Blog de l'association ReOpen911

Un ex-chercheur du CNRS : "La démolition contrôlée des trois tours du WTC est démontrée par l’analyse des ondes sismiques"

Posté par GeantVert le 12/03/2010

Le docteur André Rousseau, ex-chercheur du CNRS en géologie-géophysique et spécialiste des ondes acoustiques, nous a donné son accord pour publier un article condensant ses recherches et ses réponses aux questions de Reopen911. Il y donne son point de vue de spécialiste sur la question de la destruction du World Trade Center le mardi 11 septembre 2001.

Une nouvelle étude des signaux sismiques le 11 septembre 2001 à New York

par André Rousseau (*), le 18 février 2010

 

Des signaux sismiques ont été émis le 11 septembre 2001 pendant la période où les Tours Jumelles du World Trade Center (la tour nord étant appelée le WTC1 et la tour sud le WTC2) ont été percutées et se sont effondrées, ainsi qu’au cours de l’effondrement du Bâtiment 7 du WTC (aussi appelé WTC7), lequel n’a été percuté par aucun avion.

Parmi les données sismiques publiées sur ce sujet, c’est la station d’enregistrement sismique de Pasadena, située à 34 km au nord-est de Manhattan, qui semble fournir les trains d’ondes les plus aptes à être interprétés, particulièrement pour la détermination de leurs sources. Ces trains d’ondes, extraits des publications du Lamont-Doherty Earth Observatory of Columbia University, sont représentés dans les figures 1 et les figures 2.

Les sismologues se montrent perplexes dans leurs analyses des signaux enregistrés à cette occasion, tant les contradictions sont grandes, et ils sont tout particulièrement intrigués par la présence de "pics" sismiques avant les effondrements… (voir la figure 4). Ce texte se concentre sur l’étude de ces signaux sismiques et a pour objectif de montrer qu’une cohérence apparaît dès que l’on sort des explications officielles. Cela donne lieu à une nouvelle interprétation qui rend caduques les assertions de la "version officielle".

Étude de la composition des différents trains d’ondes

Les trains d’ondes dont nous disposons sont :

1.    les signaux des figures 1a et 1b contemporains respectivement des percussions du WTC1 et du WTC2 par les avions,
2.    les signaux des figures 2a et 2b contemporains respectivement des effondrements du WTC1 et du WTC2,
3.    le signal de la figure 2c contemporain de l’effondrement du WTC7.

•    Détermination/indétermination du calage temporel du point d'origine des signaux

Dans les cinq cas, l’origine des signaux a été attribuée par les sismologues qui publient ces données aux percussions ou aux effondrements relatés par les vidéos (Kim et al., 2001 ; Irvine, 2001 ; Hoffman, 2006). L’étude de la propagation de tels signaux sismiques s’apparente, de par les distances de propagation et la nature des sources, à la géophysique appliquée. Or dans ce type d’étude, les temps d'origine sont connus avec une grande précision (au moins à la milliseconde) pour calculer les vitesses de propagation des différentes ondes. Tel n’est pas le cas ici. Dans les cas présents, la vidéo a été utilisée pour la tour nord (WTC1) à partir de l’enregistrement effectué par CNN et grâce à la bannière continue de l’horloge sur l’écran (Hoffman, 2006), et les résultats ont été comparés à la méthode utilisée par le Lamont (Kim et al., 2001). Cette dernière a consisté à fixer approximativement une vitesse de 2 km/s pour une onde de Rayleigh traversant plusieurs stations (voir la figure 3) situées à des distances croissantes du point d'origine. L’inconvénient majeur de ce procédé provient de ce que ces stations ne sont pas situées sur une ligne rectiligne, que les terrains superficiels – dans lesquels se propagent les ondes de surface – sont différents et qu’en plus ils n’ont pas la même vitesse de propagation. En effet, la rivière Hudson se trouve sur une faille qui sépare à l’ouest des terrains sédimentaires du Trias et du Jurassique avec des intrusions de dolérite, le tout surmonté de sédiments récents holocènes, et à l’est des formations cristallines et métamorphiques du Protérozoïque, du Cambrien et de l’Ordovicien qui affleurent. Ces dernières formations sont plus rapides que celles situées à l’ouest, ce qui explique que le chemin WTC-MANY, le seul situé à l’est de l’Hudson, soit plus rapide que tous les autres chemins, situés à l’ouest, ces derniers dépendant étroitement de la vitesse de propagation de la couverture sédimentaire traversée. Autrement dit, il n’est pas étonnant que seules les stations de Pasadena à 34 km, d’Arny à 67,5 km et de TBR à 51 km fournissent un résultat semblable, car elles sont situées sur des formations géologiques semblables. D’ailleurs, l’énorme indétermination de 2 secondes, attribuée par les auteurs des calculs eux-mêmes (Kim et al. 2001) des calculs à la fixation de l’origine du temps de chaque signal, oblige d’ores et déjà à prendre de la distance par rapport aux conclusions officielles.

•    Trains d’ondes attribués aux percussions des tours (fig.1a et 1b)

En premier lieu, il faut s’interroger sur la signification de tels signaux en fonction de la cause qui leur est attribuée. Alors que cette cause, la percussion d’un avion, est semblable pour les deux tours, la magnitude – reflétée par les amplitudes – des deux signaux est différente et l’onde générée n’a pas la même vitesse apparente (voir les figures 1a et 1b), bien que les Tours Jumelles puissent être considérées comme confondues au sens de l’origine spatiale par rapport à la distance du lieu d’enregistrement. En effet, le calcul des vitesses de propagation effectué à partir des graphes des figures 1a et 1b, où l’origine a été fixée à l’heure observée de la percussion correspondante, indique 2900 m/s pour le WTC1 et 2150 m/s pour le WTC2 : on a vraisemblablement affaire à des ondes de Rayleigh. Or, même s’ils sont très amplifiés, ces signaux ne peuvent pas avoir été générés par les percussions sur les tours, car les ondes réelles dues aux percussions ont été amorties avant d’arriver au sol, en supposant même qu’on ait affaire aux mêmes (basses) fréquences… En effet, les fréquences des ondes générées par des explosifs sont de l’ordre de l'hertz – ce qui est le cas ici -, alors que celles dues aux percussions sont supérieures à 10 hertz, pour se situer plutôt autour de 100 hertz. D’ailleurs, la bande passante des enregistrements cités ne permet pas l’enregistrement de telles ondes. Quant à la théorie de l’oscillation des tours, défendue par Irvine (2001), pour expliquer ces signaux, elle ne tient pas la route, car dans ce cas on aurait un signal "carré" de longue durée et d’amplitude constante, alors que nous observons un signal "en cloche", représentatif d’une impulsion puissante et brève, particulièrement évidente dans le cas du WTC2.

Dans la mesure où il est géophysiquement impossible d’avoir deux vitesses de propagation différentes pour la même onde, à la même fréquence – car les ondes de surface sont dispersives, c’est-à-dire que les vitesses dépendent des fréquences -, sur le même parcours et à quelques minutes d’intervalle, il faut se rendre à l’évidence que les origines supposées des ondes enregistrées ne sont pas correctes, et qu’en l’occurrence elles ne sont pas liées aux percussions des avions, mais à une autre origine, tel un déclenchement d’explosion, avec un décalage de temps non identique pour les deux tours par rapport aux impacts des avions. De même, la différence de magnitude des deux signaux ne peut qu’être liée à des paramètres différents relatifs à un volume d’explosifs et/ou à leur distance au sol.

•    Trains d’ondes attribués aux effondrements des tours (fig. 2a, 2b et 2c)

Alors que, pour le géophysicien, les Twin Towers ont approximativement la même masse, les mêmes hauteur et largeur, et le même type de structure interne – en plus de l’identité du point d’origine des ondes et de la distance par rapport à la station d’enregistrement -, les signaux attribués au WTC1 (fig. 2a) et au WTC2 (fig. 2b), au lieu d’être semblables comme l’imposerait la thèse officielle qui attribue la source des ondes sismiques au simple effondrement des tours, sont en fait assez différents du point de vue de leur « forme », de leur composition, et surtout de leur vitesse apparente, celle calculée à partir de l’origine officielle.

En effet, l’enregistrement relatif au WTC1 montre les trois types d’ondes caractéristiques d’une source explosive brève (type "Dirac") confinée dans un matériau solide compact : une onde P de vitesse 6000 m/s, valeur usuelle pour un terrain cristallin ou sédimentaire très consolidé (ce qui est le cas du bed-rock de Manhattan), une onde S de vitesse 3500 m/s et une onde de surface de vitesse 1800 m/s (onde de Rayleigh). Ces valeurs s’accordent avec celles enregistrées pour les tremblements de terre ou en prospection sismique.
En revanche, l’enregistrement relatif au WTC2 ne fait pas apparaître les ondes de volume P et S observées pour le WTC1, mais seulement une onde de surface, dont la répartition des amplitudes sur la durée est différente de celle du WTC1. En fonction de l’origine déterminée du signal, la vitesse de propagation est aussi différente de celle du WTC1, et égale à 2125 m/s (onde de Rayleigh). Cette onde semble suivie d’une deuxième onde de Rayleigh à 4 secondes, durée calculée entre les deux « pics » d’amplitude.

On retrouve le même cas de figure pour le WTC7 où le calcul de la vitesse de l’onde en fonction de l’origine déterminée s’apparente à une onde de Rayleigh avec 2200 m/s. Notons que les amplitudes sont ici comparables à celles des ondes émises en même temps que les percussions des tours par les avions. Cette onde semble suivie d’une deuxième onde de Rayleigh à 6,7 secondes, durée calculée entre les deux « pics » d’amplitude.

Dans les trois cas, la forme des ondes en "cloche" indique une source impulsive et non un ébranlement du sol dû à la chute de matériaux, au demeurant de petite taille, qui a duré une dizaine de secondes (un temps très long pour un géophysicien). Notons au passage que la durée du signal s’allonge en se propageant, corrélativement avec son atténuation, et cette durée est augmentée pour les ondes de surface qui, étant dispersives, ont des vitesses de phases différentes. La durée de ces ondes ne renseigne donc pas sur la source, contrairement à l’amplitude et surtout la fréquence.

Discussion

Dans la mesure où ni la simple percussion ou vibration d’une tour, ni la chute de débris ne peuvent être la source d’ondes sismiques enregistrées à 34 km de distance et où les très basses fréquences ne peuvent avoir été provoquées que par des sources explosives, il faut rechercher pourquoi les trains d’ondes sont différents. Plusieurs cas de figure sont à considérer. On doit en effet distinguer les explosions souterraines, subaériennes (près du sol, sans le toucher) et aériennes.
Les explosions souterraines sont assimilables aux tremblements de terre, en cela que toute l’énergie mécanique est transmise au terrain sous la forme d’ondes de volume (P et S), et d’ondes de surface (Rayleigh et Love) quand le signal atteint une interface solide-fluide (le cas de l’air atmosphérique par exemple) (cas 1). Les explosions aériennes émettent toute leur énergie dans l’air (ondes P dites sonores), et ce qu’il en reste en atteignant le sol – quand elle l’atteint – est alors trop faible pour y créer des ondes de volume… (il peut y avoir des ondes de surface sur une faible distance) (cas 2). Les explosions subaériennes émettent une énergie qui se répartit en ondes sonores principalement dans l’air, et en ondes de surface dans le sol. Les ondes de volume dissipées dans l’air ne peuvent se retrouver qu’amoindries dans le sol, mais les ondes de surface sont bien présentes (cas 3).

En bref, une explosion souterraine ne sera pas entendue dans l’air, mais le sol vibrera et initiera un train d’ondes complet (ondes de volume et de surface), tandis que si l’on entend une explosion, c’est qu’elle est, soit "aérienne" et elle ne donnera pas de signal sismique, soit subaérienne et des ondes de surface pourront être générées.

Ainsi, on peut affirmer que des explosions qualifiées de "subaériennes " ont été déclenchées près de la base des tours simultanément à la percussion de chacune d’elles par les avions, le bruit qui en découle pouvant se confondre alors avec celui des percussions (cas 3). Ces tours ont alors été fragilisées par le bris des colonnes porteuses. L’explosion à la base du WTC1 a été entendue par le témoin William Rodriguez (2006) (voir aussi Spingola (2005)).

En ce qui concerne les effondrements de ces tours, il faut distinguer celui du WTC1 et ceux des WTC2 et WTC7. D’après les types d’ondes provenant de ces deux dernières tours, elles ont subi une très grosse explosion "subaérienne " (cas 3), entendue par les témoins. Par exemple, en ce qui concerne le WTC2, un pompier témoigne d’une explosion avant l’effondrement dans un énorme nuage de poussières (voir [1]), apparemment pas très loin de la base de la tour et accompagnée d’éclairs et de bruit d’après un « Assistant-Commissioner » (voir [2]). Un autre pompier, présent au pied du WTC2, a constaté une grande explosion au niveau de 20 étages au-dessous de la zone d’impact de l’avion, juste avant que le sommet de la tour ne s’effondre (voir [3]). Ces explosions étaient trop hautes pour générer dans le sol des ondes de volume, et l’onde de Rayleigh enregistrée provient probablement uniquement de l’explosion située la plus près du sol. Parmi les autres explosions entendues à la base du WTC2 (Anonyme, 2009), l’une d’elles a généré la deuxième onde de Rayleigh enregistrée 4 secondes après la première. C’est le même phénomène qui a affecté le WTC7. Un témoin observant cette tour a entendu comme un « coup de tonnerre » qui a fait exploser les fenêtres vers l’extérieur, alors que la base du bâtiment en feu s’est affaissée une seconde plus tard, avant que la tour entière ne suive le mouvement (voir [4]), aidé par une seconde explosion qui a généré une onde de Rayleigh enregistrée 6,7 secondes plus tard.

Quant au WTC1, dont l’effondrement a commencé après celui du WTC2 en dépit du fait qu’il a été percuté avant celui-ci, c’est une explosion souterraine (cas 1) qui a précédé sa chute. Cette explosion n’a donc logiquement pas été entendue par les témoins extérieurs à 10 h 28 EDT, sauf par ceux situés à côté de cette tour (voir [5]), mais elle a été "ressentie" par une caméra qui, en filmant la tour et en étant solidaire du sol, est secouée par la vibration de ce sol au moment de l’explosion (voir [6]). En revanche, il est tout aussi logique que les nombreuses explosions que montrent les vidéos dans les étages supérieurs avant et pendant les effondrements n’aient pas provoqué d’ondes sismiques (cas 2), en raison de la fragmentation dans le temps de l’énergie détonante avec multiplication de sources successives, chacune d’elles ayant une impulsion limitée, insuffisante pour générer des ondes sismiques dans le sol.

Même si les démolitions contrôlées bien faites ne créent pas d'ondes sismiques (explosions aériennes), il est utile de comparer ces observations avec les données sismiques obtenues lors des démolitions contrôlées du Kingdome à Seattle (voir Anonyme, 2000) et à Oklahoma City (États-Unis) (Holzer et al., 1996). Le cas du Kingdome est particulier, car c'est à la demande expresse des sismologues que les explosions ont été paramétrées (ils voulaient profiter de l'occasion), et celui d'Oklahoma est consécutif à la reconstitution d'un attentat à l'explosif. Ces deux exemples entrent dans le cas 3 évoqué ci-dessus, avec une explosion subaérienne puissante et l’émission consécutive d’ondes de Rayleigh, et où la chute des débris est sans conséquence du point de vue sismique, même à des distances plus faibles que 34 km (respectivement moins de 7 et de 26 km).

Les hauteurs et profondeurs des explosions des deux tours WTC1 & WTC2 qui ont généré des ondes sismiques sont donc différentes. Cela est à corréler avec le fait que ces deux tours ne s’effondrent pas de manière identique : en effet, d’une part le temps écoulé entre la percussion et l’effondrement est plus long pour le WTC1 (1 heure 42 minutes) que pour le WTC2 (56 minutes), d’autre part, tandis que le sommet du WTC1 commence à s’effondrer de travers, ce ne peut être objectivement que la puissante explosion souterraine située sous cette tour qui permet à tout le bâtiment de s’effondrer verticalement.

Les magnitudes locales ML, que les sismologues ont calculées d’après les ondes de surface, donnent des résultats qui confortent nos analyses. En effet, sur l’échelle de Richter, elles se révèlent supérieures à 2 pour les ondes émises au moment des effondrements. Or il est impossible d’obtenir une telle magnitude à partir de la seule chute de débris, et plus particulièrement sur une durée d’une dizaine de secondes !! Même si la tour entière avait été ramenée à une boule compacte, il aurait fallu un déplacement de vitesse "météoritique", en tout cas supérieure à celle due à l’attraction terrestre, pour espérer atteindre une telle magnitude !! De plus, il faut noter que la magnitude attribuée à l’explosion souterraine, celle du WTC1, est ML=2,3 – comparable à celle du séisme survenu à Manhattan le 17 janvier 2001 (ML=2,4) -, alors que la magnitude provenant de l’explosion subaérienne du WTC2 est ML=2,1, donc plus faible, et cet écart – logique pour les explosions décrites – est particulièrement appréciable dans cette échelle logarithmique. Ceci est à comparer au fait que les tours étant de masse et de hauteur semblables, la chute de leurs débris aurait dû générer une magnitude semblable, si c’eût été la source des ondes…

Remarquons que la géophysique appliquée sait générer des ondes sismiques dans le sol, en utilisant des sources impulsives non explosives de type "weight dropping" – qui consistent à laisser tomber une masse de 3 tonnes sur le sol – ou bien des "vibrateurs" plaqués au sol. Mais les énergies des ondes développées dans le sol sont alors trop faibles pour que ces ondes y parcourent plus que quelques hectomètres…

Relations ondes sismiques/processus d’effondrement

L’observation de l’effondrement de chacune des trois tours montre qu’il a été différent, et cela est à corréler avec les émissions d’ondes sismiques correspondantes.

L’effondrement du WTC7 est celui qui se rapproche le plus de la démolition contrôlée classique, avec effondrements successifs des étages à partir de la base du bâtiment fragilisée par une puissante explosion subaérienne. En ce qui concerne les Tours Jumelles, elles ont d’abord été fragilisées par des explosions à leur base au moment où les avions les percutaient. Ensuite, il faut distinguer la partie du bâtiment située au-dessus de la zone de percussion des avions, et celle située au-dessous. Si les ondes sismiques n’ont pu être générées par les explosions visibles dans les étages et qui ont permis les effondrements graduels du bas vers le haut au-dessus de la zone de percussion et du haut vers le bas au-dessous de cette zone, c’est une puissante explosion située à la base du bâtiment pour le WTC2 et une autre souterraine pour le WTC1, qui ont accéléré le processus de ruine totale, et ont émis les ondes sismiques étudiées. C’est d’ailleurs selon toute vraisemblance l’explosion sous le WTC1 qui, en précipitant la ruine de la base de la tour, a « remis » dans la verticalité la trajectoire initialement oblique de la chute du sommet du WTC1.

Conclusion

Au moment de la percussion des Tours Jumelles par les avions et de l’effondrement de ces dernières, ainsi que de celui du WTC7, des ondes sismiques ont été générées. Dans la mesure où (1) les ondes sismiques ne sont créées que par des impulsions brèves et (2) où les basses fréquences sont associées à une énergie (magnitude) comparable à celle d’un séisme instrumental, ces ondes révèlent indubitablement une origine explosive. Même si la percussion par les avions et la chute des débris des tours sur le sol ont pu générer des ondes sismiques, d’une part leur magnitude a été insuffisante pour être enregistrée à 34 km, et d’autre part elles ne pouvaient qu’être homogènes.

Or les signaux sismiques montrent des différences significatives dans leur composition et leur magnitude et surtout dans leur vitesse de propagation, alors que leur parcours est pourtant identique dans des conditions identiques. Cette dernière différence étant physiquement inexplicable dans le cadre de la version officielle, on doit remettre en question le calcul des vitesses effectué à partir d’une origine calée sur les images vidéo. On ne peut que conclure qu’en réalité la source (explosive) a été déclenchée manuellement, donc avec un décalage variable pour chaque origine par rapport aux vidéos.

La composition des ondes est révélatrice de l’emplacement de la source et la magnitude dépend de l’énergie transmise au sol. L’origine souterraine des ondes émises au moment de l’effondrement du WTC1 est attestée par la présence des ondes de volume (P et S) en plus des ondes de surface (ondes de Rayleigh), lesquelles sont présentes dans les cinq cas. L’emplacement de la source des quatre autres explosions est subaérien, ce qui est attesté par la seule présence des ondes de Rayleigh. Les explosions aériennes visibles sur les vidéos dans les étages supérieurs des Tours Jumelles ne fournissent pas d’ondes sismiques à 34 km de distance de la source.

Il y a un facteur dix entre la puissance des explosions contemporaines des percussions des Tours Jumelles (ainsi que de celle contemporaine de l’effondrement du WTC7) et la puissance de celles – les plus puissantes – contemporaines de leur effondrement, l’explosion souterraine sous le WTC1 étant celle qui a transmis le plus d’énergie au sol.

Notons aussi que dans la mesure où les ondes de surface sont dispersives (la vitesse dépend de la fréquence), la durée du signal enregistré n’est pas représentative de la durée du signal à sa source.

Enfin, la démolition contrôlée des trois tours, suggérée par les témoignages visuels et auditifs, ainsi que par les observations sur leur chute est donc démontrée par l’analyse des ondes sismiques émises au moment des percussions par les avions et au moment des effondrements.

par André Rousseau (*)

 

 (*)  André Rousseau, Docteur d’État, est retraité du CNRS, où il a étudié plus particulièrement les relations entre les caractéristiques des ondes mécaniques progressives et la géologie. Il a publié de nombreux articles sous comité de lecture sur la géophysique ainsi que participé à de nombreux congrès, y compris à comité de sélection.
Dans cet article, il met en évidence que les ondes sismiques enregistrées le 11 Septembre à New York sont le résultat d’explosions souterraines et subaériennes participant à la démolition contrôlée des Tours Jumelles et du Bâtiment 7.

 

FIGURES

(À noter que pour des raisons de lisibilité, ces figures sont reprises sans modification des échelles, lesquelles sont dans un rapport de un à dix entre les enregistrements au moment de l’effondrement des WTC1 et WTC2 et ceux au moment de leur percussion, de même que pour l’enregistrement lors de l’effondrement du WTC7.)

 

Ondes émises au moment de l'impact des avions

 

 Figure 1a : signal enregistré à Palisades lors de l'impact sur le WTC1

 

 

Figure 1b : signal enregistré à Palisades lors de l'impact sur le WTC2

 

 

Ondes émises au moment de l'effondrement des tours 

Figure 2a : signal enregistré à Palisades lors de la chute du WTC1

 

 

 

Figure 2b : signal enregistré à Palisades lors de la chute du WTC2


 

 

Figure 2c : signal enregistré à Palisades lors de la chute du WTC7

 

 

Figure 3 : Calage du temps d'origine du WTC1

 

 

 

 Figure 4 : les "pics" sismiques

 

 

 

NOTES

TÉMOIGNAGES CITÉS

Les témoignages cités dans les notes (1), (2), (3) et (5) proviennent de : Oral Histories From Sept. 11 Compiled by the New York Fire Department – The New York Times (2005)

 

(1) Interview du pompier Richard Banaciski, situé dans la rue en face du WTC2
« Je m’en souviens, on était… au début on était dans la rue, et puis des gens ont commencé à sauter, alors tout le monde est revenu en arrière vers le parking couvert, en direction du bâtiment, pour être à l’abri de ce qui tombait.

On est restés là peut-être 10 ou 15 minutes et je me rappelle qu'il y a eu justement une explosion. Ça ressemblait à ce qu’on voit à la télévision quand on détruit un bâtiment. C’était comme si ça faisait tout le tour comme une ceinture, toutes ces explosions. Tout le monde s’est alors écrié : « courez ! », on est partis en se retournant et on s'est rués dans le parking couvert, parce que c’était de là qu’on venait. En courant tout droit c’est là qu’on arrivait. On ne pensait pas que le bâtiment était en train de s’écrouler. On pensait juste qu’il y avait eu une grosse explosion, que des trucs allaient nous tomber dessus. Puis un énorme nuage de fumée s'est engouff'ré dans le parking. »

http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110253.PDF

 

(2) Interview de l’Assistant-Commissioner Stephen Gregory situé dans la rue devant le WTC2

A ce moment-là, on a entendu un bruit énorme, on a entendu du bruit et ensuite le bâtiment s’est effondré.
(…) Quand j’ai regardé en direction du World Trade Center avant qu’il ne s’effondre, avant que la tour 2 ne s’effondre, (…) j’ai vu des flashs vers le bas. Quand j’ai parlé avec le lieutenant Evangelista, alors que je ne lui en avais pas parlé, il m’a demandé si j’avais vu des flashs devant le bas du bâtiment, et je lui ai répondu oui parce que je pensais, à ce moment-là, je n’avais aucune idée de ce que ça pouvait être. Je veux dire, ça aurait pu être comme la conséquence de l’effondrement du bâtiment, des choses qui explosent, mais j'ai vu des flash flash flash et puis ça a fait comme si l’immeuble s’effondrait.

Q. Est-ce que c’était au-dessous ou au-dessus de la zone touchée par les incendies ?

R. Non, c’était sur la partie en dessous. Vous savez comme c'est quand on démolit un bâtiment, quand on le fait sauter et qu'il s’effondre ? C’est ce que je pense avoir vu. Je n’en ai pas parlé au lieutenant, mais il m’a interrogé, lui. Il m’a dit : « je ne pense pas être fou, mais je voudrais te demander quand même parce que tu étais juste à côté de moi » il m’a demandé si j’avais vu quelque chose sur l’immeuble. Je lui ai demandé ce qu’il voulait dire par
« voir quelque chose ». Il m’a demandé : « as-tu vu des flashs ? ». Je lui ai répondu que oui, je pensais que j’avais dû rêver; il m’a dit que lui aussi avait vu ces flashs. Je ne sais pas si ça fait sens. Je veux dire, j’ai assimilé cela au bâtiment en train de s’effondrer en écrasant des trucs, ça aurait pu être des explosions dues à l’électricité, ou à n'importe quoi d’autre. Mais c’est quand même troublant que deux personnes disent à peu près la même chose alors qu'aucune d'elles nous n’en avait parlé. Je veux dire que je ne connais ce gars ni d'Eve ni d'Adam. Je me tenais juste à côté de lui. Je ne l’avais jamais rencontré de ma vie auparavant. Il savait qui j’étais par mon nom sur ma veste, je suppose, et il m’a interpellé genre « comment ça va ? Tout va bien ? Et puis, heu,au fait…» C’était juste un peu étrange.

Q. A la télévision également on a vu, avant le premier effondrement, qu’il y avait eu une explosion au niveau des étages supérieurs.

R. Je sais oui, l’explosion aux étages supérieurs. C’était en face, je n’ai pas eu à regarder, j’avais déjà le regard tourné dans cette direction. Je ne vais pas vous dire si c’était au premier ou au deuxième étage, mais c’est quelque part par là que j’ai vu ce qui m’a semblé être des flashs. Je ne sais pas où c’était en bas. Je veux dire, on avait entendu le bruit, mais après tout, je ne sais pas.

http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110008.PDF

 

(3) Interview du pompier William Reynolds situé devant le WTC2

Après un petit moment, je ne sais pas combien de temps exactement, j’ai été très préoccupé par une grosse explosion provenant de la tour sud. C'était comme si on tirait sur 50 mètres dans toutes les directions, et puis tout d’un coup le sommet de la tour a commencé à s'effondrer comme un mille-feuille (...).

(Le feu) est apparu quelque part au-dessous (des étages supérieurs où l’effondrement a commencé). Peut-être vingt étages sous la zone percutée par l’avion. Je croyais que c’était un incendie et puis quand ensuite j’ai vu ça à la télévision, ça ne montrait apparemment pas du feu, ça montrait un jet de fumée s’échappant de dessous la zone d'impact de l’avion.

http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110288.PDF

 

(4) 9/11/2001 radio broadcast, 9/11 Videos – The Controlled Collapse of WTC7

J’étais juste là, vous savez... on regardait l’immeuble (le WTC7), il était en feu… Les étages du bas étaient en feu et on a entendu ce bruit… comme un coup de tonnerre… tout autour - on a été choqués de voir que le bâtiment était… Hé bien, ça a fait comme une onde de choc parcourant l’immeuble, et toutes les fenêtres ont éclaté… C’était horrible… Une seconde plus tard, l'étage du bas s’est affaissé et l’immeuble a suivi… On a vu l’immeuble s’effondrer tout entier vers le sol… on était en état de choc.

http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/wtc7.html

 

(5) Interview du Lieutenant EMS Bradley Mann arrivé dans l’entrepôt du WTC1

“Nous étions sur place tout au long de l’événement. Juste avant l’effondrement de la première tour, je me rappelle avoir senti le sol trembler. J’ai entendu un énorme bruit, et les débris ont commencé à voler de partout. Tout le monde s’est mis à courir là-bas. (…)
Alors que tombaient les débris provenant du ciel suite au premier effondrement, nous avons commencé à retourner à l'est
vers West Street et quelques minutes plus tard, je ne me souviens plus exactement, parce qu'on était tellement occupés à voir qui était là et qui manquait, il s’est passé la même chose. Le sol a tremblé de nouveau, et nous avons entendu un autre bruit énorme, puis nous avons su que la seconde tour s’effondrait. Et de nouveau on a couru sur Vesez Street pour sauver notre peau."

http://graphics8.nytimes.com/packages/pdf/nyregion/20050812_WTC_GRAPHIC/9110194.PDF

 

(6) Vidéo de la preuve d’une explosion survenue à la base du WTC1

"Cette vidéo montre l’effondrement du WTC1 (…). La caméra n'était pas tenue à la main, mais directement reliée au sol par un trépied, ce qui permit à la caméra de saisir visuellement un tremblement du sol qui est survenu environ 13 secondes avant que l’immeuble ne s’effondre. La vidéo montre aussi un objet tombant de la droite du bâtiment peu avant que la caméra ne commence à trembler. La proximité dans le temps de ces deux événements indique qu'ils sont liés."

http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/shake.html

 

 

RÉFÉRENCES

Anonyme (2000) : Kingdome implosion seismograms.

http://www.geophys.washington.edu/SEIS/PNSN/WEBICORDER/KINGDOME/

 

Anonyme (2009) : 9/11 Firefighters : Bombs and Explosions in the WTC.

http://whatreallyhappened.com/WRHARTICLES/911_firefighters.html

 

Hoffman J. (2006) : Seismic Records of the Twin Towers’ Destruction : Clarifying the Relationship Between Seismic Evidence and Controlled Demolition Theories,

http://911research.wtc7.net/wtc/analysis/collapses/freefall.html


Holzer T. L.,. Fletcher J. B, Fuis G. S., Ryberg T., Brocher T. M., and Dietel C. M. (1996), Seismograms offer insight into Oklahoma City bombing, Eos Trans. AGU, 77(41), pp393, 396-397.

http://209.85.229.132/search?q=cache:-VD6lxBuA9IJ:earth.agu.org/sci_soc/eosholzer.html+seismograms+offer+insight+into+Oklahoma+city+bombing&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr

 

Irvine T. (2001) : The World Trade Center Disaster: A Shock and Vibration Perspective

http://www.vibrationdata.com/Newsletters/November2001_NL.pdf, pages 4-10

 

Kim Won-Young, Sykes L.R., Armitage J.H., Xie J.K., Jacob K.H., Richards P.G., West M., Waldhauser F., Armbruster J., Seeber L., Du W.X., and Lerner-Lam A (2001) : Seismic Waves Generated by Aircraft Impacts and Building Collapses at World Trade Center, New York City, Eos, Transactions, American Geophysical Union, Vol. 82, No. 47, pp 565, 570-571, November 20, 2001. http://www.ldeo.columbia.edu/LCSN/Eq/20010911_WTC/WTC_LDEO_KIM.pdf


Rodriguez W. (2006) : 9/11 Hero “last man out”, Wednesday, November 7th, American Scholars Symposium, Seattle Center.

 

Spingola D. (2005) : William Rodriguez, a 9-11 Survivor.

http://www.spingola.com/william_rodriguez.htm

 


 

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Commentaires (30)

  1. moorea34,

    Un article qui ne vaut pas un kopeck

    http://bastison.net/NEWS/news.html

  2. Pole,

    Un article qui vaut bien plus que ce que dit moorea.
    http://forum.reopen911.info/p222325-aujourd-hui-15-52-17.html#p222325

  3. bluerider1,

    merci à Moorea de debunker ligne par ligne avec preuves et calculs adéquats le cas écheant. SVP. sinon le fil de discussion pointé par POLE n'est pas mal non plus... Il semble que Moorea ne peut pas être expert en tout.

  4. Supedro,

    Super commentaire de Moorea
    La simple critique simpliste ou complexe, çà te devient une habitude, à défaut d'une méthode.
    Bon quand même çà change des tombereaux d'analyses assénées rageusement.

    T'as un peu l'air au bout du rouleau, là :-)
    T'as plus rien d'autre en magasin? Peut être le soutien du Président de la Commission? Ah non flute, il dit que le dossier d'enquête est une simple arnaque montée par des spin doctors. Pas encore que c'est un inside job mais...

    Merde, comment tu vas le convaincre celui là que son bouquin ne vaut pas un Kopeck?

  5. moorea34,

    Non mais les gars, j'ai mis un lien à la suite !!!
    Il faudrait aller voir : au bout vous avez un pdf qui explique pourquoi cet article est nul de A à Z...

    Et à ma critique sur la partie calage temporel (niveau 3ième) et dynamique des structures (là par contre c'est niveau ingénieur...) s'est ajoutée celle d'un vrai spécialiste de la question...
    http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/des-signaux-sismiques-revelent-l-70808#forum2473526

    Autrement dit il ne reste RIEN de l’article…

    Mais ne vous inquiétez pas : c'est mon dernier debunking... mon dernier petit plaisir.

  6. remi,

    sujet intéressant mais difficile !
    Si l'impact d'un avion dans une tour ne peut pas engendrer de signaux alors effectivement il y eu des explosifs ... Mais comment en être sur ?

  7. Pole,

    Moi aussi j'ai mis un lien à la suite qui explique pourquoi 90% de ton pdf est "nul".
    Et ta seule réponse est un smiley sur HFR.

  8. latakia,

    Mais enfin , bon sang de bonsoir, ces tours sont elles tombées en accélération ou à vitesse constante? C'est tout ce qu'il y a besoin de savoir...

  9. Titouni,

    T'as oublié de debunker les témoignages Moorea..

  10. moorea34,

    Tenez, ce celui-là vous avez tout...

    http://www.bastison.net/RESSOURCES/Analyse_Critique_Rousseau.pdf

    Plus la peine de se déplacer ! ;-)

  11. Zébulon,

    Ou se trouve l'article original du 18 février 2010 ?

  12. René M,

    EXPERIENCE EN PENSEE
    Le Moorea de service, imaginons le donc dans un escalier d'une des tours en train de descendre pour sauver sa peau, presque arrivé en bas, quelques secondes encore et là prenant une des grosses explosions (subaériennes)de la base en pleine gueule.

    Et ben là, juste au moment de mourir, il dirait encore (si bien sûr on pouvait lui poser la question, nous sommes là vous dis-je dans une pure démarche de pensée ) Il dirait :

    Non Non ce n'était pas une explosion ! Adieu Non ce n'était pas une explosion, c'était - voir pdf.... Adiiiieeeeeeuuuuuuu...... ! Non...! Ah zut... mais si ! Mince alors ! mais comment ça se fait ?

  13. CN46400,

    Je regrette mais cette analyse "sismique" ne lève aucun des voiles essentiels sur l’effondrement des tour WTC1, 2 et 7 ; à savoir : effondrement VERTICAL à la vitesse de la CHUTE LIBRE !

    En effet un dynamitage à la base (quelle que soit la quantité d’explosif utilisé et sa disposition) ne peut expliquer ces deux constatations !

    Pour ma part j’en reste à l’hypothèse classique : démolition contrôlée !

  14. humble curieux,

    et les deux pics de l'enregistrement sismique au Pentagone à deux secondes d'intervalle :
    missile à deux charges ? avion + bombes ?
    http://web.archive.org/web/20030115173914/http://www.geo.arizona.edu/geophysics/faculty/wallace/PENTAGON/index.html

  15. franky464,

    Il y a quand même une question pour la quelle je n'ai pas trouvé de réponse, il y a eut apparement une explosion dans le sous sol un document "le grans bleuf" de sacha sher le date à 9h07 on devrait le voir sur le graphe ci dessus à la première ligne car, il s'agit de plus d'une explosion dans le sous sol.
    Par ailleurs y a t'il eut une explosion préalable dans chaque tour ?
    Cette info est importante car de nombreus témoignages y compris des vidéo lives, le montrent, on ne voit rien sur les sysmographes, si quelqu'un a la réponse ça m'intéresse ?
    Mr André Rousseau si vous avez la réponse ?

  16. Mike,

    @ Franky

    Pour la WTC1, le témoignage de Rodrigez qu'il donne dans ses conférences est trés intéressant: Il y a eu une grosse explosion dans le ss sol qq secondes AVANT que l'avion ne percutte la tour. Un collège à lui gravement brûlé et remontant du ss sol montre qu'un souffle très chaud lui a brûlé et décollé la peau des avant bras. Sur le film des fréres Naudet ont peut voir que qq minutes aprés l'impact quand il filme le pompier qui pénètre le hall de la WTC1 que les recouvrements en marbre sur les murs sont au sol et que les grandes vitres sont pulvérisées avec à 80 % des morceaux vers l'extérieurs. Le QG des pompiers restera là jusque l'effondrement de la tour 2 et le film ne montre aucun dégagement de fumée qui expliquerait une explosion par le carburant.

    Ces deux sources différentes et solides peuvent être croisées et nous démontrent que cette explosion a bien eu lieu . sur les forums, aucun 'debunkeur' n'a encore osé s'attaquer à ce genre d'argument. Ils préfèrent 'zapper' sur un autre sujet de discorde.

    Je n'ai pas connaissance d'éléments qui confirment de manière aussi claire la manifestation d'explosions dans le tour deux.

  17. latakia,

    Debats d'experts aux limites des incertitudes toujours ardus à interpreter!

    Pour moi une seule question reste fondamentale: après la phase de "crush-up" l'effondrement se poursuit-il à vitesse constante ou en accélération?

  18. Sachash,

    Tentative d'y voir clair dans la figure 4.

    Admettons qu'il n'y eût pas la moindre bombe, et qu'on n'y voit que l'enregistrement des effondrements, des crashs, ou, quelques secondes après, celui de la chute jusqu'au sous-sol des deux ascenseurs de frêt aux freins rendus inopérants (?) :
    - pourquoi le second impact aurait-il très nettement moins d'amplitude que le premier, alors que l'avion a percuté l'immeuble plus prêt du sol ?
    - pourquoi, toujours ligne 1, ce petit pic assez similaire au "second impact" quatre minutes après 9h03, au-dessus du "a" de "impact" - un ascenseur ne met pas 4 minutes à tomber tout de même, sauf en cas d'explosions supplémentaire ou d'incendie au nanothermite ?
    - que sont réellement ces importants "effondrements supplémentaires" ("Further collapse") à 11h01, 11h15 et 11h30 ??

  19. EAUX TROUBLES,

    en complément :

    "Seismic Observations during September 11, 2001, Terrorist Attack"
    Won-Young Kim, Lamont-Doherty Earth Observatory of Columbia University,
    and Gerald R. Baum, Environmental Geology and Mineral Resources Program,
    Maryland Geological Survey, Baltimore
    "Summary :
    Since the time of plane impact at the Pentagon had often been reported with large scatter, the
    United States Army contacted us to inquire whether we could obtain an accurate time of the
    Pentagon attack on September 11, 2001 based upon our seismic network. We analyzed seismic
    records from five stations in the northeastern United States, ranging from 63 to 350 km from the
    Pentagon. Despite detailed analysis of the data, we could not find a clear seismic signal. Even
    the closest station (= 62.8 km) at Soldier’s Delight, Baltimore County, Maryland (SDMD) did
    not record the impact. We concluded that the plane impact to the Pentagon generated relatively
    weak seismic signals. However, we positively identified seismic signals associated with United
    Airlines Flight 93 that crashed near Shanksville, Somerset County, Pennsylvania. The time of the
    plane crash was 10:06:055 (EDT)."
    sur le lien suivant :

    http://www.mgs.md.gov/esic/publications/download/911pentagon.pdf (Maryland Geological Survey : http://www.mgs.md.gov/seismics/eqarchv.shtml)

    A lire :
    http://portland.indymedia.org/en/2006/07/343213.shtml

    "The seismic readings of explosions happened before 9-11 planes hit WTCs"
    "The official 9/11 Commission Report (your tax dollars wasted) states the following:

    8:46:40 a.m.: Impact time, WTC1
    9:03:11 a.m.: Impact time, WTC2

    .......HOWEVER, official data give seismic events of:

    8:46:26 a.m.: 0.9 Richter, signal duration 12 seconds [reported as first impact, WTC1]
    9:02:54 a.m.: 0.7 Richter, signal duration 6 seconds [reported as second impact, WTC2]"

  20. EAUX TROUBLES,

    Un article de Craig T. Furlong & Gordon Ross (http://twilightpines.com/index.php?option=com_content&task=view&id=38&Itemid=35) paru sur :
    http://www.journalof911studies.com/volume/200609/ExplosionInTowerBeforeJetHitByFurlongAndRoss.pdf

    "Une étude réalisée par Craig T. Furlong et Gordon Ross : " Seismic Proof - 9/11 Was An Inside Job " , démontre d’ailleurs que des explosions importantes, survenues peu avant que les vols AA11 et UA175 ne percutent les tours, ont été enregistrées par les instruments de mesure du Lamont-Doherty Earth Observatory de la Columbia University (LDEO) . Ce qui tend à confirmer certaines versions troublantes de témoins affirmant de manière pugnace avoir ressenti de puissantes explosions, quelques secondes avant les impacts des vols AA11 et UA175 !" -> http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=5130

    Si vous aimez les chiffres :
    "Estimates for time to collapse of WTC"
    http://www.journalof911studies.com/letters/ProfKuttlerWTC1CollapseTimeCalculations.pdf
    "There are two observations about the collapse of WTC1 which are di±cult to harmonize in the context of
    the o±cial explanation. One is the time with which the collapse took place and the other is the production
    of large clouds of dust which are seen forming during the entire collapse in the videos of the falling building.
    The majority of the paper has explored this di±culty by totally ignoring the columns and any resistance
    they produced. The considerations were based on the need for energy to crush the concrete and momentum
    conservation. However, if one ignores energy needed to crush the concrete, a reasonable estimate using
    resistance of the columns also produces surprisingly long times to collapse."

  21. EAUX TROUBLES,

    pour mémoire :
    Information Based on Seismic Waves recorded at Palisades New York
    http://www.ldeo.columbia.edu/LCSN/Eq/20010911_WTC/fact_sheet.htm

    Information Based on Seismic Waves recorded at Palisades New York

    Event origin time (EDT) Magnitude Duration

    (hours:minutes:seconds) (equivalent seismic)

    -----------------------------------------------------------

    Impact 1 at North Tower 08:46:26±1 0.9 12 seconds

    (http://www.historycommons.org/timeline.jsp?day_of_9/11=complete_911_timeline_world_trade_center&timeline=complete_911_timeline)
    "Flight 11 slams into the WTC North Tower (Building 1). Seismic records pinpoint the crash at 26 seconds after 8:46 a.m. [CNN, 9/12/2001; New York Times, 9/12/2001; North American Aerospace Defense Command, 9/18/2001; USA Today, 12/20/2001; Federal Emergency Management Agency, 5/1/2002, pp. 1-10; USA Today, 8/13/2002; Associated Press, 8/21/2002; Newsday, 9/10/2002; New York Times, 9/11/2002] The NIST report states the crash time to be 8:46:30. [National Institute of Standards and Technology, 9/2005, pp. 19 ] The 9/11 Commission Report states the crash time to be 8:46:40. [9/11 Commission, 7/24/2004, pp. 7]

    Impact 2 at South Tower 09:02:54±2 0.7 6 seconds

    (According to the NIST report, the crash time is 9:02:59. [National Institute of Standards and Technology, 9/2005, pp. 38 ] According to the 9/11 Commission Report, the crash time is 9:03:11. [9/11 Commission, 7/24/2004, pp. 8)
    Collapse 1, South Tower 09:59:04±1 2.1 10 seconds

    Collapse 2, North Tower 10:28:31±1 2.3 8 seconds

    Collapse 3, Building 7 17:20:33±1 0.6 18 seconds

  22. IKAR,

    A l'attention de ceux qui fréquentent reopen depuis peu, moorea34 est un défenseur acharné de la version de G W Bush et son équipe, et apparaissait dans la désormais fameuse émission de G. Durand "l'Objet du scandale" n°1.

  23. max,

    a l'attention du comique de bastion.net

    L’impact des deux avions à provoqué une secousse sismique enregistrée à Palissades sous une magnitude de 0,7 et 0,9. Alors que le site de palissade n'a pas enregistré l'énorme explosion de + de 3 tonnes d'explosif en 1993 et qui avait arraché a la structure une poutre porteuse de 7 tonnes. Ainsi que détruit 3-4 étages des sous-sols. (a t'on retrouvé des poutres porteuse au sol avant effondrement? non. Des moteurs? oui. Donc il n'ont pas été arrêté? non. Et donc non pas transmis leurs énergie a la structure. cqfd) De même les immeuble on une masse identique, les avions aussi, leur vitesse également, et l'altitude de l'impact est proche, mais l'énergie libère est différente. (0.7 à 0.9)

    Explosion de 3t d'explosif en sous-sol en 1993 (sur une place de parking des services secrets ou une accréditation et obligatoire), pas de séisme identifiable par palissade, impact d'avion au 90 éme étage, séisme de 0.9 et 0.7 enregistré. De ce fait, un avion aurait au moins 30x plus d'énergie en terme explosif que 3t de syntex en ss sol? (soit 90t d'explosif? plus que la masse de l'avion en mouvement!) plaisanterie? l'immeuble flambe point barre. Image très claire: une baffe en pleine tète ne fait pas mal aux pieds!

    Autre point crucial.
    Les enregistrements sismique de 2.3 et de 2.1 ne corresponde pas ni a l'heure, ni a la durée des effondrements. Au début de l'effondrement la masse de l'immeuble n'est pas liée au sol, elle est au 90éme étage a + de 300m de haut, et il y a pas mal de matière pour absorber une onde. De plus cette matière, c'est de l'acier moue! Il est en train de fondre (voir la VO, et les photos de coulé d’acier sur la façade), donc pas de rupture possible, ca n'est pas les gravas non plus puisque l'onde la plus forte est bien au départ de l'enregistrement sismique, et pas à la fin lorsque l'énorme masse de débris fracasse le sol. D’ailleurs aussi massive semble être cette masse, elle ne fut en faite qu’à peine perçu par le centre d'enregistrement sismique de Palissades, à 31 km au nord de Manhattan.

    Aussi la magnitude est différente, alors que lors les effondrement des immeubles sont identiques, ainsi que leur hauteur de chute, et leur masse. L'échelle de Richter est ne n'oublions pas exponentiel, et entre 2.1 et 2.3 il y a un ration de 2. Qu'est ce qui justifie 2x plus d'énergie alors que tout les paramètre sont identiques? rien. Ou est l'explication de bastion? nul part.

    bastion.net ne dit pas non plus que des conneries, mais sur ces points le debunking est nul, et omet l'essentiel: l'énergie.

    D'ailleurs sur ce point bastion parle de l'énergie développer par la chute des tour, dans le but de vulgariser le fait de la poussière. Bien. Sauf que pour eux (lui) la poussière fait 1mm3 !! et a cette taille cela correspond a l'énergie développé. allez ok. le même calcul avec une poussier 30% plus petite que 1 mm3 et le calcul atteint sa limite théorique. (avec un rendement à 100% de l'énergie libéré lors de l'effondrement, mieux qu'un moteur de F1, allez soit) à 40% il manque de l'énergie, à 50% de la taille soit un bloc 2 x plus petit cad 1x1x0,5mm il manque 30% de l'énergie, et c'est sans jamais avoir vu de la poussière, qui est presque aussi légère que l'air, et donc 5 000 fois plus petite que son calcul d'universitaire. Ridicule.
    Sans même avoir un doctorat en science et génie civil, la moindre réflexion anéanti ses hypothèses / preuves.

    Cet article sans pour autant répondre à toute les questions, à le mérite d'en aborder, bastion non.

    Je ferais remarquer en dernier point que les premières admission dans les hôpitaux, s'effectue vers 9h du matin. comment descendre 88 étages et ce faire transporter a l'hôpital en moins de 15min? simple il faut être au RdC, ou proche du sol. Est c'est ce qui est arrivé. Pour moi il est clair que 2 évènements ce superpose.

  24. Rémi ,

    @ Max ,

    ton analyse est très intéressante : 1 question , as tu les références de ta dernière info à savoir l'heure des 1ères admission dans les hôpitaux ?
    Ce point est incroyable et c la 1 ère fois que j'entends cela .

    Merci , rémi

  25. gresillaud,

    Un très grand merci à André Rousseau d'avoir enfin mis le débat sismologique aussi dans l'affaire du WTC.
    Moorea34 du site Batison, alais Quirant, évite en fait d'être réellement dans ce débat sismologique.
    1/
    Pour les datations, Moorea34 botte en touche et feint de croire que la datation des événements était difficile et apportait des imprécisions de 3 ou 4 sec, visibles dans les divers rapports officiels. Il utilise cet argument pour affirmer que les remarques de Rousseau sont alors hors-sujet. Quel arnaqueur...! C'est tout l'art des supporters de la VO, ils noient le poisson avec l'imprécision des informations et une vision peu précise des événements.. et raconte après leur salade avec flou et assurance sans la moindre démonstration mesurée. Mais ce monsieur Moorea34 devrait savoir que des données sismologiques collectées auprès de la station PAL et d'autres stations permettent sans problème de dater à coup sûr les événements sismiques à moins d'une seconde d'imprécision. Rousseau confirme les résultats du rapport de Columbia et montrent les aberrations des datations officielles qui essaient de se rapprocher des datations sismiques grâce aux vitesses d'onde de surface qui pour une même station doivent effectivement être conservées.
    Les datations aériennes de la FAA montrent clairement que les événements sismiques sont bien tous antérieurs aux événements d'impact et d'effondrement.
    2/
    Moorea34 a cependant raison de signaler que la fréquence sismiques des explosions classiques pour démolition tend plus vers 10 Hz que vers 1 Hz comme le dit André Rousseau. Mais cela ne doit pas être un argument pour affirmer que seul l'effondrement des tours permet ce genre d'ondes P et S. Tout le contraire, ces deux phases d'ondes P et S, sont bien la résultante de phénomènes impulsionnels successifs sur une courte période et ne peuvent provenir d'un effondrement progressif durant près de 10 sec d'un bâtiment aussi grand soit-il, générateur au mieux d'ondes de surface.
    Cette signature à faible fréquence d'ondes volumiques est insolite et mériterait une étude sismologique poussée... à la fois pour voir le type d'explosif capable de générer ces ondes de volumes mais également pour vérifier si des fréquences extrêmement élevées n'ont pas échappé aux sismomètres en question (la limitation à 10 Hz est préjudiciable). Les cas de mesures sismiques avec les nano-thermites doivent être extrêmement rares car secret-défense et très délicat à réaliser pour impacter des sismomètres à plus de 30 km.
    Mais je ne serai pas étonné de voir justement que les énigmes sismiques du 11-9 sont aussi dues à ces nouveaux emplois d'explosifs capables dans un temps record de provoquer des ruptures de piliers et donc des tassements préparatoires de bâtiments depuis les sous-sols.
    3/
    L'argument de Moorea34 sur l'énergie globale de la chute s'appuyant sur les milliers de tonnes pour expliquer les fortes magnitudes est volontairement vague et il est complètement infondé. Quelque soit la masse en jeu, les signaux sismiques de PAL présentant des ondes volumiques précoces qui n'ont rien à voir avec ce type de phénomène. Seule, la seconde phase des ondes de surface mise en évidence par Rousseau peu effectivement être le signe de cette fin de phase d'effondrement au sol. Il ne trouvera aucun cas d'effondrement permettant d'expliquer ces ondes volumiques.
    4/
    D'une manière générale, les partisans de la version officielle montrent depuis le début leur mauvaise foi et leur volonté d'apporter le moins possible de données techniques de terrain (et je ne parle pas de leur mépris des témoins - victimes et même des enregistrements sonores et vidéo) pour pouvoir raconter leur théorie officielle à coup de modèles tout beaux tout jolis mais jamais étayés avec des données de terrain...
    Les informations sismologiques américaines ont été largement sous-exploitées. Les militaires en possèdent de très fines que personne n'a réclamées. Les réseaux civils n'ont pas publié grand chose au niveau de la plus grande résolution des courbes... seule la station PAL permet cette approche, les autres sont très difficilement accessibles.

    Bref bravo à Rousseau d'avoir lancer le débat sismologique pour WTC...!

    Le niveau scientifique des pays occidentaux a une image pitoyable et je comprends l'exigence technique souhaitée par des millions de gens au sein des sites internet, les seuls à peu près libres de pouvoir s'exprimer et d'exiger bien plus que ce qu'il y a dans les rapports officiels.

    [Commentaire modéré: HS]

  26. IKAR,

    Concernant l'heure d'admission des premières victimes dans les hopitaux, rien de surprenant : dans le reportage des frères Naudet, une victime hurle de douleur à l'arrivée des premiers secours dans le hall du WTC 1, à peine 5 minutes après l'impact.

  27. varda,

    Pour bien faire , il faudrait comparer avec une bande de demolition classique de tour .

  28. Max,

    Rémy,

    Healing from 9/11: GP Shores man on the job at Saint Vincent's Hospital - Manhattan
    http://digitize.gp.lib.mi.us/digitize/newspapers/gpnews/2000-04/02/2002-04-11.pdf
    "25 minutes après le 1er crash le service été complet. Dans les 90 minutes, nous avions vu environ 350 à 400 patients."

    Alors pour les horaires d'admission en hôpitaux, j'avais vu cela en direct à la TV (ben oui comme tout le monde j'ai pas décrocher ce jour là, la nuit non plus). Depuis j'ai revu certaine séquence dont ici sur reopen (mais il y a des années), cela émane essentiellement des reportage TV, ou certaine victime parle, leur médecin précisant leur horaire d'arrivé. Reportage des frères Nodet, ou il parle également de premier départ des victimes avant même leur arrivé (il croise des ambulances), le gars qui s'est suicider y a pas longtemps également (me souvient plus du nom), en parle en disant avoir remonter un autre du B2 est qu'une ambulance l'a emmené de suite. l'hôpital qui reçu les première victimes à un carnet d'admission - dossier médical, etc..

    L'hôpital Saint Vincent's, ce trouve à 7min en temps normal du WTC à 1.9 miles soit 3 bornes, à 4/5 min (allé) pour une ambulance, c'est le pick and go. D'ailleurs lorsque william rodriguez, parle de son collègue felipe, celui ci part immédiatement en ambulance, direction St Vincent's. Manque de bol pas moyen de trouver les dossiers médicaux, ou l'heure entre autre d'admission est inscrite, ou encore les reportages Tv qui parlaient des admissions a St Vincent's (entre autre). Ça fait déjà 9 ans et les doc sur le net évolue souvent. dsl

    Mais une chose est sûr en 25 min st Vincent est complet, en 90 min il y a 400 personnes consultées, avec une armée d'ambulances:
    - 50, cela fait une rotation d'ambulance toutes les 11 min en moyenne.
    - 45, cela fait une rotation d'ambulance toutes les 10 min en moyenne.
    - 40, cela fait une rotation d'ambulance toutes les 9 min en moyenne.
    et ca colle avec la distance, le temps, la motivation des gars, la situation, etc ...
    il y à 17 min entre les 2 crashs. Suivant ces moyennes en 17 min il devrait y avoir env. 60 - 75 personnes aux urgences. cqfd

  29. varda,

    Un pdf du rapport est il disponible pour imprimer ?

  30. HELLUIN Jean-Marc,

    Extrait du courrier transmis semaine 13 2010 aux 72 députés Européens de France : "...Quelle est donc cette énergie qui réduit en gravats le 6ème sous-sol découvert par l'ingénieur Mike Pecoraro...?...a déplacé de 45 cm le mur de rétention contre la rivière Hudson...?...a déchiqueté en lambeaux pendants du visage aux mains, la peau de Felipe David au 1er sous-sol, l'instant précédant l'attaque d'avion...?...a fait s'affaler les 180 m des 47 étages du WTC N° 7 en 6,5" sans qu'aucun avion kamikaze ne l'ait frappé...?...a sectionné net les énormes poteaux structurants à 45°...?...a maintenu le métal des décombres de Ground Zero en fusion, 5 jours encore après l'écroulement des Twin Towers...?
    La presse d'investigation discréditée, les médias traditionnels français s'acharnent à diffamer ceux qui osent dénoncer publiquement " ce scandale au regard de la sciencce" (Niels Harrit) et , comme "le désespoir grandit avec la fermeture délibéré de notre horizon" (Dr Griffin), il serait temps, d'honorer la France de Descartes et d'entendre ceux qui militent à l'aboutissement de l'enquête criminelle internationale appropriée qui répondra à la demande de reconnaissance incommensurable de ces justes qui ont compris, et qui patientent que vous vous distinguiez par votre hardiesse, Monsieur le Député."

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