Des experts face au 11-Septembre : entre doutes et accusations
Posté par AtMOH le 29/03/2007
Les remises en question de l’histoire officielle du 11-Septembre sont, pense-t-on parfois, le fait exclusif d’internautes désoeuvrés et sans aucune crédibilité. En réalité, elles sont aussi largement portées par des experts. Ces prises de position éclairées ne devraient laisser personne indifférent. Un Dossier de Taiké Eilé
Un site Internet, Patriots Question 9/11, recense les contestations de plus de 90 personnalités, officiers supérieurs de l’armée des Etats-Unis, agents du renseignement, hommes politiques américains et du monde entier, et même, membres de la Commission d’enquête sur le 11 septembre. Sans oublier celles de près de 120 professeurs d’université, philosophes, historiens, politologues, juristes, économistes, mathématiciens, physiciens, chimistes, ingénieurs, etc. Autant de personnalités qui peuvent se prévaloir d’un statut, d’une autorité, et dont les mots pèsent du lourd poids de leur expertise reconnue. Etat des lieux - non exhaustif - de ces contestations « autorisées ». DISPONIBLE en DOSSIER PDF avec liens et illustrations
Mensonges et omissions face à la Commission
Thomas Kean et Lee Hamilton sont, respectivement, les président et vice-président de la commission qui a enquêté sur les attentats du 11 septembre 2001. Cette commission a rendu un rapport le 22 juillet 2004, qui fixe ce qu’il convient d’appeler l’histoire officielle du 11-Septembre. En août 2006, les deux hommes sortent un livre, Without Precedent : The Inside Story of the 9/11 Commission, qui raconte les coulisses de l’enquête. On y apprend, avec stupéfaction, que tous les témoignages apportés par les agents de la FAA [Federal Aviation Administration] et du NORAD [North American Aerospace Command], au sujet de la non-intervention des chasseurs durant l’attaque, se sont avérés faux : « All of the after-action reports, accident investigations and public testimony by FAA and NORAD officials advanced an account of 9/11 that was untrue » (Washington Post du 4 août 2006).
Il semble même que l’on puisse parler de tromperie délibérée de la part du Pentagone, selon le Washington Post du 2 août 2006 : « The Pentagon’s initial story of how it reacted to the 2001 terrorist attacks may have been part of a deliberate effort to mislead the commission and the public [...]. "We, to this day, don’t know why NORAD told us what they told us", said Thomas H. Kean [...]. "It was just so far from the truth." » Tromperie qui avait déjà été dénoncée durant une audience du Congrès, le 31 juillet 2004, par le sénateur Mark Dayton.
Un fâcheux oubli
En septembre 2006, le journaliste Bob Woodward révèle que, le 10 juillet 2001, le directeur de la CIA de l'époque, George Tenet, accompagné de son directeur du contre-terrorisme, Cofer Black, a rendu visite à la Secrétaire d'Etat Condoleezza Rice à la Maison Blanche, pour l'informer d'une attaque d'Al-Qaida imminente. Le 10 juillet 2001... c'est-à-dire le jour même où un agent du FBI faisait parvenir à son quartier général le fameux " Phoenix Memo ", qui avertissait de " la possibilité d'un effort coordonné " par Ben Laden pour envoyer des étudiants aux Etats-Unis fréquenter des écoles d'aviation... Rice aurait, semble-t-il, négligé l'alerte de ses visiteurs. Les trois personnages, pourtant interrogés par la Commission, à la fois en privé et en public, et tenus de dire la vérité, témoignant sous serment, ont "oublié" de parler de cette rencontre, qui aurait suscitée, si elle avait été connue, de très nombreuses questions de la part des enquêteurs.
Peter Rundlet, conseiller pour la Commission, dénonce avec colère, le 30 septembre 2006, cette dissimulation et s’interroge gravement sur ce silence : « Was it covered up ? [...] At a minimum, the withholding of information about this meeting is an outrage. Very possibly, someone committed a crime. And worst of all, they failed to stop the plot. » Un membre de la Commission, Timothy Roemer, se dit, quant à lui, profondément perturbé et même furieux de cette omission (New York Times du 1er octobre 2006).
Rendez-vous dans un siècle
Dans une interview à CBC News le 21 août 2006, Lee Hamilton déplore les très mauvaises conditions dans lesquelles l’enquête a dû être menée : démarrage tardif, manque de temps et de moyens, résistance de certains, difficulté à accéder aux documents et aux gens... La Commission, confrontée à tant d’obstacles, était, selon lui, vouée à l’échec. Un échec programmé.
Hamilton reconnaît que la Commission n’est pas parvenue à établir toute la vérité, et prédit que l’on enquêtera sur le 11 septembre durant encore un siècle : « People will be investigating 9/11 for the next hundred years in this country, and they’re going to find out some things that we missed here. »
Les membres de la Commission eux-mêmes reconnaissent qu’ils ont été trompés, qu’on leur a menti ou qu’on ne leur a pas tout dit, que leur travail est donc incomplet et défaillant. D’autres avis, extérieurs à la Commission, vont dans le même sens. Ainsi, Paul Hellyer, ancien ministre canadien de la Défense nationale, regrette la superficialité de l’enquête et son manque de transparence. Raymond McGovern, ancien analyste de la CIA durant 27 ans, estime qu’il y a bel et bien eu dissimulation, et que le rapport de la Commission n’est rien moins qu’une "blague": " I think at simplest terms, there's a cover-up . The 9/11 report is a joke ." Steve Elson , ancien agent spécial de l'US Navy, de la DEA [Drug Enforcement Administration] et de la FAA, va, quant à lui, jusqu'à accuser la Commission de trahison, pour ne pas avoir dit tout ce qu'elle avait appris : «" I'd give the commission a 'D' for investigating the FAA", he declares. [...] "The commissioners knew a lot more than they included in the 9/11 report", he says. "They sold out . "»
Une histoire officielle "impossible"
L’histoire officielle semble bien ne pas pouvoir tenir la route, si l’on se fie aux doutes émis par le colonel Ronald Ray, ancien adjoint du secrétaire à la Défense sous Ronald Reagan : "I’m astounded that the conspiracy theory advanced by the administration could in fact be true and the evidence does not seem to suggest that’s accurate." Catherine Austin Fitts, assistante du secrétaire au Logement de la première administration Bush, n’hésite pas à dire (dans cette interview du 9 septembre 2004, à la 52e minute) : "The official story could not possibly have happened. [...] It’s not possible."
Le lieutenant-colonel Robert Bowman, retraité de l’US Air Force, prend encore moins de réserves, assimilant l’histoire officielle à un "tas de sottises". Jugement similaire chez le capitaine Gregory Zeigler, ancien agent du renseignement dans l’US Army. Quant à Philip Berg, ancien procureur général adjoint de Pennsylvanie, il parle sans détours de "mensonge". Giulietto Chiesa, membre italien du Parlement européen, affirme enfin sans ambages, le 18 novembre 2005, que l’histoire qu’on veut nous imposer est complètement fausse.
Penchons-nous à présent sur des éléments plus concrets, sur des remises en question plus ciblées de l’histoire officielle du 11-Septembre. Commençons par l’effondrement des tours.
Des tours dynamitées ?
Beaucoup ont déjà entendu parler de l’opinion émise par Danny Jowenko, ce spécialiste néerlandais de la démolition contrôlée. Lorsqu’une équipe de télévision vint le voir pour lui faire visionner la chute de la tour 7 du World Trade Center, dont il n’avait d’ailleurs jamais entendu parler (le rapport de la Commission n’en faisant lui-même pas mention), son jugement fut sans appel : c’était pour lui une démolition contrôlée. Nul doute dans son esprit (voir cette vidéo : version courte sous-titrée en français, ou version longue sous-titrée en anglais).
D’autres personnalités ont rejoint cet avis, pour parfois l’étendre aux deux autres tours, aux Twin Towers. Ainsi, Paul Craig Roberts, secrétaire adjoint au Trésor dans l’administration Reagan, déclare avec assurance, le 16 août 2006, qu’il n’est pas pensable qu’un immeuble, en particulier s’il est doté de colonnes en acier, s’effondre à la vitesse de la chute libre... de manière tout à fait naturelle. Pour le lieutenant-colonel Karen Kwiatkowski, qui a travaillé auprès du directeur de la NSA [National Security Agency] et dans l’Air Force durant 20 ans, l’effondrement des tours du WTC viole, ni plus ni moins, les lois de la probabilité et de la physique.
David Griscom, chercheur en physique et membre de la Société de Physique américaine, salue, quant à lui, le travail de David Ray Griffin, l’un des leaders du mouvement Scholars for 9/11 Truth, qui affirme que des explosifs ont été utilisés pour abattre les trois tours du WTC. Même conviction chez William Christison, ancien officier du renseignement national, membre de la CIA durant 28 ans, où il a notamment dirigé le Bureau de l’Analyse régionale et politique. Robert David Steele, officier du renseignement durant 20 ans, notamment à la CIA, se focalise sur le WTC 7 et affirme, de manière tout à fait catégorique, le 27 octobre 2006 : "I’m absolutely certain that WTC 7 was brought down by controlled demolition."
Un Boeing dans le Pentagone ?
Plus surprenantes peuvent paraître les mises en doute sur ce qui s’est passé au Pentagone. Même si aucun film n’a jamais été diffusé par les autorités américaines, qui prouve le crash d’un Boeing, des témoins existent, qui ont décrit l’arrivée et le crash d’un gros avion de ligne. Ceci n’empêche pas le colonel George Nelson, retraité de l’US Air Force, où il a travaillé durant 34 ans, notamment en tant qu’enquêteur sur les accidents d’avions, d’afficher de très sérieux doutes : "Any unbiased rational investigator could only conclude that a Boeing 757 did not fly into the Pentagon as alleged." Le commandant Douglas Rokke, retraité de l’US Army, va plus loin ; il est convaincu que c’est un missile qui a frappé le Pentagone, arguant de la petite taille du trou fait dans le bâtiment et de la nature des dégâts causés.
Le capitaine Russ Wittenberg, ancien pilote de chasse de l’US Air Force, et pilote de ligne durant 35 ans pour Pan Am et United Airlines, est tout aussi catégorique. Il est, selon lui, impossible qu’un Boeing ait pu effectuer une trajectoire aussi complexe et précise que celle réalisée par l’engin qui a frappé le Pentagone : "There was absolutely no possibility that Flight 77 could have "descended 7,000 feet in two minutes, all the while performing a steep 270 degree banked turn before crashing into the Pentagon’s first floor wall without touching the lawn." Sans toucher la pelouse... Wittenberg ne croit pas qu’un pilote puisse prendre subitement les commandes d’un avion aussi difficile à contrôler pour le manier avec un telle aisance (comme un as du vol qu’Hani Hanjour, le pilote présumé, n’était d’ailleurs pas) : "There is not one chance in a thousand". Invoquant le fait qu’on n’a pas retrouvé les restes de l’énorme Boeing 757 au Pentagone, il conclut que la cause des dégâts est probablement un missile.
Barbara Honegger, journaliste spécialisée dans les affaires militaires, évoque, dans un essai publié le 6 septembre 2006, l’utilisation d’un avion militaire, seul capable de déjouer le système de défense du Pentagone, de neutraliser ses batteries de missiles antiaériens, en émettant un signal "ami".
Dick Cheney... savait ? savait pas ?
Si c’est bien le vol 77 d’American Airlines qui a frappé le Pentagone, peut-on croire que les autorités américaines ont été surprises par son crash, ne l’ont pas vu venir ? Selon le rapport de la Commission, le gouvernement n’a pas eu connaissance de la position du vol 77 avant 9h32 (soit 5 minutes avant le crash). Or, le témoignage de Norm Mineta, secrétaire au Transport entre 2001 et 2006, vient contredire cette version. Mineta, devant la Commission, a affirmé s’être rendu à 9h20 à la Maison Blanche, au Centre Présidentiel des Opérations d’Urgence (PEOC), et y a vu, vers 9h25, le vice-président Dick Cheney en discussion avec un assistant, qui venait régulièrement l’informer de la progression du vol 77 (de la distance qui le séparait encore du Pentagone ?) : "There was a young man who had come in and said to the vice president, "The plane is 50 miles out. The plane is 30 miles out." [...] "The plane is 10 miles out". On ne sait guère quand a commencé cet échange entre Cheney et son assistant. Quoi qu’il en soit, le vol 77 était repéré bien avant l’heure indiquée dans le rapport. Un rapport qui maintient, par ailleurs, que Dick Cheney n’est arrivé au PEOC qu’à 9h58 ! Un rapport qui, finalement, n’a pas intégré le témoignage, fort dérangeant, de Norm Mineta...
Après ces aspects "techniques" - chute des tours et crash sur le Pentagone -, il convient d’évoquer d’autres aspects fondamentaux de ces attentats, à commencer par leur financement.
Le scandale Mahmoud Ahmad & Omar Sheikh
La congressiste Cynthia McKinney a rappelé, le 18 août 2005, que nous ne savions toujours pas officiellement qui avait commis les attentats, ni qui les avait financés. Michael Meacher, ancien ministre britannique de l’Environnement, fait, lui aussi, remarquer (dans ce documentaire de la télévision néerlandaise, à 12min35) que l’enquête n’a pas su déterminer qui a financé les attentats, tout en prétendant - ce qui est ahurissant - que cela n’a, au fond, pas grande importance [voir le rapport de la Commission, page 172]... alors qu’il va de soi que c’est un point absolument capital !
Cynthia McKinney pose la bonne question : "What about the terrorist Omar Said Sheikh ?" Les services secrets indiens sont, en effet, à l’origine d’une révélation stupéfiante : le chef des services secrets pakistanais (ISI), Mahmoud Ahmad, a transféré, en juillet 2001, 100 000 dollars au chef présumé des pirates de l’air du 11-Septembre, Mohammed Atta, par l’intermédiaire de Omar Sheikh. Information donnée le 9 octobre 2001 par le Times of India, puis par de nombreux médias occidentaux (AFP, Wall Street Journal, London Times...), confirmée par Dennis Lormel, le directeur de la section financière du FBI. Quelques jours avant le début de la guerre en Afghanistan le 7 octobre 2001, Ahmad a été poussé à la démission, sous la pression des Américains. Depuis, il n’a fait l’objet d’aucune enquête, ni d’aucune poursuite, de la part du Pakistan ou des Etats-Unis (sources).
Michael Meacher s’étonne de cette absence de poursuite judiciaire, dans le Guardian du 22 juillet 2004 : "When Ahmed was exposed by the Wall Street Journal as having sent the money to the hijackers, he was forced to "retire" by President Pervez Musharraf. Why hasn’t the US demanded that he be questioned and tried in court ?" Question lancinante, il est vrai, pour les esprits pas totalement endormis...
Le rapport de la Commission reste, quant à lui, parfaitement muet sur ces faits. Lors d’une conférence de presse à la Maison Blanche le 16 mai 2002, un journaliste indien interrogea Condoleezza Rice sur toute cette histoire ; la secrétaire d’Etat écarta la question d’un revers de main, prétendant qu’elle n’en avait jamais entendu parler... (voir 9/11 Press For Truth à 68min05sec, ou ici). L’Asia Times, dans un article du 8 avril 2004, nous donne peut-être la raison de ce mutisme : "If Mahmoud was really involved in September 11, this means the Pakistani ISI - "the state within the state" - knew all about it. And if the intelligence elite in Pakistan knew it, an intelligence elite in Saudi Arabia knew it, as well as an intelligence elite in the US." Le grand public a-t-il jamais entendu parler de Mahmoud Ahmad depuis cinq ans et demi ?
L’énorme affaire Able Danger
Autre scandale, dont les Français n’ont, dans leur très grande majorité, jamais entendu parler : le 19 juin 2005, un article du Times Herald révèle l’existence d’une unité de renseignement militaire du nom de "Able Danger", placée sous l’autorité du Commandement des Opérations Spéciales de l’armée des Etats-Unis (SOCOM), qui avait, selon toute vraisemblance, repéré quatre des futurs kamikazes plus d’un an et demi avant le 11 septembre ; il s’agissait de Mohammed Atta, Marwan Alshehhi, Khalid Almihdhar et Nawaf Alhazmi. Les quatre hommes avaient été identifiés comme des membres d’Al-Qaida oeuvrant aux Etats-Unis, dans la cellule dite "de Brooklyn". Or, à en croire le rapport de la Commission, Atta et Alshehhi étaient restés inconnus des services de renseignement jusqu’au jour des attentats.
L’affaire a été véritablement médiatisée grâce à l’intervention du représentant républicain du Congrès Curt Weldon, le 27 juin 2005, devant la Chambre des Représentants. L’homme tient ses informations du lieutenant-colonel Anthony Shaffer, qui prétend avoir été associé à Able Danger. Ses allégations ont été confirmées le 22 août 2005 par Scott Philpott, un capitaine de la Navy (voir The New York Times, ou Fox News) ; selon ce dernier, "Atta was identified by Able Danger by January-February of 2000". Le 27 août 2005, c’était au tour d’une troisième source, James Smith - qui prétend avoir travaillé sur l’aspect technique de l’opération Able Danger -, de confirmer cette incroyable histoire (Fox News). Suite à leurs découvertes, les membres de l’unité Able Danger avaient recommandé au SOCOM que le FBI soit chargé de démanteler la cellule de Mohammed Atta ; mais les avocats du SOCOM leur avaient rétorqué que ces informations ne pouvaient pas être partagées avec le FBI.
Dans un article du Wall Street Journal du 17 novembre 2005, Louis Freeh, directeur du FBI entre 1993 et 2001, considère que ces faits sont les plus importants révélés depuis la fin de l’enquête officielle. Selon lui, les découvertes réalisées par Able Danger auraient dû permettre l’arrestation des membres de la cellule de Mohammed Atta. La Commission, de son côté, osa affirmer, en août 2005, que l’opération Able Danger n’était, à ses yeux, "pas historiquement importante". Ce qui conduit Freeh à s’interroger avec gravité sur la négligence de la Commission, dont il va jusqu’à remettre en cause la crédibilité : "This astounding conclusion [...] raises serious challenges to the commission’s credibility and, if the facts prove out, might just render the commission historically insignificant itself."
"Laisser-faire" du gouvernement US ?
Tant d’anomalies dans l’enquête officielle font envisager à certains un "laisser-faire" des autorités américaines, qui avaient besoin de ces attentats pour justifier leur entrée en guerre au Moyen-Orient, leur implantation dans cette zone riche en pétrole, et, plus généralement, pour mettre en branle le plan du PNAC [Project for the New American Century], qui vise à assurer l’hégémonie mondiale des Etats-Unis au XXIe siècle.
Ainsi, pour Robert Bowman, "the very kindest thing we can say is that they were aware of impending attacks and let them happen". Pour Michael Meacher, "il est clair que les autorités américaines ont fait peu ou rien pour empêcher les événements du 11 septembre." Il rappelle qu’"au moins 11 pays ont averti à l’avance les Etats-Unis des attaques du 11 septembre." Pour John Loftus, ancien procureur fédéral américain et expert en terrorisme, la CIA et le FBI, avec la masse considérable d’informations dont ils disposaient, ne peuvent pas sérieusement se réfugier derrière leur prétendue incompétence pour rendre compte de leur défaillance.
Paul Craig Roberts affirme sans détours : "The 9/11 "terrorist attack" has been manipulated to serve a hegemonic agenda in the Middle East." Avis partagé par David Shayler, ancien officier du contre-terrorisme britannique (MI5), ainsi que par le lieutenant-colonel Stephen Butler, membre de l’US Air Force durant 24 ans : "Of course Bush knew about the impending attacks on America. He did nothing to warn the American people because he needed this war on terrorism" (New York Times du 4 juin 2002).
Complicités américaines ?
Certains envisagent même la complicité des autorités américaines avec Ben Laden. L’argument le plus volontiers mis en avant, c’est que Ben Laden n’aurait pas pu organiser - et surtout réussir - seul ces attentats. C’est l’opinion de Robert Baer, agent de la CIA durant 21 ans, spécialiste du Moyen-Orient, qui, dans une interview du 9 juin 2006, considère que l’idée d’un complot intérieur ("inside job") est tout à fait plausible. William Christison, membre de la CIA pendant 28 ans, se range aussi à cette idée.
D’autres voix, politiques, s’élèvent depuis cinq ans du monde entier, qui, sans accuser le gouvernement américain, refusent de penser que Ben Laden est le seul et même le principal responsable des attentats du 11 septembre. Mohamed Hassanein Heikal, ancien ministre des Affaires étrangères égyptien, affirmait ainsi le 10 octobre 2001, dans le Guardian, qu’Al-Qaida n’était pas en capacité de mettre en place une telle opération et de la garder secrète, rappelant que Ben Laden était sous surveillance depuis des années, et que son organisation était même infiltrée par les services secrets américains, pakistanais, saoudiens et égyptiens.
Andreas von Bülow, ancien secrétaire d’Etat (à la Défense) et ministre allemand, Horst Ehmke, ancien ministre de la Justice ouest-allemand, ou encore le général Leonid Ivashov, chef de cabinet des forces armées russes au moment des attentats, sont persuadés que des services secrets ont appuyé les opérations du 11 septembre. Quant à l’ancien Président de la République italienne, Francesco Cossiga, il soupçonnait, peu après les attentats, dans La Stampa, des complicités à l’intérieur du système de sécurité américain (page 36 de ce document).
Un fol espoir
Les témoignages recensés dans cet article ne constituent qu’une infime partie de tous ceux que regroupe le site Patriots Question 9/11. La liste des experts contestataires de l’histoire officielle du 11-Septembre s’allonge régulièrement, elle est en expansion continue.
Rien ne prouve, à ce jour, un laisser-faire ou une complicité des autorités américaines. C’est entendu. Mais il est tout aussi entendu que la Commission n’a pas su atteindre son but. Son vice-président en personne nous promet même encore près d’un siècle de recherche avant d’aboutir - peut-être - à la vérité ! L’esprit critique quant à l’histoire officielle actuelle - reconnue non véridique par ceux-là mêmes qui l’ont faite, rappelons-le, rabâchons-le ! - est donc une attitude qui devrait être qualifiée de normale. Au lieu de cela, elle est jugée déviante, malsaine par la plupart de nos politiques et journalistes. Elle est diabolisé...
Une enquête réellement indépendante doit être ouverte, qui aura les moyens de ses ambitions. Sans doute les médias ont-ils un rôle à jouer pour faire pression sur les dirigeants de ce monde, qui auront à prendre cette lourde décision. Peut-être les citoyens doivent-ils alors commencer par faire pression sur les médias, en les sommant de retrouver leur vocation : la recherche de la vérité et sa diffusion. La passion des faits, rien que des faits.
Publié dans Dossiers | 20 Commentaires »
ça bouge, ça bouge, qui va les entendre maintenant?
et personne publiera cette info malheureusement
Très bien ! Bravo !
Mais qu'attend donc la presse, la vraie, pour simplement faire son travail ?
J'espère qu'il ne faudra pas 100 ans pour que la vérité éclate, même si je sais que c'est innéluctable. Dans 100 ans, ce sera trop tard. C'est aujourd'hui qu'on a besoin de vérité. Aujourd'hui qu'il y a des rescapés du 11 septembre, et que leurs auteurs et commanditaires sont vivants. A quoi sert de juger Hithler après sa mort ?
Messieurs et Mesdames les journalistes (et certains sont de mes amis), FAITES VOTRE BOULOT ! Arrêtez un peu les papiers conventionnels et circonstanciés, et donnez un vrai coup de pied dans la fourmilière... L'histoire ne regarde pas QUE les terrorristes et/ou leurs commanditaires. Elle regarde aussi l'immense chape de plomb médiatique qui pèse sur ce dossier, et évalue le temps nécessaire à votre profession pour enfin faire preuve d'authenticité.
Le procès des auteurs, c'est dans 50 ou 100 ans.
Le procès des médias "bernés", c'est juste après.
Par contre, si vous faites votre vrai travail dès 2007 (soit seulement 6 ans après), ce serait tout à votre honneur. L'histoire vous observe et je vous guette. Je note vos ommissions, amis journalistes, tout comme des millions d'anonymes attentifs, très bien informés par les nouveaux médias de ce siècle.
Salut c'est l'insuportable Manuel j'ai un article en Anglais a traduire voici le lien
http://www.time.com/time/magazine/article/0,9171,1531304,00.html et je pense que c'est interressant.A plus
Excellente initiative que ce message en page d'accueil !!!
La première chose à dire au visiteur est effectivement que ce site référence un travail sérieux, fait par des gens sérieux et chose très importante, par des américains dont le patriotisme ne peut être remis en doute.
Bonjour,
J'ai voulu posté cet excellent résumé sur Indymédia Paris et seul le titre est paru sans le contenu.
Qui veut bien essayer de le poster sur ce site ? Apparemment, ils ont squizzé mon ip pour l'envoi de textes. Mais je peux toujours poster des commentaires.
Qui peut me dire comment puis-je contourner leur censure et publier des textes.
Pour vous donner un bref apercu des méthodes usitées par indymédia paris, lisez ceci :
http://paris.indymedia.org/article.php3?id_article=78867
Bonjour à tous, j'explore depuis peu la théorie de la manipulation du gouvernement US sur le 11/09, et c'est effectivement très troublant. J'ai malheureusement peur que le manque d'informations (nouvelles images par ex), les enjeux politiques et financiers, combinés à des réseaux d'informations de masse très maléables font que la vérité n'est pas prête d'être découverte avant 1/2 siècle... Je me pose certaines questions sur l'attaque du pentagone, pour l'instant sans réponses sur le net : - Un avion de ligne qui fait du rase motte, ça doit se remarquer et s'entendre. Y'a t'il des témoins du passage de l'avion ?
- Une thèse évoque un missile ou un drone. Je sais que les armes sont en libre circulation aux USA, mais un missile ou un drone qui se ballade dans le ciel doit quand même se remarquer !! Y'a t'il des témoins ? Merci d'avance pour vos réponses. A bientot
Bonjour à tous. J'ai d'autres questions :
- Si il ne s'agit pas d'un avion de ligne, qu'est devenu l'avion 77 sensé s'être crashé sur le pentagone, et où sont ses passagers ?
- Pourquoi détruire le WTC 7 ? Qui sont ces pilotes chevronnés (et suicidaires) qui auraient pris les commandes à la place des terroristes officiels, a priori plutot mauvais en pilotage ?
- Si le 11/09 etait organisé pour avoir la légitimité et l'accord international et populaire concernant l'attaque de l'irak, pourquoi causer autant de dégats et de morts, surtout sur des places stratégiques et économiques si importantes ?
Merci pour vos explications.
mercredi 4 avril 2007, 18h49
Prisons secrètes américaines en Ethiopie
NAIROBI (AP) - Des agents de la CIA et du FBI traquant des militants d'Al-Qaïda dans la Corne de l'Afrique retiennent des personnes soupçonnées de terrorisme et originaires de 19 pays dans des prisons secrètes en Ethiopie, révèle une enquête menée dans la région par l'Associated Press.
D'après les organisations de défense des droits de l'Homme, des avocats et des diplomates occidentaux interrogés par l'AP, plusieurs centaines de prisonniers, dont des femmes et des enfants, ont été transférés secrètement et illégalement ces derniers mois du Kenya et de Somalie vers l'Ethiopie, où ils sont détenus sans inculpation, ni accès à des défenseurs ou à leurs familles.
Parmi les détenus figurerait au moins un citoyen américain, alors que d'autres seraient originaires du Canada, de Suède et de France, selon les données rassemblées par une organisation musulmane kenyane des droits de l'Homme et un listing de vol obtenu par l'AP. Les autorités des pays concernés n'ont pas réagi dans l'immédiat à ces informations.
Certains détenus ont été interpellés par les troupes éthiopiennes qui ont renversé un gouvernement islamiste radical à la fin de l'année dernière à Mogadiscio, en Somalie. D'autres ont été expulsés du Kenya, pays où de nombreux Somaliens se sont réfugiés pour fuir les violences dans leur pays natal.
L'Ethiopie, qui dément détenir secrètement des prisonniers, est un pays d'Afrique de l'Est où les droits de l'Homme sont fréquemment bafoués. Ces dernières années, le régime d'Addis Abeba a aussi été un proche allié des Etats-Unis dans la lutte contre Al-Qaïda, qui essaye de s'implanter parmi les musulmans de la Corne de l'Afrique.
Des responsables américains, contactés par l'Associated Press, ont reconnu que des prisonniers avaient été interrogés en Ethiopie. Mais il ont assuré que les agents américains respectaient la loi et que leur action était justifiée parce qu'ils enquêtaient sur des attaques passées et sur des menaces terroristes actuelles.
Les prisonniers n'ont jamais été sous la garde des Américains, a affirmé un porte-parole du FBI, Richard Kolko, démentant que son agence soutiendrait ou participerait à des arrestations illégales. A l'en croire, les agents américains ont obtenu l'autorisation des gouvernements des pays de la Corne de l'Afrique d'interroger des prisonniers dans le cadre de la lutte antiterroriste.
Selon des responsables occidentaux, parmi les personnes détenues figurent des suspects connus pour les liens étroits qu'ils entretiendraient avec Al-Qaïda. Mais certains alliés des Etats-Unis ont fait part de leur consternation concernant les transferts dans ces prisons secrètes.
John Sifton, expert de Human Rights Watch en matière d'antiterrorisme, est allé jusqu'à dire que les Etats-Unis s'étaient comportés en "meneurs" dans une affaire qu'il a qualifiée de "Guantanamo décentralisé, externalisé".
Un enquêteur d'une ONG internationale de défense des droits de homme a lui précisé que l'Ethiopie avait installé des prisons secrètes sur trois sites: à Addis Abeba, sur une base aérienne éthiopienne à 59km à l'est de la capitale, et dans le désert près de la frontière somalienne.
"C'était un cauchemar du début à la fin", a raconté Kamilya Mohammedi Tuweni, une femme de 42 ans, mère de trois enfants et titulaire d'un passeport des Emirats arabes unis, dans ses premiers commentaires après sa libération à Addis Abeba, le 24 mars. Elle dit avoir passé deux mois et demi en détention sans avoir été inculpée. Elle est la seule détenue libérée à s'être exprimée publiquement.
Elle dit avoir été arrêtée au cours d'un voyage d'affaires au Kenya, le 10 janvier, avoir été battue, puis envoyée en Somalie où elle aurait partagé une chambre avec 22 autres femmes et enfants. Elle affirme avoir été conduite en Ethiopie, où un agent américain l'aurait interrogée et exhortée à coopérer. AP
Ces documents vidéos sont à voir pour connaître le contexte dans lequel évolue
la famille bush, et bien d'autres, à savoir une secte fasciste qui contrôle une partie du gouvernement américain : la secte des " skull and Bones" dont le but et de mettre en place aux Etats-Unis, un état totalitaire fasciste :
http://www.dailymotion.com/video/x1gzd6_secret-societies-part-1-of-3
http://www.dailymotion.com/video/x1h03r_secret-societies-part-2-of-3
http://www.dailymotion.com/video/x1h0rs_secret-societies-part-3-of-3
http://www.dailymotion.com/video/x1ebn1_compte-arebours
http://www.dailymotion.com/video/x1kfl5_keith-olbermann-on-skull-and-bones
Vous pensez toujours qu'aux Etats-Unis on est libre de voter pour qui l'on veut ?
Vous pensez toujours que les Etats-Unis sont une démocratie ?
Ils vous en donne l'illusion ... la plus totale ... la plus parfaite.
Un gouvernement fasciste dirige les affaires dans l'ombre au pays de l'oncle SAM.
Vous en voulez la preuve ?
La voici :
Les dernières élections américaines ont été truquées entièrement.
De A à Z, ils se sont payés la tête du peuple américain.
Truquée techniquement par la mise en place d'un système informatique que l'on sait ne pas être au point ( voir l'étude menée en France :
http://www.sciences.univ-nantes.fr/info/perso/permanents/enguehard/perso/RI_halshs-00085041.pdf
Puis, truquée par l'illusion donnée d'un choix qui n'en est pas un.
Comment ?
En présentant 2 candidats, john kerry et george bush, tous les 2 membres
d'une société secrète satanique nommée " skull and bonnes " ( " crâne et os " ).
Oui, impensable n'est-ce pas ? et pourtant ...
C'est ce qu'explique le présentateur Keith Olbermann ici :
http://www.dailymotion.com/video/x1kfl5_keith-olbermann-on-skull-and-bones
L'affaire des prisons secrètes de la CIA présentent dans de nombreux pays démontre encore une fois que ce gouvernement fasciste et une organisation trans-nationale qui n'a que faire des frontières.
Pourquoi des centaines de milliers de cercueils en plastiques sont-ils entreposés dans l'état de Georgie, près d'une base militaire ?
( 500 000 cercueils )
http://www.hisyouth.com/resources/madison.php
http://www.backtoenoch.org/picts/coffins/Coffins2-300.jpg
Bonjour
J'ai vu le reportage qui parle du même sujet sur "Planète" ; Ca donne à réfléchir !
bonjour a tous , dés le jour meme de ces attentats j'evoquais avec des amis la possibilité que le gouvernement americain etait au courant et l'avais meme commanditer , reaction : tu es fou ou tu crois trop que les choses sont machiavelique ... regardez le regard de ww bush dans l'ecole
j'y lis : ça y est c'est arrivé , comment dois je reagir ...
d'ailleur on entend plus trop parler de ben laden actuellement , l'aurait il oublié avec la mort de leur ami ennemi saddam ?
Stef ,
Le 11/9 relève presque du tour de magie.
Quelques témoignages sur le fantastique accident au Pentagone :
http://eric.bart.free.fr/iwpb/witness.html
Conclusion du tour d'horizon : l'avion était muni d'un EXPLOSIF.
"Que serait devenu l'avion 77 ?"
Disparu en CONFETTIS au-dessus d'un lac en Pennsylvanie, non loin du crash du vol 93.
"- Pourquoi détruire le WTC 7 ?"
Pour faire gober au public béat qu'une tour légèrement endommagée tombe facilement et disparaît dans un épais nuage de fumée...
"Qui sont ces pilotes chevronnés (et suicidaires) qui auraient pris les commandes à la place des terroristes officiels, a priori plutot mauvais en pilotage ?"
C'est le plus guignolesque : des cobayes enfermés dans un cercueil, et que l'on retrouvera vivants plus tard ! tout simplement parce qu'ils n'étaient pas dans la boîte... Il n'y avait aucun pilote dans l'avion... Les avions étaient comme sous hypnose... Ou comment la télépathie s'associe de nos jours à des télécommandes ultra-sophistiquées...
"- Si le 11/09 etait organisé pour avoir la légitimité et l’accord international et populaire concernant l’attaque de l’irak, pourquoi causer autant de dégats et de morts, surtout sur des places stratégiques et économiques si importantes ?"
Cette fois-ci, la guerre ne se décide pas sur un coup de dé. Il faut quand même que le Parlement, composé de petits pions mais pensants, vote des crédits.
Encore une fois ,si la presse est du coté "obscur",tout est compliqué et il n'existe plus alors qu'internet pour informer les populations...
On peut avoir 100 fois raison, si pas un média gros calibre bouge , ça sera dur!
Je me demande alors si le spam patriotique ne pourrait pas étre une arme d'information de choix..
A+
Bonjour à vous tous, c'est grâce aux documentaires que je me suis fais une toute nouvelle idée des attentats du 9/11. Maintenant je crois que c'est trafiquer. J'ai même montrer le documentaire a des gens et maintenant crois au documentaire plutôt qu'à l'attentat. j'ai créer aussi un site pour que plus de gens s'ouvre les yeux sur cet événement. Je tiens beaucoup à cet vérité en espèrent qu'un jour les vrais personnes qui ont manigancer le tout soient punie! Bien à vous et bonne continuation je suis avec vous tous a 100% !
Bonjour,
Je pense personnellement que les Etats Unis ont attaques l'Irak pour d'autres raisons que la presence d'armes chimiques ou voire nucleaires mais bien pour son petrole. Pas principalement dans un but de se l'accaparer totalement mais afin de maitriser le fait que ce produit continue a se traiter internationalement en US Dollars et afin de maintenir la devise US en bonne sante face a la montee de l'Euro. Apres le Koweit, l'Irak.....who's next ?...suivez mon regard!
Je pense que c'est assez logique quelque part...
j'estime que la possibilitée qu'une sociétée secrète existe au sain du gouvernement américain est de 90%
qu'elle est pu contribuer au 11/09: 100%
Mais, faut il vraiment connaitre la vérité?
imaginé, ce que peut engendrer, de savoir, que le gouvernement américain ait monté de toute pièce ce scénario horrible,en accusant des états arabes!!!!!!!!!! 30000 américains sacrifié dans leur pays,au travail pour pouvoir envahire deux pays immensément riche en ressource naturel(pétrole,nouvelles bases militaire...............).
le peuple américain a été trompé,humilié par leur dirigeant: les pays accusé a tort ont été humilie,massacré par ces mêmes dirigeant. SALE AFFAIRE
j'estime que la possibilitée qu'une sociétée secrète existe au sain du gouvernement américain est de 90%
qu'elle est pu contribuer au 11/09: 100%
Mais, faut il vraiment connaitre la vérité?
imaginez ce que peut engendrer de savoir que le gouvernement américain a monté de toute pièce ce scénario horrible,en accusant des états arabes!!!!!!!!!! 3000 américains sacrifiés dans leur pays,au travail pour pouvoir envahir deux pays immensément riches en ressource naturelles (pétrole,nouvelles bases militaire...............).
le peuple américain a été trompé,humilié par leurs dirigeants: les pays accusés a tort ont été humilies,massacrés par ces mêmes dirigeants. SALE AFFAIRE