11-Septembre : le « laisser-faire » est « le plus plausible » pour John Pilger

Le front de la remise en cause de la version officielle du 11/9 se déplace actuellement dans le milieu journalistique anglo-saxon. Après Robert Fisk, Eric Margolis – et les récentes avancées sur Fox News suite à la campagne télé "Building What?", voici une nouvelle figure du journalisme qui fait publiquement part de ses doutes sur la version officielle du 11-Septembre. John Pilger n’est pas n’importe quel journaliste. Plusieurs fois récompensé des plus grands Prix de journalisme et d’associations des droits de l’homme, il doit sa grande notoriété à son militantisme anti-guerre depuis plus de 40 ans. Récemment interpelé sur la question du 11/9 à Londres, John Pilger reconnaît que l’explication la plus probable de ces événements est la théorie du "laisser-faire", en anglais "Let It Happen On Purpose" ou LIHOP. Autrement dit, d’après John Pilger, ils savaient, mais n’ont rien fait pour empêcher les attentats de se produire.

Mais le message le plus important est sans doute celui que passe John Pilger à ses collègues journalistes de tous pays, à savoir, la responsabilité devant l’Histoire que  tous ceux qui ont une tribune endossent en se taisant ou en continuant de participer à l’immense opération de dissimulation qui a suivi les attaques du 11-Septembre.

 

Le célèbre journaliste australien John Pilger

 


 

11-Septembre : le "laisser-faire" est "le plus plausible" pour John Pilger

par Taike Eilee, AgoraVox, 19 nov. 2010

C’est une nouvelle figure majeure du journalisme d’investigation qui vient de mettre en cause la version officielle du 11-Septembre. Après Robert Fisk (le Britannique) et Eric Margolis (l’Américain), John Pilger (l’Australien) sort à son tour des rails de la pensée conforme. Il se distingue de ses deux illustres prédécesseurs, en ce qu’il ne se contente pas de douter ; il émet une hypothèse dissidente.

John Pilger est un journaliste, scénariste et réalisateur australien. Correspondant de guerre pour le Daily Mirror au Vietnam, au Cambodge, en Égypte, en Inde, au Bangladesh et au Biafra, il a consolidé sa réputation au travers de livres et de nombreux documentaires, parmi lesquels The New Rulers of the World (2001), Breaking the Silence : Truth and Lies in the War on Terror (2003) et The War on Democracy (2007). 

Pilger a obtenu de nombreux prix de journalisme et d’associations des droits de l’homme (le Prix Sophie en 2003), dont, deux fois, le prix britannique du Journalist of the Year. Voici la liste complète de ses récompenses, proposée par Wikipédia :

  • Descriptive Writer of the Year (1966)
  • Reporter of the Year (1967)
  • Journalist of the Year (1967)
  • International Reporter of the Year (1970)
  • News Reporter of the Year (1974)
  • Campaigning Journalist of the Year (1977)
  • Journalist of the Year (1979)
  • UN Media Peace Prize, Australia (1979 – 80)
  • UN Media Peace Prize and Gold Medal, Australia (1980 – 81)
  • TV Times Readers’ Award (1979)
  • United Kingdom Academy Award (1990)
  • The George Foster Peabody Award, USA (1990)
  • American Television Academy Award (’Emmy’) (1991)
  • British Academy of Film and Television Arts – The Richard Dimbleby Award (1991)
  • Reporters Sans Frontiers Award, France (1990)
  • International de Television Geneve Award (1995)
  • The Monismanien Prize, Sweden (2001)
  • The Sophie Prize for Human Rights, Norway (2003)
  • EMMA Media Personality of the Year (2003)
  • Royal Television Society – Best British Documentary for Stealing a Nation (2004)
  • One World Media Awards – TV Documentary Award for his ITV1 film The War on Democracy, on the role of Washington in Latin American politics. (2008)
  • Sydney Peace Prize, Australia (2009)

Cet activiste anti-guerre n’a de cesse de rappeler la responsabilité de ceux qui savent, des "intellectuels", aux misères et aux violences du monde : "Briser le mensonge du silence n’est pas une abstraction ésotérique mais une responsabilité urgente qui incombe à ceux qui ont le privilège d’avoir une tribune."

Le 23 octobre 2010, il était l’invité du Salon du livre anarchiste à Londres. Répondant d’abord aux questions d’un membre du collectif "London Anarchist Bookfair", il s’est ensuite livré au jeu des questions-réponses avec le public présent. Une question de l’assemblée a justement porté sur le 11-Septembre :

 

John Pilger on 9/11 by 9/11 Truth News

En voici la transcription, en anglais : [et la traduction en français - Ndlr] 

Audience Question : “I would like to ask your views on theory that the US government was complicit in or even perpetrated the attacks on 9/11 to gain support for criminal [inaudible] Afghanistan and Iraq ?”
 
John Pilger : “I think there is a lot of evidence that certain elements in the Bush administration, whether by intent or by or by their own arrogant incompetence, I don’t know, let things happen. I think there is enough evidence to…
 
We know the senior FBI people who gave warnings right throughout 2001. We know about the extraordinary inactivity by the NORAD aircraft on the day of September 11th. We know that Cheney was in charge of the White House on that day.
 
I think the most plausible is the “let it happen”, now at what stage it was let happen, I don’t know, I don’t know. But certainly that seems to me, the most plausible.
 
There is no doubt that 9/11 became the opportunity for a new “Cold War” basically, only called the “War on Terror”. But beyond that I wouldn’t want to…” 
Question du public : “Je voudrais vous demander ce que vous pensez de la théorie selon laquelle le gouvernement US était complice, voire a perpétré les attentats du 11-Septembre, afin d’obtenir le soutien pour ses [inaudible] criminelles en Afghanistan et en Irak ?

John Pilger : « Je pense qu’il y a de nombreuses preuves que certains éléments de l’administration Bush, soit intentionnellement soit par leur propre incompétence arrogante, je ne sais pas, ont laissé les choses se produire. Je pense qu’il y a suffisamment de preuves pour…

Nous connaissons certains responsables du FBI qui ont envoyé des avertissements au sujet du 11-Septembre. Nous savons l’extraordinaire immobilité des avions du NORAD le jour du 11-Septembre. Nous savons que Cheney était en charge de la Maison Blanche ce jour-là.

Selon moi, le plus probable est le « laisser-faire », maintenant, quel niveau a été atteint par ce « laisser-faire », je ne le sais pas. Je ne sais pas. Mais ça me paraît le plus plausible.

Il ne fait aucun doute que le 11-Septembre a occasionné une nouvelle « guerre froide », en fait, que l’on a appelé « guerre au terrorisme ». Mais au-delà de ça, je ne voudrais pas….

 

Ce passage se situe à partir de la 45e minute de la discussion intégrale.

Pilger se voit donc demander ce qu’il pense des théories qui imputent au gouvernement américain la responsabilité – partielle ou totale – des attaques du 11-Septembre, dans le but de gagner le soutien de l’opinion pour les guerres d’Afghanistan et d’Irak. Et le journaliste de répondre, certes avec prudence, que l’hypothèse du "laisser-faire" lui paraît la plus plausible ; mais sans qu’il sache dire à quel stade on a pu laisser-faire, ni si cette inaction était bel et bien volontaire ou due à l’incompétence et à l’arrogance de l’administration Bush.

En tout cas, celle-ci avait les moyens d’agir en amont des attaques, et ne l’a inexplicablement pas fait. Pilger rappelle, à titre d’exemples, les avertissements négligés d’agents du FBI, l’extraordinaire inaction de la chasse américaine durant les attentats, et le fait que le vice-président Dick Cheney était aux commandes de la Maison Blanche ce matin-là.

Il aurait également pu rappeler l’opération Able Danger, qui avait permis l’identification de la cellule de Mohamed Atta (dite "de Brooklyn") dès janvier 2000, avant que le Pentagone n’empêche ses agents, comme le lieutenant-colonel Anthony Shaffer, de partager leurs informations avec le FBI, en vue du démantèlement de la cellule terroriste.

Le 9 octobre 2010, le lieutenant-colonel Anthony Shaffer, justement, et l’ex-officier de la CIA Michael Scheuer étaient les invités de "Freedom Watch" sur Fox News ; ils ont tous les deux soutenu qu’il y a eu camouflage sur le 11-Septembre "au plus haut niveau du gouvernement" et que la "Commission d’enquête sur le 11 Septembre et les Commissionnaires étaient juste là pour dissimuler les faits". Scheuer allant jusqu’à dire que le rapport de la Commission était "une diversion et un mensonge du début à la fin".

 


FoxNews: L’enquête 11/9, une supercherie selon 2 OfficiersUS
envoyé par ReOpen911. – L’info video en direct.

 

Mais que s’agissait-il de dissimuler ? Sa négligence, un laisser-faire (comme l’envisage Pilger), ou davantage ? Telle est l’éternelle question.

 

Taike Eilee

AgoraVox, 19 nov. 2010

 


 

En lien avec cet article :

  • Un ancien officier du Pentagone dévoile le rôle clé de Zelikow dans le camouflage de la vérité du 11/9AlterInfo | 18 octobre
  • Des arguments supplémentaires plaident pour une nouvelle enquête sur le 11-Septembre | Jon Gold, sur OpedNews | 27 oct.
  • La chaine américaine Fox News évoque une opération de dissimulation pour le 11-Septembre | Catherine Herridge, sur Fox News | 6 oct.
  • Le 11-Septembre, mère de toutes les coïncidences ? | Eric Margolis sur son Blog | 23 sept
  • Robert Fisk: Le fléau que les Américains laissent derrière eux en Irak | Robert Fisk, The Sunday Independent | 15 sept.
  • Les Avocates du 11 Septembre : Lettre 3/12  | ReOpenNews | 31 août Quatre kamikazes du 11-Septembre avaient été identifiés un an avant les attentats | Eric Leser dans Le Monde, | 11 août 2005, repris sur Spyworld Actu le 23 août 2007. 
  • Attentats du 11 septembre 2001 : la version officielle est un mythe | Pascal Sacre dans Le Grand Soir | 24 mai 2010

Et aussi les dossiers suivants :

 

 

8 Responses to “11-Septembre : le « laisser-faire » est « le plus plausible » pour John Pilger”

  • luisa

    Il faut quand même féliciter M. Pilger pour son courage. Cependant, s’il croit en la théorie du « laisser-faire », comment peut-il expliquer l’écroulement des tours en chute libre?
    On « ose » parler quelque peu mais malgré tout, on a peur de s’avancer.

    Encore aujourd’hui, Ahmadinejad a demandé à ce qu’un tribunal d’enquête soit mis sur pied et il a promis d’en parler lors de la prochaine réunion sur son programme nucléaire qui aura lieu en décembre.

    Il a beaucoup de « couilles » M. Ahmadinejad mais il devra faire vite avant que la coallition Israel/USA le fasse taire pour de bon.

    Je ne crois que les pays de l’OTAN soient intéressés à une nouvelle enquête puisque ces pays sont en Afghanistan justement à cause de ce grand mensonge.

  • duplo

    Beaucoup de ceux qui réfutent l’idée d’un complot interne acceptent de façon plus ou moins franche, plus ou moins consciente l’idée que des membres de la CIA et quelques membres du gouvernement savaient ce qui se préparait. C’est une solution acceptable pour les journalistes et tous ceux qui défendent la version officielle car une telle hypothèse ne pourra jamais être prouvée alors à quoi bon en parler.
    L’hypothèse du laisser ces attentats se perpétrer sur le sol américain est pourtant la plus insensée. Ce point est la clé à mes yeux.
    Plaçons nous dans l’hypothèse d’une complicité interne. Appelons X une personne qui appartient au gouvernement US. (une enquête devrait montrer l’implication de X à l’origine de la présence du groupe de Mohammad Atta sur le sol américain. Impossible de réaliser ou laisser faire une telle opération sur le sol américain sans trouver un coupable à désigner). X pouvait faire surveiller le groupe d’Atta mais il ne pouvait contrôler le déroulement précis des faits. Or, laisser des Boeing percuter les tours du WTC en plein New York à n’importe quelle heure de la journée était absolument impensable. Ces tours étaient occupées par en moyenne 50 000 personnes dès la fin de matinée dont sans doute des personnalités importantes. Comment être sûr du déroulement des faits? Comment empêcher ces avions de frapper les tours à, disons, 4h pm, et à hauteur du 20ème étage par exemple? Dans cette hypothèse, il eut été impossible d’évacuer les occupants des tours. Cisaillées à cette hauteur, les tours se seraient effondrées en basculant comme des quilles sur le coté causant encore d’autres destruction désastreuses aux alentours. C’est quoi 10, 20, 30000 victimes ? Plus? Une ville dévastée en moins d’une demi heure sans doute (la cause n’étant pas l’incendie mais le poids et le cisaillement près de la base. De même pour le Pentagone! X pouvait-il laisser un Boeing percuter l’édifice du coté des bureaux de Donald Rumsfeld? Pour X l’alternative était en réalité la suivante. Empêcher par tous les moyens cet attentat meurtrier sur le sol américain ou prendre la main, se substituer à l’équipe d’Atta afin de contrôler le déroulement des opérations. Dans ce second cas, X limite le nombre des victimes et au lieu d’envoyer un message de totale vulnérabilité à ses ennemis (et d’encourager des attentats), X envoie au contraire un message fort: « Cette plaie, nous pouvons nous l’infliger nous même dans le seul but de vous atteindre ». Il n’était pas possible de laisser cet attentat se perpétuer librement d’autant plus que ceux ci avaient de fortes chances d’échouer. Pour X et ses complices, il eut fallu mobiliser davantage de complicités pour aider des terroristes à commettre ces attentats, que de les faire réaliser soi même (a minima détourner 4 avions)
    X a très bien pu n’envisager que quelques centaines de morts ou même moins, c’est peut être le nombre de victimes que ceux qui ont pensé cette opération en amont pouvait proposer à X. Quel moment choisir? A quelle hauteur dans les tours? La nuit, l’attentat n’aurait pas été crédible et en pleine journée il était désastreux. Il fallait que cela ait lieu le matin quand les tours n’étaient pas trop remplie et assez proche du sommet pour que les tours ne risquent pas de basculer. Il fallait qu’une évacuation des occupants présents dans les tours soit possible dans la journée. Si on se place dans l’éventualité d’une démolition contrôlée, un effondrement spectaculaire pouvait être programmé beaucoup plus tard sous prétexte d’incendie. L’image de cet effondrement même à vide aurait suffisamment frappé les esprits. Les seules victimes auraient été les occupants de l’avion et ceux des étages concernés. Difficile de dire le nombre de victimes qui a pu être avancé, peut être plusieurs centaines, c’est beaucoup mais c’est le moins de morts possibles, à partir du moment où est admis l’impérieuse nécessité de cet attentat …
    Mais on peut penser que les choses ne se sont pas passées comme prévu. On sait que les conversations des pompiers étaient écoutées. Or les pompiers (par exemple le pompier Mitchell) arrivés sur place envisageaient de pouvoir éteindre l’incendie. X s’est donc trouvé devant l’alternative suivante: attendre l’évacuation totale des tours comme prévu, avec le risque de ne pouvoir les faire s’effondrer si l’incendie est totalement maitrisé (et de laisser découvrir les explosifs) ou bien précipiter la chute sans attendre. La tour Sud s’est effondré je crois 15 minutes après la déclaration de Mitchell. Pour comprendre la décision de X il faut l’imaginer dans le contexte de cette journée historique et cette opération insensée. Quand est-il du bien et du mal dans le feu de l’action? Tout ceci n’est qu’une spéculation bien sûr mais elle permet d’affirmer qu’il existait pour X une possibilité de restreindre le nombre de victimes à quelques centaines. Si on rapproche ce cas à l’énormité du mobile stratégique, l’avenir des Etats Unis, on peut considérer que dans ce cas le mobile de X est crédible.

  • Il est un fait que lorsque l’on s’est engagé très en avant dans la complicité implicite et le mensonge, il est très difficile de faire machine arrière sans perdre toute crédibilité.

    Les choses bougent enfin dans le bon sens, attendons…

  • Eksmaqina

    Il mes semble aussi que l’hypothèse du « let it happen on purpose » est un peu faible eu égard à la concomitance et à la sophistication des « ingrédients » qui ont permis aux évènements du 11 septembre de se dérouler comme ils se sont déroulés…

    Cette approche est peut être un sas de décompression entre l’ère du mensonge officiel et la survenue de l’entière vérité.

    Mais compte tenu de tous les éléments mis en évidence par le mouvement pour la vérité, c’est bien plutôt le « make it happen on purpose » qui se dessine.

  • Fab

    Mais quelle frilosité !
    un par un les journalistes vont pendant combien d’années pendant lesquelles on continue à tuer et torturer adopter les points de vue les moins implicants ?
    Vous imaginez Zola dénoncer l’injustice faite à Dreyfus en gardant sous le coude la possibilité théorique qu’on ne pourrait pas quand même faire entièrement confiance à un juif ?
    mais qu’est-ce qu’ils ont de moins dans le cerveau ces journalistes pour ne pas pouvoir comprendre la même chose que les autres ?
    Ce John Pigiste m’ennuie !

  • parousnik

    Un homme qui a accepter tant de prix et de bons points peut il encore se déclarer sincère ??? en tout cas il me fait penser a ce disait un autre journaliste ..
    • À New York, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880, le célèbre journaliste John Swinton s’énerve quand on propose de boire un toast à la liberté de la presse :
    « Quelle folie que de porter un toast à la Presse indépendante !
    Chacun ici présent sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais. Il n’y en a pas un parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions. S’il le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées.
    Je suis payé pour garder mes vraies opinions en dehors du journal pour lequel je travail. D’autres parmi vous sont payé pour un travail similaire. Si j’autorisais la publication d’une bonne opinion dans un simple numéro de mon journal, je perdrais mon emploi en moins de 24 heures. Un homme suffisamment fou pour publier la bonne opinion serait bientôt à la rue en train de rechercher un nouvel emploi.
    La fonction d’un journaliste est de détruire la vérité, de mentir radicalement, de pervertir le faits, d’avilir, de ramper aux pieds de Mammon et de se vendre lui-même, de vendre son pays et sa race pour son pain quotidien ou ce qui revient au même, son salaire.
    Vous savez cela et je le sais. Quelle folie donc que de porter un toast à la presse indépendante. Nous sommes les outils et les vassaux d’hommes riches qui commandent derrière la scène. Nous sommes leurs marionnettes. Ils tirent sur les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes des PROSTITUÉS INTELLECTUELS. »

    -> http://en.wikipedia.org/wiki/John_Swinton_(journalist)

  • Sébastien

    Merci « Duplo » pour cet intéressant développement.

    Il est difficile d’imaginer que l’avenir du monde se cristallise autour de ces évènements. Et pourtant…Nous sommes dans l’oeil du cyclone. Il est terrifiant et épique à la fois de se dire que nous vivons un point d’orgue de l’Histoire.
    De nos comportements et nos réactions dépendront beaucoup de conséquences, fussent-ils faible en nombre. Essayons pour une fois de nous montrer dignes de nos descendants. Ils nous en seront éternellement reconnaissants.

  • Karlos

    A ce niveau là ce n’est plus du laisser faire mais bien de la complicité

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