Newsweek : Les informations internes qui auraient pu empêcher le 11-Septembre

Dans la continuité des révélations sur le rôle d’Alfreda Bikowsky dans la torture de la CIA, cet article de Jeff Stein, spécialiste des questions de sécurité nationale et correspondant à Washington pour le magazine Newsweek, revient sur les dissimulations de la CIA avant le 11-Septembre. Comme nous l’avons rappelé tout récemment, l’unité Alec Station – chargée de la surveillance des réseaux d’Oussama Ben Laden — avait empêché le FBI et la Maison Blanche d’apprendre la présence de deux membres d’Al-Qaïda sur le sol américain un an et demi avant les attentats. Richard Clarke, l’ancien responsable du contre-terrorisme à la Maison Blanche avait alors émis l’hypothèse que la CIA aurait cherché à recruter l’un de ces terroristes via les services de renseignement saoudiens, une thèse que semblent confirmer ces nouveaux témoignages.  


Un pasteur au milieu des ruines du World Trade Center, Larry Towell / Magnum.



Les informations internes qui auraient pu empêcher le 11-Septembre

Par Jeff Stein dans Newsweek, le 14 janvier 2015.


Juste avant Noël, l’ancien agent spécial Mark Rossini m’a accueilli avec son enthousiasme habituel, lorsque nous nous sommes rencontrés pour boire un verre dans un restaurant de Manhattan. Il m’a raconté que sa vie avait enfin pris un meilleur tournant. Il passe désormais la plupart de son temps en Suisse, où il travaille pour une grande société privée de sécurité. "La vie est belle," disait-il.

Belle, mais avec quelques grands changements. Rossini buvait de l’eau gazeuse au lieu des onéreux cabernets qu’il descendait quand j’ai rencontré pour la première fois cet officiel ambitieux du FBI à Washington, il y a dix ans, quand il était un assistant particulier de John Miller, le porte-parole en chef du FBI (aujourd’hui au département de la police de New York). "J’ai tiré un trait," dit-il. "Ça fait du bien."

Mais quand je lui demande comment ça va vraiment, la lumière dans ses yeux s’assombrit. "Bon, tu sais, le boulot me manque toujours," dit-il en secouant la tête. Un écart stupide — avoir montré des documents confidentiels du FBI à son actrice bien-aimée Linda Fiorentino, qui disait faire des recherches pour un scénario sur Anthony Pellicano, l’extraordinaire détective privé de Los Angeles — lui a coûté sa carrière en 2008 et a failli l’envoyer derrière les barreaux.

"Le passé, c’est le passé," dit-il. Mais certaines choses demeurent. Il m’a rapidement parlé d’une rencontre faite la veille, dans une rue de Yonkers où il garde un appartement. Il était tombé sur une amie de la famille qui a perdu des proches au World Trade Center le 11-Septembre. "Mark, lui a-t-elle dit, tu dois aller au bout de cette histoire."

"Elle me dit ça à chaque fois que je la vois," dit-il en grimaçant. Mais aujourd’hui à 53 ans, six ans après son départ du FBI,  il essaie justement de tout faire pour ça — pour combler certains des vides dans le récit officiel du 11-Septembre, qui attribuent les attentats à un vague "échec des renseignements."


L’ancien agent du FBI Mark Rossini, Ron Sachs / CNP / Newscom.

Rossini est bien placé pour le faire. Il a été au centre de l’un des mystères imprescriptibles du 11-Septembre : Pourquoi la CIA a refusé de partager avec le FBI (ou une autres agence) des informations sur l’arrivée aux États-Unis en 2000 d’au moins deux agents identifiés d’Al-Qaïda, alors que l’agence d’espionnage les suivaient de près depuis des années.

Le fait que la CIA l’ait empêché avec Doug Miller, un collègue du FBI assigné à Alec Station — le nom de code de l’unité de la CIA sur Oussama Ben Laden — d’informer le quartier général du FBI au sujet des terroristes, a déjà été révélé, notamment dans un documentaire de Nova sur PBS en 2009, "NSA, l’agence de l’ombre." [1] Rossini et Miller racontaient la manière dont ils avaient appris plus tôt que l’un des terroristes (et futur pirate de l’air), Khalid Al-Mihdhar, avait un visa à entrées multiples pour les États-Unis dans son passeport saoudien. Lorsque Miller rédigea un rapport à l’attention du siège du FBI, un responsable de cette unité top-secret de la CIA lui a dit de ne pas s’en mêler. Incrédules, Miller et Rossini ont été obligés de faire machine arrière. Les règles de la station leur interdisaient d’en parler à qui que ce soit en dehors de leur groupe top-secret.

Toutes ces années plus tard, Rossini regrette toujours d’avoir obéi aux ordres. S’ils avaient désobéi à ce silence imposé, les presque 3000 Américains assassinés le 11-Septembre seraient probablement encore en vie. "C’est la douleur qui ne me quitte jamais, qui me hante chaque jour de ma vie," écrit-il dans l’ébauche d’un livre qu’il m’a fait partager. "J’ai l’impression d’avoir échoué, même si je sais que c’est le système et la communauté du renseignement qui ont échoué dans leur ensemble."

"J’ai finalement lâché prise"

Les différentes commissions et les rapports internes aux agences qui ont examiné les "échecs du renseignement" dans le 11-Septembre, ont attribué les blocages du partage d’informations à la bureaucratie et aux rivalités personnelles entre les officiels de la CIA, du FBI et de la NSA. Ces rapports ont débouché sur la création d’un nouveau directoire du renseignement national, qui a retiré à la CIA son pouvoir de coordination. Mais blâmer "le système" évite de se demander pourquoi une officière de la CIA en particulier, Michael Anne Casey, a donné l’ordre à Miller, l’équipier de Rossini, de ne pas alerter le FBI au sujet d’Al-Mihdhar. Ou pourquoi les responsables d’Alec Station à la CIA n’ont pas averti le FBI — ou tout autre service de police — de l’arrivée de Nawaf Al-Hazmi, un autre membre éminent d’Al-Qaïda (et futur pirate de l’air) que l’agence avait suivi avant et après la réunion terroriste en Malaisie.

Étant donné que Casey est toujours sous couverture à la CIA, Rossini ne cite pas son nom dans son manuscrit inachevé. Mais il écrit, "Quand j’ai fait face à cette personne [...] elle m’a dit que "ce n’était pas une affaire pour le FBI. Le prochain attentat d’Al-Qaïda va se produire en Asie du Sud-Est et leurs visas pour les États-Unis sont juste une diversion. Tu n’as pas à en parler au FBI. Nous mettrons le FBI au courant le moment voulu et seulement si nous le décidons.""

Rossini se souvient d’être allé voir directement Miller après sa conversation avec Casey. "Il m’a regardé comme si je parlais dans une langue étrangère… Nous étions tous les deux abasourdis et ne comprenions pas pourquoi le FBI ne serait pas informé de cela."

Cela reste un mystère. Aucune des commissions d’enquête créées après le 11-Septembre n’a été capable d’aller au fond de l’affaire, en partie à cause du fait que Rossini et Miller, qui ont continué à travailler à Alec Station après les attentats, n’ont rien dit à personne sur ce qui s’était passé là-bas. Quand les enquêteurs du Congrès sont venus renifler dans le coin, ils ont gardé le silence.

"On nous avait demandé de ne rien leur dire," affirme Rossini. Qui vous a demandé ça ? ai-je demandé. "La CIA. Je ne peux pas citer de noms. Tout le monde avait compris dans le bureau qu’il ne fallait pas leur faire confiance, que [les enquêteurs du Congrès] essayaient d’épingler quelqu’un pour ça, qu’ils essayaient de mettre quelqu’un en prison. Ils disaient que [les enquêteurs] n’étaient pas autorisés à savoir ce qui se passait concrètement [...] Quand nous avons été interrogé, la CIA avait placé quelqu’un dans la pièce pour nous surveiller."

Par conséquent, Rossini n’a pas été interrogé non plus par la Commission du 11-Septembre. "En se basant sur cette interview, j’imagine que la Commission du 11-Septembre [qui a suivi l'enquête du Congrès] a jugé que je n’avais rien d’intéressant à dire." Il dit avoir également caché son secret à l’inspecteur général du département de la Justice. "J’étais encore sous le choc," ajoute-il, et toujours anxieux de violer l’omerta imposée par Alec Station. Après l’enquête du Congrès et la Commission du 11-Septembre, il s’est finalement confié lorsque sa propre agence — le Conseil de discipline du FBI (OPR) [2] — est venue le voir en 2004.

"Nous étions enregistrés. J’étais assis juste à côté de Candace Will, le directeur adjoint du FBI" en charge de l’OPR, s’est souvenu Rossini par téléphone au début du mois. "C’est à ce moment-là que j’ai finalement lâché prise et je leur ai dit ce qu’il s’était passé, ce que j’avais fait et pourquoi. Ces enregistrements sont la solution, c’est ce qui devrait être rendu public."


Deux passants observe le World Trade Center le 11-Septembre, Richard Cohen / Reuters.

La CIA a longtemps insisté sur le fait qu’elle avait partagé des renseignements sur Al-Mihdhar et Al-Hazmi avec le FBI, mais les informations rassemblées par la Commission du 11-Septembre contredisent cette affirmation. En réalité, la commission n’a trouvé aucune trace pour soutenir la version d’une autre responsable d’Alec Station, Alfreda Bikowsky, selon laquelle elle aurait apporté en main propre un rapport au FBI.

Philip Zelikow, le directeur exécutif de la Commission du 11-Septembre, a déclaré auprès de Newsweek que "le FBI dit la vérité." Quant à savoir pourquoi la CIA n’a pas partagé des informations concernant des membres d’Al-Qaïda avant le 11-Septembre, mais qu’en plus elle a empêché des agents du FBI au sein d’Alec Station de les partager, Zelikow avoue que "nous ne savons pas."

Et il revient…

Au milieu d’une telle obscurité ont fleuri toutes sortes de théories du complot, allant des scénarios absurdes de "truther" sur des explosifs placés dans le World Trade Center, à la connivence d’Israël ou de l’administration Bush dans les attentats. Mais des théories plus solides perdurent, certaines très troublantes.

Ce problème a été relancé le 7 janvier, quand deux membres du Congrès appuyés par Bob Graham, l’ancien sénateur démocrate de Floride et co-président de la Commission du 11-Septembre [3], ont dévoilé une résolution appelant l’administration Obama à déclassifier 28 pages de l’enquête du Congrès, ayant trait aux liens et au financement saoudiens des pirates de l’air pendant leur séjour sur le sol américain. Graham affirme que des officiels saoudiens "savaient que des personnes en mission pour Oussama Ben Laden étaient ou seraient bientôt aux États-Unis. La question de savoir s’ils connaissaient leurs intentions va au-delà de ce raisonnement."

Zelikow, qui a travaillé ensuite pour la secrétaire d’État Condoleezza Rice, pense que les liens présumés des pirates de l’air avec l’ambassade saoudienne sont "une diversion." Il dit néanmoins qu’il reste des "détails inexpliqués" qui vaudraient la peine d’être creusés, en particulier les déplacements des pirates de l’air aux États-Unis, les rapprochant de certains prêcheurs extrémistes yéménites. "La partie la plus intéressante de l’histoire est le choix de l’endroit où ils se sont installés et pourquoi," ajoute-il.

Désormais professeur d’histoire à l’université de Virginie, Zelikow est tout aussi sceptique des propos tenus par Richard Clarke, l’ancien conseiller de la Maison Blanche sur le contre-terrorisme, dans une surprenante interview filmée avec deux journalistes indépendants en octobre 2009 [4] — des remarques qui ont attiré bien moins d’attention que les liens saoudiens des pirates de l’air.

Clarke se souvient qu’en 1999, le Centre du contre-terrorisme avait été repris par Cofer Black et Rich Blee, deux "durs à cuire" vétérans des opérations sous couverture, qui "avaient compris qu’Al-Qaïda était une menace sérieuse [...] Ce qu’on m’a dit à l’époque," raconte Clarke aux journalistes Ray Nowosielski et John Duffy, "était qu’ils allaient essayer pour la première fois d’obtenir des sources de l’intérieur" — en recrutant un des terroristes comme agent double.

Clarke s’étonnait que lorsque George Tenet, le directeur de la CIA, s’est rendu le 10 juillet 2001 à une réunion d’urgence à la Maison Blanche avec Black et Blee, "ils n’ont jamais mentionné le fait que deux terroristes d’Al-Qaïda [...] étaient déjà arrivés aux États-Unis."

"Alors posez-vous la question : pourquoi ?" avait-il ajouté. La "seule explication logique que j’ai été capable de trouver" est qu’ils étaient en train de mener une opération illégale sur le sol américain pour recruter Al-Mihdhar ou Al-Hazmi. Et ils ne voulaient pas que le FBI vienne s’en mêler.


Richard Clarke prêtant serment devant la Commission du 11-Septembre, Mark Wilson / Getty.

Cela expliquerait aussi pourquoi Michael Anne Casey d’Alec Station a interdit à Miller et Rossini d’informer le quartier général du FBI sur le visa à entrées multiples d’Al-Mihdhar pour les États-Unis. Rossini pense "qu’ils ont bien" essayé de recruter Al-Mihdhar, qui avait déjà séjourné aux États-Unis auparavant. Comme le fait remarquer l’ancien agent du FBI, la NSA effectuait des écoutes sur une maison que fréquentait Al-Mihdhar au Yémen. C’est ainsi que la CIA avait appris pour la réunion terroriste de Kuala Lumpur. "C’est un terroriste qu’ils suivent autour du monde," dit Rossini. "Il a fait l’objet de plusieurs câbles, il se rend aux États-Unis [...] et ils lui permettent de quitter l’Amérique et de retourner au Yémen pour la naissance de son enfant. Et il revient."

La CIA n’a pas informé le FBI de sa présence jusqu’au milieu de l’été 2001, après qu’ils aient perdu sa trace. "Il est raisonnable de penser qu’ils avaient une sorte de relation avec lui — ou qu’ils aient essayé," dit Rossini. "Donc ils ont suivi partout ces joyeux lurons pendant un an ou deux sans nous en parler, et puis d’un seul coup, en juillet 2001, ils disent "Aidez-nous à trouver ces types s’il vous plaît !" Pourquoi ? Je ne peux pas le prouver, mais la seule explication est qu’il s’était fait la malle — il leur a dit d’aller se faire foutre — ou avait arrêté de répondre à leurs appels. Ils ont mené une opération clandestine aux États-Unis et ils ne voulaient pas que le FBI soit impliqué là-dedans."

"Enfoirés de menteurs"

Un ancien officier des opérations de la CIA assigné à l’époque à Alec Station, pense que Rossini et Clarke sont sur quelque chose — mais que leur théorie est un peu bancal. Selon l’ancien agent de la CIA, qui a passé 25 ans à gérer des espions dans certains des endroits les plus dangereux du monde, y compris au Moyen-Orient, "Je trouve ça assez difficile à croire, que [Al-Mihdhar ou Al-Hazmi] serait une source valable [...] Mais là encore, les gens qui passait beaucoup d’appel là-bas à l’époque n’étaient que des analystes subalternes, qui n’avaient aucune expérience en général et absolument aucune expérience sur le terrain, ou aucune sorte d’entraînement opérationnel."

Dès le début, comme le précise l’agent, Alec Station a été dirigé par des analystes du renseignement dont la plupart ressemble à l’héroïne de Zero Dark Thirty, un mélange d’analystes de la CIA ayant réellement existés. Au fil du temps, ils ont commencé à se prendre pour des as du terrain, s’aventurant dans les opérations — parfois avec des conséquences catastrophiques.

"Il y avait tous ces analystes qui arrivaient avec leurs grands projets et suivaient des cibles," raconte l’ancien officier qui a demandé à rester anonyme en échange de pouvoir parler librement des questions clandestines. "Mais ensuite, ils ont voulu prendre la tête de la partie opérationnelle des choses et c’était leur point faible." Comme l’a signalé cet agent, c’est une analyste d’Alec Station, Jennifer Matthews, qui avait recruté l’agent double qui l’a tué elle et six autres employés de la CIA, dans une base reculée d’Afghanistan en décembre 2009.

"Leur définition d’une source était très différente de celle qu’un officier du renseignement, un officier traitant ou le [directoire des opérations] pourrait considérer comme une source valable et de bonne foi," rapporte l’agent. Et les analystes d’Alec Station n’aimaient pas beaucoup que les vieux officiers traitant défraîchis regardent par dessus leurs épaules. "De temps en temps, je leur proposais quelque chose et ils me mettaient en garde, disant que cela pourrait compromettre un de leurs contacts."

Mais à qui parlaient-ils ? Pas à de vrais terroristes. "Je ne pense pas qu’ils aient déjà parlé personnellement à quelqu’un," dit l’agent. "Ils ne faisaient que travailler dans leur bureau en baskets [...] Ils avaient probablement obtenu une source grâce à un intermédiaire. Donc leur source [sur les pirates de l'air] pourrait avoir été une personne des services saoudiens qui disait qu’ils parlaient à quelqu’un, ou une personne des services jordaniens qui disait parler à quelqu’un. En ce qui me concerne, ils n’étaient qu’un paquet d’enfoirés de menteurs. Donc ils auraient pu faire ça."

"Ça" voulant dire en gros évoquer un lien avec Al-Mihdhar, peut-être via une source confidentielle chez les renseignements saoudiens, et vendre ça comme quelque chose de très prometteur à leur supérieurs de la CIA, qui désespéraient d’avoir quelque chose à l’intérieur d’Al-Qaïda. C’est essentiellement ce qui s’est passé avec Matthews et son espion Humam Al-Balawi, un docteur qui prétendait soigner Ayman Al-Zawahiri, l’adjoint d’Oussama Ben Laden, dans son repaire au Pakistan. Balawi a été servi à Matthews par les renseignements jordaniens, le plus proche partenaire de la CIA au Moyen-Orient après Israël.

Les hauts responsables de la CIA étaient si excités par l’accès supposé de Balawi au cercle restreint d’Al-Qaïda, qu’ils couraient à la Maison Blanche pour donner les derniers rapports le concernant. C’est à dire jusqu’au jour où il a été conduit à l’intérieur d’une base de la CIA sans être fouillé — sur ordre explicite et tragique de Matthews — et s’est fait sauter en tuant huit personnes en tout.

Attendre que les têtes tombent

Toutes ces années plus tard, personne n’a trouvé de réponse plausible afin d’expliquer pourquoi Alec Station aurait refusé à Rossini et Miller l’opportunité d’informer le FBI à propos de dangereux personnages d’Al-Qaïda arrivant aux États-Unis. "C’est dingue," lance l’ancien agent des opérations de la CIA à Alec Station.

"Quand le premier rapport sur le 11-Septembre est sorti, j’attendais que les têtes tombent," dit l’ancien officier. "Mais bien sûr, ils ont enlevé tous les trucs importants. Et tous ceux qui étaient responsables pour ne pas avoir partagé l’information — leurs noms ont été retirés. Ils ont été félicités et promus."

A ce jour, Rossini a du mal à contenir sa rage. Entre deux verres à New York, il tente d’apprécier les bons côtés. C’était à Noël, près du Rockefeller Center magnifiquement illuminé. Il était fermement ancré dans son humeur habituelle : grand sourire, le verre levé.

"Bon sang," a-t-il dit en sirotant son verre. "Je vais raconter mon histoire."
 

Traduction Seb pour ReOpen-News


Notes de traduction :

[1] Le lien d’origine a été modifié dans le texte.

[2] Office of Professional Responsability en anglais.

[3] Sic : Bob Graham était l’ancien co-président de l’enquête conjointe des commissions du renseignement au Congrès.

[4] Le lien d’origine a été modifié dans le texte.


En lien avec l’article :

Qui est Rich Blee ? Une enquête de Ray Nowosielski et John Duffy (septembre 2011) : 

Le 11-Septembre et la CIA, par Kevin Fenton (septembre 2011) :

Le lancement de la guerre de terreur des Etats-Unis, par Peter Dale Scott (septembre 2012) :

 

37 Responses to “Newsweek : Les informations internes qui auraient pu empêcher le 11-Septembre”

  • RV38

    @ rédaction
    En publiant cette info, vous accréditez donc le fait qu’ Al Qaïda est bien le principal responsable des attentats ?

  • gérard

    @ rédaction
    Je partage l’interrogation de RV38 et peut-être son inquiétude.
    Dans ce cas là faudrait faire un sacré vide dans tous les documents du site…

  • Seb

    @ RV38 / gérard,

    Je ne vois pas l’intérêt de poser ce genre de question qui n’a pour but que de ranger certains articles dans une case désinformation parce qu’ils ne valident pas une thèse préétablie. Si vous partez de ce principe, il faudra alors préciser cette thèse et l’afficher clairement dans la charte de l’association. Dans ce cas, il faudra aussi virer tout ce qui ne s’y rapporte pas sur le site et accessoirement arrêter de se revendiquer des familles de victimes.

    Sinon, on peut continuer de relayer ces interrogations et ces témoignages sans imposer a priori une thèse plutôt qu’une autre, ce qui est la ligne de l’association depuis déjà quelques années, sauf erreur de ma part.

  • RV38

    @Seb
    OK, pourquoi pas évoquer toutes les hypothèses; au lecteur de trier mais ça complique sérieusement le travail du sceptique de base qui n’a pas passé des x100h sur la question.
    Dans cette optique pouvez vous m’orienter vers un dossier déjà réalisé ou vers les articles qui donnent les preuves les plus solides sur l’implication des présumés terroristes ?
    Par preuves solides, j’entends des éléments aussi probants que la chute libre (partielle) du WTC7 ou les µsphères de Fe retrouvées massivement dans les poussières.

  • kidkodak

    Seb:…Sinon, on peut continuer de relayer ces interrogations et ces témoignages sans imposer a priori une thèse plutôt qu’une autre, ce qui est la ligne de l’association depuis déjà quelques années, sauf erreur de ma part.

    Le long cheminement de recherche ne pouvait contenir de thèse préétablie,c’est le principe même d’une recherche scientifique contrairement à la démarche du NIST.
    Mais au fil du temps,par élimination,plusieurs volets de la VO sont maintenant hors sujet pour de bon,du moins c’est ma perception.
    Je crois que le Nouveau Pearl Harbour de Mazzuco a fait avancer les choses.Même chose pour le résultat des recherches scientifiques au sujet des 3 tours, par les 3000 ingénieurs et architectes.
    Donc,plus question de défendre la thèse des avions comme cause de leurs effondrements et même de la présence des  »pirates » à bort de ces avions,puisque rien ne prouve qu’ils y étaient.

    Mais à partir de là,oui,ce serait intéressant de voir où Reopen se situe dans tout ça. Chemine-t-il de la même manière?Va-t-il éliminer des pans entiers de la VO qui n’ont plus rien à voir avec la réalité, pour ne publier que la ligne de plus en plus précise se dirigeant droit au coeur du crime du siècle?

  • gérard

    @ Seb
    Il y a vraiment des pistes (je ne parle pas de « thèses » ce n’est pas le rôle de reopen d’en définir) qui mènent nulle part, il me semble, ou alors j’ai du rater un épisode d’un dossier que je connais pourtant pas mal. La piste d’Al Qaïda en fait partie, et c’est d’ailleurs la première qui fut définitivement rejetée. Les familles des victimes n’ont rien à voir là dedans.
    J’ai le pénible sentiment qu’il y en a beaucoup qui voudraient bien dans cette affaire… « noyer le poisson », donc il faut être vigilent.
    Un autre exemple allant dans ce sens, ces « fameuses » 28 pages « déclassifiées » qui sembleraient impliquer l’Arabie Saoudite. Cette piste ne tient pas la route, elle non plus, une seule seconde.
    Le rôle de reopen911 est bien de militer pour la réouverture du dossier sur le 11 septembre en fonction des éléments factuels du dossier et de ceux qui éventuellement surviendraient. Ces « nouveaux éléments du dossier » doivent bien évidemment être analysé en fonction des anciens, voir si ça « colle » ou non. Sinon le risque est grand de tomber dans une manipulation, donc dans une impasse.
    Ce qui n’est pas un « cadeau » à faire justement aux famille des victimes.

  • Seb

    @ RV38,

    Cet article est parfaitement compréhensible pour le premier sceptique venu, pour peu qu’il n’arrive pas avec une thèse préétablie. Libre à vous de rejeter des témoignages sous prétexte qu’ils ne coïncident pas avec vos convictions personnelles, je ne suis pas là pour vous convaincre.

    @ kidkodak,

    C’est votre avis personnel. Est-ce qu’il représente l’ensemble des membres et sympathisants de ReOpen911 ? Y’a-t-il une thèse clairement établie et admise par tous ? Le cas échéant, il faudra me prévenir des articles qui peuvent ou non être traduits.

  • RV38

    @seb
    Désolé d\’insister mais
    « Dans cette optique pouvez vous m’orienter vers un dossier déjà réalisé ou vers les articles qui donnent les preuves les plus solides sur l’implication des présumés terroristes ? »

  • Seb

    @ gérard,

    Les familles n’ont pour la plupart jamais milité dans le sens d’un inside job. Al-Qaïda, les 28 pages et l’Arabie Saoudite sont des éléments qui font partie du 11-Septembre. Il ne s’agit pas de déterminer des pistes pour trouver un coupable mais de faire l’examen exhaustif des faits.

    @ RV38,

    Vous pouvez déjà essayer de prouver que la voix de Mohammed Atta est une contrefaçon : https://www.youtube.com/watch?v=uUqXwsbJdbo

    Mais je peux tout aussi bien vous demander de m’apporter la preuve que les avions étaient télécommandés.

    Dans les deux cas, je ne vois pas ce que cela a à voir avec cet article.

  • chb

    Un peu décevant, en effet.
    Mais, comme le signale Gérard, il reste d’immenses archives quant aux autres aspects du 9/11. Et on ne peut que féliciter l’équipe de ReOpen de continuer à les tenir à notre disposition. Pourvu que ça dure.

  • gérard

    @ Seb
    « Les familles n’ont pour la plupart jamais milité dans le sens d’un inside job »
    Mais je n’ai jamais parlé d’un inside job!
    D’ailleurs je l’ai même précisé: « ce n’est pas le rôle de reopen d’en définir » (une thèse).
    Je rejoins kidkodak et ses questions qui n’ont réellement pas obtenu de réponses, dont celle de savoir où Reopen se situe-t-il exactement par rapport à tout le travail effectué, celui que pour ma part je connais depuis plus de 7 ans.

  • Seb

    @ gérard, vous dites :

    « Il y a vraiment des pistes (je ne parle pas de « thèses » ce n’est pas le rôle de reopen d’en définir) qui mènent nulle part, il me semble, ou alors j’ai du rater un épisode d’un dossier que je connais pourtant pas mal. La piste d’Al Qaïda en fait partie, et c’est d’ailleurs la première qui fut définitivement rejetée. Les familles des victimes n’ont rien à voir là dedans. »

    « Mais je n’ai jamais parlé d’un inside job! »

    Si vous rejetez la piste Al-Qaïda (il faudrait savoir exactement ce que cela veut dire), alors vous devez admettre un certain niveau d’implication interne, ce que les familles n’ont jamais soutenu pour la plupart (les exceptions notables sont par exemple Bob McIlvaine ou Manny Badillo). Si, comme d’autres ici, vous estimez que tout ce qui laisse trop de place à cette piste n’a pas d’intérêt et ne devrait pas figurer sur le site de ReOpen911, alors vous pouvez mettre à la poubelle 9/11 Press for Truth et tout le reste du mouvement attaché aux revendications de ces familles de victimes. Ce n’est pas à moi de concilier vos contradictions.

    Vous dites ensuite : « Je rejoins kidkodak et ses questions qui n’ont réellement pas obtenu de réponses »

    Kidkodak semble être en mesure de dire ce qui est « hors sujet » et ne coïncide pas avec la « réalité » pour définir une « ligne de plus en plus précise » : comme déjà dit, j’attends que vous me présentiez cette ligne et m’indiquiez les limites du débat afin de savoir ce qui est légitime de traduire ou non. Il faudra néanmoins demander une modification des statuts de l’association avant ça, notamment des points 2 et 5 énoncés sur le site : http://www.reopen911.info/reopen911/reopen911.html

  • Phrygane

    Cet article, en tout cas, nous renseigne sur « l’actualité » au sens large, qui tourne autour du 11/9 et des interrogations qu’il suscite.

    28 pages à déclassifier ? Très bien, déclassifions les…

    Va-t-on découvrir que la CIA savait depuis le début que les Saoudiens sont à la source de tout et que la CIA l’a caché ???

    Ou 28 pages déclassifiées et noircies à 90 % par la censure ?

    De toutes façons cela se traduira par la naissance d’autres interrogations, d’autres doutes, d’autres frustrations, peu importe la « théorie » défendue: incompétence et désorganisation ou « Inside job ».

    L’important c’est que des questions continuent à être posées (pour obtenir des réponses qui amèneront d’autres questions…) et que les gens se rendent compte, par exemple, que l’on sait aujourd’hui les moyens déployés par la NSA pour espionner qui elle veut, où elle veut et quand elle veut.

    Alors si l’Arabie Saoudite était vraiment à la base de tout cela, n’aurait-on pas un peu plus que 28 pages à fournir pour le démonter ?

  • gérard

    @ Seb, quand tu dis:
    « Si vous rejetez toute la piste d’Al-Qaïda »
    Mais TOUT ce qui a été fait sur le sujet, sur Reopen et ailleurs, va dans le sens de rejeter cette piste, et il est absolument impossible de raisonner autrement!
    Qu’il y ait eu manipulation « pour faire croire à », et je pense que que ça continue, c’est plus que certain. Est ce que cela présente beaucoup d’intérêt? J’en doute, sauf si…mais je vais y revenir.
    Que les familles des victime se cantonnent à rester au niveau du: le gouvernement était au courant et pour différentes raisons, dysfonctionnement de ses Services ou autres, il a « laissé faire », c’est non pas possible mais c’est surtout plus que certain, et ce pour espérer pouvoir bénéficier de dédommagements.
    Attaquer sur le niveau « inside job », cela aurait été une toute autre « paire de manche », et il n’est pas besoin d’être devin pour imaginer le parcours tumultueux dans lequel ces familles et leurs avocats se seraient engagés…
    Familles des victimes, et mouvement pour la Vérité, ne partagent pas nécessairement toutes les mêmes préoccupations.
    Je reviens sur le « sauf si », qui serait un peu « tordu »:
    En 2001, l’Arabie Saoudite n’avait aucune raison d’être en conflit avec les Américains, bien au contraire, voir les liens qu’elle entretenait avec Bush. Le fait qu’il y ait eu beaucoup de Saoudiens parmi les supposés terroristes a été un des éléments qui a provoqué le départ précipité de la famille Saoude (de mémoire).
    La géopolitique a depuis fortement changé, et il devient de plus en plus évident en ce moment pour l’Occident en général, et pour les américains en particulier, que les Salafistes, production de l’Arabie Saoudite, deviennent des alliés de plus en plus encombrants. Mettre sur le dos de l’Arabie le 11.9., ferait d’une pierre deux coups.
    L’intérêt serait peut-être que d’un mensonge pourrait sortir la Vérité, les Saoudiens ne se laissant pas faire, pourraient être appelés à parler. Et ce qu’ils auraient à nous dire ou les révélations qui « surgiraient » seraient peut-être très intéressantes…
    Mais j’avais prévenu, cette hypothèse est un peu « tordue », mais elle expliquerait ces fameuses « 28 pages »…et l’intérêt que reopen trouverait dans ces quelques derniers articles.

  • chb

    « les saoudiens ne se laissant pas faire… »
    Je me demande comment ce nouveau développement va être géré. Couper la branche corrompue, via quelques suicides inopinés ? Ou la totale, avec changement de régime ? Les crânes d’oeuf de la CIA ont eu le temps d’y penser, et les aléas du prix du pétrole sont peut-être la crise attendue pour faire passer sur le dos des Saoud ce scandale vieux de bientôt 14 ans.

  • gérard

    @ Seb
    D’accord concernant « les points 2 et 5 énoncés sur le site » [j'ai d'ailleurs tout relu des statuts et je n'ai strictement rien à redire] :
    http://www.reopen911.info/reopen911/reopen911.html
    Point n°5.
    « Quelle est la version des attentats du 11-Septembre de ReOpen911 ?
    Après plusieurs années d’étude et de réflexion collective, nous sommes parvenus à la conclusion que la version officielle – l’attaque surprise de 19 pirates de l’air dirigés par Oussama ben Laden déjouant toutes les défenses américaines – est en totale contradiction avec les faits et les très nombreux témoignages. Des milliers d’experts ayant étudié le sujet – parmi lesquels des officiers militaires et du renseignement, des architectes, des ingénieurs du génie civil – remettent publiquement en cause la version officielle des attentats, et nous nous rallions à leur expertise.(…) »
    Je n’ai reproduit que ce paragraphe qui spécifie bel et bien l’abandon d’une certaine piste, celle, oserai-je dire, « d’Ali-baba » et des 19 « voleurs ».
    Il reste quoi?

  • RV38

    @Gérard
    tout à fait d’accord

    @Seb (janvier 19th, 2015 at 0:04)
    - Un enregistrement avec la voix de M Atta me semble un élément de preuve vraiment très fragile (cf « présumées conversations » avec les tel de bord, trucage avéré de vidéo de Ben Laden …)
    - Avions téléguidés ? sans doute mais je n’ai pas de certitudes absolue sur ce point.
    Par contre, la « chute libre » du WTC 7 et les µsphères de Fe sont des FAITS incontestables qui prouvent qu’il y a eu démolition contrôlée;
    et il semble difficile de croire que les « présumés terroristes » aient pu, en plus de réussir le coup du siècle, préparer cette démolition contrôlée sur trois des plus imposants gratte-ciel de NY, à moins que vous n’ayez des révélations à ce sujet?
    il y a donc d’autres forces qui ont contribué à ces attentats (e.g. MIHOP version)
    Il me semble plus important de se concentrer à faire la lumière sur ces forces plutôt que d’égarer le lecteur sur des pistes cohérentes avec la V.O.

    @rédaction
    si cette info vous semble vraiment importante (pour des raisons qui pourraient m’échapper), je pense qu’un paragraphe d’introduction serait alors nécessaire pour relativiser sa portée et indiquer en quoi elle est intéressante.

  • Seb

    Personne n’a dit que les 28 pages prouveraient la responsabilité partielle ou totale de l’Arabie saoudite, tout comme considérer le rôle d’Al-Qaïda dans le 11-Septembre ne revient pas à disculper celui de tout autre acteur. S’il vous est impossible de raisonner autrement, vous vous retrouverez forcément face à des contradictions, ou dans l’obligation de rejeter certains faits et témoignages parce qu’ils vont à l’encontre d’une lecture trop rigide des événements.

    Du coup, c’est à grand renfort de suppositions et d’arguments bancals que vous faites tenir l’édifice : les familles n’ont jamais dit qu’Al-Qaïda n’était pas impliqué dans les attentats et l’argument de la stratégie ou de l’intérêt particulier n’est que spéculation (les familles qui se sont battues pour une enquête ont refusé les compensations de l’État) ; l’Arabie saoudite avait beau être proche de Bush et des intérêts américains à l’époque, ces 28 pages ont pourtant été écrites en 2002 (et c’est justement Bush qui les a censurées).

    Au final, il n’y aurait d’objectif que les hypothèses et les faits seraient prioritairement discutables et subjectifs. On se retrouve donc à valider des faits par les hypothèses et non l’inverse. La démarche inverse de cet article, de Clarke ou de Peter Dale Scott est d’actualiser les tentatives d’explication grâce aux éléments qui se font jour. Soit on rejette certains faits et témoignages pour préserver son hypothèse, soit on tente de les incorporer pour l’affiner.

    Aussi, le point 5 ne dit à aucun moment que les pirates de l’air ou qu’Oussama Ben Laden n’ont joué aucun rôle dans le 11-Septembre. Il se contente juste de contester une narration simpliste qui fait d’une attaque surprise d’Al-Qaïda la seule cause et la seule explication des événements.

    Si la voix de Mohammed Atta vous « semble un élément de preuve vraiment très fragile », c’est une opinion que vous pouvez parfaitement avoir, mais ce n’est pas une démonstration. Quant à la chute libre du WTC7, il serait plus juste de parler d’une chute libre de 2.5 secondes, qui ne valide pas plus à mes yeux la destruction contrôlée des 3 tours du WTC que les microsphères de Fe dans les poussières, et encore moins l’absence de pirates dans les avions.

    Dernier point, il est très réducteur de dire que les 28 pages ou les dissimulations de la CIA sont des pistes cohérentes avec la VO, étant donné que la Commission du 11/9 a totalement fait l’impasse sur ces questions.

  • gérard

    @ Seb, tu dis:
    « Aussi, le point 5 ne dit à aucun moment que les pirates de l’air ou qu’Oussama Ben Laden n’ont joué aucun rôle dans le 11-Septembre ».
    Mais c’est un langage de Jésuite!
    Point n°5 texto:
    « nous sommes parvenus à la conclusion que la version officielle – l’attaque surprise de 19 pirates de l’air dirigés par Oussama ben Laden déjouant toutes les défenses américaines – est en totale contradiction avec les faits et les très nombreux témoignages ».
    En admettant que Ben Laden and Co n’ont pas pu être les acteurs de  » l’attaque surprise (en) déjouant toutes les défenses américaines ».
    Quel « rôle » auraient-ils bien pu bien avoir, puisque apparemment tu sous-entendrais qu’ils ont eu un rôle?
    Celui de « figurants »? Un autre?
    Je pense commencer à comprendre.
    Comme je l’ai déjà dit, l’explication qui en découlerait serait alors assez « tordue », et effectivement elle ferait l’effet de cette « bombe » qui nous avait été promise pour….2015 (?).
    Tout dépend de ce qu’on va trouver dans ces « fameuses » 28 pages, si….
    Il serait possible dès maintenant d’élaborer plusieurs hypothèses, mais sans pouvoir en privilégier aucune, cela n’a aucun intérêt.
    D’où les textes que vous passez, qui apparemment n’ont aucun sens car elles vont en contradiction avec tout ce qui a été analysé sur le site…,mais qu’il faudrait peut-être lire plus attentivement.
    Je me trompe?

  • RV38

    @seb
    Qui êtes vous Seb ? …

    Pour être plus royaliste que le roi, le temps de chute libre avéré est de 2.2s (il faut être précis quand on corrige ses interlocuteurs!)
    n.b.: j’avais omis cette précision pour alléger un peu le texte.

    Sur les FAITS: chute libre et µsphères de Fe, j’hallucine, vous contestez la pertinence de deux des preuves les plus solides de ce dossier!

    1 La chute libre et symétrique est IMPOSSIBLE sans explosifs

    2 Les µsphère de Fe ne peuvent se former que suite à une élévation de température suffisante pour le vaporiser (2750°C) avant qu’il ne se re-solidifie avec cette forme caractéristique de µsphères
    n.b.: ceci est à pondérer en considérant que ce n’est pas du Fe pur mais un alliage; mais quoi qu’il en soit, les températures impliquées sont forcément énormément plus hautes que les 1000 ou 1100)C max générées par des incendies (Tfusion du Fe=1435°C!)

    3 D’accord avec vous mais ça ne remets pas en cause mon analyse sur cet article. il y avait peut-être des « présumés pirates » dans les avions.
    j »ai moi-même indiqué précédemment: »il y a donc d’autres forces qui ont contribué à ces attentats » (ceci ne veut pas dire que j’exclue la présence « présumés pirates »)

    Je continue à être sceptique dans cette affaire, mais cette fois de votre bonne foie.

    Au fait: « Dans cette optique pouvez vous m’orienter vers un dossier déjà réalisé ou vers les articles qui donnent LES preuves les plus SOLIDES sur l’implication des présumés terroristes ? »

  • Seb

    @ gérard,

    Nous comprenons effectivement la même phrase de deux manières différentes (point 5). Mais cet article n’est pas en contradiction avec ce qui a déjà été fait sur ce site, je ne vois pas l’intérêt de me répéter.

    @ RV38,

    Le temps de chute libre donné par David Chandler sur le site d’AE911Truth est d’environ 2.5 secondes : http://www1.ae911truth.org/en/news-section/41-articles/872-freefall-and-building-7-on-911-by-david-chandler.html. Le NIST a admis de son côté un temps de chute libre de 2.25 secondes. Dans tous les cas, mon propos avait pour but de signaler qu’il ne s’agissait pas d’une chute libre complète.

    Par ailleurs, vous m’aurez probablement très mal lu pour dire que je conteste la pertinence factuelle des sphérules de Fe et de la chute libre. D’autre part, on ne peut se contenter de déclarer qu’une chose est possible ou impossible pour démontrer quoi que ce soit.

    Si vous balayez l’enregistrement de Mohammed Atta d’un revers de main, je doute qu’un autre élément puisse vous convaincre.

    p.s. Mon foie va bien, je vous remercie.

  • Phrygane

    Partons de l’hypothèse que les 28 pages en question contiendraient les preuves de l’implication de l »Arabie Saoudite dans les attentats du 11/9.

    Et que ces preuves soient, « enfin » révélées.

    Si ce n’est pas alors un « inside-job » dont il faudrait parler, il s’agirait bien d’un « laisser faire –job », c’est-à-dire d’une complicité à plus haut niveau et d’une rétention de preuves, non ?

    Raisonnement par l’absurde pour dire qu’il serait bien étonnant que ces 28 pages cachent réellement quelque chose d’important.
    Par ailleurs, que les familles de victimes, en admettant qu’elles le pensent, attaquent l’affaire sous l’angle « inside-job » et les choses seront évidemment perdues d’avance.

    Le lien ci-dessous, renvoie à une analyse bien pensante de l’hypothèse du financement actuel du terrorisme par l’Arabie Saoudite et le Qatar.

    http://www.challenges.fr/economie/20150113.CHA2188/le-qatar-valet-des-americains-ou-club-med-des-terroristes.html

    Vous y verrez, que malgré le politiquement correct, l’auteur laisse entrevoir qu’il est difficilement concevable que les USA ne soient pas au courant de ces financement :

    « Pourtant, le Qatar est également considéré comme un « sous-fifre » des Etats-Unis. Pour preuve, la plus grande base militaire américaine se situe au Qatar, et le Qatar sous-traite la gestion de sa défense nationale aux Etats-Unis. Comment se fait-il que les Etats-Unis cautionnent ce genre de financements ? »

    Mais que : « Les Etats-Unis ont donc laissé faire, en pensant que tout cela allait aboutir à une démocratisation du monde arabe ».
    Ben voyons…

    L’auteur souligne également :

    « Plus largement encore, ce qu’il faut comprendre, c’est que les véritables rivaux de l’Arabie Saoudite et du Qatar, ce sont toutes les entités qui constituent le « croissant chiite » (l’Iran, la Syrie des Alaouites, l’Irak chiite pro-iranienne et le Hezbollah). Dans cette optique, l’EI et Nosra sont en fait des alliés stratégiques, dans le sens où ces organisations peuvent briser cet axe pro-iranien ! »

    Sans souligner (toujours le politiquement correct, bien sûr) que si « l’Iran, la Syrie des Alaouites, l’Irak chiite pro-iranienne et le Hezbollah » sont des ennemis de l’Arabie Saoudite et du Qatar, ce sont aussi des ennemis des Etats Unis.

    Et qu’il y a donc toutes les chances pour que tout se mondes travaille main dans la main.

    Alors, franchement, les 28 pages, hein ?

    Inutile de s’engueuler, mais regardons plutôt dans l’actualité pour savoir qui finance le terrorisme et dans quel but.

    Ce qui est valable aujourd’hui nous dit que l’Arabie Saoudite, entre autres, est aux ordres de Washington dans le « remodelage » en cours du Moyen Orient.

  • Fred234

    On peut dire tous ce qu’on veux mais il y a un fait incontestable: les corps des passagers ont été retrouvés sur le lieu du crash, ces passagers ont embarqués dans le vol 77 ce matin là.

    Si pour vous cela n’est pas incontestable alors il faut expliquer d’une manière réaliste et cohérente comment les agents chargés de procéder à l’enquête et aux recherches sur le terrain ont fait pour élaborer un tel mensonge, vous imaginez bien que dans ce cas la totalité des enquêteurs sur places doivent impérativement être au courant de la manipulation, le moindre technicien…des dizaines de personnes au bas mot rien que pour cet élément !!!

    D’autres part ou sont ces personnes, ces enfants présents dans le vol 77, certains avaient 10 ou 11 ans à l’époque, ils doivent être adultes maintenant, pourquoi ne se manifestent-ils pas ? Ou alors ils ont été enlevés et tués par la suite mais dans ce cas vous rajoutez à la liste des dizaines de personnes complices pour procéder à cela et ca commence a faire beaucoup.

    On a le droit de douter du fait que le vol 77 se soit écrasé sur le pentagone ce 11 septembre 2001 mais dans ce cas il est impératif d’avoir des arguments très solide car plus l’élément à démontrer est improbable plus l’argument doit être solide et il est impossible intellectuellement de ne pas avancer d’explications à cela, impossible de dire « ce n’est pas le vol 77″ qui a causé cela mais de ne pas en tirer les conséquences.

    par avance merci de vos réponses

  • H.

    Si je ne m’abuse, il y a cette vidéo de l’agent de la CIA qui opérait à l’époque : Susan Lindauer et qui permet de faire une synthèse globale de l’affaire.

    Sans pour autant bien préciser qui sont les commanditaires exacts, ce qui est intéressant ce sont – au delà de ses aveux qui sont déjà énormes quand on y pense – la combinaison de deux phénomènes, les avions & la thermite placée quelques semaines en amont des attentats dans le WTC.

    Pour écouter l’agent de la C.I.A voici le lien vers la vidéo :

     » 11 septembre- Révélations CHOC de Susan Lindauer ex agent de la CIA.  » ( à regarder jusqu’au bout ) :

    https://www.youtube.com/watch?v=Vd0vxcARIvs

    Nous ne nous lasserons jamais de ne pas comprendre pourquoi il y a une telle omerta. Une omerta aussi complète de nos journalistes nationaux tandis qu’un grand nombre de vidéo d’anciens dirigeants de la C.I.A sont présentes sur le net. Ne serait-ce que pour contredire Susan Lindauer, il aurait été bon que certains prennent la parole, non ?

    Non. Il n’y a personne (quasiment) qui ose parler.  » No comment  » est la règle générale chez nos journalistes  » professionnels  » –

    Silence radio.

    L’unanimisme journalistique français qui refuse de prendre en compte le témoignage d’un agent de la C.I.A à un tel niveau hiérarchique me laissera à jamais pantois.

    Un autre aspect me laisse pantois. Susan Lindauer,
    habilement « psychiatrisée » par le Patriot Act aux États-Unis, et détenue pendant cinq ans sans procès en vertu de cette loi, a été jugée mentalement inapte à subir son procès dans deux audiences distinctes et toutes les charges ont été bien étrangement abandonnées en 2009.

    Qui avait peur de rendre public ce procès ? Qui a eu peur de l’entendre ?

  • chb

    Fred234 : « comment les agents chargés de procéder à l’enquête et aux recherches sur le terrain ont fait pour élaborer un tel mensonge »
    Bof. Ramasser des bouts de chair sur le lieu du drame, et analyser les ADN, ce sont des opérations disjointes. Quel labo – indépendant ! – a fait les analyses ? Qui a sollicité des effets personnels auprès des familles pour comparaison ?
    Cf http://www.reopen911.info/11-septembre/des-pirates-de-l-air-du-11-septembre-et-de-leur-identification/

  • Seb

    @Fred234,

    Je comprends parfaitement votre position et c’est d’ailleurs un point faible sur lequel les opposants à toute recherche sur le 11-Septembre ont habilement su appuyer (cf. Vol 77, le reportage produit Daniel Leconte pour France 3 en 2011).

    Néanmoins, tout comme Lindauer, je ne vois pas bien le rapport avec l’article.

  • gérard

    @ Seb
    Je me suis mal exprimé, effectivement cet article n’est pas foncièrement en contradiction avec ce qui a été fait auparavant, il aborde simplement le sujet d’une toute autre manière.
    De toute façon tant que le contenu de ces 28 pages ne sera pas connu on ne pourra rien élaborer comme hypothèse ou autre, c’est presque une lapalissade.
    Il ne sert donc à rien de revenir sur les points techniques qui ont assez été analysés pour ne plus laisser planer aucun doute sur les nombreuses incohérences, ou plutôt invraisemblances de la Version Officielle.
    Les seuls points qui restent un mystère sont:
    - quel a bien pu être le rôle de ces « fameux » pirates, s’ils en ont eu un,
    - que sont-ils devenus s’ils n’étaient pas dans ces (prétendus) avions?
    On peut imaginer que ces « fameuses » 28 pages, par exemple sous la forme éventuelle d’un rapport bien officiel de la CIA corroboré par tous les « bavardages », notamment ceux qui ont été traduits sur reopen, répondraient à ces questions dans le sens où par exemple elles démontreraient sans contestation possible, qu’ils étaient occupés « ailleurs » que dans ces « avions ».
    Ce serait alors au tour de la Version Officielle de s’écrouler.

  • @seb
    « Si vous balayez l’enregistrement de Mohammed Atta d’un revers de main, je doute qu’un autre élément puisse vous convaincre. »

    Ceci est donc un argument capital à vos yeux, Seb.
    Désolé mais il ne l’est pas du tout pour moi. La preuve?

    Car de mon coté, je peux aussi vous prouver que Ben Laden a revendiqué un attentat contre le QG de l’OTAN à Bruxelles en 2004!

    « Au cours de l’été 2004, la commission du parlement européen pour la sécurité et la défense, dont je fais partie, fut invitée à une projection speciale d’une vidéo créee par le Washington CSIS (Center for Strategic and International Studies). On nous demanda de regarder un film qui montrait ce qui arriverait en Europe si Bruxelles était frappée par une bombe nucléaire. 15000 morts, des centaines de milliers de blessés, les réactions de divers gouvernements européens, et soudain… des images d’Oussama Ben Laden qui se déclare responsable d’une attaque nucléaire contre le quartier général de l’Otan apparaissent à l’écran! Tous les membres du Parlement présents, y compris moi-même, restèrent sans voix. Les experts américains du CSIS étaient là pour expliquer l’action à l’écran. Finalement, un parlementaire déclara « Aujourd’hui, on nous a fait une démonstration convaincante de la manière dont des images d’Oussama Ben Laden peuvent être complètement manipulées »; J Chiesa.

    (cf par BlueRider, 29 mai 2010, pour reopennews: http://www.reopen911.info/News/2010/05/30/il-existe-au-moins-une-vraie-fausse-video-de-ben-laden-des-eurodeputes-lont-vue/)

  • inam56

    @Seb  » Par ailleurs, vous m’aurez probablement très mal lu pour dire que je conteste la pertinence factuelle des sphérules de Fe et de la chute libre.

    Dans tous les cas, mon propos avait pour but de signaler qu’il ne s’agissait pas d’une chute libre complète …. qui ne valide pas plus à mes yeux la destruction contrôlée des 3 tours du WTC que les microsphères de Fe dans les poussières »

    En vous lisant bien, vous ne niez pas les faits (chute libre et sphérules) mais vous en niez bien la « pertinence », non ?

    @Seb « D’autre part, on ne peut se contenter de déclarer qu’une chose est possible ou impossible pour démontrer quoi que ce soit. »

    Si en complément de le déclarer, on le prouve, cela démontrera que la chose est possible ou impossible, point.

    Sur le fond de ce débat, j’interprète le point 5 uniquement sur les mots « surprise .. déjouant toutes les défenses »

  • Seb

    @inam56,

    La chute libre partielle du WTC7 est un fait, que ce soit impossible est un jugement, qu’il s’agisse d’une démolition contrôlée est une déduction. Ce que je ne trouve pas pertinent, c’est de sauter d’un fait à un jugement puis à une déduction sans démonstration. D’où la nécessité d’argumenter.

    En l’occurrence, c’est ce commentaire de RV38 qui m’avait fait tiquer : « Par contre, la « chute libre » du WTC 7 et les µsphères de Fe sont des FAITS incontestables qui prouvent qu’il y a eu démolition contrôlée;
    et il semble difficile de croire que les « présumés terroristes » aient pu, en plus de réussir le coup du siècle, préparer cette démolition contrôlée sur trois des plus imposants gratte-ciel de NY, à moins que vous n’ayez des révélations à ce sujet? »

    Le raccourci était probablement involontaire, mais on passe de la chute libre du WTC7 et des sphérules de Fe à la destruction des trois tours du WTC en deux coup de cuillère à pot. On est dans les commentaires d’un article et pas dans un colloque de physique mécanique, soit, mais j’ai un peu trop l’habitude d’être confronté à des raisonnements simplistes pour ne pas les noter.

    Après, on peut toujours aller sur le fond du sujet, mais j’espère que vous comprendrez que la monomanie sur la destruction des tours ait tendance à m’exaspérer sous un article que j’ai traduis sur les dissimulations des services de renseignements.

  • @Seb
    je constate que vous ne répondez pas au contre argument que je vous oppose sur votre « meilleure preuve »: l’enregistrement de M Atta !

  • Phrygane

    Fred234

    http://www.voltairenet.org/article163869.html

    Libre à vous de « croire » en la version officielle qui dit que le 11/9 est une machination d’Al Qaïda, mais comment expliquez vous alors que les USA, par l’intermédiaire de leurs alliés Saoudiens, Qataris et autres, s’appuieraient aujourd’hui sur les mêmes « islamistes » pour déstabiliser les pays producteurs de pétrole et de gaz du Moyen Orient qui ne sont pas encore sous la coupe des USA ?

    Une grosse perte de mémoire ?

    http://www.challenges.fr/economie/20150113.CHA2188/le-qatar-valet-des-americains-ou-club-med-des-terroristes.html

  • H.

    Fred & Seb :

    11 septembre- Révélations CHOC de Susan Lindauer ex agent de la CIA. » ( à regarder jusqu’au bout ) :

    https://www.youtube.com/watch?v=Vd0vxcARIvs

  • Seb

    @RV38,

    Je vous répondrai quand vous énoncerez un véritable argument.

  • @Seb
    Votre rigueur vous honore mais j’ai la forte impression qu’elle sert surtout à maintenir un écran de fumée.

    Mon dernier post consistait à vous montrer que les enregistrements vidéo et à fortiori audio étaient manipulables à souhait, ce qui rend votre meilleur preuve très fragile à mes yeux; d’ailleurs j’attends toujours les autres.

    Ensuite, désolé de revenir sur l’effondrement du WTC7 mais cela permet de mettre en face de vos arguments que j’estime fragiles des arguments autrement décisifs;

    la chute libre du WTC7 est un FAIT.

    Elle n’est pas possible sans artifice car: quand un objet chute en s’écrasant sur des objets qui sont sous lui, il ne peut pas chuter « à la même vitesse » que s’il n’y avait rien dessous ; sinon cela voudrait dire que les structures portantes des bâtiments ne sont pas capables de porter le moindre Kg (ce qui pourrait paraître étrange) – c’est un JUGEMENT basé sur la physique).

    J’en tire la conclusion (DEDUCTION 1) qu’il y a eu présence d’un mécanisme -e.g. explosifs- qui a sapé la résistance des étages ayant encaissé le début de la chute.

    DEDUCTION 2: dans la mesure où il est hautement improbable (hypothèse) que ce mécanisme ait pu être mis en place d’avance et à l’insu de tous les services de sécurité par des terroristes (à moins de lourdes complicités) -et de toute façon cette hypothèse n’est pas défendu par la VO- la seule explication possible est que ce mécanisme a été mis en place par l’entité à l’origine de ces événements.

    P.S.: Je vous fait grâce de l’effondrement symétrique qui relève lui, non de l’impossibilité mais du miracle.

  • Phrygane

    Il y a une autre hypothèse pour ces 28 pages, qui pourraient être gênantes pour l’administration BUSH :

    c’est l’hypothèse électorale, puisque, semble-t-il, Jeb BUSH pourrait se présenter, comme candidat républicain.

    Et démontrer que la « famille » a, par le passé, très mal géré l’après 11/9, pourrait aider les Démocrates.

    Bref, déclassifions les…

    Pour voir.

  • gérard

    J’ai « réinitialisé » mon point de vue, je rejoins Seb, on est dans « les commentaires d’un article » qui porte sur  » les dissimulations des services de renseignements », et non pas à refaire tout le dossier de Reopen.
    Est ce que cette piste (en relation avec ces fameuses 28 pages si jamais elles sont un jour dévoilées), pourrait mener quelque part vers la « vérité »?
    « La vérité est un pays sans chemin » (Krishnamurti).
    Alors, pourquoi pas…

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