Dans « La Terreur Fabriquée » Webster Tarpley signale d’autres incendies à Washington le 11/09

Véritable réquisitoire contre la version officielle sur le 11/09, l’ouvrage de Webster Tarpley intitulé "La Terreur Fabriquée Made in USA" regorge d’informations oubliées ou étouffées depuis les événements de 2001. Par exemple page 356, on trouve un autre chapitre mentionnant des explosions et des incendies à Washington le matin du 11 septembre 2001.

Afin d’illustrer les propos de Webster Tarpley, nous vous proposons (en fin d’article) le reportage en direct de la télévision Arte datant du 11 septembre 2001, dans lequel les journalistes parlent de 2 explosions au Pentagone avant que l’"avion" ne le percute, et d’un incendie au Département d’État, non loin de la Maison-Blanche. On distingue aussi dans ce clip vidéo le mystérieux "avion blanc" en train de survoler Washington, au-dessus d’une population affolée. CNN reconnaitra seulement en 2007 qu’il s’agissait de l’avion "Dooms Day", véritable Centre de commandement mobile de l’armée américaine, prévu pour un cas de conflit nucléaire.


Webster Tarpley: La Terreur Fabriquée Made in USA.

(page 356)

[...] Il faut également prendre en compte certains incidents révélateurs supplémentaires, qui disparurent rapidement des comptes rendus des événements parce qu’ils mettaient mal à l’aise les tenants de la version officielle. Le premier fut un incendie dans le bâtiment Eisenhower (OEOB) où se trouvent les bureaux du Conseil national de sécurité. Ce bâtiment fait partie intégrante du complexe de la Maison-Blanche ; on y trouvait les bureaux de personnages tels que Condoleezza Rice, Stephen Hadley, Elliot Abrams et d’autres. La chaîne de télévision ABC retransmit en direct l’incendie de l’OEOB le 11 Septembre à 9 h 42 heure locale (Meyssan, p. 2002). Il y eut un autre incident, une voiture piégée au Département d’État : « Lisa me glissa un mot : “CNN parle d’une voiture piégée au Département d’État. Incendie sur le Mall près du Capitole” » (Clarke, p. 9). Selon une autre source : «À 10 h 20, on nous annonça qu’une énorme camionnette piégée avait explosé à côté du Département d’État à Washington. Ce n’était pas vrai mais, une fois de plus, cela changeait la donne » (Daily Telegraph, 16 décembre 2001). L’incendie sur le Mall près du Capitole est encore un incident de plus. Clarke se souvient également avoir reçu un rapport : « Il y a eu une explosion dans le parking du Pentagone, peut-être une voiture piégée» (Clarke, p. 7).

 

Si nous mettons tous ces incidents bout à bout, sans oublier la menace d’attentat contre Bush dans la matinée, nous voyons que l’étendue du complot du 11 Septembre était à la fois plus vaste et plus complexe que ce que montrent les actes spectaculaires de terrorisme fabriqué auxquels le monde assista ce jour-là.

 


Note ReOpenNews: Pour en savoir plus, lisez l’ouvrage de Webster Tarpley "La Terreur Fabriquée – Made in USA" aux éditions Demi-Lune, et regardez l’Interview en vidéo de Webster Tarpley :« La guerre au terrorisme est un mythe. »
Webster Tarpley, historien et journaliste états-unien, travaille sur les formes modernes d’ingérence, en particulier sur l’exploitation de la menace terroriste. « On ne peut pas comprendre la politique actuelle des États-Unis si l’on mésestime la portée réelle du 11 Septembre. Les attentats du 11 Septembre ont été un coup d’État. La guerre contre le terrorisme est basée sur un mythe et est devenue une religion d’État obligatoire depuis ces événements. La seule façon de lutter contre les néo-conservateurs est de détruire ce mythe. L’ouverture d’une commission de vérité comme celle de Russell-Sartre lors de la guerre du Vietnam pourrait contribuer à le détruire. »

14 Responses to “Dans « La Terreur Fabriquée » Webster Tarpley signale d’autres incendies à Washington le 11/09”

  • Cathy des airs

    Thierry Meyssan (cité dans cet extrait de son livre par W. Tarpley) avait lui-même évoqué, en effet, dès l’année 2002 cet incendie mystérieux filmé le jour-même par ABC, puis tombé ultérieurement dans les oubliettes des medias. Cf. l’effroyable imposture p.54 :
    « L’affaire des codes [ codes de transmission et d’authentification de la présidence, dont disposaient semblent-ils les assaillants] n’est pas le seul élément à avoir disparu de la version officielle. Le 11 Septembre, à 9h42, ABC a diffusé des images en direct d’un incendie de l’annexe de la Maison Blanche, l’Old Executive Building. La chaîne de télévision s’est contentée de montrer un plan fixe avec des volutes de fumée noire s’échappant de l’immeuble. Aucune information n’a filtré sur l’origine du sinistre, ni sur son ampleur exacte. Personne n’a eu l’outrecuidance d’attribuer l’incendie à un avion kamikase. Un quart d’heure plus tard, le Secret Service enlevait Dick Cheney dans son bureau et ordonnait l’évacuation de la Maison Blanche et de son annexe. »
    Le 11/9 : un état dans l’état ?
    Mais de quelle nature exactement ?

  • bilou

    1
    http://en.wikipedia.org/wiki/Timeline_for_the_day_of_the_September_11_attacks#9:00_AM

    10:23: The Associated Press reports a car bomb has exploded outside the State Department in Washington, D.C. This and several other reports of terrorist acts in the capital are quickly found to be false.

    10:41: NBC News confirms that a plane has « gone down » in Somerset County. The earlier unconfirmed statements about an incident at the State Department in Washington, D.C. are reported as false.

    2
    http://web.archive.org/web/20020916203833/http://abcnews.go.com/onair/DailyNews/sept11_moments_4.html

    « It ran on the crawler on the TV that a car bomb had exploded outside the State Department, » Deputy Secretary of State Richard Armitage said. « I went out and looked with diplomatic security and didn’t see anything, called my colleagues around town and, on the video conference screen, told them there was nothing to it. »

    3
    http://www.historycommons.org/timeline.jsp?timeline=complete_911_timeline&timeperiod=1:00am%20Sept%2011%202001

    « Secretary of Defense Donald Rumsfeld hosts a breakfast meeting in his private dining room at the Pentagon. [Associated Press, 9/12/2001; Larry King Live, 12/5/2001; 9/11 Commission, 3/23/2004] The meeting, which is attended by several members of Congress, is intended to discuss the Department of Defense’s Quadrennial Defense Review. As well as the secretary of defense, others in attendance include Rumsfeld’s senior military assistant, Navy Vice Admiral Edmund Giambastiani Jr.; Deputy Defense Secretary Paul Wolfowitz; and Republican Representatives John Mica, Mark Steven Kirk, Mac Thornberry, Roger Wicker, Robin Hayes, Kay Granger, John Shimkus, Randy “Duke” Cunningham, and Christopher Cox. [Federal Computer Week, 3/31/2003; Vanity Fair, 5/9/2003; US Department of Defense, 9/10/2004; American Forces Press Service, 9/8/2006] Secretary of the Army Thomas White, who is at the meeting, appears to say it is also attended by numerous key military figures, later telling PBS, “Don Rumsfeld had a breakfast, and virtually every one of the senior officials of the Department of Defense—service chiefs, secretary, deputy, everybody, chairman of the Joint Chiefs of Staff. And as that breakfast was breaking up, the first plane had hit the World Trade tower.” [PBS Frontline, 10/26/2004; PBS, 10/26/2004] By “chairman of the Joint Chiefs of Staff,” he presumably means Richard Myers, who is the acting chairman on this day, in place of Henry Shelton who is out of the country. [American Forces Press Service, 9/8/2006] During the course of the meeting Rumsfeld predicts that some kind of “shocking” world event will occur in the near future (see (Before 8:46 a.m.) September 11, 2001). Most accounts suggest the meeting is adjourned soon after the time the first WTC tower is hit, presumably around 8:50 a.m., though one report says it ends at about 9 a.m. Just prior to the meeting ending, Rumsfeld is handed a note informing him of the crash (see Shortly After 8:46 a.m. September 11, 2001). Edmund Giambastiani also sees this note. Whether the other people in attendance are notified of the crash at this time is unknown. [Larry King Live, 12/5/2001; ABC News, 8/12/2002; PBS, 10/26/2004; American Forces Press Service, 9/8/2006] Thomas White says, “We all went on with the day’s business,” after leaving the meeting. He heads off to give a speech at the nearby Army Navy Country Club. [PBS Frontline, 10/26/2004] Rumsfeld, Wolfowitz, and Giambastiani return to their offices. [Vanity Fair, 5/9/2003; American Forces Press Service, 9/8/2006] The members of Congress leave the building. [Washington Post, 1/9/2002] If Richard Myers is at the meeting, as Thomas White appears to say, he must head promptly to Capitol Hill, as he enters another meeting in the offices of Senator Max Cleland (D) before the time when the second tower is hit (see Shortly Before 9:00 a.m. September 11, 2001)

    4
    http://www.washingtonpost.com/ac2/wp-dyn/A42754-2002Jan26

    It was, « obviously, a very significant action, » Cheney said in an interview. « You’re asking American pilots to fire on a commercial airliner full of civilians. On the other hand, you had directly in front of me what had happened to the World Trade Center, and a clear understanding that once the plane was hijacked, it was a weapon. »

    Within minutes, there was a report that a plane had crashed in southwestern Pennsylvania-what turned out to be United Flight 93, a Boeing 757 that had been hijacked after leaving Newark International Airport. Many of those in the PEOC feared that Cheney’s order had brought down a civilian aircraft. Rice demanded that someone check with the Pentagon.

    On Air Force One, Bush inquired, « Did we shoot it down or did it crash? »

    It took the Pentagon almost two hours to confirm that the plane had not been shot down, an enormous relief. « I think an act of heroism occurred on board that plane, » Cheney said. Later, reports of cell phone conversations before the plane crashed indicated that some passengers had fought with the hijackers.

    5
    http://www.911timeline.net/

    105) 9:55 a.m.: Inside his White House bunker, a military aide asks Cheney, « There is a plane 80 miles out. There is a fighter in the area. Should we engage? » Cheney immediately says, « Yes. » As the fighter gets nearer to United Airlines Flight 93, he is asked the same thing twice more, and responds yes both times.

    106) 9:58 a.m.: Confrontation with the hijackers and the passengers begins aboard United Airlines Flight 93. Emergency dispatcher in Pennsylvania receives a call from a passenger on Flight 93. The passenger says: « We are being hijacked! »

    107) 9:58 a.m.: A frantic male passenger onboard United Airlines Flight 93 called the 911 emergency number, he told the operator, named Glen Cramer, that he had locked himself inside one of the toilets. Cramer told the AP, in a report that was widely broadcast on September 11th, that the passenger had spoken for one minute. « We’re being hijacked, we’re being hijacked! » the man screamed into his mobile phone. « We confirmed that with him several times, » Cramer said, « and we asked him to repeat what he said. He was very distraught. He said he believed the plane was going down. He did hear some sort of an explosion and saw white smoke coming from the plane, but he didn’t know where. And then we lost contact with him. » This was the last cell phone call made from any passengers on any of the hijacked planes.

  • yann66

    Je rêve ou la vidéo n’est plus accessible sur Dailymotion ?
    Si quelqu’un l’a …. je prend…

  • looping

    La connerie humaine commence à me lasser sérieusement ! Et ces messieurs-dames croyaient que toute cette mascarade allait se passer sans vague : ce n’ait plus de la connerie et là je me range aux dires de Collin Powel, CE SONT DES FOUS !

  • GeantVert
  • Cathy des airs

    Les « fous » dont tu parles, Looping, continuent de faire de sombres vagues et j’ai de plus en plus l’impression que le 11/9 n’était que le coup d’envoi, non pas d’une guerre généralisée aux « terroristes » (terme générique on ne peut plus vague et qui peut désigner n’importe qui, aussi bien des minorités marginales que des gens puissants) mais d’une GUERRE insidieuse aux populations civiles du monde entier…
    Le 11/9 est un serpent orwellien qui se mord la queue, cercle vicieux par lequel la soi-disant « guerre des états – AU – terrorisme  » ne semble en fait qu’une  » guerre – DE – terrorisme d’ÉTAT  » pratiquée par ceux-là même qui prétendent nous protéger …

    - 11 mars 2204 : attentats de Madrid, d’origine suspecte, d’abord attribués par le président Aznar à ETA puis à al Qaida (évidemment !) puis à des ressortissants marocains. Attentats utilisant les mêmes modes opératoires que ceux de Londres, un an plus tard, c’est-à-dire explosions simultanées de dizaines de bombes dans des lieux de transport public…
    ………………………………………………………………..
    Cf. Thierry Meyssan relève les contradictions de l’enquête dans cet article ci-joint :
    http://209.85.135.104/search?q=cache:4ViuJEvQ75kJ:www.voltairenet.org/article136706.html+r%C3%A9seau+voltaire+les+attentats+de+madrid+2004&hl=fr&ct=clnk&cd=1&gl=fr

    « Deux ans après les attentats qui frappèrent des usagers des transports en commun à l’heure de pointe dans la capitale espagnole, le responsable du renseignement espagnol a livré les premières conclusions de l’enquête diligentée par la justice de son pays. Or celles-ci contredisent totalement, une fois de plus, la théorie du complot islamiste mondial répandue dans les médias du monde entier par les occupants de la Maison-Blanche et leurs sous-traitants….
    « Ce n’était pas une opération Al Qaïda », a déclaré ce responsable à Associated Press, « elle était organisée depuis l’Espagne. ».

    Alors… ni ETA ni al Qaida ? Gerhard WISNEWSKI (journaliste allemand) suggère à son tour une « troisième » hypothèse qui, sans exclure le recrutement de fanatiques religieux – en tant qu’hommes de main – incrimine les services secrets alantistes dans les attentats de Madrid.
    Cf. {Gerhard WISNEWSKI : Les Dessous du Terrorisme (Top Secret)
    Qui dirige le monde par la peur ?} p.20,21. :

    « Après les attentats (de Madrid, 2004), la pression s’est accrue sur les candidats et les partis car il ne restait plus que trois jours pour mener une exploitation politique et propagandiste des attaques. Pour cette raison, le public fut témoin d’une lutte implacable autour du « miroir concave psychologique », qui devait d’abord détourner l’énergie émotionnelle, puis la focaliser et, enfin, la diriger contre les adversaires du moment. Comme si des factions se bagarraient autour d’un projecteur géant pour en diriger le faisceau sur un ennemi désigné. Cette lutte était menée moins pour obtenir de vraies informations que pour désigner le vrai « déclencheur ». Au fond, une seule alternative fut prise en compte : les auteurs des attentats étaient soit des « islamistes » radicaux, soit des terroristes de l’ETA.
    Dans la discussion qui a précédé les élections, l’éventualité d’un troisième déclencheur n’a pour ainsi dire joué aucun rôle : l’hypothèse selon laquelle les services secrets nationaux ou étrangers « amis » pourraient être à l’origine des attentats. Conséquence possible : une catastrophe pour l’État espagnol.
    [… ]
    Et, de fait, certaines voix critiques, tel le journal Junge Welt du 13 mars 2004, se demandèrent si le 11 Mars pourrait avoir été « le 11 Septembre d’Aznar ». Ce qui serait, bien sûr, extrêmement équivoque. Car, selon mes recherches, ce sont les États-Unis eux-mêmes qui ont mis en scène les attentats du 11 Septembre 2001 pour les instrumentaliser ensuite à leur avantage. »

    L’auteur cite alors un de ses confrères allemands (Ralph Streck), soutenant lui aussi l’idée d’une implication partielle du gouvernement espagnol (cf. p.31,32) :
    « On sait depuis longtemps, écrivit Ralf Streck dans Telepolis, que les attentats n’auraient pas eu lieu sans les affidés de la police nationale qui ont procuré les explosifs et les ont livrés par l’intermédiaire d’un espion de la Guardia Civil aux islamistes. Les services secrets CNI (Centre National d’Intelligence) avaient des contacts jusque dans l’entourage direct des auteurs d’attentats, et la police contrôlait les cerveaux des attentats madrilènes par l’intermédiaire de l’espion Cartagena. »

    Et G. Wisnewski de conclure ( p.32) :
    « La police contrôlait donc les cerveaux des attentats madrilènes. Cela ne peut surprendre que les partisans de la thèse de « l’ennemi extérieur ». En réalité, il vient de l’intérieur, de l’appareil de sécurité lui-même, et pas SEULEMENT en Espagne. Ce n’est donc pas l’ennemi de l’État qui pose problème, mais l’État ennemi. Depuis le 11 Septembre 2001, les États ont définitivement cessé de protéger leurs citoyens. Ils ne se considèrent absolument pas comme des entreprises de services dont la mission consiste à permettre à leurs citoyens de mener une vie sûre et la plus agréable possible. Les États et les gouvernements sont plutôt devenus des monstres voraces qui saignent leur population, jusqu’à la moelle. »
    …………………………………………………………………………
    - 7 juillet 2005 : attentats de londres, en pleine période du G8 en Écosse. Même scénario et mêmes circonstances qu’à Madrid, mais avec deux indices encore plus lourds de sens : les bombes étaient loin d’être artisanales ; en fait des explosifs très puissants, de type industriel ou militaire… Et comme pour le 11 Septembre – afin mieux brouiller les cartes ? – un exercice de simulation en tout point semblable aux attentats réels, se déroulait dans les gares londoniennes… au même endroit, au même instant !
    Et devinez quoi ? Cerise sur le gâteau : A l’instar de son homologue G. W. Bush qui se fit prier pendant 441 jours par les familles de victimes, avant de leur concéder enfin une enquête officielle sur le 11/9, Le premier ministre britannique de l’époque Tony BLAIR (surnommé par certains « Prime Monster ») fit savoir – dans un délai très court – qu’il n’y aurait pas d’enquête publique. Et malgré la vive pression de son opinion publique, il TINT bon…
    http://politicalhumor.about.com/library/images/blpic-blairmonster.htm
    Comme nous le rappelle pourtant l’ancien agent du MI5 (services de renseignement et de contre-espionnage britanniques) David Shayler :
    « Il n’y a jamais eu aucune preuve, en tout cas, établissant un lien entre les explosions ( de Londres, 2005) et l’Islam ou le mythique “Al Qaeda”. »

    Voir son article et sa vidéo sur le sujet :
    http://eldib.wordpress.com/2007/06/30/londres-7-juillet-2005-quand-corruption-devient-trahison/

    “ in a time of universal deceit, telling the truth is a revolutionary act”
    George ORWELL

  • Neurone

    >> Un grand merci à celui qui a archivé ce journal télévisé de l’époque… rappelant ô combien le « journaliste » feint l’ignorance aujourd’hui ! « Alzeihmer » … vite qu’on propose un médicament !!! … Ô COMBIEN IL RESTE DES PISTES A EXPLORER dans le puzzle de l’affaire °9-11″ !

    … Bon voilà pk la théorie du complot persiste : car soit il y a eu des explosions comme nous l’ont rapporté les directs … – Th. Meyssan étant le premier à nous apporter un éclairage sur ce « mystèrieux pentagone » des bermudes ! or depuis rien n’est jamais venu « expliquer » toutes ces confusions journalistiques !? Ô contraire… plus on demande des explications … plus des faits troubles s’accumulent : absence de vidéo, histoire complètement abracadabantesque d’avion sur le Pentagone sans débris … tardive commission officielle qui omet tant d’éléments factuels de la journée, etc. – soit les journalistes rapportent n’importe quoi ! on sait ô combien il est dure de copier coller les dépèches AFP ? … Où les deux alternatives ?, ou aucune des deux ? … m’enfin ?! Qu’on nous explique ?!

    … Mais c’est QUOI ce « bordel » dans leciel américain, ou bien ?! « Vers 11h heure locale un boeing de la compagnie AA …  » (sic) ! Or cela fait 2h que 2 avions se sont abattus dans les tours du WTC – on les a tous vu en direct (le 2nd) … et 2h après y a un avion qui se promène au dessus de Washington … ?! Alors un simple avion de ligne qui passait par là ?

    Il appartient à chacun de tirer la morale de l’Histoire !!! merci à Th. Meyssan & W. Tarpley … pour leurs éclairages !

  • ouam

    Tout ça avec 5 cutteurs bien entendu …

  • julo

    Quel mise en scene incroyable. Il ya vraiment bp de choses etranges. Les americains semblent trop puissant pour que nous puissions un jour connaitre dans quel mesure le gouverenement americain ou un autre type de gouvernance semble etre impliqués. En tout cas il semblerait que les 3 attentats semblent etre realisés par le meme type de personne. Mais qui ????

  • Olive

    @ julo
    Qui???
    Dark Vador et ses crazies. U see what I mean…
    Et ensuite toi, moi et tout le monde par notre impuissance à notre niveau à nous mettre debout pour devenir activement bons et changer ce monde. Mais c’est presque une autre histoire…

  • Riep

    Cathy des airs, citant Meyssan:
    « L’affaire des codes [ codes de transmission et d’authentification de la présidence, dont disposaient semblent-ils les assaillants] n’est pas le seul élément à avoir disparu de la version officielle. »

    Quelqu’un a-t-il un/des lien(s) vers des études plus précises sur cette affaires des codes ? Je l’avais un peu oubliée mais en revoyant il y a peu la fameuse interview de Meyssan chez Ardisson ce point a à nouveau suscité mon attention… Malheureusement, après quelques recherches, j’ai comme l’impression que cette info a priori fondamentale ne semble pas avoir été beaucoup creusée par les truthers depuis 2001…
    J’ai déjà retrouvé les deux sources de Meyssan sur cette affaire dans l’Effroyable imposture:
    - un article du NYTimes du 13/09/01
    http://query.nytimes.com/gst/fullpage.html?res=9C04E5DC1038F930A2575AC0A9679C8B63&scp=1&sq=inside+the+bunker&st=nyt
    - et un autre du WorldNetDaily en date du 20/09/01
    http://www.worldnetdaily.com/news/article.asp?ARTICLE_ID=24594

    Si quelqu’un en sait davantage, merci de nous l’indiquer !

  • Cathy des airs

    à Riep.
    Personnellement je n’ai rien trouvé d’autre, mais je remarque que dans les deux articles de 2001 que tu cites, leurs auteurs rattachent tous deux la « détention illégale des codes » à une source terroriste extérieure (soit l’organisation islamiste de Ben Laden soit un réseau d’espions irakiens – déjà ! – ) Pas un seul instant, ces journalistes ne posent l’éventuelle hypothèse de « taupes » au sein même du gouvernement US.

  • Riep

    L’auteur du second article, qui semble mieux informé, dit même qu’aucun expert ne croit que le réseau Ben Laden ait pu entrer en possession de ces codes par lui-même.
    C’est pour ça qu’ils avancent la piste irakienne…
    Maintenant que l’on sait que celle-ci a fait long feu, il ne reste donc plus beaucoup de possibilités pour expliquer cette histoire des codes…

  • nikonekro

    et oui…les incendies c’est très pratique pour faire disparaitre les dossiers encombrants…d’un point de vue juridique…

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