipe de traduction/sous-titrage. D'autres mises en ligne ont aussi disparu. La chaine France24 semble faire la chasse à cette vidéo, qui assure désormais « sa propre survie » grâce à la magie du net et l’activisme incessant de nombreux sympathisants anonymes. Elle reste par exemple visible ici, en attendant de migrer ailleurs !

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Avec le refus de la cour de Justice de New York, de donner suite à la demande de référendum formulée par les  80000 pétitionnaires rassemblés par le comité de la NYCCAN, le « mouvement international pour la vérité » aux États-Unis a perdu une solide bataille sur le terrain, mais a gagné une nouvelle bataille dans les cœurs : celle de sa légitimité au sein du mouvement, et celle de la prise de conscience au vu de l’expérience acquise, de la nécessité urgente de réorienter son action et celle de tout le « mouvement international pour la vérité », vers une campagne de relations publiques à tous les niveaux.

ReOpen911 s’associe à cette déclaration, et propose à tous les militants et sympathisants, d’appliquer ces principes aux projets développés à partir de son FORUM, où vous retrouverez des outils et d’autres militants capables avec vous de construire des démarches argumentées et solides auprès de vos concitoyens et de vos élus.

L’ostracisme des médias aseptisés et quasiment étanches à notre cause (voire même leur condescendance « amusée » devant l’activisme de terrain en général, peu en vogue en ces temps d’élitisme protectionniste) et les nombreuses initiatives, même imparfaites,  de démarches de relations publiques initiées par ReOpen911, ne doivent pas faire oublier l’existence réelle d’une immense population en majorité peu sensible à ces intrigues de palais, fût-il merveilleux, mais bien au contraire réaliste et prête à comprendre. Une expérience vécue par exemple avec ZERO projeté à Sarlat en présence d’un pilote de ligne et de citoyens aussi exigeants que courtois.

L’association ReOpen911 attire aussi l’attention de ses cotisants et sympathisants sur l’actualité chargée qui lie pour longtemps encore nos diplomates, nos gouvernements et nos entreprises de défense aux attentats du 11/9 : Le procès qui approche des détenus de Guantanamo, l’aggravation du conflit en Afghanistan et au Pakistan, l’instabilité chronique de l’Irak, la lutte des associations de défense des libertés citoyennes, le sort des prisonniers présumés terroristes, notamment du français d’origine marocaine Zacaria Moussaoui incarcéré à Florence, Colorado, et du marocain Mounir El Motassadeq à Hambourg, l’immunité de Tony Blair en passe de devenir le premier Président quadriennal de l’Union Européenne, sans oublier la promotion du vote électronique si controversé sont autant de sujets de débats francophones pour lesquels l’association ReOpen911 continuera de faire entendre sa voix au bénéfice de tous les citoyens francophones qu’à cette occasion nous appelons à nous rejoindre.

Cette situation doit nous conduire à exploiter tous les ressorts de notre sincérité et de notre humanité pour « faire passer le message ». Nous sommes désormais sans doute plus d’un milliard dans le monde entier à douter. L’effet exponentiel de la transmission de l’information par le net accélère d’autant le processus de pression populaire. Triplons ce chiffre, et commençons par la francophonie, non seulement sur le net, mais aussi et surtout en dehors du net.

commentaires par Bluerider

 

 

Publié dans 9/11 Truth Movement | 9 Commentaires »

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Commentaires (9)

  1. Providia,

    Génial ce post, un peu décevant puisque leur appel n'a pas été entendu, il y a quand même de quoi désespérer un peu...

  2. moumou031,

    Je salue leur énorme travail et je l'ai très facile de dire ce qui va suivre.

    Mais je l'avais dit depuis des mois, ils pourraient faire une pétition claire comme de l'eau de roche, fidèle à 110% aux textes de la ville de New-York qu'elle serait quand même rejetée par la justice.

    Comme le dit Providia, c'est un peu à désepsérer. Mais il ne faut pas être étonné, nous le voyons chaque jour dans les médias, le 11 septembre 2009 restera à tout jamais une affaire avec des doutes mais qui ne bénéficiera jamais d'un vrai procès. Comme pour JFK, les dossiers de la CIA sur le 11/09/2001 vont être bouclés pour 75 ans et même +.

    Alors on m'a dit que contrairement à JFK, aujourd'hui il y'a le net pour défendre nos thèses, ok, mais le problème c'est qu'en face les amoureux de la VO eux aussi ont dix fois + de moyens pour essayer de nous décridibiliser.

    Je ne rêve plus, on pourra disserter des années sur cette affaire, jamais il n'y aura un vrai procès.

    Alors si la solution c'est juste que les citoyens sachent ce qui s'est passé, ce n'est pas une victoire car les manuels d'histoire parleront de la VO, pas des versions alternatives.

    Si je me suis moins investi pour le 11/09 que pour l'affaire JFK, c'est que pour cette affaire aussi, tout a accouché d'une souris, même la Commission d'enquête du Congrès de 1976 à 1979.

    Là nous n'en sommes même pas là et dites vous que si un jour le gouvernement américain cédait, la commission du Congrès pour le 11/09 accouchera de la même souris que pour JFK.

  3. Shrykull,

    « Ce succès ne se manifestera pas cependant, sous la forme du référendum que nous envisagions lors des élections du 3 novembre à NYC. Au cours de la procédure de pilotage de la pétition et des épreuves du barreau, nous avons appris de dure façon que les référendums publics ne sont pas le bon moyen pour surmonter les règles byzantines en vigueur au sein du paysage politique corrompu de la ville de New York. »

    C'est un point très important de comprendre ça : on n'affronte pas un adversaire en lui laissant le soin d'édicter les règles. Tout ce qui est dit dans cet appel est pertinent, mais pour ce qui est du soutien politique en France, c'est difficile vu l'État de notre politique et leur désintérêt manifeste pour la question… du coup on doit s'en remettre à nos célébrités, qui certes ont une bonne démarche en ne soutenant aucune théorie plus qu'une autre, mais sont trop faciles à décrédibiliser d'un point de vue médiatique :|

    Pour ce qui est du net, je crains que le flux d'informations qui y circule soit difficile à juguler et à contrôler… c'est ce qui fait à la fois la force et la faiblesse d'Internet. Mais faire un site qui se concentrerait sur les faits, classés des plus basiques aux plus complexes, ça paraît effectivement indispensable.

  4. laurent27bis,

    Excellente analyse des membres du NYCCAN ! Se recentrer et simplifier le discours

    hélas , il n'arrivera jamais à aboutir à mon avis car il leur faut 2 choses qu'ils n'auront jamais :
    1)une cellule de relation publiques hyper puissante avec des membres influant du gouvernement, des médias . Or, ce sont justement ceux qui ne veulent pas que ce sujet devienne médiatique
    2)bcp d'argent et donc des mécènes industriels pour faire de la propagande dans les médias. Ce 2nd point est atteignable (par exemple en allant chercher un milliardaire russe ou chinois) . Par contre, pour passer des pubs sur des mainstreams médias, c'est pas gagné !! Mais ce point reste jouable quand meme.

    Mon avis est que le meilleur moyen de faire sortir la vérité est de faire un coup à 2 bandes et de garder le focus sur le vrai point juridiquement imparable qui est le crime contre l'humanité dont l'administration Bush est coupable : la guerre mensongère et sans fondements contre l'Irak. Une fois tout le monde devant le juge , il sera temps de ressortir le dossier du 11/9 et de faire de la négociation avec les criminels : là on verra les rats quitter le navire et se dénoncer mutuellement pour éviter la chaise électrique.

    A suivre absolument durant les mois à venir : Vincent Bugliosi (avocat US) : Can Bush be Prosecuted ? + l'enquete UK contre l'administration Blair sur la guerre en Irak. C'est là que ca va se jouer dorénavant à mon avis

  5. Irène,

    L'évidence de la supercherie de tout ce qui concerne cette journée ne me permet plus de trouver le repos, tant que cette question, qui heurte le bon sens commun le plus élémentaire (quand on se penche suffisamment sur la question), sera en suspend.
    Alors OUI, je vous suis de tout cœur dans cette belle initiative, car sur ce sujet il n'y a guère qu'une seule alternative possible : le rétablissement de la Vérité.

  6. martin,

    Peut être que le moyen serais d'attirer l'attention sur un point précis plutôt que de dilluer nos efforts dans une trop grande masse d'information que le citoyen lambda ne peut pas digérer.Je vois pas l'interêt de préciser que les pirates étaient de mauvais pilotes par exemple, c'est un argument si faible qu'en l'évoquant on oublit d"autres éléments infiniments plus troublant.
    Selon moi, l'élément le plus fort est bien sur l"effondrement du WT7 il faut insister dessus! pourquoi s'est il effondré ? à cause des incendis monstres qui s'y sont propagés? ok admettons.Mais pourquoi les aurtres batiments pourtant plus prés ne se sont pas effondrés?coincidence, fallait que ça tombe sur celui-là.Pourquoi pas? mais si c'était le seul parmis les 7 qui contenait des dossiers chauds..quel est la probabilité que ce soit une coincidence? même pas une chance sur 5.Là je vois pas comment on pourrait répondre quelque chose, dans ce raisonement on ne fait pas appel à un expert, qui pourrait etre contredit par un autre expert partisant de la vo. c'est ca qui s'est passé chez Duran, on s'est fait piégé parcqu'on leurs tendait des perches ( et qu' ils étaient de mauvaise foi).
    Mais si on leur avait parlé du vol en pensylvanie qu'aurait il répondu.? Comment se fait il que les débris soient eparpillés sur 13 kilometres à la ronde? Il faut etre stupide pour poser la question à un expert, ils n'auraient pas pu le faire et ils auraient été obligés d'admettre que l'avion à été abbatu en vol!!

  7. turcin gérard,

    Un BILAN s'impose: comment ce fait-il qu'après tant de preuves, tant de témoignages, tant d'analyses qui invalident quasiment d'une manière irréfutable, la "version officielle" du 11.9....celle-ci parvient toujours à résister !. La seule explication possible ne peut être que politique .
    1) Politique intérieure américaine.
    Bien avant les élections présidentielles, beaucoup de hauts dirigeants Républicains devaient déjà se dire que ça "sentait sérieusement le roussi", sur le plan politique d'une part, mais aussi pour leur propre "survie." ( trop de forfaitures nuisent à la santé...!).
    Etat des lieux:
    -la version officielle sur les attentats du 11.9., commençait à avoir "du plomb dans l'aile", les Démocrates n'étant pas au pouvoir avaient les mains libres pour intervenir sur le sujet.
    -le problème des subprimes couvait depuis fort longtemps, et allait immanquablement se muer en d'une part en crise bancaire, et d'autre part obligatoirement en crise économique...
    -Guerres d'Irak, d'Afghanistan,..enlisement.., 'impopularité ..
    Trop, trop, c'était trop: quelques Républicains, et pas des moindres, sont surement arrivés à la conclusion qu'il ne fallait pas et sous aucun prétexte gagner les élections présidentielles... discrètement donc ils ont agit dans ce sens...
    a) Comment expliquer les énormes moyens financiers des Démocrates, furent-ils essentiellement dus au seul charisme de Obama et aux souscriptions?....quelqu'un a-t-il une réponse?
    b) Mc Cain, était trop "sympa" ( voir son discours le jour des élections), il risquait d'être élu!..".Mais il n'en était pas question!.".comment faire alors ?..c'était très simple... on se" tire une balle dans le pied" en lui imposant comme colistière cette "folle" de Sarah Palin, officiellement ce fut pour rassurer l'aile droite Républicaines, mais elle a du surtout servir de répulsif envers les indécis modérés,les "un tant peu soit peu progressifs"...Et voilà le" tour était joué",..."les élections étaient perdues, quel malheur !"..Mais à partir de ce jour je suis certain que Cheney & Co n'ont jamais aussi bien dormi....:
    " -Mr Obama, mais prenez donc le volant, de toute façon nous avons lancé le "véhicule où nous voulions, à la vitesse que nous voulions, le moteur c'est nous, vous ne pourrez ni virer, ni ralentir, ni encore moins faire marche arrière( ça c'est pour les guerres...). Comme "gâteries" en plus, nous vous avons préparé de succulentes crises,une, bancaire et l'autre.. économique, et si cela ne vous suffit pas nous vous ferons toutes les misères du monde sur votre projet de sécurité sociale.."
    ......Quel "héritage" déjà pour l'Administration Démocrate!...mais ce n'est pas tout:
    2)Le pétrole, et ce "fameux" pic pétrolier...
    Nous y sommes dedans (pas le pétrole ...le pic pétrolier !), ou c'est pour dans pas longtemps, enfin peu importe, le fait est que le temps du pétrole facilement exploitable et donc pas cher, est révolu....La "tribu" Bush , baignant dedans si j'ose dire, devait être on ne peut plus au courant de l'état des réserves mondiales de pétrole....(elles ne doivent donc pas être "géniales" d'ailleurs!)...
    Parenthèse : "l'extrême droite pose ( quelques fois) de bonnes questions mais avec (toujours) de mauvaises réponses..
    Tant il vrai que la progressive fin du pétrole devrait être sérieusement, sereinement anticipée par tous les gouvernements de la planète, il apparaitrait que la solution Bush- Cheyney & Co n'était peut-être pas la meilleure ,ou du moins qu'elle faisait un tant soit peu Impérialiste...juste un peu! ( bonne question...mauvaise réponse..)
    Mais, le "presque pire" pour moi, est que dès le 12 septembre 2001, il y a fort à parier que tous les gouvernants occidentaux ou pas,de gauche, de droite, TOUS savaient pour le 11, savaient ce qui s'était réellement passé...et ont avalé consciemment toutes les couleuvres qui ont suivi: .....faux prétextes pour attaquer l'Irak etc etc ... la suite ne fut qu'une sinistre mascarade qu'il est possible de schématiser ainsi : " vous avez besoin de pétrole pour au moins préparer votre après pétrole...alors bouclez la! " ...et tout le monde l'a bouclé...en définitive le "mec honnête", c'est Blair, les "faux-culs" sont Chirac et Villepin
    ....Et le moment est arrivé ,où des empêcheurs "d'impérialiser" en rond ont osé réclamer des comptes sur tout simplement le plus important...., la clef de voute..., le verrou de TOUT: "les attentats du 11 septembre...c'est qui ?"

    Voilà où nous en sommes, conclusion: les forteresses pro-version-officielle-sur-le-11-septembre sont:
    a) -Les Républicains, eux ils se reposent,( ils ont refilé le "bébé" aux démocrates)...mais ils sont très puissants, voir le complexe militaro-industriel.(à écouter sous toute urgence une partie du discours d'Eisenhower, quand celui ci met en garde son pays sur les dangers que courre son pays face à une telle puissance.)
    b) L' Administration de Obama, car d'une part et surtout elle a d'autre chats à fouetter..., et d'autre part y a-t-il
    vraiment personne dans cette administration qui ne ne puisse pas être en accord avec l'idée que la fin puisse justifier les moyens...?
    b...bis)... sommes certains qu'aucun Démocrate n'a vraiment pas été "mouillé" dans le 11.9 ?

    c) Tous les Gouvernants d'au moins tous les pays industrialisés, TOUS....Leur... travail de loose change,...il a été fait depuis depuis longtemps par tous les experts de tous les gouvernements du monde entier, peut-être pas le 12, mais disons au moins le 13 9.2001...!....ils savent donc, et depuis longtemps et ce n'est pas maintenant, qu'il vont "se mettre à table"!
    d) Pratiquement tous les journalistes z'institutionnels, presse écrite, T.v..etc : j'ai trouvé cela sur un blog, j'ai beaucoup aimé : -Sylvie(il n'y aura pas de droits d'auteur!): "...en France les animateurs radio, tv, ont tous accepté les mensonges de Bush (....), ils ont pu tourner leur veste avec la crise, mais avec le 11.9., ils savent que ce n'est pas possible, en fait, ils ont rampé trop loin. Préparez vous messieurs a être tondus à la Libération."
    e) là je citerai en vrac, grippe h1n1, crise économique, chômage,etc...l'immense forteresse de l'engourdissement des esprits...
    Laquelle de ces forteresses finira par céder, et comment la faire céder....J'opterais plutôt pour celle des médias, elle me parait plus ...friable....mais comment "l'attaquer"...là c'est une autre histoire...
    pour terminer, un peu comme pour conjurer le mauvais sort, je citerai david ray griffin, un passage de mythe et réalité:
    "....maintenant il y a une possibilité effrayante, oui ils veulent que les américains le sachent, et maintenant ils savent que nous savons, mais nous ne pouvons rien faire car ils ont le contrôle....cette possibilité me tient réveillé la nuit."
    (moi aussi!)

  8. bluerider1,

    le 11 Septembre est un crime. Il concerne la justice. Nous devons montrer, prouver, que les faits sont suffisamment contradictoires de la version officielle pour rouvrir l'enquête quel que soit l'organisme qui s'en charge. Or les medias aussi bien que la justice elle-même, nous denient ce droit, l'un en nous ridiculisant, l'autre en argant de l'insuffisance des élements de preuve présentés. Reste le peuple.

  9. rv38,

    Je trouve cet article extrêmement pertinent et important!
    A méditer afin d'en tirer les meilleures orientations pour renforcer l'efficacité de notre action sur le terrain et au niveau national.

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