Les théories des risques et l’écroulement des Tours du WTC

Cet article rapporte les réflexions d’un scientifique russe de grande renommée, spécialiste en construction pour la ville de Moscou. Il analyse les effondrements des Tours Jumelles de façon rationnelle, en utilisant la méthode de la Théorie des risques. Sa conclusion est sans appel. Pour ceux qui n’auraient pas le temps de lire l’intégralité de l’article, la conclusion de cet expert est la suivante : "ces changements [l'affaiblissement des structures inférieures des tours - NDLR] n’ont pu se produire qu’après l’impact, puisqu’en présence de telles modifications (évidemment générées artificiellement), le bâtiment se serait écroulé de toute façon, avec ou sans l’impact de l’avion. Et c’est là le point central. Et donc, l’impact de l’avion a été un moyen de détourner l’attention de l’observateur, de l’analyse des faits réels."

 
Ashot Tamrazian
 

Par Ashot Tamrazian – avec préface de Giulietto Chiesa. [auteur du film "Zéro - Enquête sur le 11 Septembre", Ndlr]

Le titre de l’article, écrit tout spécialement pour Megachip, est  : “Les théories des risques et l’écroulement des Tours du World Trade Center de New York”.

Titre d’un travail académique, même s’il a été synthétisé pour des raisons de publication. Nous le publions tel quel, comme une contribution de plus dans la recherche de la vérité sur le 11/9, de la part d’une personne hautement qualifiée.

Son auteur s’appelle Ashot Tamrazian, Docteur en Sciences techniques, professeur à l’université d’État de Moscou pour le Bâtiment et les Constructions, directeur du “Centre d’études des risques et de la sécurité des constructions”.

Je l’ai rencontré, et connu, le 12 septembre 2008, lors du débat télévisé organisé par la 1re chaine de TV russe, ORT, et qui accompagna, avant le film et après, la diffusion de Zéro, qui ce soir-là, sur cette chaine, atteint un score de 34% d’audience, exceptionnel pour un vendredi soir russe, et une audience, pour la seule Russie, d’une trentaine de millions de téléspectateurs. [Voir les deux vidéos sous-titrées en français de ce débat - partie 1 et partie 2, NDLR]

Tamrazian exposa succinctement lors de ce débat certaines des idées que nous publions ici.

Je l’ai rencontré de nouveau à Moscou en septembre 2009, et j’ai appris à cette occasion certains faits curieux que j’ignorais. Parmi eux, l’histoire de ses recherches, qui ne furent pas à l’initiative de son institut.

Tout a commencé en 2004 à Bruxelles dans les bureaux de l’OTAN. C’est là qu’est née l’idée d’un concours pour l’étude des effondrements du World Trade Center le 11 septembre 2001.

Et cela montre déjà une chose ; que même à l’OTAN, ils n’étaient pas satisfaits des conclusions données par les autorités américaines, et en particulier le NIST (National Institute of Standards and Technology), l’institut auquel l’administration de Washington avait confié la tâche de présenter des conclusions.

L’avis de concours fut diffusé par des canaux spécialisés, dans différentes directions, c’est à dire vers les meilleurs instituts de recherche européens. Le gagnant fut l’université hollandaise de Delft, le plus important institut polytechnique du pays. Mais les inextricables méandres du destin firent que le Rossijskij Fond Fundamentalnykh Issledovanii (RFFI – Fondation russe pour la recherche fondamentale) reçut une invitation à participer et, à son tour, lança un concours interne à la Russie, dont le vainqueur fut l’Institut Kurciatov de Moscou. Au sein de cet établissement, un institut universitaire de la capitale russe extrêmement connu, se forma alors un groupe de 13 scientifiques : ingénieurs du bâtiment, experts en aviation, ingénieurs dans le nucléaire, spécialistes en métallurgie, etc. Tamrazian faisait partie de ce groupe.

Mais il n’y resta pas longtemps. Un an et demi plus tard, il décida de quitter le projet. Cela pour 2 raisons : le groupe était soumis à un contrôle strict de la part d’”observateurs” à l’identité imprécise, qui enregistraient toutes les réunions, de façon ostensible ou un peu moins, mais toujours perceptible. L’atmosphère – explique Tamrazian – “n’était pas celle permettant un libre travail de recherche”. La deuxième raison est que Tamrazian lui-même s’aperçut, après quelques mois de travaux, que les positions des autres membres du groupe étaient à priori orientées dans des directions qui ne correspondaient pas aux éléments recueillis jusque-là. Tamrazian tira sa révérence, comme on dit, malgré le montant de la prime de l’OTAN qui s’élevait en tout à 200.000 dollars. Quel fut le résultat de l’étude ? Tamrazian m’explique qu’il n’a plus obtenu aucune information là-dessus, et c’est compréhensible puisqu’il n’en faisait plus partie. Mais ce qui semble plus étrange, et qui l’est effectivement, est que personne n’a aucune nouvelle des conclusions du groupe de l’Institut Kurciatov, ni de celles de l’institut Polytechnique de Delft. Qui sait où elles sont passées ?

Voici donc le texte du professeur Ashot Tamrazian.

 


Les théories des risques et l’écroulement des Tours du World Trade Center de New York

  “Celui qui connait peu connait avec précision
 
 

 

La question fondamentale de la théorie du risque et des systèmes de contrôle du risque est celle-ci : “Et que se serait-il passé si….?

Il  s’agit ici de prendre en considération n’importe quel type de question théorique, pourvu qu’elle ne soit pas totalement dénuée de sens ou en contradiction flagrante avec les lois connues de la physique.

Postulat
 
Le précédent le plus connu d’une affaire analogue remonte à 400 ans en arrière. Après deux siècles d’observation, les hommes purent démontrer ce qui semblait contredire l’apparence immédiate : la Terre tournait autour du Soleil et non l’inverse, comme on l’avait cru jusque-là.

Où se situait le problème ? Il résidait dans la modalité de l’expérimentation. Autrement dit, les gens observaient les choses visibles et construisaient la théorie sur la base du fait trivial que c’était ce qu’ils voyaient. S’ils s’étaient posé le problème sous la forme classique de la théorie du risque, tout serait alors devenu clair.

L’analogie est limpide. Mettons l’avion à la place du Soleil et le gratte-ciel à la place de la Terre. La partie visible de l’expérience est représentée par le coup porté à l’immeuble par l’avion. C”est là un fait incontestable. Sur cette base, tout le flux de réflexions scientifiques et politiques est parti dans la mauvaise direction.

Naturellement, pour que cela se produise de façon aussi unanime, il a fallu l’intervention d’un vaste lobby politique dont la volonté était que cela se passe ainsi. Mais le mal produit parfois le bien. Nombreuses sont les théories sur le sujet, et les conférences qui se sont tenues et on donné naissance à un véritable développement des sciences du bâtiment et plus généralement de l’ingénierie.
Plusieurs questions pratiques relatives à la solidité des édifices de grande hauteur sont apparues, permettant d’augmenter la sécurité des nouvelles constructions et de prolonger leur durée de vie.

Même s’il est vrai qu’au jour d’aujourd’hui, personne n’est en mesure de tirer des conclusions en termes de conception.

La plupart des observateurs inclinent à penser que la cause des effondrements n’était pas l’incendie. Ce thème est même développé jusqu’à l’absurde, affirmant dans le même temps que les survivants furent sauvés grâce au maintien de la structure et malgré l’effet combiné de l’impact de l’avion et des incendies qui s’ensuivirent.

Mais est-ce vraiment ce qui s’est passé ? Des exemples d’avions percutant des édifices, il n’en existe pas beaucoup. Mais pas un seul n’a produit un effondrement avec de telles caractéristiques. Posons-nous cependant la question initiale : “Et que se serait-il passé si…

Autrement dit : Et si l’impact de l’avion et les incendies n’étaient pas les seules raisons de l’effondrement des édifices ?

Analysons la situation.

Qu’avons-nous en réalité ?

Ce que nous avons vu, c’est à dire :

  1. Action. Impact de l’avion (vitesse de l’aéronef, masse, quantité de carburant à bord); incendie (température, durée).
  2. Objet de l’action. Nous disposons de toutes les données sur les caractéristiques des bâtiments et sur leur conception.
  3. Réaction de l’objet à l’action. Après environ une heure, écroulement total des deux édifices (effondrement parfaitement vertical, sans signe de basculement latéral)

Tâche a) Action. Ce que nous avons vu possède toutes les caractéristiques de l’évidence. Et peut-être calculé. Il y a ici plusieurs manières de calculer. On peut, au besoin, augmenter l’intensité et la puissance des influences exercées. [énergies en jeu]

Tâche b) Objet de l’action. La représentation d’une situation donnée, à laquelle peuvent être superposées plusieurs hypothèses, liées à la conception, à la période d’utilisation, à l’usure des composants. Parmi elles les caractéristiques des matériaux de la structure. La disposition des colonnes métalliques, le schéma de construction. Tout ceci peut être évalué, bien qu’il existe une incertitude sur la résistance des matériaux, liée à la vitesse de vieillissement. Là encore, il est possible de manipuler les données, en diminuant par exemple les chiffres concernant la résistance des matériels de construction utilisés. Toutes ces variables sont prévues par la théorie du risque. L’objectif est d’obtenir des édifices hautement fiables en terme de sécurité. Tous les éléments amenant une augmentation des facteurs de charge, de pressions, etc., et ceux introduisant une baisse de la résistance des matériaux soumis à effort et à usure sont répertoriés avec une grande rigueur dans les normes de construction.

Tâche c) Réaction de l’objet. Je dirai qu’elle est déterministe. Tous ont pu observer les images de l’effondrement, filmées par ailleurs avec un grand professionnalisme, comme si nous nous trouvions devant quelque expérience scientifique.

C’est sur la base de ces données de départ que prennent place diverses méthodes de calcul sur le comportement des bâtiments. L’objectif est celui d’identifier et de prouver les causes de l’écroulement et de donner une description acceptable des raisons dudit écroulement. Ce sont des tâches scientifiques, logiques et clairement définies.

Mais pour atteindre l’objectif, au cas ou quelque chose ne fonctionne pas, il se peut qu’on doive introduire des éléments arbitraires. Autrement dit qu’on manipule les coefficients de résistance.

C’est seulement de cette manière qu’il est possible, en fait, d’obtenir une réponse sur la cause (présentée comme un fait indiscutable) et sur la présumée description de l’effondrement. Et tout ceci fut probablement réalisé avec les meilleures intentions.

Postulat numéro 1. Le schéma de calcul de l’édifice est constitué d’une barre homogène verticale fixée à une extrémité et libre à l’autre. L’action est créée par une impulsion latérale, suivie par des incendies à une hauteur définie et à une température déterminée. La réaction de l’objet consiste en la perte partielle de la capacité de soutien des structures épargnées par l’impact au niveau où celui-ci s’est produit. Les développements successifs sont l’écroulement au-dessus et en dessous de la zone de l’impact, sous la forme d’effets secondaires. Et c’est tout.

Postulat numéro 2. Le feu se propage vers le bas (?!) et annihile les structures portantes de la construction sur toute sa superficie. On observe des effondrements importants, le broyage de l’édifice dans les étages supérieurs (chose que l’on ne perçoit pas dans les vidéos). Mais les mouvements déjà ralentis de l’effondrement sont stoppés dans un premier temps par la résistance des parties inférieures de soutien de l’édifice (restées indemnes, NDLR) .

Postulat numéro 3. Le mouvement des parties supérieures du bâtiment commence à enfoncer les structures de la partie inférieure (à la façon d’un piston) et démembre le bâtiment de façon transversale, et, à partir de là, acquiert de la vitesse en étant précipité vers le bas. Une description qui correspond à ce qui a été vu, mais qui relève du fantastique, même dans l’interprétation exacte de la scène. De fait, pour obtenir un tel cadre, il a fallu amplifier le volume des écroulements initiaux, augmenter la température de l’incendie et, de façon très “scientifique”, diminuer les coefficients de résistance de l’édifice, même de très peu en vérité, du fait de l’affaiblissement déjà dû à l’âge des matériaux. Mais cet argument joue un rôle tout à fait secondaire face à la description d’une précision chirurgicale.

En somme, les théories ont été montrées, l’objectif est atteint.

Mais il suffit d’enlever seulement quelques briques pour que l’ensemble du modèle réalisé ne tienne plus la route.

Par exemple, la représentation de la chute libre de la partie supérieure au point d’impact, semblable à un piston, vers le bas, comme si les parties encore saines du bâtiment n’existaient pas.

Ou encore : il est bien connu que le coefficient dynamique de chute est, dans ce cas, 1,2. C’est à dire, quand deux corps (comme ceux ici présents, les parties supérieures et inférieures des gratte-ciel, NDLR) entrent en collision – et rappelons que la partie inférieure représente entre 75 et 80% du total – il n’est pas possible que le corps de masse inférieure pénètre dans l’autre qui est plus gros. En outre, il s’agit d’un coup déjà atténué puisque l’objet contondant n’est plus totalement compact et a déjà commencé à se fracturer.

En appliquant les postulats de la théorie des risques, notre schéma descriptif produit des résultats différents.

Pour obtenir une description qui corresponde aux observations, une seule chose est nécessaire : en présence d’un choc relativement faible, il est nécessaire par la force des choses d’émettre l’hypothèse que la solidité de la partie inférieure des Tours était bien plus réduite que ce qui est décrit dans le récit officiel.

Nous ne sommes pas dans les hypothèses, mais dans les calculs arithmétiques simples.

Inutile ici de détailler ces calculs, mais, pour l’amour du ciel, ne mettons pas en avant le vieillissement de la structure. Je veux pour exemple les dalles de béton armé des bâtiments de l’époque “Kroutchev” qui ont été abattus ces dernières années à Moscou. Il s’agissait de panneaux d’un âge comparable à celui du World Trade Center, et dont le niveau de dégradation se révéla supérieur de 40-50% aux prévisions des concepteurs.

(…)

À la lumière de tout ce qui vient d’être dit, une question se pose : mais comment ce qui s’est passé est-il possible ? Même dans l’hypothèse où non pas un, mais deux avions percutent une seule tour, même dans ce cas, l’effondrement total des édifices ne se serait pas produit. D”après nos calculs il aurait fallu au minimum 4 avions de cette dimension.

La théorie du risque ne s’arrête pas là.

Si, comme nous sommes obligés d’en émettre l’hypothèse pour pouvoir expliquer l’écroulement, dans les bâtiments en question se produisirent d’importantes réductions du maintien structurel de la construction en dessous du niveau des incendies, alors une question se pose : à quel moment ce changement est-il survenu ? Avant ou après l’impact ? (Je précise qu’ici, la question sur le “comment cela est arrivé” ne nous intéresse pas).

La réponse, la seule possible, est que ces changements n’ont pu se produire qu’après l’impact, puisqu’en présence de telles modifications (évidemment générées artificiellement), le bâtiment se serait écroulé de toute façon, avec ou sans l’impact de l’avion.

Et c’est là le point central. Et donc, l’impact de l’avion a été un moyen de détourner l’attention de l’observateur, de l’analyse des faits réels.
 
 

Traduit de l’italien par GV pour ReOpenNews

16 Responses to “Les théories des risques et l’écroulement des Tours du WTC”

  • kad

    Bonjour,

    La science a ses bienfaits.
    Voici un document vidéo qui réduit à néant définitivement la version officielle de l’attentat sur le pentagone grâce aux témoignages crédibles et une enquête à la « colombo »…Regardez!
    http://www.dailymotion.com/video/xarnky_fr-national-security-alert-le-penta_news

    Source : http://www.citizeninvestigationteam.com/index.html

  • mat

    Franchement, c’est pas bien convaincant comme approche… Il arrête pas de mentionner sa « théorie des risques ». D’une part, j’en ai jamais entendu parler dans ce genre de formulation (et je pense que pas mal de personnes seront dans ce cas), et d’autre part, il ne connecte pas ce qu’il raconte avec cette « théorie ».

    Bref, c’est obscur.

    PS : la terre autour du soleil, c’était il y a 400 ans, pas 4000 !

    — EN EFFET C’EST CORRIGÉ. MERCI

  • raph

    Pas super clair comme article…pas tout compris…La conclusion arrive comme un cheveux sur la soupe…j’ai dû louper une étape…

  • Matth

    Bah c’est pas très dur à comprendre, larticle est basé sur la théorie des risques, ce mec travaille à l’université sur ce genre de choses, donc je pense qu’on peut lui faire confiance non? C’est normal que tu comprennes pas tout , on est pas des scientifiques! Mais en gros, on peut rapporter cet article, à une étude de probabilités qui se base sur les actions qui ont été produites sur le batiment! Donc, le scientifique démontre que les deux tours n’auraient pas du s’effondrer comme cela en utilisant des probabilités, à partir de calculs… Bref, cet article est très bien fait, il faut rapeller qu’il est synthétisé, donc on a pas tout l’article!! Moi, je trouve ca bien comme approche, c’est pas concret évidemment, mais c’est très bien aussi sous cette forme.

  • remi

    Les russes nous avaient habitué a plus de rigueur scientifique …

  • jocristie

    Cette étude prête trop le flanc à la critique et je pense qu’il ne faut donc pas en faire état auprès des tenants de la thèse officielle.

  • Hijack

    Le scientifique dit : « D”après nos calculs il aurait fallu au minimum 4 avions de cette dimension » ..

    Mais même avec 4 avions … jamais les tours ne se seraient effondrées à la vitesse de la chute libre … Certes elles auraient connu pas mal de dégâts … mais au pire, les structures se seraient couchés … mais pas affaissés les unes sur les autres !

  • Sébastien

    Si j’ai bien compris, ce qui est intéressant dans cet article, c’est que l’auteur tente d’expliquer qu’il n’existe pas de corrélation entre l’impact des avions et l’effondrement des tours.
    Mieux: ils n’ont aucun rapport scientifique entres eux!

    La théorie résume le fait que depuis le départ, tout le monde se base sur la chronologie des évènements imposés au grand public pour saboter toute réflexion. Le mélange, science pure /observation, est utilisé volontairement pour affaiblir toute critique.

    En changeant de postulat de base justement, l’explication officielle ne tient plus debout puisque l’avion est « sortit » de l’équation ou recalé comme paramètre négligeable.

    On peut donc en conclure à un certain moment que les détournements d’avions ont été mis en scène -littéralement- pour DETOURNER l’attention des gens et compliquer l’affaire, y compris en direction des scientifiques qui ont pu s’y laisser prendre.

  • Ted

    « Tout a commencé en 2004 à Bruxelles dans les bureaux de l’OTAN. (…) Et cela montre déjà une chose ; que même à l’OTAN, ils n’étaient pas satisfaits des conclusions données par les autorités américaines, et en particulier le NIST (National Institute of Standards and Technology), l’institut auquel l’administration de Washington avait confié la tâche de présenter des conclusions. »

    Le rapport du NIST sur l’effondrement n’a été publié qu’en 2005…

  • GeantVert

    @ Ted

    Oui et donc ? Il faut se renseigner un peu plus :
    Lire par exemple le travail de Kevin Ryan (http://911review.com/articles/ryan/NIST_WTC7.html)

    « we know that NIST began its work in August 2002 and decoupled its WTC 7 report in June 2004, »

    En français

    Nous savons que le NIST a commencé son travail en août 2002 et a découplé celui sur le WTC7 en juin 2004.

    –GV

  • Critique

    Quelqu’un peut-il trouver la trace de la théorie des risque en rapport avec l’analyse d’effondrement d’immeuble ?

    Quelqu’un peut-il trouver la trace d’Ashot Tamrazian en dehors de la reprise en boucle de cet article sur des blogs consacrés au 9/11 ?

    Un rapide googling ne m’a rien donné.

    Cette info me semble être une intox fumeuse.

    Par qui ? Pour quoi ?

  • Ted

    @GV : et donc, même si l’enquête du NIST a débutée en 2002 pour l’étude du WTC1&2, les conclusions n’ont été divulguées que lors de la publication de leur rapport, comme ce fut le cas pour le WTC7 en 2008. Donc, comment à t-ont pu être insatisfait des conclusions du NIST à l’OTAN en 2004 puisque ces dernières ont été publiées l’année suivante ? Ne s’agit-il pas plutôt d’une insatisfaction des conclusions de la FEMA ?

    @Critique : la théorie des risques existe en droit mais pas en physique. Je suppose qu’il s’agit d’une mauvaise traduction de l’expression « approche probabiliste ».

    Pour trouver Ashot Tamrazian depuis des moteurs de recherche, il faut inscrire son nom en Russe : Ашот Тамразян

  • GeantVert

    @ critique
    Ashot Tamrazian a participe’ au debat sur Zéro a la TV russe en 2008, que nous avons sous-titree. Voir sur DailyMotion.com/ReOpen911.

    Coté source de l’info : cet article a ete publie’ sur le site Megachip par l’ex-depute’ europeen Chiesa qui connait la Russie et aussi ce scientifique.
    http://www.megachipdue.info/component/content/article/42-in-evidenza/871-le-teorie-dei-rischi-e-il-crollo-delle-torri-del-wtc.html
    Il n’y a pas d’erreur de traduction, c’est bien la Théorie des risques.

    @Ted, le rapport final du NIST sur les Tours 1 et 2 (pas la 7) a ete remis en 2005 oui, mais pas les articles publiés officiellement par le NIST, comme http://www.nist.gov/public_affairs/releases/wtc_latest_findings_1004.htm qui date de 2004 (par exemple). Tu parles de 2008 mais cela concernait le rapport sur le WTC7 pour lequel le NIST a pris 3 ans de plus sans convaincre sur la dynamique de l’effondrement et en etant oblige’ d’admettre la chute libre pendant les 2.25 premiers secondes, VOir les excellentes videos de Chandler à ce propos :

    http://www.dailymotion.com/playlist/x12noo_ReOpen911_chute-libre-du-wtc7-admise

    –GV





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