11-Septembre : La curieuse affaire du vol 23 d’United Airlines

Y avait-il d’autres détournements d’avion prévus le 11-Septembre par les commanditaires des attentats ? A en lire cet article paru aux USA suite au 10e anniversaire des événements, on serait tenté de le croire. Sinon, comment expliquer – entre autres – que le président du Comité des affaires étrangères du Sénat d’alors (et actuel vice-président de Barack Obama), Joe Biden, se soit autant mélangé les pinceaux à 24h d’intervalle à propos de ce vol 23 d’United Airlines resté bloqué sur l’aéroport JFK de New York le 11 septembre au matin suite à un retard au décollage ? Biden parla d’abord sur ABC d’une "2e équipe" de pirates de l’air à bord de ce vol, avant de se rétracter 24h plus tard sur CNN. Voici le détail de l’étrange affaire du vol UA23 le 11 septembre 2001.

 

Un Boeing 767 de United Airlines

 


La curieuse affaire du vol 23 de United Airlines le 11 septembre 2001

par Brian Romanoff, sur Nor Cal Truth , le 21 novembre 2011

Traduction astartet pour ReOpenNews

Peut-être cela n’a-t-il aucune importance. Le rapport final de la Commission sur le 11-Septembre n’en fait pas mention. [Pourtant], le FBI a enquêté sur cette affaire et interrogé beaucoup de gens à de nombreuses reprises. Les responsables du FBI n’ont jamais contesté la version rapportée par les médias, ni rien publié du fruit de ses investigations.

Peut-être n’était-ce pas assez important pour mériter une réaction ou un commentaire… mais peut-être que si. 

Le10e anniversaire des attentats a donné l’occasion à ABC de parler longuement et pour la 1ère fois de ce mystère [Voir la vidéo de l'émission (non sous-titrée)]

Le Vol 23 de United Airlines

Le vol 23 de United Airlines était programmé pour un décollage de l’aéroport JFK de New York le 11 septembre 2001 à 8h30, à destination de Los Angeles. Aux commandes se trouvaient Tom Manello et le premier officier Carol Timmons.

Le vol 23 fut retardé, mais finalement placé dans la file d’attente pour le décollage derrière d’autres avions.

Pendant ce temps, le premier et le second avion détournés frappaient les tours WTC1 et 2, respectivement à 8h46 et 9h03.

Apparemment les pilotes du vol 23 ont entendu un autre pilote, qui partageait la même fréquence, dire qu’un avion s’était crashé contre le World Trade Center. Après une longue attente, le pilote Tom Mannello a arrêté les moteurs et a dit aux passagers qu’un problème mécanique les retenait au sol.

Il ne fallut pas longtemps avant que le vol 23 ne reçoive sa première alerte d’un employé de la sécurité de United Airlines.

Le dispatcher de United Airlines, Ed Ballinger, a commencé à relayer des messages aux avions dont il avait la charge – 16 vols au total, dont les vols 23 et 93 de United Airlines – dès qu’il a eu connaissance de ce qui était en train de se passer.

L’audition de Ballinger par la Commission d’enquête sur le 11-Septembre, archivé sous le nom de “Memorandum for the Record #040200009”, indique qu’il a envoyé une série d’alertes aux avions qu’il contrôlait (Voir document PDF ici). Le détail horaire ci-dessous concerne les alertes transmises au vol 23 d’United Airlines par Ballinger :

  • 9h12 : message reçu stipulant qu’un processus d’“arrêt au sol de tous les avions” était en cours.
  • 9h20 : “Prenez garde à toute intrusion dans le cockpit… deux avions à New York on frappé le World Trade Center”.
  • 9h24 : “Prenez garde à toute intrusion dans le cockpit… deux avions à New York on frappé le World Trade Center”.
  • 9h32 : “Alerte maximale de sécurité. Sécurisez le cockpit.”

Les pilotes du vol UA23 ont tenu compte de l’alerte de Ballinger. Le premier officier Carol Timmons a commencé à barricader la porte à l’aide des bagages présents dans le cockpit, tandis que le pilote Tom Manello s’est saisi de la barre de métal prévue en cas de crash comme arme défensive.

Le capitaine Manello a relayé les avertissements à l’équipage, interdisant d’ouvrir la porte du cockpit : « Aucune exception ! » Peu après, le cockpit a reçu un appel d’une hôtesse déclarant qu’elle pensait qu’il était “inhabituel” d’avoir un groupe de quatre Arabes en première classe. Les avertissements de Ballinger au vol 23 ne contenaient , bien sûr, aucune spécificité quant à l’apparence physique de ceux qui avaient détourné des avions.

La fumée du World Trade Center était visible depuis les avions. L’aéroport JFK a été déclaré en état d’urgence et fermé tandis que le vol 23 était septième dans la file en attente de décollage. Les pilotes, ayant déjà reçu les alertes de Ballinger et l’appel de l’hôtesse, ont annoncé qu’ils retournaient à la porte d’embarquement.

Alors que l’avion retournait à la porte, les personnes de type « moyen oriental » se sont levées pour discuter entre elles, refusant de retourner s’asseoir à leurs sièges comme l’ordonnait le personnel navigant. Une dispute s’engagea entre ces hommes et les membres du personnel, immédiatement suivie d’un appel à la sécurité de l’aéroport. Il est rapporté que les individus ont insisté sur le fait qu’ils “devaient prendre cet avion”.

Les fonctionnaires en charge de la sécurité partirent apparemment à la rencontre de l’avion revenu à sa porte d’embarquement, mais se montrèrent incapables d’appréhender les hommes en question. L’aéroport JFK était en train d’être évacué et peut-être y régnait-il un certain chaos : le flux des passagers à gérer avait semble-t-il permis aux hommes de s’échapper sans qu’il leur soit posé de questions. Ces individus n’ont jamais été revus, d’après ce que nous savons.

Ed Ballinger s’était rendu compte de ce qui se tramait et avait commencé à prendre des précautions bien avant que les fonctionnaires fédéraux n’aient totalement compris ce qui se passait le 11-Septembre. Grâce à ses actions, on estime qu’il a sauvé le vol UA23 d’un détournement potentiel et il a aussi su alerter le vol 93 avant que ses pilotes ne perdent le contrôle de l’avion.

Un bagage non réclamé

Bien que les suspects soient parvenus à s’échapper dans la foule lors de l’évacuation chaotique de JFK, ils avaient peut-être laissé quelque chose derrière eux.

Les fonctionnaires de police ont cherché à savoir si des bagages du vol 23 n’avaient pas été réclamés. Certains sacs contenaient apparemment “Un Coran, des instructions écrites d’al-Qaïda et de faux documents d’identité”, et selon certains articles de presse et le livre “Touching History” (pages 102 à 105) de Lynn Collins, également des cutters.

La chaîne de télévision History Channel a diffusé une émission en 2005 qui confirme cet inventaire. L’émission portait sur les contrôleurs aériens le 11-Septembre, il était intitulé “Grounded on 9/11 (Interdit de vol le 11-Septembre)” et contenait la séquence suivante [Voir vidéo]

Le FBI a obtenu le dossier de la liste des passagers (Passenger Manifest)(*)du vol 23, partant du principe que les passagers en question avaient acheté leur billet à l’avance.(**)

Les jours suivants

L’événement qui suit mérite d’être mentionné, bien que les responsables, y compris ceux du FBI, nient qu’il ait un quelconque lien avec le vol 23 ou les attentats du 11-Septembre.

Le 13 septembre [2001], alors que le trafic aérien était en train de reprendre pour la première fois depuis le 11, un groupe d’hommes a été arrêté à JFK.

Quatre hommes ont apparemment été retenus au départ d’un vol pour Los Angeles en possession de billets pour le mardi 11 septembre. Les comptes-rendus diffèrent légèrement sur certaines spécificités, suggérant des erreurs, mais comme dirait Peter Jennings “quelque chose était en train de se passer”. Voir vidéos ici, ici, ici et ici.

Un autre reportage de Fox News daté du 14 septembre 2001 apporte plus de détails :

“Jeudi, selon une source de l’aviation civile, un homme a présenté au comptoir un ticket pour le vol de mardi à destination de Los Angeles, mais a dit aux employés qu’il avait changé d’avis et souhaitait maintenant se rendre à San José.

Le personnel au comptoir de vente a eu quelques soupçons, mais a changé le billet et alerté un superviseur qui, à son tour, l’a notifié aux autorités aéroportuaires. Les autorités ont suivi l’homme jusqu’à la porte d’embarquement, où il a passé les contrôles de sécurité, y compris les détecteurs de métaux. Il a ensuite été stoppé par la sécurité à la porte d’embarquement.

Juste après, trois autres hommes sont arrivés à JFK et ont embarqué à bord du vol 133 d’American Airlines pour Los Angeles. Quelques minutes plus tard, les fonctionnaires de police sont secrètement montés à bord de l’avion dans un chariot repas, d’après la source de l’aviation civile.Les fonctionnaires, armes à la main, ont ensuite sorti les trois hommes de l’avion.

Les rapports sur cet incident survenu à JFK ont été nombreux, mais peut-être pas reliés au vol 23 du 11-Septembre.

Les responsables fédéraux ont, semble-t-il, relâché tous les suspects, et n’ont trouvé aucun lien avec le 11-Septembre ou le vol 23.

C’est là qu’interviennent Joe Biden et son revirement en 24 heures, suite à une interview maladroite donnée à Peter Jennings.

Le 13 septembre, Joe Biden fait référence aux individus arrêtés comme à une “seconde équipe” lors d’une interview avec Peter Jennings. Biden sous-entend qu’il ne peut pas “révéler certaines choses” qu’il sait à propos des arrestations, bien que lors de cette interview son sujet principal soit un accroissement du budget des agences de renseignement. [Voir vidéo ici]

Le lendemain même, le 14 septembre, le magazine USA Today a rapporté une histoire citant les propos de Joe Biden interviewé par CNN :

“Le Sénateur Joseph Biden, titulaire d’une chaire au Comité des Relations étrangères du Sénat, a déclaré sur CNN que les arrestations étaient basées sur des suspicions de liens entre ces hommes et les attaques de mardi contre le World Trade Center et le Pentagone.

Un homme a été arrêté, car il s’est montré agressif, tandis que les autres ont été détenus et interrogés puis relâchés, selon le chef de cabinet du Sénateur, Alan Hoffman.

Biden a expliqué qu’il existait des raisons à ces suspicions. On pensait à l’origine qu’un homme voyageait avec un faux brevet de pilote. Biden a déclaré que l’homme était un pilote, mais qu’il avait aussi en sa possession des papiers d’identité de son frère.

Biden a dit : “Il se trouve que son frère avait vécu dans un complexe immobilier à Boston où certaines de ces personnes s’étaient effectivement rendues”.

“D’autres se rendaient à une conférence de la compagnie Boeing, soit parce qu’ils travaillaient pour le fabricant d’avions, soit parce qu’ils y étaient invités”, a ajouté Biden.

“Les gens à l’aéroport ont pensé : ‘Ne serait-ce pas une fausse équipe de vol ?’, mais ce ne l’était pas.”

Cette réponse claire et limpide contraste fortement avec son commentaire de la veille face à Peter Jennings. Il semblerait que finalement, selon ses déclarations sur CNN, il ne disposait pas d’informations crédibles pouvant étayer ses propos tenus durant l’interview de Jennings, et cela a soulevé des questions sur les véritables motivations de Joe Biden à agir ainsi.

À l’inverse, si Joe Biden était en train de fournir à CNN une « version officielle » sur l’affaire qu’il avait lui-même révélée la veille chez Peter Jennings, quelle en était la raison?

Pas de réponse

Dix ans après les attentats du 11-Septembre, et après le récent assassinat d’Oussama Ben Laden, il y a tant de choses que nous ignorons. Où pourraient nous mener ces informations ?

  • aux noms des passagers de première classe et de tous les passagers du vol 23 ?
  • à l’ensemble des personnes ayant réservé leur place sur le vol 23 ?
  • à tout ce qui a été trouvé dans les bagages du vol 23 d’ United ?
  • aux résultats de l’enquête du F.B.I. sur le vol 23 de United?
  • aux images de vidéosurveillance de l’aéroport recueillies et archivées pour l’identification des suspects ?
  • à des noms de passagers du vol 23 figurant sur d’autres listes de vigilance du FBI ?
  • aux raisons pour lesquelles le rapport final de la commission d’enquête ne mentionne pas le vol 23 ?
  • aux détails sur les arrestations du 13 septembre à l’aéroport JFK ?
  • au détail des noms des personnes arrêtées le 13 à JFK ?
  • à ce que les personnes arrêtées le 13 à JFK avaient en leur possession ?
  • à ce que Joe Biden savait réellement de ce qui s’était passé le 13 à JFK ?

Carol Timmons récemment promue

Dans les informations plus récentes, on découvre que le premier officier du vol 23 d’United Airlines, Carol Timmons, a été la première femme promue Général de la Garde nationale aérienne de l’État du Delaware. [Voir vidéo]

Cette promotion est intervenue juste après les dernières discussions concernant le vol 23 d’United Airlines. Beaucoup n’ont pas d’avis particulier sur le vol 23, certains pensent qu’il s’agit d’un mythe ou de mauvaises informations à l’époque, d’autres enfin l’appellent une légende urbaine.

Un article d’actualité paru dans la version en ligne du journal du Delaware (Delaware Journal) a été mentionné par Jan Ting du NewsWorks pour expliquer pourquoi il avait changé d’avis et pensait maintenant que l’incident du vol 23 d’United Airlines le 11-Septembre s’était effectivement produit. Le lien vers l’article original diffusé par Ting dans son récit ne fonctionne plus.

Par chance, l’archiviste de MilitaryHeritage.org a sauvegardé l’histoire intégrale, accompagné d’un bref portrait de Carol Timmons, car il apparaît que l’original a été supprimé des archives de la version en ligne du journal du Delaware. L’article cité par Ting a été écrit par Jeff Montgomery et Adam Taylor et intitulé ““Delaware Air National Guard piloting historic course (La Garde nationale du Delaware change le cours de l’Histoire)” et publié le 15 mai 2011.

Brian Romanoff

 

Traduction astartet pour ReOpenNews


Notes de la rédaction :

(*) Passenger Manifest : terme du droit civil et commercial aéronautique international qui définit l’ensemble des informations personnelles relatives à un passager dont dispose la compagnie aérienne

(**) Le détail des informations sur passagers achetant leurs billets à l’aéroport juste avant le départ ne figure pas dans ce dossier.
 

 


Où l’on parle de Joe Biden dans ces pages :

Et aussi :


 

 

24 Responses to “11-Septembre : La curieuse affaire du vol 23 d’United Airlines”

  • newphoenix

    Waouh ! Depuis le temps qu’on le cherchais !
    On a retrouvé l’avion fantôme du WTC7 !!!

    Il y eu un sacré fail sur le scenario ce jour là .

  • Newphoenix a raison: trois tours bourrées d’explosifs et seulement deux avions: c’est le chaînon manquant!
    Ce coup ayant raté, il a fallu quand même faire sauter la WTC7, même sans crash-prétexte, car on aurait inévitablement fini par y trouver les explosifs intacts…Et surtout en sortir les archives portant sur les divers scandales.
    Cette fois, tout semble se tenir avec une forte cohésion.

  • la promotion de Carol Timmons, c’est parce qu’elle a sauvé l’avion, ou bien parce qu’elle a fermé sa g…?
    Quand au revirement de Joe Bidden, il pourrait indiquer que le 13/9 il n’était pas au parfum, mais que le lendemain il l’était…
    Une chose est assez parlante: c’est que les quatre moyen-orientaux de première classe, alors qu’ils étaient clairement suspectés par l’équipage, aient pu sortir de cet avion les doigts dans le nez, sans être appréhendés.
    Cela rejoint l’idée générale que les équipes de quatre ou cinq étaient des figurants mis en place par la CIA pour qu’un détournement paraisse plausible à posteriori (bien que ces hommes fussent incapables de piloter ces avions) et que les détournements furent ensuite assurés depuis le sol. Il était donc important de protéger ces équipes de figurants jusqu’à leur entrée dans l’avion (ce qui fut fait, on sait à quel point elles ont été coucounnées), et de les évacuer ensuite discrètement en cas d’échec.
    Ça ne m’étonnerait pas que ces quatre hommes aient depuis dix ans de bonnes vieilles semelles de béton, quelque part au fond de l’Atlantique.

  • Intéressant.
    Mais je ne vois pas très bien le rapport avec toute l’entreprise (dans les deux sens du terme) reopen911. Foin de nanothermites, pas de démolition contrôlée, les pirates sont bien dans les avions, ils se seraient plaint de ne pouvoir décoller et la thèse des « pantins manipulés par la CIA » ne tient donc plus la route…
    Reopenflight23 ?

  • GeantVert

    Ce que vous faites semblant de ne pas comprendre Gonzague, c’est que notre travail consiste à mettre à jour des pièces du puzzle qui ne collent pas avec la thèse officielle. C’est à ceux qui présente et défendent cette thèse de montrer qu’elle est cohérente, en accord avec les faits et d’en apporter les preuves, pas à ReOpen911.
    Dans le cas présent, certains éléments de l’article montrent un aspect méconnu du 11/9 avec ce vol UA23 et aussi des contradictions d’une personne haut-placée dans l’administration US, le tout n’ayant, encore une fois, fait l’objet d’aucune investigation ultérieure.

    –GV

  • Doctorix

    Gonzague fait bien semblant de ne pas comprendre l’évidence.
    Les « pirates » sont un leurre, une façade, des figurants, des idiots utiles.
    Ils ont été embrigadés pour qu’on puisse dire qu’ils étaient bien là, qu’ils savaient piloter (tu parles,) et que ce sont eux qui ont pointé les avions sur les tours.
    Leur rôle s’arrête là.
    Ce sont des acteurs, qui se font remplacer par des cascadeurs professionnels pour l’opération réelle.
    Celle-ci, (détournement et crash), est menée depuis le sol (un avion peut être piloté depuis le sol par radiocommande, un expert peut gérer jusqu’à 8 avions à la fois, d’autant plus facilement qu’il n’y a pas d’atterrissage prévu, juste un guidage sur objectif, probablement facilité par radio-balises dans les tours).
    Pour le tellstorying futur, il est important qu’il y ait des figurants crédibles en place: c’est leur seul rôle dans l’opération, et c’est pourquoi tout leur parcours aux USA a été soigneusement protégé (arrestations, puis relaxe, facilités d’embarquement, absence de contrôle). En l’absence de ces pantins, et même si on peut se passer d’eux, tout le scénario tombe à l’eau.
    C’est du moins ainsi que je vois les choses, et vous avez le droit de ne pas être d’accord, pas celui de ne pas comprendre ce scénario, parce qu’il est quand même limpide.

  • Vous n’avez sans doute pas tort, mais je ne saisis pas en quoi cette histoire serait en mesure de mettre du plomb dans l’aile de ce que vous appelez « thèse officielle »- mais qui se trouve être en fait un compte rendu des événements.
    Si un cinquième avion n’a pu décoller, le plan des pirates a en partie échoué. Et ni l’une ni l’autre des parties n’avait d’avantages à scander sur les toits cette péripétie.
    Al-Qaida surtout pas, attendu qu’ils ont réalisé un score qui serait excellent au bowling avec 4 boules, mais qui, avec 5, est déjà moins pimpant.
    Le gouvernement américain encore moins, étant données les monstrueuses failles mises à jour dans leurs systèmes de sécurité et qui seraient encore plus alourdies par la présence, non de 19 mais bel et bien de 23 pirates de l’air.

    En gros, cette histoire a tendance à avaliser la fameuse « version officielle », au même titre par ailleurs que celle concernant le vol 93.

  • Supedro

    Gonzague, sur Agoravox tu insultes Reopen et ici dans les commentaires tu fais semblant d’avoir du mal à piger, çà ne m’étonne guere.

    Si tu ne vois pas comment cette histoire de UA23 lamine encore plus la VO à laquelle tu tiens comme une pucelle ménopausée tient à son missel, tu ne peux rien pour toi, et nous non plus.

  • Supedro,
    1- Explique-moi, je te prie, en quoi cette histoire « lamine plus encore la VO ». Je suis de nature curieux et souhaiterais avoir l’avis d’un expert.
    2-J’ai rarement insulté Reopen, mais je l’ai fait et l’avoue bien volontiers. J’ai travaillé entre 2006 et 2007 dans divers journaux d’extrême gauche (« fanzines » serait plus correct concernant les prémisses) qui se repaîssaient bien volontiers de théories telles que celles proposées par reopen, à savoir des thèses sans fond, sans substance, sans rien d’autre qu’une puissante foi. Bien des concepteurs et rédacteurs de ces revues ou journaux étaient tellement aveuglés par leur haine qu’ils en oublaient la logique simple. Reopen faisait partie des fers de lance de ces mouvances qui nous détournaient du but principal et qui avant tout tendaient à accuser un coupable dans l’absolu d’un crime qu’il n’avait pas commis. Je ne peux donc m’empêcher de lâcher sur eux ma rancoeur. Car accuser un criminel d’un crime qu’il n’a pas perpétré reste le meilleur moyen de l’absoudre dans l’absolu.

    Et enfin, pour répondre à Doctorix, votre scénario est sympa, mais qui l’a écrit ? Si je devais aujourd’hui prétendre qu’il s’agissait de simples accidents de circulation, cette phrase aurait autant de valeur que vos spéculations (qui ne prennent d’ailleurs pas en compte les mois de travail de milliers d’agents du FBI). Enfin, si ce n’était que des « pantins », pourquoi auraient-ils absolument voulu prendre cet avion ?

  • Doctorix

    Gonzague: arrête de nous bassiner avec AlQaïda. On t’a expliqué cent fois que ça n’existait pas.
    Et la version officielle ne fait pas état de pétards dans les tours, que je sache.Elle ,n’étudie même pas le cas de la tour 7. Elle est donc invalidée d’office.
    La CIA (et non AlQaïda) a raté son coup, grâce à l’esprit éveillé de deux ou trois gusses: le vol 23 et la tour WTC 7 sont un échec cuisant, celui qui démonte toute la VO; qui la met en pièce. C’est le grain de sable dans l’engrenage. Et le vol 23 est la pièce qui manquait au puzzle.
    On ne comprenait pas pourquoi la tour n°7 n’avait pas été percutée: maintenant, on le sait.
    Quand on regarde les films policiers, on voit qu’aucun crime n’est parfait, il ya toujours une petite fêlure dans le scénario, et le criminel est démasqué. Cette félure n°23, une parmi des centaines, vient confirmer ce fait: il n’y a pas de crime parfait.
    Ça doit être dur de reconnaitre qu’on s’est planté pendant des mois, ou des années, je comprends bien. Mais il vaut mieux reconnaitre ses erreurs une bonne fois que de continuer à passer pour un âne en niant les évidences. Je suis certain que quand le déclic se sera fait dans ta tête, quand tu auras trouvé le courage d’observer lucidement les faits, tu seras un de nos plus fervents soutiens. Quand un cocu ouvre les yeux, il devient terrible.
    Errare humanum est, et perseverare diabolicum. Non ?

  • Doctorix

    Une dernière chose: il n’y a eu AUCUNE faille dans le système de sécurité.
    Il était là où il devait être selon les consignes. Il a obéi aux ordres de ne pas réagir.
    Il était programmé pour laisser faire, selon des ordres précis, et il a donc parfaitement rempli sa mission.
    Comme il doit être humiliant, pour ces hommes super-entraînés, hyper vigilants, hyper-réactifs, dévoués à leur mission et pleins du sens du devoir, d’être obligés d’accepter ces critiques injustes et infondées, tout en fermant leur bouche…
    Dur d’accepter les ordres d’un civil même pas élu comme cette ordure de Rumsfeld…Dur de le couvrir…
    Un jour ou l’autre, l’un d’eux parlera, sans attendre la retraite.

  • Doctorix

    Gonzague: ta réflexion est tombée après mon envoi.
    Les pantins dont je parle sont ces jeunes formatés par les groupuscules extrémistes, qui leur lavent le cerveau depuis l’enfance. On les voit dans les écoles coraniques, annonant le coran pendant des heures, en hochant le corps d’avant en arrière du matin au soir à la façon des autistes. C’est une technique de décérébration bien connue.
    On leur met dans la tête pendant des années qu’ils doivent tuer de l’américain (ou n’importe qui, d’ailleurs, du juif, de l’anglais de l’étranger en général). On en fait des machines à tuer, en leur promettant le paradis. On en fait des kamikazes.
    Les américains et les russes ont parfaitement étudié ces techniques de programmation mentale, et s’en servent pour divers assassinats politiques. L’assassin de Robert Kennedy avait subi ce genre de programmation mentale, et n’avait aucun souvenir de son acte.
    Quand au scénario, comment demander à ses auteurs, CIA et FBI, de mener l’enquête à son sujet? Est-ce qu’on demande à Al Capone d’enquêter sur ses crimes, et est-ce qu’on peut croire sa version des faits?
    Le FBI étant juge et parti, il ne saurait être crédible. Il est payé pour faire là où on lui dit de faire. Plutôt que d’enquêter, il songe surtout à couvrir ses bavures, comme des flics dans un commissariat quand il y a du sang sur les murs.
    Cependant, certains de ses membres commencent à parler. Le remords, peut-être, ou la prise de conscience qu’ils ont été manipulés.
    « Des thèses sans fond, sans substance, sans rien d’autre qu’une puissante foi », dis-tu??? Des milliers de documents puissament étayés sont ici, sur ce site, pour démontrer l’inanité de cette assertion. Les preuves abondent, et convaincraient n’importe quel jury: mais on se garde bien de faire ce procès.

  • Doctorix

    Pardon à tous d’insister, mais ce sujet me passionne.
    J’ai parlé du contrôle mental de Sirhan Sihran, soi-disant assassin de Robert Kennedy (touché d’au moins une balle derrière la tête quand son « assassin » lui faisait face et treize balles tirées quand son chargeur en contenait 8): voici une document qui en parle, et dont je recommande la lecture:
    http://dondevamos.canalblog.com/archives/2012/01/05/23175269.html
    Il n’y a pas d’AlQaïda sans CIA, ni de CIA sans AlQaïda. Les techniques des extrêmistes islamistes et de la CIA convergent.
    Vous auriez tort de sous-estimer les techniques scientifiques de la CIA, qui vont bien au-delà de tout ce que vous pouvez imaginer. Avec eux, le pire est toujours sûr.

  • Laurent

    @ Gonzague

    Comme vous avez l’air de connaître ce site, j’admire votre capacité à laisser filer moult informations de tout premier plan sur Reopen, sans broncher pendant très longtemps (probablement par manque d’argumentation étayée), puis soudainement tenter de mettre le pied dans l’entrebâillement de la porte au sujet de cet article, simplement parce qu’il permet à juste titre plus d’une seule interprétation, et que son sujet (quoi qu’important) ne soit pas centralement accablant contre la VO.

    Ce n’est pas fair-play.

    Si vous voulez réellement vous frotter à de l’argumentation lourde et scientifiquement irréfutable, ne réagissez pas sur les points périphériques ou de recoupement, et allez plutôt voir de ce côté :
    http://www.youtube.com/watch?v=rVCDpL4Ax7I&list=PL3705E482383CCA91&index=2&feature=plpp_video

    Je vous défie de trouver QUICONQUE capable de prouver que cette vidéo ne met pas la VO définitivement HS.
    On parie ? Mais je suppose qu’on peut toujours attendre ! Lol…

  • Sébastien

    @ gonzague: ce qui infirme la théorie officielle, c’est justement que personne n’ai jamais entendu parler de ce vol 23. Quand les journalistes évoquent des « zones d’ombre », parlent-ils de cet aspect? On n’en sait rien, et on ne voit pas pourquoi personne n’en parle si VOUS n’avez rien à cacher.
    Secondairement, j’aimerais bien savoir d’où vous parlez car votre discours arrogant, en tout cas perçu comme tel, ne fais certainement pas autorité. Votre vocabulaire est typiquement reconnaissable: de quelle haine voulez-vous parler? La haine du mensonge? de la guerre? Oui, complètement. Et vous, quelle haine vous pousse donc ici? Qui croyez-vous duper? On pourrait ajouter: qui vous envoie, mais il y a hélas des personnes qui n’ont pas besoin qu’on les pousse pour faire le travail d’autres. Ou avec des motivations qu’on aimerait bien connaitre…

    @ Doctorix, je suppose que vous cherchez le terme cinématographique de « doublure » pour évoquer le rôle de ces quatre terroristes, qui semblent avoir tout fait pour se faire remarquer, d’après le récit des évènements, pour disparaître ensuite dans un nuage de fumée…Cinémagique!

  • IKAR

    Si cet épisode du vol UA 23 s’avère exact (prudence, prudence…) on peut légitimement se demander pourquoi il ne figure pas dans la VO, alors qu’il pourrait s »inscrire sans problème dans le « storytelling » habituel. En revanche, il ne confirmerait en rien la VO, mais prouverait à nouveau une volonté de dissimulation (totalement incompréhensible si la VO est vraie).
    Je comprend le désarroi de gonzague qui constate que nous ne sommes pas aveuglés par une doctrine, et que chaque fait nouveau est abordé ici, même quand il conduit à se poser de nouvelles questions.

  • Pourquoi tous ces faux pirates ici comme sur les autres vols (sauf ceux du vol 93) avaient-ils choisi, au terme de leurs tribulations, d’aller à Los Angeles ?
    Un lieu de rendez-vous commun ?
    Un même aéroport où faire atterrir ces avions ?
    Il devait manquer quelques doublures d’avion pour que l otur 7 ne soit pas percutée…

    Plusieurs autres suspects – ou pigeons instrumentalisés – furent interrogés, arrêtés brièvement et parfois
    déportés pour avoir eu un comportement bizarre après que leurs avions (vols
    133 vers Los Angeles, 142 depuis Kennedy, 43
    depuis Newark) aient été annulés pour des raisons techniques ou à cause des
    autres détournements.

    Les dénommés Ayub Ali Khan et Mohammed Jaweed Azmath, des musulmans pakistanais venus d’Inde
    étaient à bord du vol AA43 programmé au départ de Newark pour Los
    Angeles à 8h10, soit dix minutes après le vol UA93 au départ du même
    aéroport. On les avait interpellés le lendemain dans un train en possession
    de cutters, de faux papiers, de teinture pour les cheveux, et de 5600 $ en
    cash (contre 4700$ pour d’autres suspects arrêtés avec des faux passeports le 11 septembre).

  • Supedro

    La tour 7 n’a pas été mentionnée dans la VO.
    Les 25 exercices du jour ne sont pas dans la VO.
    Le vol UA23 n’a pas été évoqué dans la VO.
    Les témoignages multiples d’explosions avant et pendant les effondrements des WTC n’ont pas été évoqués dans la VO.
    Etc…

    Mais Gonzague la science aime la VO, car elle est officielle, un peu comme un majordome aime naturellement l’ordre.

  • Tarpley rapporte dans « La terreur fabriquée » ( http://www.editionsdemilune.com/laterreurfabriquemadeinusa-p-6.html ) que d’autres combattants d’Al-Qaïda s’entraînaient dans des écoles de pilotage étasuniennes. Il suggère qu’il a pu s’agir de remplaçants, destinés à se substituer aux membres principaux en cas d’indisponibilité, par exemple en cas d’arrestation.

    Par ailleurs, chacun aura donc remarqué qu’à 9h20, la compagnie United Air Lines était au courant du double impact dans les Tours Jumelles. Mais pas les contrôleurs aériens civils, à qui il a fallu 14 et 47 minutes supplémentaires avant d’envoyer une patrouille vers les vols 77 et 93 ( http://www.iceberg911.net/vrac02-chronologie-11-septembre-2001.png ) – et selon la Commission…

  • pdy

    @ Doctorix.
    « On en fait des machines à tuer, en leur promettant le paradis » (ou pas…selon le côté de la guerre où l’on se place)

    Voici ce qu’expliquait Ben Laden en novembre 1996 – et peut-être l’a-t-il préssenti pour le 11-9 ? – au rédac chef d’Al Quds Al-Arabi (interview publiée le 29/30 sept 2001).
    Des gens avaient voulu l’assassiner au Soudan en 1993.
    (Avant l’époque dissolue des drones).
    Une première fois pendant la prière, dans une mosquée.
    Une deuxième fois devant sa maison à une heure où il recevait de la visite au pavillon des hôtes, mais ce jour-là il s’était attardé chez lui – « c’était la volonté de Dieu ».
    L’un des trois assaillants avait survécu.
    Quand on lui demandait qui était derrière cette tentative il répondait :
    « Nous pensons que les régimes dans notre région arabe ont pris la mauvaise habitude d’arrêter arbitrairement les gens, non pour leur soutirer des aveux par la torture, mais pour FORMER toute une fraction de jeunes qui croit à l’impiété de toute la société ».
    « A une autre étape », ces « jeunes » sont « INCITES à assassiner d’autres gens ».

    Mais bon, les Etats n’assassinent pas, leurs services spéciaux n’envoient jamais d’agents provocateurs, ils sont justes « incompétents » et « stupides », comme dirait Cockburn, ou « dépensiers » en matière de sécurité comme dirait Parenti, et Agone est là pour nous rassurer et nous demander de nous calmer :
    http://atheles.org/agone/revueagone/agone47/index.html

  • Article extremement intérressant, même si on ne peut prouver un lien direct entre cet avion potentiellement détournable cloué sur le tarmac et le building 7.

    Cependant les faits ne sont pas anodins, vérifiables par les nombreuses sources, et sont dans le droit fil des omissions et approximations de la version officielle.

    C’est de la bombe !
    A creuser et à faire connaitre.

    Mais attention du côté des approximations, nous aussi. Je constate par exemple que la photo que vous présentez du vol 23 montre un B 747 alors que dans sa version au journal du Delaware, Timmons évoque un B 767…

  • GeantVert
  • Merci pour votre promptitude et votre efficacité.

    J’éspère sincèrement que vous ne l’aurez pas pris comme une critique de votre formidable travail…

    Sans oser le lien avec le building 7, on constate tout de même que l’histoire de ce vol 23 est comparable : des faits gravissimes inconnus du grand public et occultés par la version officielle, le tout après de nombreux revirements et approximations.

    Dans la même veine on a eu depuis l’homme au slip piégé qui passe les contrôles sans visa : juste parce qu’il était accompagné par un homme charismatique et bien habillé …alors qu’il était déjà signalé comme suspect et qu’il avait juste un aller simple.

    Des agents, ou des pions, infiltrés -et exfiltrés si besoin est- à volonté comme cela semble être le cas pour ce qui concerne les 4 hommes du vol 23 . Le mode opératoire est comparable, à mon sens.

    Restons vigilants ! Le 11 septembre est un combat de tous les jours.

  • Fallait-il que les avions suivent une route les menant vers un aéroport intermédiaire (Harrisburg )?

    Autrement, un peu intrigant le coup des bagages non réclamés avec un Coran, des cutters, et des instructions d’Al Qaïda…
    Une complicité d’United Airlines ?

    Quelle était la compagnie qui effectuait les fouilles et les contrôles de sécurité pour United ?
    (Le 2 novembre 2001, pour American Airlines au Terminal 8, c’était « Worldwide Flight Service » (http://www.nydailynews.com/archives/news/kennedy-terminal-evacuated-security-lapse-article-1.917271)

    Le 11/9, une compagnie gérait les contrôles dans les 4 aéroports : Argenbright Security Inc.
    http://www.cnn.com/2001/LAW/10/12/inv.airport.security/

    Argenbright aurait fourni une vidéo du 11/9 pour l’aéroport de Dulles (mais non datée, quant aux vidéos datées pour tous les aéroports, qu’en a-t-elle fait ?).
    Argenbright Security (rachetée par Securicom.com en 2000, l’ancien directeur gardant un poste dans le management) avait recruté – au moins à l’aéroport de Philadelphie sous la responsabilité de Steven Saffer – des dizaines d’anciens prisonniers mal payés allant jusqu’à truquer leurs diplômes et arranger leurs résultats aux tests.
    Des activités « criminelles » en violation des règles de sécurité qui continuèrent largement après une première condamnation en mai 2000…

    Quelqu’un qui avait la même boîte au lettre ou adresse que le Ali Khan susmentionné était un certain Subash Gurung, un jeune népalais sans emploi (ou pas selon les versions) et disant vivre très seul depuis 2 ans.
    En novembre 2001, il fut arrêté à Chicago. Des employés de sécurité d’Argenbright avaient trouvé 2 couteaux sur lui, mais rien dans son bagage pourtant normalement soumis aux rayons X (un bagage donné plus tard ?
    Ce n’est qu’à la porte d’embarquement que des employés d’United Airlines allaient trouver 7 couteaux (pas des cutters!), une boîte avec marqué – lacrymo – et un pistolet incapacitant.

    Or même les imitations d’armes servant à tester les employés de sécurité se détectent.
    C’est donc à se demander si « on » n’avait pas débranché une machine, ou si on ne lui avait pas passé son bagage après les portiques.
    Sa personnalité serait instable. On lui aurait filé des médicaments avant de le déporter pour dépassement de visa .

    En revanche la compagnie de sécurité est restée. Dès après les attentats, Argenbright faisait son retour dans les aéroports sous le nom de AirServ selon http://www.airservcorp.com/history.php
    Voici le dirigeant en 2008 :
    http://www.gpb.org/enterprising-entrepreneurs/episode-101-web

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