Vol 253 : La gigantesque arnaque de l’affaire du ‘kamikaze au slip piégé’

La tentative avortée d’attentat à la bombe à bord du vol Amsterdam-Detroit le jour de Noël 2009 avait été suivie par le déploiement de scanners corporels (Body scanners) dans la plupart des grands aéroports du monde entier, et par une mise au ban du Yémen qui était devenu alors, du jour au lendemain, l’ennemi public numéro un. Selon la version officielle, un jeune kamikaze (Umar) se revendiquant d’al-Qaïda avait réussi à déjouer les procédures de sécurité à Amsterdam et à embarquer avec des explosifs cachés dans son slip, avant de mettre le feu à l’engin à l’approche de Detroit sans réussir à faire autre chose que de se bruler les testicules et de se faire arrêter après l’atterrissage. Son procès s’ouvre demain et l’affaire semble entendue, cette version officielle prévaudra. Pourtant, depuis le début, un couple d’avocat qui a embarqué à Amsterdam et qui a été témoin de cet incident raconte à qui veut l’entendre une tout autre histoire (Voir vidéo en fin d’article). Ils expliquent qu’un autre homme, habillé élégamment, a escorté Umar en lui faisant contourner les portiques de sécurité de l’aéroport d’Amsterdam sans qu’il ait à présenter de passeport. Un témoignage extrêmement embarrassant pour les autorités. Du coup, personne ne veut plus entendre ces témoins gênants. Et surtout pas la Cour de justice américaine qui s’apprête à juger ce jeune kamikaze.

 

Umar Farouk Abdul Mutallab :  un kamikaze manipulé par les services secrets US ?

 


La gigantesque arnaque de l’affaire du « kamikaze au slip piégé »

Introduction de Pino cabras, sur Megachip, le 26 sept. 2011

Traduit de l’italien par GV pour ReOpenNews

Vous vous souvenez du « kamikaze au slip piégé » ? Le jour de la Saint Silvestre 2009, un jeune Nigérian de 23 ans, Umar Farouk Abdul Mutallab, fils d’un des hommes les plus riches d’Afrique, tente de faire sauter un avion reliant Amsterdam à Détroit au moyen d’un paquet d’explosif caché dans son slip. L’attentat échoue et il se brûle [les couilles]. Une fois capturé, il déclare appartenir à al-Qaïda et s’être entraîné au Yémen. Voilà la version définitive parue dans tous les médias du monde entier. Tout est donc clair, non ? En fait, c’est tout le contraire.

Nous disposons de témoins qui depuis le début ont essayé de faire connaitre une version totalement discordante avec les récits communément admis. Il s’agit en particulier de deux passagers – les avocats Kurt et Lori Haskell, mari et femme – qui témoignent depuis le début d’une histoire stupéfiante. Nous en avions parlé à l’époque sur Megachip [et sur ReOpenNews – NdT] dans deux articles : (“Le false piste terroristiche e le nuove guerre[1], et “Ammissioni governative: Mutanda Bomber è stato fatto entrare deliberatamente”). Nous en parlons également dans un chapitre du livre « Barack Obush ».[2] Bien que quelques grands médias américains n’aient pas pu éviter d’en parler du moins au début, tous les correspondants italiens à New York et à Washington ont décidé immédiatement et pour toujours que les époux Haskell n’existaient pas. Pourtant, ils s’expriment de façon circonstanciée et extrêmement précise.

Ces jours-ci s’ouvre le procès du « kamikaze au slip piégé ». Kurt Haskell revient sur cette affaire absurde, qui montre, comme d’autres épisodes survenus pendant cette décennie, l’utilisation systématique de menaces terroristes qui ne tiennent debout que grâce à la collaboration des appareils gouvernementaux et des grands médias, et qui sont destinés à augmenter le niveau d’adrénaline chez les citoyens, à leur faire accepter des doses toujours plus massives de contrôle [sécuritaire] et les rendre plus dociles vis-à-vis des grandes menaces.

Vous pouvez lire ci-dessous l’article rédigé par ce même Haskell. C’est un témoignage qui a un certain poids. Pour ceux qui suivent l’actualité post-11-Septembre, cela vient confirmer qu’il ne suffit pas d’avoir des « gorges profondes » pour faire tomber des systèmes capables de s’auto-réguler par des « silences » stratégiques. C’est pourquoi nous avons choisi de traduire ce témoignage crucial : pour essayer de rompre ce silence, et remettre en perspective les récits qui nous ont été imposés.

Pino Cabras

 

Traduit de l’italien par GV pour ReOpenNews


La gigantesque  arnaque de l’affaire du « kamikaze au slip piégé »

Par Kurt Haskell, source haskellfamily.blogspot.com, le 13 septembre 2011

Traduit de l’italien par GV pour ReOpenNews

Alors que l’on procède à la sélection des jurés en vue de l’ouverture demain du procès du « kamikaze au slip piégé », j’ai passé ma soirée à repenser à ce Noël 2009 et aux 21 mois écoulés depuis. Cet attentat a définitivement changé ma vie. Pas dans le sens que la plupart d’entre vous pourraient imaginer ; cela a fait s’écrouler toute la confiance que je portais au gouvernement des États-Unis, aux médias et à ce pays dans son ensemble.

Dire que je suis convaincu que le gouvernement est corrompu et que les médias sont ses complices ne reflète pas pleinement ma pensée. Bien sûr, je suis arrivé à ces conclusions, mais j’ai pu expérimenter la façon dont on peut faire taire n’importe quelle personne qui a vu quelque chose, malgré tout sa détermination à faire connaître la vérité.

C’est ce qui s’est passé dans cette affaire du « kamikaze au slip piégé ». Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire en lisant le slogan de la nouvelle politique de la TSA (l’agence gouvernementale en charge de la sécurité des transports – NdT) qui est : « Si tu vois quelque chose, dis quelque chose ». C’est exactement ce que j’ai fait !

Non  seulement le gouvernement US n’a pas voulu écouter ce que j’avais à dire, mais il a menti effrontément et a essayé de me faire changer ma version des faits et de cacher la vérité, en occultant des preuves (sur les activités secrètes du gouvernement), et en imposant le secret sur des éléments de preuve et sur tout ce qui aurait pu ettayer ma version.

Où en sommes-nous aujourd’hui ? Nous avons un kamikaze au slip piégé (Umar) qui assure lui-même sa défense, avec l’aide de l’avocat commis d’office Chambers. L’avocat Chambers m’a expliqué que s’il avait été l’avocat d’Umar, la défense aurait plaidé l’ « Entrapment », (NdT : littéralement le « piège », autrement dit un système de défense où l’accusé plaide « non coupable » sur la base du fait qu’il n’aurait pas commis le crime s’il n’avait pas été poussé à le commettre par des agents de la Force publique) et j’aurais été un témoin-clef. Bien évidemment, un tel système de défense aurait mis en lumière l’implication du gouvernement US dans cette affaire.

Il est bien trop commode d’avoir Umar qui se défend tout seul, de gérer sa défense, de décider quelles preuves présenter, quels témoins appeler à la barre et quelles questions leur poser. Un procès où Umar assure lui-même sa défense laissera dans l’ombre et pour très longtemps les aspects essentiels de cette affaire.

Je suis convaincu qu’Umar a décidé de virer ses avocats pour des raisons qui ne correspondent en rien avec le fait qu’il soit un terroriste fou. C’est tellement commode que ce soit l’entité qui a mis en scène l’événement qui en contrôle également les preuves, les informations qui doivent filtrer dans les médias, le choix des procureurs, et même la prison où Umar est resté enfermé depuis 21 mois. N’oublions pas que le gouvernement US a reconnu avoir soumis les terroristes au Waterboarding et à la torture. Vous commencez à voir s’assembler les pièces du puzzle ?

Il ne fait aucun doute qu’Umar a tenté de faire exploser un engin (certes défectueux) sur le vol 253. Umar n’est pas innocent. Mais il conviendra de savoir si la complicité d’Umar – que je présuppose – avec la pièce de théâtre qui se déroule sous nos yeux, a commencé avant ou après les faits de Noël 2009. Cela n’est pas essentiel, mais vous devez comprendre qu’il est désormais complice de la dissimulation de la vérité sur les faits de Noël 2009. Il n’y a pas d’autre explication au fait qu’Umar ait décidé de se défendre seul, en refusant d’adopter le système de défense de l’ « Entrapment » (puisque c’est ce que j’ai appris qu’il allait faire). 

Pour ceux qui ne croiraient pas ce que je dis, sachez que je ne lance aucune affirmation sans y avoir longuement réfléchi et sans avoir fait des recherches approfondies. Je suis absolument convaincu qu’Umar a été escorté pour contourner les dispositifs de sécurité et qu’un agent des services secrets US lui a délibérément fourni un engin explosif défectueux. La bombe n’était pas destinée à fonctionner, mais plutôt à créer une « simulation d’attentat terroriste » ou une « attaque sous fausse bannière » (False Flag) si vous préférez. En décembre 2009, le gouvernement US n’avait pas subi d’attaque terroriste depuis 8 ans, et il devenait de plus en plus difficile de dépenser des centaines de milliards de dollars par an contre le terrorisme et de continuer à combattre dans deux guerres illégales justifiées par la lutte au terrorisme.

Ceux qui se remplissent les poches avec la guerre au terrorisme ne voulaient pas perdre leur poule aux œufs d’or.

Et voilà que survient le « kamikaze au slip piégé ». Un autre avantage de trouver une bombe défectueuse dans les sous-vêtements d’Umar fut de placer des « Body Scanners »  (scanners corporels) dans tous les aéroports. Comme ce fut commode pour Michael Chertoff, un ancien dirigeant de la DHS, d’avoir des relations dans les sociétés qui produisent ces Body scanners ! Je doute que cela ait été le fruit du hasard. Encore une fois, des milliards de dollars allaient sortir des caisses du gouvernement US pour acheter des machines Body scanners  garantes de notre sécurité.

Ce dont nous disposons aujourd’hui sont des fragments de l’histoire du kamikaze au slip piégé, qui une fois assemblées, peuvent commencer à former une image un peu plus claire de ce qui s’est réellement passé ce jour-là.

À ceux que cela intéresse, je recommande de prendre le temps et de regarder les preuves plutôt que d’écarter tout ça de la main et de rester dans une position de déni.

La vérité, c’est que votre gouvernement des États-Unis a organisé un faux attentat terroriste dans le but de voler vos taxes et vos droits dérivant du 4e amendement, de façon à pouvoir procéder aux fouilles et arrestations abusives.

Je vous conjure de prendre en considération les points suivants avec un esprit ouvert, et de mesurer à quel point ce genre de comportement doit absolument cesser.

Mes réflexions sur cette affaire et la liste d’anomalies qui diffèrent de la version officielle des événements sont basées sur : a) de nombreuses discussions avec d’autres passagers, b) ma propre expérience en tant que témoin, c) des discussions avec l’avocat commis d’office d’Umar, d) les centaines d’articles relatant cette histoire, e) les éléments de preuves que m’ont fourni certaines personnes « au courant » ou qui se sentaient tout simplement concernées par cette affaire, et f) des enregistrements officiels lors d’auditions auxquelles j’ai assisté.

L’ordre dans lequel les anomalies ci-dessous sont listées n’a pas de signification particulière.

1.    En décembre 2010, Chambers a déclaré au journal Detroit Free Press que les experts gouvernementaux en explosifs avaient conclu qu’il était impossible que cette bombe puisse fonctionner. Plus tard, Free Press retira cet article de son site Web, mais n’a pas retiré d’autres articles plus anciens sur le kamikaze au slip piégé.

2.    Peu après cette affaire de kamikaze au slip piégé, le FBI a admis avoir fourni des engins explosifs défectueux aux poseurs de bombe de Noël à Portland et de Wrigley Field

3.    Le commentaire de Janet Napolitano sur le « système qui a fonctionné » fut un lapsus freudien

4.    L’avion s’est garé devant la porte d’embarquement. Les passagers n’ont pas été autorisés à descendre de l’avion pendant 20 à 30 minutes (la bombe se trouvait-elle toujours dans l’avion ?). Il y avait du matériel explosif supposé être réparti un peu partout dans la cabine de l’appareil. Personne n’a pris aucune mesure pour mettre les passagers en sécurité ou pour s’assurer que les « explosifs » ne présentaient aucun danger pour les passagers. Ceci constitue la preuve d’une pré-connaissance du fait qu’il n’y avait aucun danger pour les passagers.

5.    La TSA a reconnu avoir pris connaissance de la menace lorsque l’appareil était au-dessus du Canada ou de l’Océan Atlantique. Aucune mesure n’a été prise pour avertir le pilote ou pour détourner l’appareil vers une piste d’atterrissage d’urgence sur un autre aéroport.

6.    En tant que témoin direct, mon propre souvenir de l’homme bien habillé et tous les témoignages relatifs à cet homme. Il n’y a aucune explication rationnelle au comportement de cet homme, mis à part l’implication du gouvernement. Les vidéos de l’aéroport n’ont jamais été divulguées et restent secrètes par ordre de la Cour.

7.    La publication à répétition de la photo figurant sur le passeport d’Umar dans les médias. Cela fut fait dans un seul but : tenter de me discréditer. Pourquoi autant d’efforts pour montrer une photo de passeport dans les médias ? Dans aucune autre affaire, une telle photo ne fut ainsi diffusée dans les médias. Une copie du supposé passeport d’Umar, cependant, n’a été fournie à Chambers qu’en juin 2011. Si le passeport a été communiqué à l’avocat de la défense avec 19 mois de retard, c’est tout simplement pour limiter ses possibilités de faire vérifier son authenticité par des experts.

8.    L’explication concernant le cameraman n’est pas crédible. Il a commencé par filmer le ciel juste avant que ne commence l’attentat et il a filmé la scène du début à la fin. Nous pensions tous que nous allions mourir. Filmer la scène était vraiment la dernière chose à laquelle nous pensions.

9.    Le 5 janvier 2010, Breibart a publié un article qui indiquait que le gouvernement avait visionné plus de 200 heures de vidéo provenant des caméras de l’aéroport et que les images ne montraient aucune présence d’un complice. Cet article est contredit par un autre, publié par Bryan Ross sur ABC, qui explique que « le gouvernement recherche l’identité d’un homme qui a aidé Umar à Schiphol (l’aéroport d’Amsterdam – NdT) ». L’article oublie de mentionner que cet « homme élégamment habillé » a accompagné Umar pour lui faire traverser les postes de sécurité sans qu’il y ait contrôle du passeport et a au contraire essayé de dépeindre cet homme comme appartenant à al-Qaïda. Le gouvernement se contredit lui-même dans ces deux histoires et tente dans chacune d’elles une bien pitoyable dissimulation des faits.

10.    Umar est accusé de complot. Les noms ou le rôle des complices ne sont jamais mentionnés. Ils ne figurent pas dans la liste des personnes recherchées et personne n’en parle. La raison est que ce sont des agents secrets américains.

11.    Le porte-parole des Douanes Ron Smith a modifié sa version officielle pas moins de 5 fois concernant le deuxième homme mis en garde à vue à Detroit. Il a ensuite envoyé un email de plates excuses aux médias. Mon histoire concernant cet homme n’a jamais varié. Ron Smith a finalement renoncé à mentir et a cessé d’évoquer cet homme qui a de toute façon été vu par la quasi-totalité des passagers.

12.    Pourquoi les images des sous-vêtements d’Umar ont-elles constamment été publiées par les médias ? Ces images montrent les sous-vêtements d’Umar pratiquement intacts. J’ai lu d’une source crédible qu’à cause de cet incident, Umar « ne pourrait jamais avoir d’enfants. » Ce fait ne colle pas avec les images des sous-vêtements utilisées pour la  propagande et pour renforcer la dissimulation.

13.    L’accusation a systématiquement bloqué la communication de preuves à l’avocat commis d’office d’Umar, et dans certains cas, les a fournis en retard. Pourquoi ?  Si Umar est un terroriste débutant, qu’est-ce que le gouvernement peut bien vouloir cacher à la défense ? Il me semble que si l’histoire officielle est vraie, alors c’est une affaire simplissime qui sera traitée rapidement. On dirait que le gouvernement ressent le besoin de se protéger contre les plaintes au civil de la part des passagers.

14.    Pourquoi Chambers a-t-il dit et répété qu’Umar avait un système de défense tout à fait valide ? La réponse est le système de l’ « entrapment »

15.    Certaines dispositions du Patriot Act devaient se terminer juste avant Noël 2009. Le vote du Congrès pour les prolonger a été remis à février. Les Body scanners avaient déjà été achetés et attendaient dans les entrepôts. Michael Chertoff, l’ex-chef du Département de la Sécurité intérieure est très lié avec l’industrie de ces scanners corporels. Les USA n’avaient pas eu d’attaques terroristes entre 2001 et le jour de Noël 2009. Un nouvel attentat terroriste était nécessaire pour équiper les aéroports de ces appareils.

16.    Si le vol 253 s’était crashé, personne n’aurait su que la bombe était dans les sous-vêtements d’Umar. Il fallait que l’attentat échoue, pour bien montrer où était l’engin explosif. C’était important pour faire comprendre au peuple américain que les Body scanners étaient nécessaires pour éviter de futurs attentats.

17.    L’histoire selon laquelle Umar s’est procuré sa bombe dans un autre pays et l’a endossée seulement à l’aéroport d’Amsterdam n’est pas logique. Il est beaucoup plus probable qu’on lui a fourni l’engin défectueux à l’aéroport même ou tout près de là. Il est très probable que le 2e homme mis en garde à vue lui a donné la bombe à Schiphol. Ma théorie est que les chiens renifleurs d’explosifs (que nous avons vus) à Detroit ont détecté des résidus d’explosifs dans son bagage quand nous avons atterri.

18.    Umar aurait pu être stoppé à Amsterdam après avoir embarqué et être accusé de divers chefs d’inculpation qui auraient pu déboucher sur un emprisonnement à vie. Au lieu de cela, on l’a laissé entrer dans l’espace aérien des USA et y actionner sa bombe au moment où il survolait Detroit le jour de Noël, de façon à créer un scoop médiatique en mesure de justifier les Body Scanners.

19.    Comment Umar a-t-il réussi à réserver une fenêtre près d’un hublot tout près du réservoir de l’avion s’il a réellement payé son billet cash ? (il faut payer avec une carte de crédit pour pouvoir choisir sa place en cabine)

20.    Pour d’autres attentats, les vidéos sont diffusées en quelques heures. Dans ce cas, les images des caméras n’ont jamais été rendues publiques. Notez bien que Schiphol a plus de caméras de surveillance que n’importe quel aéroport dans le monde.

21.    La bombe a été mise à feu en cabine et non dans les toilettes, de manière à ce qu’on puisse filmer la scène et créer un événement médiatique plus important que s’il s’était agi d’une bombette allumée dans les WC.

22.    Le discours d’Obama « sur l’échec à relier tous les éléments » ne tient pas face au témoignage de Patrick Kennedy du Département d’État. Kennedy a expliqué en long en large et en travers que le gouvernement surveillait Umar mais n’a pas révoqué son visa afin de lui permettre de le suivre aux États-Unis. Ceci constitue presque un aveu du fait qu’on l’a laissé entrer exprès aux USA.

23.    Le témoignage de Michael Leiter devant le Congrès montre que le gouvernement US laisse fréquemment des terroristes entrer aux USA

24.    Début 2010, un certain M. Wolf est apparu au Keith Olberman Show et a indiqué que l’administration Obama étudiait la possibilité que l’attentat ait été piloté par une agence de renseignements US.

25.    Regardez le témoignage de Patrick Kennedy devant le Congrès (disponible sur Internet) et observez comment il cherche ses mots pour éviter de dire qu’il s’agissait d’un complot délibéré des services secrets américains.

26.    La police militaire hollandaise a initialement affirmé qu’Umar n’était pas passé à travers les mesures normales de sécurité. Cela n’a été rapporté qu’une seule fois.

27.    Pourquoi un passager m’a-t-il appelé en janvier 2010 pour tenter de me convaincre que je n’avais pas vu Omar être accompagné et contourner les portiques de sécurité, mais qu’au contraire j’avais vu un enfant être emmené pour passer ces contrôles de sécurité. Ce n’est pas vrai. J’ai découvert après coup que ce passager travaille pour un sous-traitant qui fait pas mal de business avec le Département de la Défense.

28.    Pourquoi les médias mainstream persistent-ils à ne pas enquêter sur cette histoire et à ne pas parler de mon témoignage oculaire ?

29.    Un deuxième passager (une femme) m’a contacté et a confirmé mon récit de l’homme élégamment habillé.  Elle avait peur et a refusé d’aller plus loin.

30.    Pourquoi pratiquement tous les passagers ont-ils refusé de s’exprimer à propos de cette affaire ?

31.    Pourquoi la plupart des passagers travaillaient-ils pour l’armée, le gouvernement ou des sous-traitants de l’administration ?

32.    Pourquoi l’accusation a-t-elle affirmé lors d’une récente audition qu’elle conservait pour elle certaines preuves qui devaient rester secrètes (top secret ?). Qu’est-ce qui peut bien être aussi secret si le gouvernement n’est pas impliqué dans le complot ?

33.    Pourquoi le site Web du journal Detroit Free Press a-t-il supprimé tous les articles sur le kamikaze au slip piégé qui appuyaient ma version de l’histoire, et a conservé les autres qui appuient la théorie officielle ?

34.    Il est regrettable de voir que le procès à venir ne sera rien d’autre qu’une farce et une nouvelle mise en scène pour dissimuler la vérité et inoculer le mensonge dans l’esprit des gens.

Kurt Haskell

 

Traduit de l’italien par GV pour ReOpenNews


 

Vol Amsterdam-Détroit : CNN interview des… par ReOpen911

 


Notes ReOpenNews :

  1. Cet article a été traduit dans nos pages : Megachip : Les fausses pistes terroristes et les nouvelles guerres
  2. Lire le tout dernier livre de Giulietto Chiesa et Pino Cabras "Barack Obush" (Ponte alle Grazie, 2011).

 

 

 

 

 


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