Températures extrêmes et Acier en fusion à Ground Zero (WTC)
Posté par Christo le 17/03/2011
De nombreux témoins – pompiers, secouristes, ingénieurs du génie civil, responsables du déblaiement, etc. – ont rapporté la présence de chaleurs extrêmes et d’acier en fusion dans les décombres du WTC, et ce jusqu’à 10 semaines après les attentats.
Or, le point de fusion de l’acier (env. 1500°C) est largement supérieur aux températures qu’atteignent les incendies de bureaux et les feux d'hydrocarbures. Ceux-ci dépassent rarement les 800°C, bien qu’ils puissent atteindre 1000°C dans des conditions optimales, lorsque l'alimentation en combustible et en oxygène est abondante et qu'elle se fait dans les proportions idéales. Ce qui n'était pas le cas dans les gravats densément tassés de Ground Zero, pauvres en oxygène et en matériaux combustibles.
Pour en savoir plus sur les effondrements des Tours Jumelles, nous vous recommandons de lire notre article point-clé "Les explications officielles de la chute des Tours Jumelles : fiction ou réalité ?" que nous venons de publier.
Résumé de l'article : Des centaines de témoignages d'explosions, des effondrements à une vitesse proche de la chute libre, des feux inextinguibles dans les décombres, la présence d'acier fondu, etc. ... Des experts soutiennent que la réalité observée est incompatible avec la théorie officielle des effondrements (par incendies) mais qu'elle corrobore l'hypothèse d'une destruction volontaire par explosifs. Point sur une controverse scientifique.
Publié dans Zoom avant : les aspects techniques et scientifiques | 0 Commentaires »